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kayra_todo0 présente
❝ 𝐉𝐄 𝐋'𝐀𝐈 𝐅𝐀𝐈𝐓 ❞ ⋆☆𝑺𝒉𝒊𝒅𝒐𝒖 𝒙 𝒐𝒄
⌗ㅤ緑谷 . 轟 . 爆豪ㅤ☆ミ
●Précédament
— je l'ai les gars laissez le moi ! Cria gurimu
A ce moment meme rin étais sur le point de faire une passe mais igzguru apparu le faisant tomber
TUTUTUT CARTON JAUNE POUR RIN !
— technique secrète ! Souria til fière de lui
— Alors c'etais ça sa technique... marmonnai je
— bizarre.. marmonna kaiser
— elle est bizarre depuis le début.
— Nan du tout..3lle est juste ..
Égoïste
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J'étais sous le choque , igarahsi venait de bloquer rin ? D'après ce que j'ai ent3ndu noa à donné un indice à igarashi ce qui fait qu'il ai réussi....
Bizarre, ils sont tous bizarre kaiser notamment mais aussi le Maître.
Ils le cachent quelque chose.
— ah..Pas mal le chauve mais c'est ta dernière action. Rigola katsuno en arrivant vers lui
— occupe toi de ton cul d'abord ! Cria raichi
— commencez pas à vous battre. Dis je en arrivant
— oh oh~ petite sœur est donc la ~♡ ricana le noir
— ferme ta gueule tu commence vraiment à m'énerver toi ! Lui criai je
— hehe ~ ricana til
— attend une seconde ce type est ton frère ? Demanda isagi
— je comprend plus rien.. marmonnai je non cest impossible. Finis je par dire
— concentrons nous sur le match d'abord. Souria kurona
C'est alors que isagi demanda a nos quelque chose mais fus ignorer, celui ci alla parler à kaiser lui disant d'être plus égoïste c'est la que isagi compris qu'il étais manipulé depuis le début
— q-quoi...depuis le début noa ne regardait que kaiser ?
— Eh ouais. Souriai je un vrai manipulateur se noa.
— mon idole , j'étais tellement fan de lui comment... debuta le bleu sous le choque
— écoute isagi c'est ça le bluelock si tu veux évoluer il faut lâcher certaine chose...c'est pas étonnant kaiser et noz se connaissent personnellement quant à toi tu nes rien qu'un simple étranger. Lui dis je avec le sourire
Isagi était complètement déstabilisé, le regard perdu dans le vide. Son monde venait de s'effondrer à l'idée que son idole, Noa, avait en réalité des intentions cachées depuis le début.
— Non... Je refuse de croire ça... murmura-t-il, la voix tremblante.
Kaiser, en retrait, observait la scène avec un sourire narquois sur les lèvres. Il s'avança vers Isagi, les mains dans les poches, l'air désinvolte.
— Tu réalises enfin, Isagi ? Ici, c’est chacun pour soi. Noa ne t’a jamais considéré autrement qu’un pion de plus, un outil pour me pousser à me dépasser. C’est ainsi que fonctionne Blue Lock.
— Tch... Ne l'écoute pas, Isagi ! Ce n'est qu'un arrogant ! répliqua Raichi, furieux.
Mais Isagi n'entendait plus rien. Il se tenait là, figé, à essayer de comprendre les événements qui se déroulaient autour de lui. Comment avait-il pu être aussi aveugle ?
— Arrête de te morfondre, Isagi. dis-tu en t'approchant de lui, les yeux fixés sur le terrain. C'est maintenant que tu dois montrer ce que tu vaux. Si tu restes là à hésiter, tu perdras tout ce que tu as construit.
Isagi te regarda, surpris par ta détermination. Il avait l’impression que tu comprenais quelque chose qu’il ignorait encore.
— T'as raison... Je ne peux pas abandonner maintenant. murmura-t-il, serrant les poings.
Kaiser ricana en entendant les mots d’Isagi. Il se tourna vers toi, un regard plein de malice.
— Intéressant. On dirait que la petite sœur a plus de cran que son "frère", dit-il avec un sourire moqueur.
Tu lui lances un regard noir, prête à lui répondre, mais avant que tu ne puisses dire quoi que ce soit, Kurona, toujours calme, s'approcha du groupe.
— Laissons tomber les disputes inutiles, les gars. Il reste du temps, et tout peut encore se jouer sur le terrain, dit-il d'une voix posée, ses yeux rivés sur le ballon.
