Samedi matin.

Je suis toujours dans mon lit en train de dormir comme un bébé, alors que je dois faire le ménage chez moi. Alors je me lève avec mon plein gré, même si j'ai la flemme de faire le ménage, mais bon. Je pars dans la cuisine manger mon petit-déjeuner avant de faire le grand ménage.

Ellipse du petit déjeuner.

Après avoir finit, je fais la vaisselle, je commence par la salle de bain, je prends une éponge avec du produit pour la salle de bain, et nettoie comme il faut. Après avoir je rince la baignoire et la douche, pour passer aux toilettes et faire la même chose avec la salle de bain.

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Après avoir terminé, je pars prendre l'aspirateur pour aspirer toute la poussière qui est dans la maison car cela ne fait pas propre. Je dois vous dire que je le fais en pyjama comme ça je vais me doucher après au lieu d'aller me doucher tout de suite et me salir. C'est un conseil que je vous donne.

Enfin bref.

Je commence à aspirer, les chambres, ensuite les toilettes, la salle de bain, la cuisine et enfin le salon.

Ellipse du nettoyage.

Je pars dans la salle de bain, pour bien me doucher parce que je ne sens pas la rose du tout. Je me déshabille, soudain, j'entends quelqu'un toquer à la porte pendant que je me douche. La personne va attendre parce que je me douche.

Toujours en me douchant j'entends encore la personne toquer mais de plus en fort sur la porte. Et j'ai bien dit que cette personne devrait attendre.

Ellipse de la douche.

J'ai ma serviette autour de moi, je descends avec mes pantoufles sans salir le sol avec de l'eau et pars ouvrir pour qui ça peut-être. En descendant, des escaliers, j'entends toujours le bruit, je m'approche de la porte regarde dans l'œil, pour voir qui s'est.

J'ouvre la porte.

t/p: tu ne pouvais pas attendre du con que t'es !
Jake: désolé-
t/p: laisse moi m'habiller au moins, va dans le salon. J'arrive.

Je remonte dans la salle de bain, prendre mon pyjama pour aller dans ma chambre. Je mets ma culotte sale dans bac à linge sale, prendre une nouvelle culotte et prends mes habilles.

Ensuite je sors vite de ma chambre pour partir dans le salon voir mon ami.

t/p: enfin bref tu veux quoi ?
Jake: te demander, si tu veux aller quelque part aujourd'hui ?
t/p: nan pas vraiment j'ai pas envie de sortir.
Jake: allez, viens on fait un peu de shopping !
t/p: flemme et puis j'avais déjà fait du shopping, pour faire mon dressing.
Jake: ah ouais fait voir ton dressing.
t/p: ok.

Nous nous levons et allons voir mon dressing. J'ouvre la porte de ma chambre, ouvre le grand dressing avec celui de mes chaussures et ne croit pas ce qu'il voit.

Jake: MAIS WSH ! C'EST QUOI TOUT ÇA !?
t/p: je te présente mon nouveau dressing.
Jake: mais c'est trop bien ranger !
t/p: ouais je sais, je suis trop forte pour ranger.
Jake: c'est pour ça que la patronne t'a choisi pour devenir une personnelle compétente.
t/p: ma mère travaillait dans le magasin Dior.
Jake: alors elle a connu Christian Dior.
t/p: ma mère est née en 1982.
Jake: ah oui c'est vrai. Et elle a travailler pour une grande marque quand même.
t/p: oui je sais tout ça. Elle a même des photos quand les photographes prenaient des photos d'eux en train de travailler.
Jake: et elle gagnait combien en tout ?
t/p: pourquoi tu es intéressé aux histoires de ma mère ?
Jake: parce que c'est grave intéressant !

Je hoche les épaules, nous allons dans le salon et lui raconte les histoires de ma mère, car il aime bien écouter les histoires à mon avis.

Ellipse de la journée.

Jake: c'était trop bien l'histoire de ta mère, j'ai grave aimé ! Bon il se fait tard, il faut que je rentre ! Bisou ma belle !
t/p: salut !

Il sort de chez moi, tandis que j'ai envie de sortir un peu. Alors, je prends mes clefs et mon téléphone. Mets mes chaussures, prends ma vestes car il fait frais dehors ferme la porte à clef et pars dans un petit bar. Je m'assis, je vois beaucoup d'hommes me fixer, oui c'est normal vous avez vu la tenue que je porte.

Barman: bonsoir ma p'tite dame, que puis-je te servir ?
t/p: un verre de vin s'il te plaît.
Barman: tu sais que c'est dangereux de venir toute seule ici, n'est-ce pas ?
t/p: ouais c'est vrai. Mais je voulais sortir pour me dégourdir les jambes. Et je suis passé ici parce que je voulais un verre de vin.
Barman: tu sais ce qu'on dit dans les rues comme ça. Et tu sais qu'il y a un assassin qui rôde dans les coins. Et peut-être qu'il attend que tu sortes pour te trancher la gorge.
t/p: arrête tu me fais peur...
Barman: tkt je rigole princesse. Tiens ton verre.

