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Épilogue

- Lana tu es prête ? Demande Lizzie en entrant dans la chambre.

Je lève les yeux et fixe le miroir devant moi et elle s'approche debout derrière moi souriante. Je lui fait un sourire timide en retour ; j'étais prête mais très nerveuse, je n'avais jamais été aussi nerveuse de toute ma vie. Mais tellement remplie d'excitation. Lizzie portait une belle robe bleu roi que je l'avais choisir pour l'ensemble de mes demoiselles c'est à dire elle Gio, Gabby et Debbie.
Alors elle avait choisi une robe bleu qui épousait légèrement ses courbes, le décolleté était un décolleté en cœur et il était froncé au milieu où une rose le recouvrait puis il coulait jusqu'au sol. C'était simple, mais elle donnait l'impression que c'était plus.

- Ouais, je suppose que oui, soufflais-je en repoussant la chaise et en me levant. Ma robe était aussi simple et épousait la silhouette de mon ventre avec des manches longues en dentelle.

- Dieu, tu es magnifique Lana. Debbie surgit pleine d'excitation se dirigeant vers moi avec le tulle crémeux. Je m'étais assurée de ne pas avoir de robe blanche parce que j'en voulait une crème, et j'étais heureuse d'en avoir trouvé une et de l'avoir personnalisée pour s'adapter à mon corps aux bons endroits.
- Merci, dis-je en me retournant.

- James attraperait une crise s'il entrait et te voyait comme ça. Fais Lizzie

- Eh bien, il peut avoir une crise, j'en ai vraiment marre qu'il réagisse de façon excessive sur tout mes petits gestes. L'autre jour, j'ai voulu me lever et faire à manger et il m'a dit de m'asseoir, je n'avais pratiquement pas le choix avec le regard qu'il m'a lancé.
Lizzie rigole tout simplement et me contourne attrapant la laque sur la table.

- Ce n'est pas drôle. Sérieusement, je suis enceinte seulement de six mois, s'il ne s'arrête pas il va commencer à dormir sur le canapé.
On regarde tous les trois la porte quand quelqu'un frappe à celle-ci.

- Lana, il faut que tu saches quelque chose. David est là et il souhaite te parler.

- Qu'est-ce qu'il fait là ? Pourquoi maintenant ?

- J'en sais rien mais si tu n'as pas envie de le voir, je peux le faire partir.

- Non ça ira...je tout va bien.

- Entrez, crie Debbie.
Je regarde la porte s'ouvrir puis voit geordy entrer, je pousse un soupire remarquant que ce n'était pas mon père, il ferme la porte derrière lui, il était tellement beau dans son costume bleu. Il avait toujours la même apparence sauf que quelque chose avait changé.

- Qu'est-ce que c'est que ça ?

- Quoi tu parles de mon bouc ?

- On ne remarque que ça. Lui répond Lizzie. Rends nous service rase nous ça.
Il grimace et se dirige vers moi m'embrassant sur le front. Je le regarde alors qu'il se penchait et frottait mon ventre.

- Tu portes des chaussures plates, n'est-ce pas ? Me demande t'il. J'essaye de ne pas rire et roule des yeux.
- C'est James qui t'envoie ?

- Attention à l'altitude. Dit-il.

- Je le savais, il n'y a que lui qui peut sortir ce genre de phrases. Je ne suis pas enceinte de huit mois.
- Oui mais il faut que tu fasses attention.

- Et alors, je peux très bien marcher dedans, je pourrais te montrer si tu me laissais les porter.

- Oui mais tu ne les porteras pas, maintenant laisse tomber, dit fermement mon frère.

Je le maudis du regard, avant de me rappeler que c'était James le commanditaire de toute cette mascarade. Il marmonne, et je croise les bras sur ma poitrine et roule des yeux.

- Voilà donc à quoi ressemble la vie conjugale. Déclare Lizzie.