Isagi inspira profondément, retrouvant peu à peu son calme. Il se tourna vers toi, Raichi et Kurona.
— Vous avez raison... Il reste du temps. Et je vais tout donner pour montrer à Noa et à Kaiser qu’ils ont tort de me sous-estimer.
Kaiser soupira, faussement ennuyé.
— Fais comme tu veux, Isagi. Mais sache que la fin est déjà écrite, et c’est moi qui en suis l’auteur.
Le match reprit alors de plus belle, l'intensité montant encore d'un cran. Chaque joueur sur le terrain semblait animé par une volonté féroce de prouver quelque chose. Mais toi, au fond de toi, tu savais que quelque chose clochait toujours. Ce mystère autour de Noa, Kaiser, et de leur relation... Tout cela cachait quelque chose de plus grand.
— Tu n'as pas encore vu la fin de tout ça, dis-tu en toi-même, prête à affronter ce qui viendra ensuite.
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Je n’arrive toujours pas à y croire.
Katsuno, ce gars insupportable qui passe son temps à me provoquer sur le terrain, serait en réalité… mon frère. J’ai du mal à l’accepter. c’est comme si tout avait changé, comme si mon monde avait basculé d’un coup. Et lui, Katsuno, agit comme si c'était la chose la plus normale du monde. Comme si ça ne le dérangeait pas du tout. Au contraire, on dirait même que ça l’amuse.
Chaque fois qu’on se croise sur le terrain, il trouve un moyen de me provoquer, de m’atteindre. Et moi, je n’arrive même pas à le regarder dans les yeux. Depuis que j’ai appris la nouvelle, j’essaie de l’éviter autant que possible. Mais c’est compliqué, surtout avec Shidou qui semble être au courant de tout.
Je sais pas comment il a deviné, mais comme d’habitude, il ne rate jamais une occasion de faire des remarques à ce sujet.
— Alors, Kayra, ça fait quoi d’avoir un frangin aussi casse-pieds ? me lance Shidou en s’approchant avec son sourire narquois.
Je lève les yeux vers lui, tentant de garder mon calme.
— Sérieusement, Shidou, pas maintenant. Je gère déjà assez de trucs comme ça, murmuré-je en me passant une main dans les cheveux.
Shidou éclate de rire. Il rit toujours. C’est ce qui m’énerve et me plaît chez lui à la fois.
Il ne prend jamais rien au sérieux, et pourtant, il est toujours là quand j’en ai besoin. Mais là, je n’ai pas envie de rire.
J’ai l’impression que tout se complique. Entre Kaiser, qui continue de faire des allusions à notre passé, et Katsuno, qui semble s’amuser de la situation, je n’ai plus de place pour réfléchir à autre chose.
Je sens qu’il me surveille, qu’il me teste. C’est comme s’il essayait de me pousser à bout, mais je refuse de lui donner ce plaisir. Du moins, j’essaie.
— Hé, Kayra ! T’es prête ? s’exclame Kurona en me rejoignant .
Je sursaute légèrement, prise dans mes pensées.
— Oui, oui… Bien sûr, dis-je en me forçant à sourire.
Je suis vraiment nerveuse...Le match ..
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Le coup d’envoi est donné, et l’atmosphère sur le terrain est tendue. Bastard München contre Paris X Gen. Kaiser est à mes côtés, concentré, prêt à en découdre, comme d’habitude. Il ne dit rien, mais je sais qu’il remarque ma nervosité. Il est peut-être insupportable, mais il est aussi terriblement observateur.
— Concentre-toi, Kayra, me murmure-t-il en me jetant un coup d’œil rapide.
Je hoche la tête sans répondre. Je dois me concentrer. Le ballon circule rapidement entre les joueurs, et je me lance à la poursuite de Raichi, qui tente une percée. Je l’intercepte facilement, mais à peine ai-je récupéré le ballon qu’une silhouette se place devant moi.
Katsuno.
Il se tient là, droit, avec ce même sourire moqueur. Mon cœur rate un battement, et je sens mon estomac se nouer. Je serre les dents, essayant de ne pas montrer que sa présence me déstabilise.
— Alors, petite sœur, tu comptes m’éviter encore longtemps ? dit-il avec cette voix douce, presque sarcastique.
