,,𝐃𝐞 𝐜𝐞𝐭𝐭𝐞 𝐯𝐢𝐭𝐫𝐞 𝐝'𝐡𝐨̂𝐩𝐢𝐭𝐚𝐥
,,présence de la mort; crackship (kagamuzan - Kagaya Ubuyakishi x Muzan Kibutsuji)
Un jeune garçon ayant des cheveux d'un noir assez profond regardai le paysage de sa vitre de cette petite chambre d'hôpital au carrelage plus que blanc pure, émanant juste l'odeur nauséabonde des médicaments. Ses yeux étaient d'un profond rouge écarlate, avec des pupilles telle celles des chats. Il était seulement assis sur ce lit aux draps aussi blanc que le reste de cette pièce si vide.
Seul le bruit de son soupire vint rendre la pièce plus vivante, prévenant à tous les objets non-vivants ici qu'il était encore présent avec encore un brin de vie. Il patientait, toujours, tout le temps pour qu'un jour la faucheuse vienne prendre sa vie enfin. Il n'a passé que cette misérable existence à craindre de mourir qu'il eu l'habitude d'avoir l'ombre de la mort planer chaque jour, chaque heure, chaque minute et même chaque seconde au dessus de lui.
Son bras relié à un fil elle-même relié à une sorte de poche avec un liquide qu'il ne su reconnaître dans sa fatigue. Tout était flou, ses yeux étaient sec et ses membres engourdis, il n'arrivait plus à bougé mais il persévéra et se leva de son lit.
Un son roque sortit de sa bouche aux lèvres séchés avant qu'il ne se mette à tousser violemment, tombant sur le sol d'un son sourd se tenant sa gorge. Ses mains étaient teinté de son sang qu'il crachait et ses yeux se refermèrent pendant que des cris se faisaient entendre de nouveau à chaque fois qu'il essayait quelque chose.
Tout cela était lassant, quand sa douleur se terminera t'elle ? Il en avait marre de cette vie, quand est-ce que tout cela sera-t-il ? Pourquoi toujours espéré ? Il n'en avais pas la réponse, les humains sont si pathétique, et le jeune enfant en faisait partit faisant de lui un humain encore plus misérable que les autres.
Kibutsuji Muzan était né-mort. Dès qu'il fut sortit du ventre de sa mère ayant souffert plus de 20 heures pour le mettre au monde, son cœur ne battait pas et il n'avait pas de pouls. Un fausse-couche n'est-ce pas ?
Les cris de désespoir de cette même femme qui avait vécu dans la douleur même pour lui résonnaient dans les couloirs de l'hôpital, le personnel ne pu rien faire face à cette femme plus que peiné. Elle pleurait toutes les larmes de son corps pour un enfant qu'elle avait engendrer mais qui n'a pas pu lui rendre l'amour qu'elle lui avait donné avant sa naissance. Madame Kibutsuji avait tellement voulu de cet enfant, elle aurait voulu le chérir toute sa vie mais il n'avait même pas vécu plus d'une heure enfin se qu'elle croyait. Un gémissement sortit des lèvres du bébé, avant qu'il se mette à suivre les mêmes pleurs que sa mère. Personne n'en cru ses yeux mais c'était la meilleur nouvelle du moment avant de savoir que Muzan ne vivrai jamais comme un enfant normal dans tous ses malheurs.
" Je suis désolé Muzan ! Ho mon pauvre garçon ! Je suis désolé que Maman n'est pas pu te donner un corps plus résistant que ça, je te demande pardon !
- Ce n'est pas grave Maman, ce n'est pas grave. " Ce jour là, il avait 6 ans peut-être ? Il n'en s'en souvient plus mais il savait que sa mère pleurait toujours quand elle venait lui rendre visite à l'hôpital, les rares fois où elle le pouvait. L'enfant aux yeux rouge semblable à celle qui l'avait mis au monde l'avait doucement enlacé de ses bras frêles et tremblotants pour la réconforter.
La jeune mère devait avoir honte d'être ainsi dorloter par son fils si jeune, mais elle n'était qu'une pleurnicharde et ne pouvait rien pour empêcher ses larmes de couler une à une sur ses joues rosies.
