22

JAMES

Je m'étire puissamment et roule sur mon dos alors même que je réfléchissais à l'incroyable série d'événements qui s'était passée hier soir, le doux visage de Lana apparut au-dessus de moi.

- Bon matin Harley , murmura-t-elle.

Je lui souris et elle fait de même avant d'enlever la couette et de descendre du lit. Je replie mes bras au-dessus de ma tête et l'observe. Elle était toujours nue et j'avais encore une belle vue sur ses seins. Elle ramasse sa robe me lance un sourire taquin et sors de la chambre. Bon sang cette femme.

Je la regarde partir un instant, et me relevais brusquement en voyant dans quel accoutrement elle venait de sortir n'importe qui pourrait la voir.

Je me relève dégagent les couvertures et attrape aussi mon t-shirt que je passe rapidement. Je déglutis en voyant la bosse que j'avais.

Je ne pouvais pas sortir maintenant. Il fallait d'abord que je m'occupe de ça.

- Et bien je pensais que tu serais encore au lit. Je fais face à Vadim qui m'attendait patiemment en bas des escaliers.
Je ne montre pas beaucoup d'expression , il semblait qu'il y avait quelque chose de grave. Je roule des yeux et lui fait un signe de la tête.

- Tu n'aurais pas vu Lana passer ? Dis-je une fois à sa hauteur.

Il secoue simplement la tête en signe de négation et je soupire en l'entraînant dans mon bureau avec moi.
- J'ai une mauvaise nouvelle. Pedro s'est échappé, il semblerait que quelqu'un soit venu le chercher. J'ai retrouvé nos hommes au sol dans la planque où nous l'avions ramenés.

En entendant cette nouvelle, je m'arrête immédiatement et me retourne vers Vadim.

- Comment cela a pu arriver ? Dis-je essayant de garder mon calme.

- Et bien je n'en sais rien. Tous ce que je peux dire c'est que Lana à cette liste et là dessus on pourra connaître tous les noms des fournisseurs et alliés d'Abran et s'en servir contre lui. La question est pourquoi tu ne lui pas encore prise.

- Ce ne sont pas tes affaires Vadim.

- Bien sûre que si. C'est ce qu'on recherche depuis longtemps supprimé les membres de cette liste et ainsi ont pourra détruire nos ennemis.

- Fait attention à ce qui va sortir prochainement de ta bouche Vadim. Dis-je durement en refermant la porte derrière lui.

- C'est toi que je ne comprends pas. Cette fille n'a rien d'extraordinaire. Elle te fait perdre ton temps.

- Vadim ! Ferme là.

- Oh je comprends tu l'aimes bien c'est ça. Bien sûr j'aurais dû m'en douter. Et bien tu devrais te réveiller parce que c'est dernier temps tu as été très absent presque comme effacé.

J'attrape le col de sa chemise et le regarde avec haine. Comment osait t'il remettre en doute mes sentiments et mon dévouement envers mes hommes et mon travail. Je finis par le relâcher en le repoussant légèrement. Il recule de quelques pas en remettant bien son col.

- Tu as couché avec elle ? Reprend t'il

- Mêle toi de ce qui te regarde Vadim.

- J'en conclus que oui. C'était une mauvaise idée James. Et là je parle pour vous deux.

- Lâche moi Vadim, la seule raison pour laquelle je n'ai pas pris la liste à Lana c'est parce qu'elle est incomplète, seule sa mère possède la suite des noms. Et j'ai justement un moyen de la contacter grâce à Lana. On y est presque crois moi.

- Qu'est-ce que tu veux dire par là ? Dit-il en fronçant les sourcils.

Je fais le tour de mon bureau, ouvre mon tiroir et sort le fameux téléphone.

- Seule le numéro de Kamila est enregistré sur ce téléphone et je lui ai envoyé un message auquel elle a répondu. Et j'ai donc réussi à obtenir un lieu de rendez-vous avec elle qui se tiendra ce soir.

- Et tu penses obtenir la liste complète dès ce soir ?

Je lève simplement des épaules, peut-être, peut-être pas. Cela allait dépendre des arguments de Lana pour pousser sa mère à me donner le fameux document. En parlant de Lana, où est-ce qu'elle était encore cachée.

Je coupe court à notre conversation avec Vadim et me met à la recherche de Lana.
Elle n'était ni dans sa chambre ni dans une des salles de bain et encore moins dans le jardin.

Je vois Maria passer d'une pièce à l'autre alors que je l'arrêtais.

- Maria vous n'auriez pas vu Lana ?

- Je..mademoiselle Austen...non. Je non.

