6
JAMES
- Est-ce que vous êtes prêt à discuter et à trouver une solution à toute cette supercherie.
Je porte mon regard sur lana avant d'ordonner a mes hommes de baisser leurs armes.
- Il faut croire que votre fille à plus de couille que vous David. Dis-je
- Je ne vous permet pas. Dit-il en voulant ressortir son arme mais Lana se penche avant de lui souffler quelques choses.
- Alors de combien s'agit-il ? Reprent-elle
Vadim sort une feuille et écrit le montant dessus avant de lui faire passer.
Lorsqu'elle se penche sur la table pour attraper le morceau de papier mon regard se devie sur son décolleté plongeant.
Elle regarde le prix avant de rire nerveusement et de se tourner vers son père. Eh oui chérie ton père me doit des millions d'euros.
- Très bien je voudrais que tous le monde sorte, je voudrais qu'on me laisse seule avec Monsieur Harley. Dit-elle alors que son visage devenait sérieux.
Cette femme m'intriguait de plus en plus. Alors que tous le monde se levait et sortait elle se lève aussi et la seule chose que je parviens à entendre lorsqu'elle discutait avec son père était : c'est la dernière fois que tu me mets dans tes affaires compris. Plus jamais.
Alors là c'était sûr je voulais en apprendre plus sur cette femme.
Lorsque tous le monde deguerpis y compris vadim elle referme la porte et reste devant en me devisageant les mains derrière le dos.
- Finalement on se retrouve encore.
Dis-je en tournant ma chaise vers elle.
Elle se rapproche et s'assoit sur le bout de table juste en face de moi m'offrant une vue sur son décolleté et ses jambes croisées.
- Voila ce qu'on va faire, je pourrais payer tous simplement cette somme et vous serez quitte avec mon père mais je ne pense pas que vous en resterez la n'est-ce pas ? Dit-elle finalement me faisant relever le visage.
- Je ne vais pas vous contredire. Mais que ce soit bien clair Lana ce n'est pas à vous de payer pour les erreurs de votre père. Dis-je d'une voix grave.
- L'entreprise que mon père possède est à ma mère je l'ai hérité à sa mort, si vous voulez tout savoir et j'ai laissé david s'en occuper parceque j'étais trop jeune et voilà ce qu'il en a fait. Traiter avec des trafiquants et je ne sais quoi d'autre vous croyez que cela me ravis Monsieur Harley. Toute transaction d'une valeur comme la vôtre passe par moi. Certe l'entreprise est au jour d'aujourd'hui à lui mais l'argent passe par moi parce que j'en ai hérité. C'est pour ça que je ne payerais pas cette somme. Dit-elle d'une traite en ne me lâchant pas du regard.
Je me lève et pousse la chaise avant de le rapprocher d'elle. La dépassant d'une bonne tête je m'avance et me place entre ses jambes, elle recule son buste alors que je me collais à elle. Je souffle par le nez et baisse la tête vers ses seins qui se soulevaient rapidement. Elle avait peur et je comptais là-dessus.
- Je ne suis pas du genre patient Lana, et encore moins quand on se paie ma tête. Dis-je durement alors que nos jambes se touchaient.
J'attrape une mèche de ses cheveux et la replace derrière son oreilles alors qu'elle ne détournait pas le regard. Bon sang j'avais des idées pas très catholique qui me traversaient les idées alors qu'elle me regardait avec ses petits yeux verts.
Son regard devie vers ma bouche alors que je faisais de même, j'attrape son visage en coupe durement et passe une main sur sa bouche alors qu'elle me regardait se demandant sûrement ce que je faisais.
- Vous n'êtes pas si innocente que ça enfin de compte. Soufflais je. Et ce que je disais était vrai, notre première rencontre me l'avait confirmé mais là j'en étais sûre. Elle connaissait ce milieu mais essayait de le fuir.
- Qui à dit que je l'était ? Réplique t-elle.
- Vous êtes plutôt divertissante Lana, votre audace me surprend. Dis-je en me reculant.
- Ah oui et bien vous allez l'être encore plus depuis que j'ai appris qu'il y avait un contrat sur votre tête dépassant la somme que vous demandez à mon père dans trois villes différentes. Le Canada, la Floride et la Colombie. Dit-elle
Dans un élan de colère je lui attrape le cou avant de la pousser contre la table, les narines frétillant je me penche contre elle.
- Comment ? Dis-je d'une voix grave.
- Je suis journaliste comme vous le savez mon métier est de fouiner la ou je ne devrais pas. Et si vous nous laisser pas ma famille et moi je peux vous promettre que votre séjour ici sera rapide. Continue-t-elle aussi confiante qu'au début de notre conversation.