Et puis, elle n'était plus venue depuis longtemps. Elle avait disparu, volatiliser dans la nature et personne ne lui avait dit où elle était passé. Il supposa juste qu'elle ne l'aimait simplement pas, que c'était trop dure d'élever un enfant aussi malade que lui et là abandonné sans aucun regret.
D'un sens c'était vrai, elle l'avait abandonné mais pas sans regrets. Cette mère pitoyable dû à son chagrin de ses malheurs tellement fort, lui faisant pression chaque jour sur le fait qu'elle sois veuve, qu'elle ne sois qu'une pleurnicheuse, que son enfant sois aussi faible et qu'elle tenait à peine au travail pour payer les frais d'hôpital l'avait tuer.
Elle s'était suicider en laissant sans repère une jeune garçon qui s'enferma dans l'ignorance volontairement, ne voulant pas reconnaître simplement qu'il ne faisait que du tort à ceux qui était proche de lui. Il s'est enfermé dans une bulle, il ne faisait plus attention à rien.
A quoi bon ? Plus rapidement il mourrait, plus rapidement les personnes autour de lui seront libérés d'un fardeau qu'était son être misérable qui ne méritait pas d'être aimé. Avec ce corps infesté de maladie, ses sauts d'humeur violentes et désagréables et le fait qu'au moindre mouvement, son corps souffrait rendait son existence encore plus suffocante.
La vie allait le tuer après mille souffrances, Muzan ne pourra jamais atteindre le bonheur, l'univers parfait qu'il voulait une dernière fois. Une vie de famille normale, un corps normal qui ne tombait pas à chaque effort, qui ne le faisait pas ressentir comme inférieur aux autres, qui ne lui faisait plus souffrir ni cracher cet infect sang qui coulait faiblement dans ses veines.
Sa vie n'avait pas de sens. 'Avait' au passé, car il y a découvert une raison de vivre, un soleil qui illuminait son brouillard et qui le faisais se sentir si bien en sa présence.
Ce quelqu'un était Ubuyashiki Kagaya.
Contrairement au jeune garçon malade, Kagaya était en bonne santé en oubliant ses problèmes respiratoires qui le faisais souvent se rendre dans l'hôpital où Muzan avait passé l'entièreté de sa vie, cloitré dans une chambre blanche pure à carreau et au lit inconfortable.
Contrairement à lui, celui au cheveux mi-longs jusqu'aux épaules avait vu le monde extérieur, il avait toujours respiré l'air de la ville et de la compagne et il pouvait marcher, courir au gré de ses envies sans que ses pas ne le fasse souffrir le martyr.
Ils vivaient tous les deux dans deux mondes radicalement différent.
Celui aux pupilles violettes avait une famille, des parents aimants et riches, une maison luxueuse et le droit d'aller à l'école, d'avoir des amis, tout simplement d'être libre, sans être emprisonné tel un oiseau sublime en cage, bien que le fragile n'était pas beau, il était même très laid. Il avait toujours honte de l'état où il était quand il l'avait rencontré. Alors que Muzan, il n'avait rien de précieux, sa mère l'avait laissé derrière et jamais l'amusement et la joie ne l'avait entrainé dans sa vie. Seul la solitude et la souffrance étaient ses amis de toujours, la douleur se faisait lancinante à chaque fois qu'il les entendait lui parler de leurs voix stridentes et mielleuses qui semble si attirantes et si dégoutantes.
Le monde tournait autour de Kagaya, et Muzan n'était que le chien, la sous-merde qui n'attendait qu'à être aimer, qu'à être aider.
Il avait prier tellement fort pour qu'il le remarque que son vœux fut réaliser comme si un dieu quelconque l'avait entendu, entendu sa piètre prière. Kagaya l'avait remarqué et avait commencer à lui parler.