- Maria ne me mentez pas. Où est-ce qu'elle est ? Dis-je commençant à perdre patience.

- Euh..mademoiselle est partie...

- Elle est partie où Maria ? Dis-je en serrant les dents.
- Je ne sais pas mais je l'ai vue sortir de la maison. Elle doit être sûrement de...

Je ne la laisse pas finir et me dirige le plus vite possible vers le jardin en espérant la trouver mais rien. Hors de moi je me dirige vers un de mes hommes en le pointant du doigt.

- Toi ! Lana tu ne l'aurais pas vu ?

- Elle à pris une des voitures elle est partie il y a une dizaine de minutes mais elle n'était pas seule Vic...

Je le frappe en plein visage me retenant d'aller plus loin. Il tombe après avoir trébuché sur un bon mètre en se tenant le nez.

- La prochaine fois qu'elle sortira fait moi un plaisir de me prévenir. Dis-je en repartant dans le sens inverse.

Vadim me regardait seulement dans son coin alors que je me dirigeais vers une des voitures.

- Elle est partie ? Tu la fais fuir ?

Je lui lance un de mes regards noir alors qu'il levait simplement les bras.

- Je t'accompagne. Et comment tu comptes la rattraper ? Dit-il en montant du côté passager.

- Chaque voiture à un gps, voilà comment je compte la retrouver. Dis-je en démarrant.

En suivant sa voiture on finit par s'arrêter devant le parking d'un café. Qu'est ce qu'elle faisait ici ? Et pourquoi aussi loin de la ville.
Je descends hors de moi suivis de prêt par Vadim. Lorsqu'on pénètre dans le petit café, j'enlève mes lunettes et parcours la salle. Vico se trouvait assis sur une table plus loin de Lana mais la surveillait tout de même. Je fais un signe à Vadim et il se dirige vers lui.

Lorsque j'aperçois son petit corps dos à moi assise au fond de la salle je me dirige rapidement vers elle alors qu'elle se retournait vers moi, son visage exprimant de la surprise.

- James ! Dit-elle en battant des cils

- Tu es partie ! Dis-je en posant mes mains sur ses épaules la retenant assise sur sa chaise.

Je porte ensuite mes yeux sur la personne en face d'elle.

- Gabby avait envie de me parler, alors je ne voulais pas manquer une chance de la revoir.

- Bonjour à toi aussi James. Dis sa soeur en levant les mains.

Je finis par lui répondre puis tourne la chaise de Lana vers ma direction.

- Il faut qu'on rentre, Pedro a réussi à s'enfuir...

- Quoi !

- Tu n'es plus en sécurité toute seule.

- Je ne suis pas venue seule, il y a Vico. Elle regarde au dessus de mes épaules essayant de l'entrevoir.

- On y va Lana. Dis-je plus durement en lui attrapant le bras.

- Non, je viens seulement d'arriver. James ne fais pas ça ! Dit-elle en regardant mes doigts agripper à ses bras.

- J'ai dis on y va ! Dis-je plus durement en la fixant. Je savais à quelle point elle pouvait être déstabilisée lorsque je la regardais comme ça.

Elle jure et je lève les yeux alors qu'elle se détachait de ma prise en se levant rapidement. Elle salue une dernière fois sa sœur avant de s'en aller sans m'attendre.
Sa sœur me regarde en plissant les yeux dans l'incompréhension. Je ne dis rien avant de la suivre à mon tour.

Je plisse les yeux en la voyant se diriger vers vico.

- Lana tu montes avec moi. Dis-je

- Je suis venue avec vico alors je repars avec lui. Répond t'elle sans se retourner.

Alors qu'elle rentrait dans la voiture je soufflais et passait mes clés à vico échangeant nos clés de voiture.
Lorsqu'elle me voit monter elle essaye de sortir alors que je bloquais la portière. Elle souffle et finit par se raviser alors qu'un sourire venait de se glisser sur mon visage.

- Tu es complètement parano. Dit-elle en se retournant vers moi.

- C'est complètement faux. Dis-je en démarrant la voiture.

- James tu m'as suivie !

Je tourne tête sur le côté en grimaçant.

- Parce que tu es partie sans rien me dire. Dis-je en passant une main sur mon visage

- Je suis pas obligée de te dire ou je vais James, on est pas ensemble.
Sa remarque me fit mal mais je ne disais rien.
- J'ai dis que je te protégerais et Pedro...

- Ça n'a rien avoir avec Pedro ai le courage de l'avouer. Je viens de laisser ma sœur toute seule alors qu'elle avait besoin de moi.