— Dégage, Katsuno, je n’ai pas le temps pour tes conneries, répliqué-je en tentant de passer à côté de lui.
Mais il bouge rapidement et me bloque le passage, son sourire s'élargissant. Il prend un malin plaisir à me rendre folle, et ça marche. Je me sens bouillonner de l’intérieur. Pourquoi est-il comme ça ? Pourquoi est-il si… cruel avec moi ? On ne s’est même pas revus avant tout ça, et maintenant il se comporte comme si tout ça était un jeu pour lui.
— Tu n’as pas l’air très à l’aise, Kayra. C’est parce que tu sais que je vais te battre ? ou c’est autre chose…? fait-il, ses yeux pétillant de malice.
Il me regarde comme si je n’étais qu’une simple adversaire, mais il y a quelque chose d’autre dans son regard, quelque chose qui me met mal à l’aise. Je tente de passer une nouvelle fois, mais il est rapide et me prend de court, me volant le ballon avec une facilité déconcertante.
Je grogne de frustration alors qu’il repart vers notre but, mais avant que je ne puisse réagir, Shidou intervient, surgissant de nulle part pour intercepter Katsuno. Il balance un coup de pied violent et dévie le ballon.
— Hé, Katsuno, t’es peut-être son frère, mais si tu continues à la chercher comme ça, t’auras affaire à moi, grogne Shidou en se plaçant devant lui, ses yeux brûlant d’une colère inhabituelle.
Katsuno éclate de rire.
— Oh, alors c’est toi son chevalier servant ? Ça devient intéressant. C’est mignon de ta part, Shidou, mais Kayra sait se défendre, non ? répond-il en me lançant un regard.
Je serre les poings, essayant de contenir ma rage. Pourquoi est-il comme ça ? Je n’ai jamais demandé à ce qu’on découvre que j’avais un frère, encore moins que ce frère soit lui. Tout ça est tellement absurde. J’ai envie de fuir, de m’éloigner, mais ce n’est pas une option. Pas ici, pas maintenant.
Le jeu reprend, mais je suis hors de moi. Chaque mouvement que je fais est plus brusque, moins précis. Mon esprit est trop dispersé. Kaiser remarque rapidement mon malaise.
— Kayra, calme-toi, tu fais n’importe quoi, me dit-il sèchement alors qu’on se replace après une action ratée.
Je respire profondément, tentant de me recentrer, mais mes pensées sont un vrai chaos. Je n’arrive pas à me débarrasser de cette colère qui grandit en moi. Katsuno continue de m’observer de loin, un sourire aux lèvres, et ça me rend folle.
Le match continue, mais mes performances sont en chute libre. C’est comme si j’étais en train de me battre contre une tempête intérieure. Chaque fois que je tente quelque chose, je sens son regard sur moi. Il m'épie, il attend que je fasse une erreur, et il finit par me voler le ballon à plusieurs reprises, sans même se fatiguer.
Et chaque fois, Shidou est là, comme une barrière entre nous. Il s'interpose, il le défie, comme pour me protéger.
Finalement, le coup de sifflet final retentit. Le match est terminé, mais je ne me sens pas soulagée. Au contraire, je suis encore plus perdue qu’avant.
Je marche vers les vestiaires, la tête basse, tentant d’ignorer le regard de Katsuno qui me suit toujours. Mais avant que je ne puisse m’éclipser, une main se pose sur mon épaule.
— Hé, Kayra, t’as pas à le laisser te bouffer comme ça, me dit Shidou d’une voix plus douce qu’à l’habitude.
Je me retourne vers lui, surprise. Il est sérieux, pour une fois. Ses yeux sont moins rieurs, plus inquiets.
— Je sais que c’est dur avec Katsuno, mais tu dois pas le laisser te faire ça. T’es plus forte que ça, Kayra. Je le sais, dit-il en me regardant droit dans les yeux.
Je prends une grande inspiration. Peut-être qu’il a raison. Peut-être que je dois affronter cette situation au lieu de l’éviter. Mais comment ? Comment est-ce que je peux faire face à quelqu’un que je ne connais pas vraiment, mais qui est censé être mon frère ?
— Merci, Shidou, murmuré-je finalement, en sentant mes épaules se détendre un peu.
— T’inquiète, je suis là, hein♡
Chap cours ! Mais franchement j'aime bien j'ai avancé ! 🎀 voici une photo de katsuno au début j'ai pensais à le mettre en noir mais bonn
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