- Non, c'est à ça que ressemble la vie quand votre sœur est enceinte de six mois avec des hormones folles qui traversent son corps.

- Je suppose que je devrais me préparer pour ça, Soupirais-je en me dirigeant vers le miroir en pied.

- Cette robe est tous simplement magnifique sur toi. 

Je devais admettre qu'elle était belle, une robe de princesse. Le corsage épousait parfaitement mes courbes, sauf qu'il y avait une bosse là où se trouvait mon ventre plat, c'était là et c'était perceptible. Je fixais la petite bosse me tournant sur le côté et la prends en coupe. Notre petite fille était là-dedans.
- Je ressemble à une baleine effrayante. Dis-je en me tournant vers lui.

- Non, c'est faux et tu le sais. Dit-il Allez Lana, c'est l'heure, nous aurions déjà dû partir. Il me tend doucement mon bouquet de rose enveloppé dans un ruban rouge.

- Mon Dieu, murmurais-je alors qu'il me tendait la main.
- Tout ira bien. Je lui sourit en enroulant mon bras autour des siennes.

- Ouais, d'accord, J'en doutait parce que j'étais si nerveuse en ce moment. On sort de la chambre d'hôtel dans laquelle je me préparais et on marche dans le couloir jusqu'à l'endroit où se tenait le mariage.
Alors qu'on s'approchait, je pouvais entendre la musique lente jouer, la chanson traditionnelle. On s'arrête et j'observe la centaine de personnes invitées, assises dans les rangées. Il y avait des tonnes de personnes qui m'attendaient.
On n'étaient qu'à quelques mètres de l'autel. Geordy s'éloigne de moi avec un sourire et avance vers les autres. Mes demoiselles d'honneur attendaient avec impatience. Puis mon regard devis sur Vadim, Jared et mon frère, attendant et discutant, vêtus de leurs bleus vestimentaires. James se dirige vers eux et leur parle, ils hochèrent la tête.

Dieu, j'allais entrer par cette porte moi Lana Amy Austen et revenir en tant que Lana Amy Harley.

- Lana. Fais une voix me sortant de mes pensées.

- Papa ?!

- Salut, je suis désolé d'avoir été absent aussi longtemps. Est-ce que tu veux bien qu'on parle un instant ?
- C'est pas le moment. Est-ce que tu veux bien m'accompagner devant l'autel. J'avais prévu d'y aller seul mais maintenant que tu es là est-ce que tu veux bien me rendre ce service et jouer le rôle que tu es sensé faire.
Je sens ses bras autour du mien, je baisse les yeux sur nos bras entrelacés puis lève les yeux vers lui et laisse échapper un profond soupir.

- Tu es prête ?

- Oui, dis-je simplement. Je l'étais, j'étais prête à épouser la personne que j'aimais le plus, la personne avec qui je prévoyais de passer le reste de ma vie. Il se met a marcher. Quand on passe les portes vitrées ouvertes, mon cœur commence à s'emballer.

- Merci, lâchais-je soudainement.

- Je l'aurais fait de toute façon, tu n'aurais pas eu à demander, je suis heureux que tu veuilles que je t'accompagne même si ce n'est pas le gendre que je t'aurais choisi. dit-il alors qu'on traversaient les grands palmiers. On avait encore un long chemin à parcourir jusqu'à ce que je me tienne devant James, mais j'étais heureuse au rythme où mon père et moi marchaient.

On arrivaient au bout des grands palmiers et maintenant je pouvais tout voir clairement et c'était magnifique. La première chose que je remarque fut l'allée que j'allais descendre, de la soie blanche couvrait la rangée jusqu'à l'arche couverte de roses rouges et blanches. C'était là que James se tenait maintenant, ses lèvres se tordant en un sourire timide alors qu'il me regardait m'approcher de plus près.

