ℭ𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝟒𝟕
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tw : smut
LES LEVRES D’EREN happent les miennes en de profondes caresses enivrées. Sa langue trouve bientôt sa jumelle, s’enroulant autour de cette dernière dans une danse rythmée.
Saisissant mes hanches à travers mon épaisse toilette, le brun me plaque à son corps. Nos torses se heurtent presque brutalement et je soupire :
— Enfin, Votre Majesté, doucement…
— A ma décharge, tout m’a manqué chez toi.
Sa bouche trouve aussitôt la mienne, l’embrassant de sa chaleur mordante. Etourdie par les vapeurs des bains, je laisse ma tête basculer en arrière quand il embrasse soudain ma gorge.
Ses lèvres glissent sur mon menton et sa langue trace le contour de ma mâchoire. Je frissonne, sentant une douce torpeur m’enliser.
Lorsqu’il aspire la peau de mon cou entre ses lèvres, tirant sur le décolleté de ma robe en essayant de révéler ma poitrine, je ne peux m’empêcher de gémir.
Mes doigts se perdent dans ses cheveux et je relève sa tête. Nos yeux se croisent un instant avant que mes lèvres fondent sur les siennes. Aussitôt, il approfondit le baiser, m’embrassant langoureusement.
Les paupières closes et le corps chancelant, étourdie de luxure, je ne peux que gémir contre sa bouche. Ses doigts attrapent mon décollecté avec hâte, tirant dessus. La sensation de ses phalanges contre la naissance de ma poitrine m’arrache un léger cri.
Mon ventre se secoue.
— J’ai tellement envie de toi, chuchote-t-il en rompant notre baiser.
Entre mes yeux mi-clos, je le vois tirer un coup sec sur mon vêtement qui s’ouvre en deux. Un bruit de déchirure retentit et l’air brûlant s’écrase contre mes seins.
Aussitôt, sa bouche trouve mon téton, l’aspirant tandis que ses doigts malaxent l’autre.
Je gémis, sentant mon entrejambe se contracter.
La jalousie d’Eren est sexy.
La robe que je porte m’a été offerte par un tailleur de luxe qui n’a eu de cesse de complimenter ma beauté en arrivant à la cour. Le brun a vite été agacé des clins d’œil du créateur et de ses discours sur la chance qu’il aurait d’épouser une femme comme moi.
Je ne suis donc même pas surprise qu’il cherche à détruire cette robe qu’il m’a offerte.
A vrai dire, je dois avouer ne pas avoir résister à l’idée de la porter pour voir sa réaction.
Relâchant mon sein dans un bruit de succion, Eren, m’observe, par en-dessous, avant de remonter jusqu’au creux de mon menton, tout prêt de ma pomme d’Adam, où il aspire ma peau dans un baiser langoureux.
— T’as fait exprès de la mettre, hein ?
— Je plaide coupable.
Ses bras puissants se referment soudainement autour de mes cuisses, me soulevant du sol. Je pousse un cri de surprise et le regarde.
Le menton planté dans mon ventre, il lâche fièrement :
— Cela mérite une punition exemplaire.
Je n’ai pas le temps de froncer les sourcils. Il projette mon corps vers les bassins. La salle autour de moi tangue avant de disparaitre, les bruits ambiants aussi engloutis.
Ma robe flotte autour de moi dans la chaleur de l’eau. Mon corps remonte à la surface, ma poitrine dénudée jaillissant soudain du bain.
— EREN ! je hurle en reprenant une profonde inspiration, passant mes mains sur mon visage pour me débarrasser de l’eau. EREN, JE VAIS TE T…
Mais je ne le vois nulle part.
Reculant jusqu’à un endroit où j’ai pieds, je regarde autour de moi. Je ne le vois pas. Mon dos touche soudain le bord du bassin et mes fesses s’assoient naturellement sur une marche.
Une partie de mon corps est immergée, seule ma poitrine dépasse de la surface tandis que ma longue robe traine devant moi. Mes sourcils se froncent.
Soudain, une main attrape mon mollet. Un cri de surprise me prend, aussitôt avalé par le désir que me provoque un baiser abandonné à l’intérieur de ma cuisse.
Eren est là. Sous la surface de l’eau.
— Eren, je souris en basculant la tête en arrière.
Deux mains fermes attrapent mes cuisses, les écartant. Enivrée par les capitons de chaleur éclosant à la surface de l’eau, je me laisse faire sans tenter d’y mettre du mien.
Je m’abandonne entièrement à lui.
Un baiser trouve l’intérieur de ma cuisse. Ses mains empoignent mes fesses, m’arrachant un cri d’exaltation.