Leur première rencontre était ridicule, le malade avait fait encore cette crise de colère cette fois-ci dans un couloir de l'hôpital. Il voulait à tout prix sortir, vouloir au moins une fois voir le monde extérieur, pourvoir respirer une bouffé d'air frais et voir les feux d'artifices qui avait l'air si magnifique. Et celui qu'il avait tant convoité l'avait aidé à se relever quand il avait trébuché avant de lui sourire tendrement. Cette vue magnifique, il ne l'oubliera jamais. Et c'est ainsi que les deux garçons sont devenus "amis".
Muzan l'écoutait, il minorait quelques petites choses en sa présence et souriait pour la première fois. Les médecins étaient contents de savoir cela, les crises de celui aux pupilles rouges de chat avaient quelque peu cessé en la présence de son nouveau ami. Ses parents n'y opposaient aucune résistance, ils étaient même fières de leur fils qui allait vers les plus isolés pour sympathiser avec eux. Preuve qu'ils étaient tous des personnes généreuses dans cette famille aisé.
Muzan découvrait pour la première fois la joie, le bonheur de vivre. Mais bien que tout était plus rose à ses yeux, ses toux, ses maux de tête et tous se qui le faisais souffrir devinrent encore plus douloureuses.
Comme une punition pour avoir été heureux, il se devait de souffrir encore plus, plus, plus jusqu'à qu'il ne s'étouffe dans son sommeil sans réveil.
Son état était vraiment déplorable, il riait amèrement de ça mais des larmes ne purent pas s'empêcher de couler le long de ses joues. Pourquoi il devait souffrir autant alors qu'il était pour la première fois si à l'aise à être avec quelqu'un, quand tout le monde ne souffrait pas de sa présence.
C'est là qu'il s'était rendu compte, son cœur le faisais souffrir, il avait été si bête. Si il tenait à quelqu'un, elle finira par s'en aller en voyant qu'il s'accrochait à lui désespérément pour ne pas à avoir subir le contre-coup de sa mort prochaine. Son décès était pour bientôt, l'ombre de la mort planait de toute façon toujours au dessus de son corps meurtri par les piqures. Et si il souffrait autant, c'était un avertissement pour rejeter ses sentiments euphoriques qui ne ferait que peiner les autres quand ils trouveront sa dépouille sans vie.
Il ne pouvait rien faire, il voulait ressentir encore cette gentillesse, à chaque instant pour qu'il ne l'oublie pas. Encré son visage sous ses paupières, pouvoir respirer l'odeur envoutante de son amant inatteignable et pouvoir le prendre dans ses bras était un souhait fou, celui d'un malade atteint d'un amour désespéré.
Mais au final, il devait tout oublié. La sensation de bonheur, ce bien-être qu'il avait ressentit seulement un instant et cette étrange bulle chaleureuse qui le coupait de tout monde, toutes souffrances avec Kagaya à ses côtés ses petites heures à discuter avec lui. Surtout que Kagaya avait ramené sa fiancée un jour le rencontrer, Muzan avait bien compris à ce moment là que tout était impossible, créé une histoire avec son bien-aimée relevait à l'insurmontable. Celui aux pupilles violacés avait un regard si tendre, beaucoup plus doux qu'avec lui avec cette fille, presque femme un peu plus grande que les deux jeunes garçons.
L'illusion de la bulle de paix qu'avait créé le frêle enfant était qu'éphémère, elle n'a jamais été là et Kagaya ne le considérait que comme un ami, même peut-être moins, une simple connaissance. Il aimait juste cette fille aux beaux cheveux blancs et ses traits efféminés et raffinés. Muzan n'a pu qu'accepter qu'elle était bien mieux pour son "dieu", c'est vrai, Muzan ne méritait en aucun cas Kagaya. Amane était la déesse qui su prendre le coeur du suprême sans difficulté rien qu'avec sa beauté aveuglante alors il ne pouvait rien dire. Il avait même honte de se retrouver entre les deux, pitoyable comme il était, il n'était qu'inférieur à eux.
Mais la colère ne fut que monté dans son esprit, il voulait pleurer encore et hurler de toutes ses forces jusqu'à s'épuiser. Il voulait juste s'en aller, sa raison de vivre était fausse et jamais il n'a jamais eu le droit d'être avec Kagaya. Il était un idiot, stupide, il fallait qu'il arrête de rêver, depuis le début ça ne lui a causé que du tort.
