𝒮𝓊𝒸𝒽 𝒶 𝒷𝒶𝓃𝒶𝓁 𝒹𝒶𝓎

A banal day, for such a radiant beginning of September.
I arrived in the city with all the noises I would never have wanted to hear.

Its cars and this city life so depressing.
The gray sky is still as present as ever, like her unhappy heads walking on wet asphalt, crossing in opposite directions.

I am a daughter of nature, my feet rooted in the earth.
Listening to the birds singing as soon as the first rays of sunshine arrive.
I miss you.
The simple silence.
A simple whisper of the wind.

I could no longer listen to the birds on the roof of the house, a couple nesting on a beautiful sunny morning.
This show is so far away now, and I didn't especially dream of leaving it.
So as always, I get up with difficulty.

And there is nothing to admire, I start the same daily gestures, without really having any motivation to do so.
You have to go outside, face the same paths to follow.
I'm tired, my steps accelerate because I don't like these roads so glaucous.
They are so dark by day and by night.
The light turns red, my momentum stops.

All his heads stuck in the same direction, I would like to go home but it's too late. Compared to staying locked up in this maze that I hate so much.
There is no way out, only resilience as the only answer to my despair.
Fleeing the gloomy atmosphere, my gaze is focused on you.

My legs paralyzed, an arrow shot through my heart.
You were apart, you were different.
The world around me slowed down abruptly.
The cars are almost at a standstill, like the others around me.
They can't really move anymore.

After a few minutes in this state, I'm still in the same place, in the same place.
I try to get out of this hold that has taken over my whole body.
The look I've been staring at for a while, without being able to explain why I'm so obsessed with it.

I feel ridiculous when I come back to reality.
The cars drive at high speed, and there is no real perssone now.
Are you still there?
I hardly dare to look if it is the case, the weather changes abruptly, from beautiful to heavy rains.

And what's happening right now, I'm so afraid to move forward, timidly I fear the mistakes I might make.
With you everything could be simple but I can't do it. Deciding to ignore it has become impossible. Imprisoned in a cage, I cannot escape your presence.

Your face engraved on my white pages.
And I can no longer erase what I have seen.
I didn't plan all this, all the upheaval destabilizes me.
I didn't want to ruin this moment but I don't know what to do anymore.
Then I will find the slightest escape without breaking anything.

I don't know how to express the slightest word, and the emptiness sets in.
Tell me what I need to do.
I have never been so lost.
Take my hand, if you could be my lucky star, would you be?.
It's getting late, and I just need to dream.
If for one moment I could just be in your arms.


03/09/2020
Une journée banale, pour un début de septembre si rayonnant.
Je suis arrivé en ville avec tout ses bruits que je n'aurais jamais voulu entendre.
Ses voitures et cette vie de citadin si déprimant.

Le ciel gris est toujours aussi présent, comme ses têtes malheureux qui marchent sur le bitume mouillé, traversant sur des directions opposées.
Je suis une fille de la nature, les pieds enraciné dans la terre.
Écoutant les oiseaux chanter dès que les premiers rayons du soleil arrivent.

Tu me manques.
Le simple silence.
Un simple murmure du vent.
Je ne pourrais plus écoutés ses oiseaux sur le toit de la maison, un couple qui font leurs nids sur un jolie matin ensoleillé.

Se spectacle est si loin maintenant, et je ne rêvait pas spécialement de le quitter.
Alors comme à chaque fois, je me lève difficilement.
Et il n'y a rien n'a admirer, je débute les mêmes gestes quotidiennes, sans vraiment avoir de motivation à la clé.

Il faut sortir dehors, affronter les mêmes chemins à parcourir.
Je suis fatiguée, mes pas s'accélère parceque je n'aime pas ses routes si glauques.
Ils sont si sombres de jour comme de nuit.
Le feu passe au rouge, mon élan s'arrête.
Toutes ses têtes rivés dans la même direction, je voudrais rentrée à la maison mais c'est trop tard.

Comdannée à rester enfermé dans ce labyrinthe que je déteste tellement.
Il y a aucune sortie, que la résilience comme seule réponse à mon désespoir.
Fuyant l'atmosphère si lugubre, mon regard c'est arrêter sur toi.
Mes jambes paralysé, une flèche à traversé mon cœur.

Tu étais à part, tu étais différents.
Le monde autour de moi ralenti brusquement.
Les voitures sont presque à l'arrêt, comme les autres qui sont autour de moi.
Ils ne peuvent plus vraiment bougé.
Après quelques minutes dans cette état, je suis toujours au même endroit, à la même place.

J'essaie de me défaire de cette emprise qui à pris tout mon corps.
De se regard que je fixe depuis un moment, sans pouvoir expliquer pourquoi il m'obsède à ce point.
Je me sens ridicule quand je reviens à la réalité.
Les voitures roulent à vive allures, et il n'y a plus vraiment perssone maintenant.

Est tu encore là ?, J'ose à peine  chercher si c'est le cas, le temps change brutalement, du beau aux pluies diluviennes.
Et qu'est-ce qui ce passe en ce moment même, j'ai si peur d'avancer, timidement je crains les erreurs que je risque d'engendrer.
Avec toi tout pourrais être simple mais je n'y arrive pas.

Décider d'ignorer, c'est devenu impossible.
Emprisonné dans une cage, je ne peux m'échapper de ta présence.
Ta gravé ton visage sur mes pages blanches.
Et je ne peux plus éffacer ce que j'ai vue.

Je n'avais pas prévu tout ça, tout se boulverssement me déstabilise.
Je ne voulais pas gaché cette instant mais je ne sais plus quoi faire.
Alors je trouverai le moindre échappatoire sans rien casser.
Je ne sais pas exprimé le moindre mots, et le vide s'installe.
Dit moi qu'est ce qu'il faut que je fasse.
Je n'ai jamais été autant perdue.

Prend ma main, si tu pouvais être ma bonne étoile, le serait tu ?.
Il se fait tard, et j'ai juste besoin de rêver.
Si l'espace d'un instant je pouvais juste être dans tes bras.

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