Je prends une profonde inspiration alors que tout le monde se levait et se tournait pour me regarder alors que je n'était qu'à quelques mètres de toucher la soie blanche recouverte de pétales de rose rouges. Les rangées avaient l'air bien, les chaises étaient recouvertes d'un tissu blanc, avec une nappe de soie rouge formant un nœud à l'arrière. Je souris en concentrant mon attention sur la personne que j'aimais le plus. James était tout simplement beau dans son costume noire alors qu'il se tenait là, les mains derrière le dos, sa position habituelle. Je ris doucement en le regardant rouler ses épaules en arrière, je suppose que je n'était' pas la seule à être nerveuse. Il garde son sourire alors que je m'approchait plus près. Mon père soupire simplement et finit par placer ma main dans celle de James je baisse les yeux sur nos mains, je lève les yeux vers lui et sourit puis me tourne vers Lizzie et lui tend mon bouquet de roses.

- Avez-vous les bagues? Demande le prêtre.

- Ah ça c'est pour moi. Fais Vadim en intervenant. Il dépose la boîte dans la main de James et retourne à sa place. Je le regarde ouvrir la petite boîte et sortir les bagues et les tendre au prêtre. Il a continué à parler, puis a donné sa bague à James et lui a dit de me tenir la main gauche et de répéter après lui.

- Moi, James, je te prends, Lana, pour être ma femme. Je promets d'être fidèle dans les bons et les mauvais moments, dans la maladie et dans la santé. Je t'aimerai et t'honorerai tous les jours de ma vie. Pour le meilleur, et pour le pire, jusqu'à ce que la mort nous sépare. Répète t'il doucement en me regardant dans les yeux, il glisse la bague à mon doigt puis porta ma main à sa bouche et l'embrasse.

J'attrape la bague de James et lui prend la main gauche et répète a mon tour cette phrase.

- Moi, Lana, je te prends, James, pour être mon mari. Je promets d'être fidèle dans les bons et les mauvais moments, dans la maladie et dans la santé. Je t'aimerai et t'honorerai tous les jours de ma vie. Pour le meilleur, pour le pire, jusqu'à ce que la mort nous sépare. Chuchotait je après mettre arrêter plusieurs fois en ravalant mes larmes. Fichu hormone.

Le prêtre a dit quelques mots de plus, il a prononcé nos noms et prénom nous annonçant mari et femme. James me rapproche de son corps et m'embrasse. C'était notre premier baiser en tant que mari et femme et c'était merveilleux. La sensation de ses lèvres contre les miennes, je laisse échapper un faible gémissement, puis James se recule et me regarde en riant.

Je soupire, tellement je le voulait désespérément depuis trois jours. Je ne l'avais pas vue depuis si longtemps parce que j'avais des choses de dernière minute à régler et ensuite j'ai eu mon enterrement de vie de jeune fille. Mais je blâmais le bébé la plupart du temps ; j'étais vraiment excitée à des moments aléatoires. Je me retourne et sourit alors que tout le monde nous acclamait, j'étais si heureuse que la nervosité disparue. On se dirigeaient maintenant vers la salle de bal où on allaient profiter de la compagnie de nos famille et des amis proches. Après cela, je ne savais pas où on allaient parce que James ne voulait rien me dire. Au cours des quatre dernières heures, nous avions dansé et mangé du gâteau et s'étaient joints au compagnie des autres. Tout le monde nous a félicités, offert des cadeaux et souhaité bonne chance pour notre mariage. On a ensuite pris beaucoup de photos avec tout le monde et maintenant il était temps de partir.

James se tourne vers moi, rapproche mon corps aussi près qu'il pouvait l'avoir à cause de mon ventre et prends mon visage en coupe. Il m'embrasse doucement, bougeant ses lèvres contre mes lèvres chaudes et douces. Et encore une fois il s'écarte et rit.

- Je déteste quand tu fais ça, pourquoi tu me taquine ? murmurais-je en fixant ses lèvres.

- Je t'aime Lana, j'ai toujours su que ce serait toi. Il embrasse mon front et me souris.