" DEGAGE ! "
Sa voix s'était exprimé avec une tel force que le fragile qui pouvait se briser à chaque instant qu'il n'avait pas cru en lui. Il avait presque l'air menaçant avec son regard noir mais Kagaya avait bien compris qu'il ne rigolait pas et qu'il ne voulait plus le voir.
Le noiraud avait voulu lui dire des choses, ses yeux parlaient pour lui et Muzan pour une fois depuis longtemps c'était senti flotter comme si l'amour que Kagaya donnait habituellement à la blanche était adressé à lui à ce moment précis. Mais ils changèrent à une fraction de seconde quand Muzan cria de nouveau en se reprenant. Il voulait juste qu'il parte ! Qu'il ne le fasse plus se sentir comme ça, arrêté de le faire sentir si bien et si mal en même temps. Qu'il arrête de le faire mourir si lentement. Il en voulait au jeune adolescent pour tout, à commencer par le fait qu'il lui ai tenu la main mais aussi du fait d'avoir été aussi gentil et honnête avec lui mais également le fait qu'il ai rapporté sa prochaine épouse dans sa chambre d'hôpital pour qu'il se sente aussi inférieur.
Kagaya ne pouvait pas dire ses mots qu'il avait coincé depuis si longtemps dans sa gorge. Même si était l'occasion était présente en ce moment, ses mots restèrent bloqué : Il ne pouvait plus l'aimer comme avant puisque ses sentiments envers le malade avait disparu pour être devenu cette affection pour sa bien-aimée.
Ils étaient tout deux des gros imbéciles, ne pouvant jamais comprendre les sentiments de l'autre se qui a fini par faire faner une fleur épanouie qui avait eu tant de difficulté pour arrivé là.
La libellule avait fini par se geler les ailes dans l'hiver cruelle, la douce flamme, l'essence de la vie de celui aux pupilles rouges sang avait fini par s'étendre, s'écouler et disparaître. Pas comme il l'imaginait cependant, Muzan pensait que sa mort serait douloureuse comme toujours mais cette fois-ci ça avait été doux. La mort semblait être plus gentille avec lui que la vie, ça lui plaisait bien en vérité, il n'avait plus de soucis, il ne faisait que se faire emporter dans un flot de sentiment doucereux pour finalement s'endormir dans un sommeil sans fin, s'éteignant une fois pour toute, finissant cette vie remplie de maux les plus horribles les un que les autres.
Le seul regret qu'il pouvait marqué c'était d'avoir dit à l'homme qu'il aimait qu'il le detestait. Mais ce n'est pas grave, il ne devait plus rien entendre, plus rien sentir, plus rien voir et ne plus rien touché. Il avait écris une lettre adressé à son dulciné, de sa main tremblante certes mais il avait écris. Il se souvient, c'est le noiraud qui lui avait pris à écrire justement, c'était un bon souvenir avant de partir vers l'haut de là. Muzan n'avait plus de crainte, même si Kagaya ne le pardonnait ou l'oubliait pour sa tendre Amane, il ne sera plus fâché ni inquiet, il était entre de bonnes mains après tout. Tout va bien, plus rien n'avait d'importance...
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Cher Kagaya.
Je suis désolé de mes mots déplacés envers toi. Mais je voudrai être sincère avec toi une dernière fois.
Je vais bientôt mourir. Je pense que tu le sais depuis longtemps, que c'est pour ça que tu as essayé de me faire un homme heureux pour mes derniers instants. Je l'es était grâce à toi. Tu étais tout pour moi, tu étais mon soleil, mon dieu, tu étais juste comme un ange qui me tendait la main vers le bonheur.
Mais je me suis rendu compte que tu aimais une autre et que je ne pourrai jamais t'avoir, je suis trop fragile pour ça. Mon corps détériorer n'est qu'un jouet cassé qui ne te mérite pas, cette femme aux cheveux nacres est bien mieux pour toi je le sens même mes sens ne sont pas très affuté. Tu m'as appris se qu'était l'extérieur même sans que je ne puisse y accéder toute ma vie, emprisonner dans une chambre fade et sans gaîté. Tu es celui qui a pu me faire goûter aux couleurs avec ta joie de vivre et tes récits que j'aimais tant.
