✰ Chapter 5 :Accusation injuste et rencontre mystérieuse ✰
➳ Bienvenue au cinquième chapitre de Addiction !
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✰ Chapter 5 :Accusation injuste et rencontre mystérieuse ✰
Le lendemain, j'étais encore traumatisée de l'événement de la veille. J'ai vu ma vie défiler devant mes propres yeux, j'ai presque vus la mort. Pour une fois je n'allais pas être en retard au travail.
Mon téléphone se mettait a sonner,une notification.
*réussite de la mission
Virement de....
5 000💸
J'étais prête à économiser l'argent que j'allais gagner au fur et à mesure.
Mais comment pouvais-je remercier Karl de tout ce qu'il faisait pour moi.Les paroles ne suffisent pas...
Je sais ce que je vais lui offrir !
J'espère que ça suffira pour lui dire merci...
Voir le défi du jour
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*Ton défi du jour est :
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De reprendre contacts avec tes parents et les pardonner.
C'est sans doute le défi le plus dure pour moi,je refuse, c'est eux qui n'ont pas cru en moi et qui m'ont jugé à tord.
Eux qui pensaient que je n'en étais pas capable. Mes parents pensaient que je ne pouvais pas devenir une grande auteure.
Ils m'ont dis que les auteurs gagnaient peu, et pas beaucoup sont connus.
Je suis donc partie à Paris dans l'espoir de leur prouver que j'en étais capable. Mais c'est un échec, si il savait que je travaillais à mcdo...
En soit je m'en veux de mettre enfuis ainsi,sans rien dire à personne. C'est sûrement moi qui est en tord alors...
Je retapais le numéro du fixe de la maison, le connaissant par cœur. Plusieurs fois j'avais tenté de les rappeler et de m'excuser mais je ne pouvais pas...
Je fermais les yeux espérant que tout allait rentrer dans l'ordre et se passerai bien.
J'appuyai sur le bouton anxieuse,peut-être ne se souvienne t'il même pas de moi... Plusieurs sonneries résonnaient. Enfin ils répondirent.
— Maman ? Papa ? C'est moi...
— Excusez-moi qui êtes vous ? je reconnu la voix douce de ma mère.
— Maman,c'est moi ta fille...Ta petite Béa...
— Pardonnez moi mais je n'ai plus de fille !Je ne vois pas de qui vous parlez !Au revoir ! je sentis l'énervement monter en elle,elle s'apprêter à raccrocher.
— Maman s'il te plaît ne raccroche pas toi de suite... laisse moi m'excuser.. Lorsque que j'eu dis ça je sentis que la pression entre nous deux descendait légèrement.
Je repris ce que je disais :
— Je suis désolé d'avoir fuis ainsi...mais j'avais l'impression de ne pas être comprise et que vous m'aimiez pas... Ça a été dur pour moi...
Ma mère ne disait rien,je n'entendais même pas sa respiration.Elle semblait déconcertée..
— Dur pour toi ?Tu as pensé à nous ?Tu étais notre fille unique et tu nous as abandonné. Pour un rêve enfantin !
- Je ne vous ai pas abandonné ! Vous ne m'en avez pas laisser le choix...Vous pensiez qu'à vous ! Mais vous saviez ce que je voulais moi ?Surement pas de devenir avocate...
— Je pense que nous avons tous des tords dans cette histoire... Et que nous devrions mettre nos différents de côté, tu nous manques beaucoup. Faire comme si tu n'avais jamais existé me fait du mal....
— Je suis d'accord,ça veut dire que je suis pardonnée ?
— Évidemment chérie tu nous manques,plus que tout. Viens quand tu veux à la maison, ça sera avec plaisir !
—Bientôt je te le promets ! Actuellement je suis un peu occupée... Mais bientôt promis !
— Je t'embrasse fort chérie,à bientôt !Je suis heureuse d'enfin avoir pu te parler !
— Moi... Moi aussi maman je t'embrasse !je raccrochai me sentant libéré d'un poids lourd. Je me sentais en harmonie avec moi même, comme si je n'avais plus rien à me reprocher. Et en plus mon défi du jour est exécutée.
*réussite de la mission
Virement de....
5 000💸
-Quelques heures plus tard-:
Ce matin je commençais plus tôt, je me rendis donc au travail détendue pour une fois.Pas de risque d'être en retard. J'arrive enfin prête à travailler. Je mets mon tablier, et me lave les mains. Karl se dirige vers moi l'air grave.