- Il me semble que Vadim est resté. Dis-je en me tournant dans sa direction alors qu'elle écarquillait les yeux.

- Vadim ?! Non hors de question. Il faut qu'on y retourne.

- Bien sur que non. Ce n'est que Vadim.

- Justement c'est la tout le problème, j'arrive pas a le cerné d'un coup il me sourit et de l'autre il devient carrément méchant.

- Vadim n'est pas bien méchant ta sœur s'en sortira. Dis-je en déposant une de mes mains sur sa jambe. Elle baisse la tête regardant ma main.
Nos regards se croisent et je la regarde simplement en esquissant un sourire.

Elle détourne rapidement le visage en se crispant sur son siège.

- Tu devrais retirer ta main...

- Ah oui ? Et pourquoi cela ?

- Tu sais très bien pourquoi !

- Non, mais je te sens toute crispée tu es sur que ça va ? Dis-je lui souriant. Je glisse la paume de ma main à l'intérieur de ses cuisses remontant s jupe.

Son visage se teint en rouge alors qu'elle détournait le regard.

- Est-ce qu'on va parler de ce matin...enfin d'hier soir ?

- Et bien les deux à vrai dire. C'est ce que tu veux qu'on en parle ? Dis-je alors qu'on s'arrêtait à un feu rouge.

- Quoi..non...je..

- Alors pourquoi le mentionner ?

- Je veux recommencer. Dit-elle sans me regarder.

- Qu'est-ce que tu viens de dire ? Demandais je n'en croyant pas mes oreilles.

- J'ai dis que je voulais recommencer. Dit-elle en me regardant cette fois ci

Je me mords la lèvre alors que mon membre se réveillait. Je me sentais étroit dans ce jean. Les bords et les lignes de mon visage deviennent sombre alors qu'elle haletas sous mes caresses.
- Tu devrais te garer quelque part.

- On est qu'à dix minutes de la maison.

- James... Dit-elle en me regardant avec ses petits yeux verts se mordant les lèvres.
Bon sang.

Sa tête roula sur son épaule alors que je continuais à la caresser. Elle regarda vers la fenêtre les yeux partiellement fermés. Touchant mollement mes poignets.

Rapidement je sens ses mains autour de ma taille puis jusqu'au col de mon haut, elle commence a défaire les boutons de ma chemise avec de rapides et brusques tirs. Alors que le dernier bouton sur le bas de mon chemisier cédait, elle tourna les yeux vers le bas et me taquine, avec ses doigts elle parvient finalement à ouvrir le zip de mon pantalon. Je déglutis alors qu'elle m'attrapait.

Et puis merde, je finis par me garer sur un parking calme. Lana se tortilla sur son siège, elle était mouillé et tout ce que je pouvais entendre était ses propres respirations accélérer.

Elle retire sa ceinture et l'instant d'après je la regarde alors qu'elle essayait de monter sur mes jambes. Je tripote rapidement les boutons sur le côté de mon siège nous inclinant et avançant pour qu'on soit plus à l'aise.
Elle se penche vers moi sa poitrine se souleva alors que je soupirais contre son fort toucher et elle gémit doucement d'approbation. Ses tétons se raidirent sous mes doigts.

Elle tourna la tête et je capture immédiatement ses lèvres avec un baiser plein et passionné. Pliant continuellement nos bouches l'une sur l'autre, elle enroula ses paumes autour de mon visage, poussait sa langue avidement dans ma bouche.

Je l'attrape et la maintient contre mon torse, embrassant son menton et sa gorge alors qu'elle penchait la tête en arrière. Je continue tout le long de sa clavicule en me redressant légèrement puis fais glisser ma langue contre son mamelon tendu.

Elle gémit levant la tête vers le plafond alors qu'elle appuyait ses mains sur mes épaules . Elle sentit mes lèvres s'enrouler autour de sa poitrine et ma langue agile encercler son téton. De plus, elle arqua son dos en réponse à mes baisers efficaces et suce ses lèvres. Alors que je la tenait fermement le long de sa taille et du bas de son dos, sa jambe se souleva et se plaça contre lui.

- Ahh! Elle haleta et déglutit constamment en essayant d'humidifier sa bouche et sa gorge de plus en plus desséchées.

Je me redresse la guidant de mes yeux bleu et la menant par les mains, je recule lentement alors que sa main douce se glissait entre ma taille d'un mouvement fluide, elle écarta la braguette. Se penche en arrière, puis me regarde. Ses yeux verts et lisses, jaillissant de sous des cils noirs et acérés, partageaient le même désir affamé.