Ce n’est pas la première fois qu’Eren essaye de s’enterrer sous ma longue robe. Je suis intimement convaincue qu’il nourrit le fantasme de se cacher sous l’une de mes jupes pour me donner du plaisir.
Et je dois avouer qu’en sentant ses doigts si fermes sur mes fesses, sa bouche si affamée sur ma cuisse, je commence à le partager aussi.
Dans la vaste salle emplie d’eau, mes gémissements résonnent bruyamment. La tête basculée en arrière, je ne peux qu’observer le plafond de verre me laissant voir le ciel tandis que mes seins nus se contractent à mesure que l’eau les imbibant sèche.
— Eren…, je chuchote, essoufflée.
Profitant du fait qu’il ne puisse rien entendre de ce que je dis, étourdie par sa bouche aspirant ma peau, je chuchote, enivrée :
— Je t’appartiens.
Mes yeux roulent dans leurs orbites et je m’apprête à me laisser aller. Quand soudain, malgré l’eau, je ressens une brise sur mon clitoris.
Je pousse un cri, comprenant qu’il souffle sur le membre bandé pour m’arracher quelques gémissements.
Ce qui est réussi.
Mon ventre tremble, emprisonné dans son corset. Je gémis bruyamment, ne sachant plus sur quoi me concentrer entre ce très léger souffle, ses doigts malaxant l’intérieur de mes cuisses ou le simple fait de ne rien pouvoir prédire de ses prochains mouvements, cachés par ma robe.
Soudain, il embrasse mon entrejambe.
— Eren !
Ses lèvres touchent les miennes comme s’il s’agissait d’un simple baiser. Il remue contre elles, gouttant le liquide se mélangeant à l’eau.
Chaque mouvement de ses lèvres attise des vapeurs en moi. Elles s’amassent en une boule, forme un point compact de désir. Mon ventre tremble et je vois mes tétons se durcir, hors de l’eau.
Sa langue s’enroule soudain autour de mon clitoris. Je tressaille, traversée de plaisir et mes cuisses se referment par réflexe.
Seulement ses bras forts s’enroulent autour d’elles, les maintenant ouvertes. Et sa langue continue ses mouvements, m’arrachant de longs gémissements. Mon corps s’abandonne entièrement à sa bouche, soumis à ses gestes adroits.
Bientôt, je ne suis plus qu’un corps tremblant.
Gémissante, le dos cambré, j’attrape mon sein d’une main et tente de trouver n’importe quoi pour m’accrocher de l’autre. Eren continue de lécher mon clitoris, laissant les vapeurs de l’orgasme s’amasser en une bulle en moi.
Cette bulle est trop compacte. Elle va exploser, je le sens…
— Je vais…
Mais ma voix meurt brutalement dans ma gorge quand Eren recule, me lâchant entièrement.
Les yeux écarquillés, frustrée, je le regarde sortir de l’eau. Sa chemise blanche colle à sa peau, devenue transparente, montrant chaque détail de son torse finement sculpté par les années de chevalerie.
Je déglutis péniblement face à son regard émeraude, ne songeant même plus à l’incendier de m’avoir arrachée aux portes de l’orgasme.
— Navré, ma chère, mais je hais bien trop cette robe.
Ses mains agrippent brutalement les pans déjà déchirés sous mes seins et, tirant hargneusement dessus, achèvent de les écarter malgré l’eau le freinant. Sa force semble décuplée.
Ceci dit, après autant de temps passé sans sourciller dans l’eau, là où n’importe quel humain se serait noyé, je réalise qu’être le détenteur d’Excalibur le rend réellement différent des autres humains.
Sa force est décuplée. Il peut tenir plus longtemps sous l’eau…
La robe tombe au fond du bassin, me laissant plus légère. Mais la fine étoffe de celle blanche me servant de sous-vêtement subsiste, emprisonnée dans son corset.
Seulement elle est transparente, épousant chaque forme de mon corps et ne laissant rien à deviner.
Eren regarde celui-ci, une lueur excitée allumant ses yeux.
Respirant difficilement dans ses vapeurs, je l’observe. Bientôt, ses yeux tombent sur mes tétons durcit se soulevant lentement au rythme de ma respiration.
— (T/P) ? chuchote-t-il.
— Oui ?
— Je t’appartiens aussi.
Là-dessus, il fond sur moi. Un long gémissement de plaisir franchit mes lèvres lorsque sa bouche aspire l’un de mes seins, sa main libre malaxant l’autre.