Je me réveille à nouveau en ne me sentant pas bien, je déplace mes mains sur le lit à la recherche de James mais il n'était pas là. Je me lève et m'assois rapidement avant de réaliser que je n'aurais pas dû faire ça, ma tête battait maintenant la chamade, j'étais assise là, attendant que ça disparaisse mes yeux s'habituant. Je regarde par la fenêtre et voit que le soleil se levait à peine, je me tourne pour regarder l'horloge sur la table de nuit et soupire il était sept heures du matin. Où était James ?

Je sors du lit et après avoir utilisé la salle de bain, j'attrape ma robe de chambre en soie vert et l'enfile. J'ouvre la porte de la chambre et traverse rapidement le couloir et descend les escaliers et vois klara assise sur le canapé avec un bol de cheerios sur ses genoux et un autre pour Camila à ses côtés.

- Bonjour Maman. Souris t'elle en levant les yeux vers moi.
- Maman Fais Camila en levant les mains en l'air.
Je m'avance et passe les mains dans les cheveux de Klara la décoiffant au passage, j'attrape Camila et la soulève. Je n'arrivais toujours pas à croire à quel point Camila lui ressemblait, elle avait ses yeux bleus et son sourire, le même teint crémeux.

- Noon j'ai passé des heures à me coiffer. Je dois être impeccable pour la rentrée. Le look compte.

- Hé ma chérie, où est papa ? demandais-je a Klara en levant les yeux au ciel.

- Je ne sais pas, elle a répondu.

- Ok chérie, finis ton bol, puis tu vas te préparer pour l'école. Lui dis-je doucement.

- Je suis déjà prête..., pourquoi Camila n'y va pas aussi ? Dit-elle en se plaignant.

- Oh ! Parce que Camila n'as que deux ans et toi huit et l'école n'est pas encore une option à cette âge là pour elle, maintenant dépêche toi. Surveille ta soeur je reviens.

Je continue de marcher et m'arrête et laisse échapper un soupir de soulagement lorsque je le vois assis à la table de la cuisine en train de boire une tasse de café et de lire le journal, il portait son costume comme d'habitude.

- Dieu merci, soupirais-je. James lève les yeux et me sourit, je m'approche de lui et m'assois sur ses genoux. T'es pas rentré hier soir.

- Je sais je suis désolé je suis rentré beaucoup plus tard. Dit-il en me frottant le dos.

- Je veux que tu me préviennes la prochaine fois, que je n'ai pas à m'inquiéter pour rien.

- Tu pensais que je suis parti parce que je n'étais pas là quand tu t'es réveillé ? Il soupire. Camila s'est réveillée tôt et je ne voulais pas qu'elle te réveille alors je l'ai amenée ici pour regarder des dessins animés. Il boit une gorgée de café puis pose la tasse. Je sais que tu ne te sentais pas bien alors j'ai pensé que tu pourrais dormir un peu avant de devoir te préparer pour le travail, j'ai même habillée et préparée Klara. Comme ça tu n'auras rien à faire jusqu'à l'arrivée de la nounou.

- Merci, je prends son visage en coupe et l'embrasse. Je le sens qui glisse sa main sous ma robe de soie et agrippe mes fesses en coupe ; il me donne une petite tape et je gémis remuant mes fesses contre son érection.

- Tu me manques. Dit-il doucement. J'étouffe un rire en l'embrassant. Nous n'avons pas fait l'amour le matin depuis un moment. Lui dis-je entre deux baisers. Il défais sa cravate, écartant ma robe lui laissant voir mes seins rouges et mes mamelons.
Je gémis alors qu'il prenait mon sein gauche en coupe et frottait doucement son pouce sur mon mamelon. Il se penche et l'embrasse, passant sa langue dessus et gémit en prenant mon mamelon dans sa bouche et commence à le sucer.