Je le remercie et bois mon verre de vin. Je sens toujours le regard des hommes autour de moi, on dirait des pirates qui attendent quelqu'un pour me sauter dessus.

Barman: les gars occupez vous de votre verre au lieu de la regarder !

Ils se retournent vite en entendant le barman parler.

t/p: dis-moi, pourquoi ils me fixent tous comme ça ?
Barman: c'est la première fois qu'une femme vient dans le bar. Après ce qu'il s'est passé il y a deux trois semaines.
t/p: oh...je vois...
Barman: mais bon. Tu devrais rentrer il se fait tard.
t/p: ouais c'est vrai et puis demain je ne sais pas ce que je vais faire.
Barman: nettoie ta maison.
t/p: je l'ai fait ce matin.
Barman: haha de base c'est dimanche qu'on fait le grand ménage !
t/p: te moque pas de moi !

Je me lève lui donne le verre, quand nous entendons la porte s'ouvrir. Le barman regarde qui s'est et reste figé. Je me retourne a mon tour, et regarde qui cela peut-être. Et tout de suite je reconnais cette personne avec cette capuche. C'est le mec qui m'avait bousculé quand j'étais en train du shopping.

Les hommes se lèvent, se mettent devant lui, et l'autre à capuche avait un couteau dans la main droite. J'écarquille les yeux, me tourne vers le barman et il hoche la tête pour me faire comprendre que c'est l'assassin.

Barman: pars derrière du bar, il y a une sortie.
t/p: il faut faire quelque chose...
Barman: ne tkt pas je m'en occupe.
??: bouger de mon passage, je viens voir le barman rien de plus.
Homme 1: tu n'iras nulle part assassin.

La personne en question lève sa tête et j'aperçois son visage. Mes yeux sont arrondis en voyant la beauté de l'assassin.

t/p: attends.
Barman: mais qu'est-ce que tu fais !! REVIENS LA IL EST DANGEREUX !

Je m'avance vers les hommes fixe l'assassin en question, nos regards se croisent, je m'avance petit à petit, mais un homme me tient par le bras.

Homme 2: tu veux mourir entre les mains de ce meurtrier !

Sans que je ne m'en aperçoive, l'assassin lance son couteau dans l'œil de l'homme qui hurle de douleur.

??: tu ne sais pas de quoi je suis capable, je peux faire bien pire que ça. Alors t'approche pas de moi, belle jeune femme.
t/p: tu penses que je n'ai pas souffert. Tu peux me tuer, même me violer tant que tu es parce que je n'ai pas peur de la mort.
??: tu n'as pas peur de la mort c'est ça ?
Barman: FAIS PAS ÇA !
t/p: je veux juste me reposer rien de plus. Je suis fatigué qu'on parle de toi, j'en ai plus qu'assez qu'on traite des meurtriers comme des moins que rien. Mais bon, on te traite comme tu es un chien. A ta place je me casserai d'ici. Mais bon, c'est ton choix.

D'autres hommes se mettent devant moi.

Homme 3: on dirait la même phrase qu'une jeune femme a dit avant de mourir entre ses mains.
t/p: bah j'ai de la chance d'être encore en vie.

Je pars de l'autre côté, pour sortir de l'autre côté.

??: a ta place je ne bougerai pas de là, ma belle. Parce que je peux très bien te lancer un couteau derrière le dos.
t/p: alors fais le. Je te l'ai dit. Je n'ai pas peur de la mort.
Barman: ne dis pas ! Tu as une vie comme les autres ! Tu as un travail, en plus tu dois être riche, non ?
t/p: vous savez où je travaille au moins ?
Tous les hommes sauf l'assassin: à l'empire Dior !

J'écarquille mes yeux en regardant mon bracelet Dior que j'avais porté pour les invités qui étaient venus.

??: alors comme ça tu travailles chez Dior ?
t/p: ....

Il plante un autre couteau dans le ventre d'un autre homme, pour s'avancer vers moi. Je recule, jusqu'à ce que je me retrouve vers le bar. Il s'avance dangereusement vers moi, je suis pétrifiée à l'idée que le meurtrier est juste devant moi. Arrivée vers moi, avec son couteau dans les mains, nos regards se croisent à nouveau. Son corps est collé au mien, il plante son couteau sur le bar et me dit à l'oreille :

??: je ne vais pas te tuer pour cette fois, pas parce que je n'ai pas envie, mais parce que t'as du cran.
t/p: ....

Il recule et me laisse passer, je cours à une vitesse que personne ne pourra me ralentir.

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Coucou mes amourettes !

J'espère que vous allez bien ?!

Voila mon nouveau chapitre, j'espère qu'il vous plaira !

So I love you so much

Good reading !