— Karl tu devrais voir ta tête sérieusement,me dit pas que j'ai encore mis mes chaussons ?plaisantais-je mais aucun sourire de sa part.
— Je ne suis pas là pour rire Béatrice.. Il n'y a rien de drôle ! ça devait être vraiment grave vu l'air dont il prenait.Mon rire se stoppa net.
— Qu'est-ce qu'il y'a ?
— On c'est fait volé les caisses !Et on compte bien savoir qui a l'argent !
— Oh merde !
— Béatrice c'est toi qui as fermé,tu as vu quelqu'un ? Quelqu'un de louche ?
Je me mis à réfléchir...Qui avais-je vu ?Personne du moins je ne m'en souvenais pas.
— J'ai fermé vers 23h il n'y avait plus personne...C'était désert je n'ai vue personne.
— Tu es certaine d'avoir bien fermé la porte ?Car tu risques gros, ça fait un moment que le patron hésite à te virer... Et là si tu as mal fermé tu vas te faire chasser d'ici...
— Je suis entièrement certaine d'avoir correctement fermé, y'a t'il des traces d'effractions ?
— Non visiblement le voleur est passé par la porte...
— C'est peut-être un autre employé, comme Lucia ? Ou Martin ? Ou James ?
— Et pourquoi pas toi ? La façon dont il avait dit était très blessante.
— Tu rigoles j'espère ? Jamais j'aurai osé !J'aurai risqué d'autant plus de me faire expulser !
— Béatrice cela sert à rien de te défendre... On sait que tu gagnes peu, mais depuis quelques mois tu gagnes des milles par ci par là...il marqua une pause, des larmes coulaient sur ma joue.
— Béa tu peux me dire la vérité... Est-ce que c'est toi qui a volé ? Et aussi d'où vient l'argent ?son regard était plus affectueux et attendrissant qu'avant.
— Karl je te promets que tout cette argent m'appartient ! Et je n'ai jamais touché même pas frôlé la caisse ! Je te faisais confiance et toi tu me prends pour une voleuse ? je pétais les plombs,un surplus d'énervement, Karl essaya de me résonner mais je n'en pouvais plus.
— Béa tu perds la tê...
— Arrête de me couper ! Tu sais quoi je démissionne ! Je te faisais confiance et tu doutes de moi ! Moi qui comptais t'offrir mes cinq mille euro ? Je suis une honnête personne et toi tu es comme ces ordures de types !
— Tu es comme les autres ! Comment j'ai pu croire à un moment qu'on était amis ? Moi qui pensait que tu étais un héros... Dit au patron que j'en ai rien a foutre de cet argent et que je n'y ai pas touché ! je partais jetant mon tablier au sol,me dirigeant vers la porte. A bout de nerf,je claquais la porte.
Pendant une seconde j'hésitais à me retourner... mais mon esprit se reprenna heureusement pour moi ne jetant aucun regard à la personne que j'avais tantôt adoré mais maintenant haïs.
Il ne tenta même pas de me retenir, cela doit signifier que mon départ ne doit pas l'affecter...
Je ne sais pas où je souhaitais
aller, seulement loin de Karl et tout ceux qui m'ont blessé. Je pris le premier bus, ne sachant même pas où il va me conduire.
Me laissant guider par le destin. Parfois je me demande ce que j'ai fais pour que Dieu me punisse ainsi. Peut-être suis-je pire que Lucifer en personne. Et peut-être que je mérite ce qu'il m'arrive. Surement.
Je n'avais aucune idée de l'heure qu'il était, je restais dans mes songes. Le conducteur m'éjecta vulgairement de son car,me laissant seule sous la pluie.
J'étais frigorifiée. Comment l'être humain peut être aussi méchant avec autrui ? Je m'assis sur le rebord de la route, jamais la lune m'avait parue si lugubre. Il fallait que je rentre à la maison, mais comment ? Soudain une voix masculine m'interpella.
— Besoin d'aide ?Tu veux que je te ramène quelque part ? Bingo je suis encore tombé sur un gros lourd dragueur...
— Sans façon, je n'en ai pas besoin ! répliquais-je sur un ton très agacé.