Ma tête bascule en arrière tandis que mon corps s’électrise de désir. Mes cuisses se referment par réflexe mais, allongé entre elles, il les empêche de se serrer.
Relâchant mon sein, il souffle dessus, m’arrachant quelques gémissements.
Les yeux clos, la tête renversée, je l’entends simplement murmurer tandis qu’il s’affaire entre mes jambes :
— Je suis à toi. Pour l’éternité. Ordonne-moi ce que tu veux et je le ferais.
J’ouvre les yeux, réalisant qu’il vient d’ôter son pantalon ainsi que sa chemise et se trouve entièrement nu, devant moi.
Mon ventre tremble. Mon orifice palpite, quémandant sa présence.
— Tu es ma reine, chuchote-t-il en déposant un baiser sous mes seins, à la surface de l’autre.
Je gémis bruyamment, étourdie.
Puis, saisissant son visage en coupe, je murmure contre lui :
— Prends-moi, Eren. Lie-toi à moi.
D’un geste maladroit, débordant d’excitation, brûlant du besoin de sentir sa peau contre la mienne, j’attrape les lacets de mon corset que je ne parviens pas à défaire.
Brutalement, il saisit deux parts de ce dernier et l’arrache dans un craquement englouti par l’eau. Estomaquée, je fixe les yeux sombres d’Eren qui s’empare ensuite de ma robe blanche.
— Tu as un problème avec l’intégralité de ma garde-robe, Eren ? je lance dans un sourire tendre.
— J’ai un problème avec tout ce qui m’empêche de suivre tes ordres.
Là-dessus, il déchire ma robe blanche.
Son corps se plaque au mien. Je me sens revivre. Sa peau caresse la mienne dans l’eau, je m’enlise dans son étreinte. Je soupire sous ses caresses.
Ses tétons se frottent aux miens et je gémis.
— Je t’aime tant, je chuchote en posant mon front contre le sien.
Mes jambes s’enroulent autour de lui, l’approchant de moi.
— Je t’aime aussi, ma chère.
Là, je sens son gland contre mon entrée palpitante. Ses lèvres embrassent tendrement ma joue tandis qu’il me pénètre doucement. Je gémis longuement.
Mes fesses touchent ses cuisses. Il s’écarte avant de rentrer à nouveau. Mes parois n’ont de cesse de se refermer et s’écarter sur son passage, s’ajustant à lui.
Chaque geste, une vapeur s’enlise en moi. Ses coups de rein me transforment en un corps transi de désir. Les volutes du plaisir s’amassent en une bulle en moi, se contractant avec force.
Bientôt, la bulle est trop grande. Elle éclate en un orgasme foudroyant.
— Er…
Mais ma voix meurt dans ma gorge tandis qu’un long hurlement franchit mes lèvres. Mon corps traversé d’orgasme se contracte entièrement et je m’abandonne à son toucher. Un liquide chaud se répand en moi et je sursaute de plaisir.
Doucement, je reviens à moi. Ma poitrine se soulève difficilement, essoufflée.
Bientôt, Eren se retire. Mon entrejambe se referme autour du vide et je pousse un long soupir.
— Viens-là, ma chérie.
Il m’attire contre lui. Mes jambes s’enroulent autour de son buste et ma tête repose sur son épaule. Il me porte sans difficulté, nageant jusqu’à un autre endroit.
L’eau, toujours aussi chaude, m’apaise après tant d’efforts. Mon corps est épuisé et je respire difficilement.
Bientôt, il m’assoit sur une autre pierre plate, sous l’eau. Je tourne la tête et remarque qu’elle fait partie d’un long escalier grimpant.
Sur chaque marche se trouve des aliments en tout genre.
— Bonne idée, je crève de faim…
— Attends…
Saisissant trois fioles sur une marche, il me les tend.
— Potion anti maladies.
Je souris, touchée qu’il soit aussi prévenant, et boit le liquide rose au goût de cerise.
— Potion anti bébé.
J’avale celui bleu qui a le parfum de la mûre.
— Et potion qui t’évite de devoir sortir du bain pour aller faire pipi en quatrième vitesse et éviter les infections.
J’éclate de rire avant d’avaler l’eau verte au goût d’épinards.
— Tu as le don de ruiner la sensualité du moment, je souris.
— Hé ! Je m’inquiète juste de la santé de ma femme.
Sa mine outrée me charme et je dépose un baiser sur ses lèvres. Il sourit, ses joues rougissantes avant de saisir à son tour la fiole rose.
Je l’observe boire, souriante.
Bon sang, ce que j’aime ma vie.
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smut hot
hehe
(ça donne ça quand
je sais pas quoi mettre
en nda)
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