Avec fermeté j'agrippe sa hanche tout en tenant sa jupe le long de sa taille. L'autre main positionna la tête de mon sexe à son ouverture. Lana élargit légèrement sa position, écartant davantage ses jambes. Elle passa la tête autour d'elle, essayant de voir derrière elle. Instantanément, ses yeux se fermèrent et sa tête se retourna alors qu'elle me sentait enfoncer ma longue bite en elle avec une poussée audacieuse.

- Ah-huhn! elle haleta puis inspira brusquement.

Mes mains sécurisées le long de sa hanche et de son épaule, je donnais de puissant coup faisant glisser ma longueur rigide vers l'intérieur et l'extérieur avec un rythme de piston.

Elle se pencha en avant, soulevant ses pieds du sol à chacun de mes grands mouvements. Je retire presque toute ma longueur avant de la réintégrer, contrôlant ma poussée juste assez pour que mon entrejambe se heurte à ses fesses mûres plutôt que de claquer agressivement. Lana gémissais les yeux fermés et les bras appuyés contre mon torse.

A mon tour j'aspirais de longues respiration d'air, alimentant mes poumons et mon corps avec de l'oxygène, alimentant ma pulsion.

- Oh mon Dieu... si bon .... si putain de bon. Grognait je dans un souffle.

Ma main glissa sous son bras et caressa ses seins tremblants je me penchait en avant contre son ventre. Elle tourna la tête et nos langues s'emmêlèrent et dansèrent ensemble en plein air alors qu'on échangeaient des halètements de plus en plus chauds.
Une fois de plus, ont s'embrasse dans un baiser, nos lèvres se repliant et nos langues s'entrelaçant. On étaient tous deux couverts d'une lueur de transpiration.

Lorsque je m'éloigne elle saisit l'occasion pour se pencher légèrement et embrasser mes larges pectoraux et mordiller mes mamelons brun foncé avec ses dents. Je soulève de ma main son menton, levant son visage vers le haut. Je me penche et embrassa ses lèvres pleines et rouges.

- Ah putain! James! Ah! elle gémit et trembla, serrant mes cheveux entre ses doigts. Elle déglutit difficilement mais sa bouche resta ronde et ouverte alors qu'elle frémissait avec des respirations tremblantes.

Mes coups étaient plus raides maintenant, plus pointus. Ma bite dure palpitait alors qu'elle bondissait de toute sa longueur en elle, nos entrejambes se heurtant au son satisfaisant de chair contre chair. Nos fronts se touchaient, on inclinaient nos mentons de temps en temps pour voler un baiser tendre et rapide, et haletaient juste de l'air chaud et lourd dans les visages lumineux l'un de l'autre. Des gouttes de sueur coulaient autour de mon menton.

Je passais à la vitesse supérieure, maintenant, mes poussées secouait Lana jusqu'au cœur et la voiture sous elle.

- Ahn! Oh mon Dieu! James! Ah! Chaque coup a suscité un gémissement d'approbation de sa part. Elle ne pouvait pas respirer l'air assez vite. Alors que ma bite pompait en elle, elle glissa ses coudes jusqu'à ce que son dos affleure le volant. Son corps se tordit, ses longues jambes serrées autour de mes fortes hanches.

- Ah! Lana! Putain, oui! Gémis je

J'enroule fermement mes mains autour de ses hanches. frottant mon entrejambe contre elle d'une forte poussée. Sa bouche et ses yeux s'ouvrirent en grand et elle gémit à haute voix en pleine libération extatique.

Son corps se figea alors que son humidité satisfaisante s'échappait d'elle et son corps tremblait.

- Putain! Grognait je avec une voix râpeuse et sèche.
Je poussais une dernière fois, et gémit à nouveau comme une bête alors qu'un riche flux de sperme jaillissait de ma queue, remplissant Lana.

Mon emprise sur sa taille diminua et on resta tous les deux immobiles pendant quelques instants à l'exception de la montée et de la chute de nos poitrine battante. Nos respirations haletantes se calmèrent lentement.

Lentement elle vient serrer ses bras autour de mon torse et mon dos et ses jambes toujours accrochées par les chevilles autour de mes cuisses. On se tenaient l'un contre l'autre, appréciant la sensation de nos corps chauds et glissants.

En silence, je retire ma longueur de Lana et nous relève. Sans se précipiter, elle ajuste sa jupe son chemisier et son soutien-gorge. Au moment où on se remets assis dans la voiture elle me jette un coup d'œil fugace un sourire au lèvre.

Je souris légèrement alors que son visage se teintait de rouge à nouveau. J'attrape sa main et l'apporte à mes lèvres en déposant un baiser dans le creux.

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