J'attrape sa nuque en coupe, le rapprochant laissant échapper de doux gémissements. Puis en quelques secondes, je fus de nouveau recouverte, ma robe attachée et James avait repris son café à la main.
J'entends des pas derrière moi et sut immédiatement que les filles se trouvait derrière nous.

- Merde je ne l'ai est même pas entendue, murmurais-je contre son cou en posant ma tête sur son épaule.

- Tu étais trop occupé à gémir. Je le frappe légèrement dans la poitrine, ce qui ne fait que le faire rire à nouveau.

- Maman, du lait au chocolat, Demande Camila.

- J'ai finis mon bol et Camila demande du lait. Fais Klara

Je soupire en descendant des genoux de James et me dirige vers l'armoire pour prendre une petite tasse, James se dirige vers le réfrigérateur et sort le lait et en peu de temps Camila eut du lait au chocolat, je la regardais sortir de la cuisine sa tasse entre les mains de Klara. Après avoir rangé le lait et la poudre de chocolat, je m'appuie contre l'évier de la cuisine, ne me sentant toujours pas bien pour une raison quelconque.

James s'approche derrière moi, puis ses mains dénoue ma robe une fois de plus. Il embrasse mon cou et ses mains parcoururent mes hanches et ma taille, puis il attrape mes seins en coupe. Je m'appuie contre sa poitrine, aimant la sensation de ses mains sur moi. Avant que je ne m'en rende compte, j'étais assise sur le comptoir avec mon peignoir grand ouvert.

- Maintenant, où en étais-je ? chuchote t-il alors qu'il prenait mes seins et en portait un à sa bouche et recommençait à sucer pendant qu'il pétrissait l'autre. C'était incroyable, sa langue chaude sur mon mamelon alors qu'il suçait et taquinait. Puis soudain je me sentais pas bien, plus je ressentais du plaisir, plus j'étais malade. Je le repousse et me penche au-dessus de l'évier alors que je sentais que j'allais vomir, mais rien ne vient.

- Tous va bien ? Demande t'il soudainement en fixait ma robe.

Honnêtement je ne savais pas.
- Je ne sais pas. dis-je en attendant que la sensation revienne. C'était la première fois que je me sentais complètement malade seulement maintenant j'avais envie de vomir.

- Est-ce que tu as du retard ? demande t'il soudain.

- Du retard ? Demandais-je confuse.

- Lana est-ce que tu es enceinte ?

Enceinte? Honnêtement, je n'y avait pas pensé. Ça a fais clic d'un coup, tout avait un sens et elle était en retard d'une semaine mais elle pensait que c'était à cause du stress, apparemment pas.

- Je ne sais pas, sûrement. Murmurais-je en regardant dans l'évier. Je le saurai dans quatre heures de toute façon, j'ai un rendez-vous chez le médecin. Je savais maintenant que c'était des nausées matinales.

James me regarde tout simplement la bouche ouverte, avant de m'embrasser fermement.
- J'espère que c'est un garçon, dit-il doucement en me touchant le ventre.

- Quoi? Tu veux un autre enfant ?

- Bien sûre que j'en veux d'autres, et sincèrement j'espère que c'est un garçon. Je suis déjà en nombre inférieur, trois filles c'est largement suffisant dans cette maison. dit-il en fixant mon ventre.

- Et si je ne l'étais pas ? Demandais-je

- Je veux toujours un autre enfant avec toi Lana. Il se penche et frotte ses lèvres contre les miennes, il m'embrasse doucement et soupire en posant ses mains sur sa taille.

- Ewwww ! Fais la voix de Klara. Je me retourne vers les filles en même temps que James. Je souris légèrement en voyant le regard dégoûté de Klara et on rigole lorsque Camila limite.

Je soupire en regardant mon mari et mes filles, mes mains allèrent à mon ventre, un autre bébé, pensais-je. Je souris à moi-même en fixant les trois personnes que j'aimais, non attendez quatre personnes, bientôt nous serrons quatre pensais je en me frottant le ventre.

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