Bon sang pourquoi je n'arrivais pas à lui faire quoi que ce soit. Au lieu de ça je me surprenais encore à la vouloir et cette fois ci plus fort, je la relevais et pressais ma bouche contre la sienne. Elle se débat pendant quelques secondes avant de se laisser faire.
La porte s'ouvre ensuite sur vadim et lana me pousse en se reculant.
- Considère cela comme un accord Lana. Dis-je alors qu'elle descendait de la table en remettant bien sa robe.
Vadim nous regarde bouche bée, puis tous le monde rentre à nouveau. Je me décale et Lana passe à côté de moi mais je la retiens et elle s'arrête.
- Ne pense pas que tu vas t'en sortir comme ça. Soufflais-je en la lâchant.
Elle s'approche de son père et lui souffle quelques choses au creux de l'oreille, je me surprends à regarder ses fesses alors qu'elle sortait définitivement de la pièce.
Monsieur west se rapproche de moi et viens me serrer la main avant de partir à son tour. Il savait ce qui se préparait et avait bien fais de partir.
- Tu m'expliques ce que je viens de voir. Dit-il en se rapprochant de moi.
- Pas maintenant. Dis-je en attrapant son flingue et en le dépassant.
Je me rapproche de lui et pointe le flingue sur sa tête. Surpris il se recule alors que le visais.
- Qu'est-ce que vous faites je croyais que ma fille avait conclu un marché. Dit-il déboussolé.
- Votre fille oui, mais pas vous et il y a encore un traite parmi vous. Dis-je
Je devie mon arme et tire sur les jambes d'un de ses hommes.
- Prenez sa comme une reconnaissance de dête. Dis-je en le dépassant en donnant l'arme à vadim.
- Garcia... Dis David en se précipitant vers son ami.
- On s'en va et trouve moi Lana, cette fille est encore plus problématique que je ne le pensais.Dis-je à vadim.
Je m'approche des escaliers et observe les invités à la recherche de Lana. Je la repère rapidement alors qu'elle parlait a son ami de la dernière fois. Je descends rapidement les escaliers et me dirige vers elle. Elle se retourne vers moi au même moment et se dépêche avec son ami de s'en aller. Bon sang est-ce que j'allais courir après elle. Complètement.
- Lana. Criais-je alors quelle se dirigeait vers la sortie.
Elle ne m'écoute pas et bientôt on se retrouve dehors. Je la rattrape et la retiens par le bras.
- Lana tu m'expliques ? Intervient son ami.
Je le dévisage avant de fourrer mes mains dans mes poches et de lui demander s'il pouvait nous laisser un instant, il acquiesce alors que Lana le regardait partir.
- Alors maintenant vous m'harcelez. Dit-elle en croisant a son tour les bras.
- Non, on avait pas fini tout à l'heure.
- Parceque vous vous attendiez à une suite. Dit-elle en rigolant. Écoutez je ne ferais rien et je vous promet de garder mes recherches pour moi Monsieur Harley.
- James, et si vous m'appeliez enfin par mon prénom. J'ai l'impression d'être un vieil homme.
- Parce que vous n'êtes pas un vieil homme.
- J'ai vingt-neuf ans Lana. Dis-je en ayant le besoin de me justifier.
- Qu'est-ce que vous me voulez. Dit-elle en regardant au tour de nous. J'ai l'impression que vous attendez quelque chose de moi. Est-ce que je me trompe ?
- J'aimerais vous revoir. Dis-je
- Je viens de comprendre vous voulez plus c'est ça. Vous m'avez embrassée contre mon gré, presque violé sur cette table et vous espérez que j'accepte votre invitation. Dit-elle bouche bée.
- C'est presque ça. Je ne suis pas pour le viol et si ce baiser ne vous avait pas plu vous m'auriez repoussé. Tous ça pour dire que je sais que vous ne feriez rien c'est pour ça qu'on va se revoir. Dis-je en me rapprochant
- J'hallucine. Ne vous approchez pas de moi. Dit-elle en levant les bras devant elle.
- Vous fuyez, vous étiez plus convaincante tout à l'heure. Dis-je
- Ne vous approchez plus de moi. Dit-elle en reculant tout en gardant ses mains entre nous.
Je la regarde partir en sachant d'avance que ce ne serait pas du gâteau avec elle.
Mais j'en faisais mon affaire, et elle ne risquait pas de s'en sortir aussi vite. La main de vadim vient taper sur mon épaule alors qu'elle rejoignait son ami.
- Elle à l'air d'avoir un sacré caractère Lui dis-je.
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