Je repense à ce que je venais d'entendre..San est un ex membre du groupe ATEEZ, ceux que j'ai fait visiter à l'empire Dior...

Je reculais et j'ai faillit tomber heureusement que Jay était là pour me rattraper. Je me rapproche de San, je le voyais baisser la tête et me rends compte que j'ai couché avec non seulement un assassin, non seulement un ex membre d'ATEEZ.

t/p: pourquoi ?
San: je ne voulais pas que tu saches que j'étais un membre de ce groupe. Je ne voulais pas que tu sache non plus mon nom pour avertir la police.
t/p: non ! C'est impossible que tu sois un ex membre d'ATEEZ.
Jay: mais, pourquoi ex membre ?
San: c'est trop long pour expliquer.

Je ne pouvais pas le détester, c'était trop dur. Je l'aime tellement que je me suis précipité sur ses lèvres larmes aux yeux. Il m'enlace en étant assit sur mon lit et me rapproche de lui en prolongeant le baiser.

Jay: ok, d'accord, je pense que je vais partir. Je n'ai pas envie de regarder ça. À plus T/P.
San: non restes avec elle. C'est ton amie, non ?
Jay: oui, c'est mon amie, mais tu vois ce que vous allez faire ne me donne pas envie de regarder. Je suis trop jeune pour ça...
t/p: ne dis pas n'importe quoi. On a presque le même âge Jay...
Jay: c'est faux je suis plus jeune que toi !
San: hey Jay ?
Jay: oui, San ?
San: sâche que j'aime votre amie, c'est la seule qui me comble de bonheur et c'est la fille qui m'a tenue tête dès notre premier regard.
Jay: attends comment ça ? T/P ?! Tenir tête à un assassin comme toi !!
t/p: il faudra que je te raconte tout ça demain..
Jay: ouais, je ne vais pas oublier. Prends soin de t/p.
San: promis.

Jay part en me faisant signe de la main, puis ferme la porte de ma chambre derrière lui. Je fixe San, qui était en train de s'en vouloir. Donc, je lève son visage et le regarde droit dans les yeux.

t/p: arrête de t'en vouloir.
San: j'ai perdu ma famille, mes amis, mon groupe tout..je ne peux pas revenir en arrière, je resterais toujours un meurtrier.
t/p: comme quand tu as menacé Jay tout à l'heure. *dit-elle en ricanant*

Il me prend dans ses bras, j'étais surprise alors je serre son étreinte en enfouyant ma tête dans le creux de son cou. Je lui caressais le dos pour le réconforter tandis que lui était en train de faire descendre ses mains vers ma taille et me rapprocher de lui.

San: un jour.
t/p: quoi un jour ?
San: un jour tu seras ma femme à tout jamais.

Je sourie inconsciemment, je l'embrasse en caressant sa joue, puis il me mettait sur lui pour continuer ce doux baiser langoureux et très sensuel.

~

Je suis sous la couette avec lui, nous ne sommes pas nus je vous préviens directement, nous somme en pyjama. Je suis tellement fatigué que je me mets dos à San pour dormir.

San: bébé ?
t/p: oui mon ange ?
San: si j'ai des pulsions meurtrières que tu ne peux pas contrôler, ne t'approche pas de moi...
t/p: et si je tiens à toi.
San: tu veux prendre le risque de t'approcher de moi ?
t/p: je suis TA copine et je dois tout faire pour que tu ne fasses pas de connerie...
San: putain, c'est pour ça que je t'aime...

Il m'embrasse langoureusement et colle son corps près du mien pour que je sente son membre.

t/p: Choi San tu ne vas pas commencer...
San: ce n'est pas de ma faute si madame me donne des érections!

Je ricane et me met sur lui en lui faisant un câlin, mais je sentais de plus en plus son membre durcir.

t/p: mais San !
San: ok, je vais essayer de me contrôler. Oh et si je te viole ce soir, ce sont mes pulsions...
t/p: alors là tu me fais vraiment peur...

Je remets ma tête sur son torse et prends légèrement sommeil avec lui qui me caresse le dos.

Le lendemain matin.

Je suis toujours sur mon lit mais ne sens plus rien, je ne sens pas là chaleur corporelle de mon copain. Soudain, j'entends hurlement qui provenait de la cuisine. Je me révellais brusquement et courue vers la cuisine.

t/p: San ?
San: Ne t'approche pas de moi.*sur un ton sec*

Il faut que je fasse quelque chose. Je ferme la porte d'entrée à clef en prenant surtout les clefs, je ferme la porte du jardin pour finit la baie vitrée du salon et retourne dans la cuisine.

t/p: San écoute moi.*essaie de s'approcher de lui*
San: tu comprends le mots "ne t'approche pas".*toujours sur un ton sec et froid*
t/p: sinon quoi ?
San: je te demande pardon ?*fronce légèrement les sourcils*
t/p: je t'ai dit : sinon quoi ?

Il s'approche dangereusement vers moi avec un couteau en me plaquant contre mon ami le mur ce qui me faisait un mal de chien. Il pointait son couteau vers mon cou en me regardant droit dans les yeux.

t/p: tu veux vraiment tuer ta petite amie ?
San: ...
t/p: réponds moi.
San: ...
t/p: réponds à ma question !

Il lâche son couteau et m'embrasse sauvagement en me portant pour se diriger vers le salon. Il m'allonge sur le canapé, enlève nos vêtements nous étions nus à ce moment-là et commençait son activité préférée.

San: c'est ton corps qui me rend fou, t/p, sois mienne à vie.
t/p: oui je le veux.

Nous continuons de couché ensembles tout en continuant de nous embrasser langoureusement et amoureusement.

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À suivre.