De la vitre de cette chambre d'hôpital j'ai pu te voir heureux, c'est peut-être un de mes meilleurs souvenirs.
J'ai tant de chose à dire mais je n'arrive plus à écrire, mes doigts tremblent et mon écriture devient de plus en plus laide. Ma voix ne peux même plus parler. Mes yeux se brouillent de pleurs en écrivant tout ça et je ne sens plus le reste de mon corps. Je crois vraiment que c'est la fin, je vais mourir.
Tu sais, grâce à toi, la mort me semble moins douloureuse même aussi douce que ta peau.
Désolé, je t'aime.
Muzan
L'écriture tremblotante de la lettre écrite sur du papier maintenant jauni et froissé avec le temps était sublime aux yeux d'un certain jeune adulte. Il tremblait en pleurant, des larmes ruisselantes sur le long de ses joues pâles et il hoquetait depuis bien une vingtaine de minute. Il était devant ma tombe de l'auteur de cette magnifique mais courte lettre, s'excusant à tout bout de champ, main devant sa bouche.
Kagaya n'avait pas changé avec le temps, juste grandi avec un visage un peu plus mature qu'il ne l'était déjà. Toujours ses mêmes cheveux lisse mi-long noir, ses yeux d'un violet clair magnifique et sa peau de porcelaine que le défunt, son amour d'autrefois, aimait tant chez lui.
Kagaya était terriblement désolé, après avoir passé tant d'année à essayer de l'oublier, il avait finit par lire cette lettre par la tentation, l'envie de savoir se qui était écris dans ce beau de papier avait été plus forte que la démolition de ses anciens sentiments. Lui qui c'était pourtant résolu à ne jamais l'ouvrir pour ne plus souffrir de la mort de son cher amant inconnu, partit trop tôt.
Le voilà maintenant, son visage beigné de gouttes incolores et inodores sans qu'il ne puisse les arrêter même en frottant constamment sur ses pupilles. Quel être stupide il était. Mais il avait peur à ce moment là. Il savait se qu'impliquait de ressentir de l'affection envers Muzan, c'était être prêt à se que son bien-aimé meurt n'importe où n'importe quand. En fait, il l'aimait vraiment, sincèrement mais jamais il n'avait réussi à s'en rendre compte et quand il avait voulu enfin lui dire se qu'il avait sur le cœur, elle est arrivé dans sa vie sans prévenir enfouissant son amour pour lui.
Mais jamais il ne pourra oublier son premier amour, preuve il était là à pleurer pour lui après ses 7 longues années après son décès et il l'aime toujours autant qu'avant. Même étant marié à Amane, et bientôt père, il ne l'oubliera jamais. Il n'oubliera jamais ses sentiments si spéciales qu'il avait ressentit aux côtés du malade.
" Je t'aime Muzan. Pardonne-moi... Je ne me suis pas rendu compte de mes sentiments plus tôt, j'avais peur et je croyais que c'était un simple béguin d'adolescent et que ça allait vite disparaître. Me voilà comme un idiot qui n'arrive pas à me pardonner, à t'oublier. Je suis désolé de ne pas m'être rendu compte de tes sentiments pour moi, j'ai été stupide... J'espère que le paradis est beaucoup plus agréable qu'ici et que pour une dernière fois, tu sera heureux pour l'éternité. "
3152 mots !
J'espère que ce GROS OS Kagamuzan vous a plus pour ceux qui ont lu jusqu'au bout mon œuvre !
J'ai mis plus de mots que prévue mais il semble que j'étais inspiré aujourd'hui XD
J'ai beaucoup OCC Muzan mais j'aimais bien le mettre un malade amoureux désespéré ainsi qu'un Kagaya ne se rendant pas compte de ses sentiments !
Bref, dites moi se que vous en avez penser uwu
BYE
02/12/20
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