— Tu as l'air gelé, tu es certaine de pas vouloir être aidée ?me re demanda t'il en forçant
Jusqu'ici j'étais dos à lui, quand avec un autre surplus d'agacement me poussa bout en lui faisant face.
— Bien sûr avec plaisir je vais monter dans ta voiture et me faire violer sans riposter ! me retournant je vis l'homme que j'avais pris pour un violeur cinq seconde avant. Je le vis lui et ses beaux yeux. Et son regard mystérieux...
— Je ressemble autant que ça à un perver ?
Je réfléchis à ma réponse, il ne fallait pas non plus que je lui fasse une confiance infini. Il peut toujours en être un...
— Pas vraiment... effectivement, pardon de t'avoir jugé ainsi... Et aussi désolée de te l'apprendre mais les seuls personnes qui prononcent ces phrases en sont recherchant une victime...
— Pardon de t'avoir effrayé alors... s'excusa t'il
— Je n'ai pas eu peur ! le contredis-je
Seulement une intuition...
— Bon tu comptes rester là ou tu vas me laisser t'aider ?
— Ai-je la preuve que tu n'es pas un psychopathe au couteau dans la poche ?
— Si j'en étais un je t'aurai déjà tué depuis longtemps ! nous nous mirent a rigoler ensembles me faisant presque oublier mes problèmes.
— Tu montes alors ? me proposa t'il pour la énième fois. Plongeant son regard dans le mien avant que je n'ai eu le temps de l'éviter.Il savait comment me convaincre...
Je ne répondis mots, seulement le suivi dans le véhicule naïvement. Je prenais tout de même mes distances toujours méfiante. Il lança la discussion.
— Comment ça se fait qu'une fille aussi jolie que toi, soit seule sous la pluie ?
— Longue histoire... soupirais-je d'épuisement.
— Et toi comment se fait t'il qu'un fils riche à papa traîne dans ce quartier de la ville ? il se mit à regarder ses vêtements pour voir ce qu'il l'avait trahi.
— Bien joue Sherlock ! Je viens aider les filles en détresse qui ont besoin d'être sauvé ! Dis moi plutôt comment tu as deviné cela ?
— Ton brushing intacte malgré le temps, ton coiffeur doit couter très cher vu son talent ! Nos éclats de rires se déclenchèrent.
— Et aussi ta voiture.. tout le monde ne peut pas se permettre une Porsche.
— Ce vieux tacot tu veux dire ? me dit t'il en désignant le véhicule où nous étions. Je compte bientôt la changer.
— Un fils de riche c'est bien ce que je disais... pouffais-je
— Et quoi d'autre ta mit la puce à l'oreille ?
— Peut-être par hasard tes vêtements de luxe..
Nous discutions depuis un moment et il ne semblait pas être un psychopathe avec des envies de meurtres.
— Je ressemble toujours à un violeur ?
— Non plus exactement... tu ressembles plus au gosse de riche.. dis-je en faisant mine de réfléchir.
Un bourgeois !
— D'ailleurs je connais quelqu'un que tu adorerais, exactement comme toi. Leila mon ancienne meilleure amie cette petite peste de bourgeoise...
— Toi en tout cas tu as l'air de l'apprécier, dit t'il ironiquement
— Bon Holmes où est-ce que je dépose ?
- Fais moi descendre au croisement tu n'as pas besoin de savoir où j'habite, lui dis-je en faisant un clin d'œil.
— Au cas où je sois vraiment un violeur ?
— Exactement petit génie !
— Sinon moi c'est Luke !se présenta t'il
— Ravie de te connaître Luke !
— Et toi tu es ?
- Appelle moi Béa ! lui dis-je en lui faisant un autre clin d'œil.
Je descendis et l'entendis crier :
— On se reverra Holmes ! On se reverra !
Du moins je l'espérais... Il démarra passant à côté de moi. M'envoyant un baiser de la main, et je lui rendis en lui renvoyant.
J'arrivais enfin chez moi. Sans prendre la peine de me changer. Je sautais sur mon lit et repensais à ma journée forte en émotions et en rencontrer...
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J'espère encore une fois que ce début vous plaît !Voici un chapitre plus long que d'habitude,nous rentrons dans l'intrigue.
Par rapport au coronavirus,restait chez vous,sortez peu.Lavez vous les mains.
Faites attention à vous ❥
A bientôt !
Eva
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