✗⸻𝓒𝐡𝐚𝐩𝐢𝐭𝐫𝐞 𝐭𝐫𝐞𝐧𝐭𝐞-𝐜𝐢𝐧𝐪;

⸻𝖈𝖍𝖆𝖕𝖙𝖊𝖗 𝖙𝖍𝖎𝖗𝖙𝖞 𝖋𝖎𝖛𝖊;
𝐓𝐇𝐄 𝐀𝐓𝐓𝐀𝐂𝐊.

Les élèves se levaient brusquement tandis que le professeur venait enfin de terminer son cours. Le brouhaha que cela créa était rempli de confusion. La sonnerie avait retenti, nous signalant que nous étions enfin libres. Je soupirais d'aise en contemplant le coucher de soleil depuis ma place. La simple idée que cette journée d'école était terminée, que je pouvais enfin retrouver le confort de mon chez moi, suffit à me faire me dépêcher.

Je rangeais rapidement mes affaires dans mon sac et me levais afin de déposer celui-ci sur mon épaule. De manière tranquille, je remettais ma chaise à sa place et me tournais juste après vers Mitsuya qui semblait m'attendre.

« Dépêche toi d'avancer, tu bouches le passage. » lui signalais-je accompagné de rapides gestes des mains.

Mitsuya roulait gentiment des yeux avant d'emboîter le pas, je le suivais jusqu'à finir par marcher à ses côtés. Peyan et Pachin nous rejoignaient rapidement.

Les garçons guettaient les alentours et tentaient de me parler comme si tout allait bien. Cependant, je ne pouvais pas m'empêcher de me sentir anxieuse. Pourquoi est-ce qu'ils devaient être autant collés de moi ? Je me sentais compressée entre Pachin et Mitsuya, d'ailleurs, l'expression agacée de Peyan n'aidait pas. Elle n'avait jamais vraiment aidé, pour être honnête. Je me sentais mal à l'aise.

« Vous êtes pas supposés aller dans votre club ? » je m'impatientais.

« Il est fermé aujourd'hui. » répondait Peyan.

« Mitsuya m'a pourtant proposé d'y aller tout à l'heure ? »

« T'as dû te tromper. » me coupait Pachin. « Aujourd'hui personne n'y va, c'est exceptionnel. »

Je haussais un sourcil face à son expression paniquée. Il avait toujours été pitoyable lorsqu'il s'agissait de mentir.. Heureusement que son visage était adorable. Néanmoins, cette fois-ci son petit minois ne suffit point à me calmer. Leur jetant tour à tour un petit coup d'oeil, je me mis à nerveusement grincer des dents.

« Et pourquoi ça ? »

« Euh, bah... »

Pendant que Peyan cherchait un mensonge potable, que Pachin regardait avec embarras les alentours afin d'éviter tout contact visuel avec moi, Mistuya fut le premier à alors me répondre.

« On m'a mal informé concernant l'arrivée de nouveaux tissus. » mentait-il. « Ils ne sont pas arrivés, et donc puisqu'on à pas de matériel à travailler, le club ne peut pas êtreᅳ »

« Tu es vraiment douée, tu le sais ça ? » je m'étonnais.

« Mhh ? »

Je levais mes mains en l'air en guise de signe d'abandon. Exaspérée, voilà comment je me sentais. Ces idiots me rendaient dingue. Ils se fichaient vraiment de moi... De toute façon, je n'aurais pas pus les résonner, ce jeu allait continuer longtemps, j'en étais persuadée, je me sentais alors déjà épuisée. Le plus simple était de rapidement rentrer chez moi et d'aussitôt leur fermer la porte au nez. Du moins c'était ce dont j'étais persuadée sur le moment. Les ignorer, voilà ma porte de sortie.

Nous descendions rapidement les escaliers menant aux étages suivants. Peyan commençait à se mettre dans mon dos tandis que Pachin marchait devant moi et Mitsuya sur ma gauche. Mon expression se fronçait immédiatement, tout comme mes sourcils qui s'en allaient se plisser.

Cette impression d'être une star protégée par de stupides armoires à glace ne touchait visiblement pas que moi. Plusieurs élèves nous regardaient. Et par plusieurs je voulais dire tout ceux que nous croisions sur notre passage.

« Les gars c'est ridicule. » je marmonnais avec exaspération. « Tout le monde nous regarde. Arrêtez. »

Les élèves qui montaient ou descendaient les escaliers me dévisageaient. La plupart des regards qu'ils me jetaient étaient remplis d'intrigue mais d'autres étaient méprisants et hautains, ça me mettait vraiment mal à l'aise. Et par vraiment, j'entendais vraiment. Mon coeur battait vite. Je m'imaginais déjà demain, la risée du lycée, avec l'étiquette d'une gamine superficielle qui adore attirer l'attention sur elle, même pas capable d'être aimable. Des rumeurs commenceraient alors à couler à mon propos, et mes années scolaires s'en retrouveraient ruinées.

Je me retins soudainement à la rambarde des escaliers, étouffée par de l'air. J'expirai doucement, soulagée à l'idée d'être enfin parvenue au rez-de-chaussée de l'établissement. Ce ne fut qu'en cet instant que je me rendais compte que j'avais retenu ma respiration.

Néanmoins, rien ne changeait : l'ambiance restait pesante.

« Mitsuya. » cherchais-je à interpeller mon camarade.

« Je sais. »

Une grosse partie de l'école était présente et beaucoup de murmures parvenaient à mes oreilles sous la forme d'un épais brouhaha. Je me sentais haleter. Je sentais leurs yeux posés sur moi, des mots inquiétants leurs échapper et leur présence m'écraser. Ils étaient devant mais aussi derrière, ils m'observaient sur les côtés, tout autour de moi. Et je ne comprenais pas, j'avais beau me travailler les méninges, je n'arrivais pas à comprendre ce qui était entrain de se passer.

« Mitsuyaᅳ » je tentais à nouveau.

« Attends il faut queᅳ Hey ! Ça va ? » il s'exclamait brusquement.

Peyan, Pachin et lui s'étaient tournés vers moi. Je serrais avec violence un morceau de ma chemise dans le creux de la paume de ma main. Mon cœur palpitait si fort, je l'entendais battre dans tous les recoins de mon corps. Et je les voyais tous, je les entendais tous, je les sentais tous. Ma tête tournait. Je n'avais qu'une envie ; sortir d'ici. Sortir d'ici au plus vite.

« Mitsuya, jeᅳje crois que je—. » balbutiais-je. « Il meᅳ »

Mon prénom fut brusquement crié. Je relevais ma tête parmi la foule à notre gauche et apercevais les gens se faire bousculer jusqu'à ce que deux fines silhouettes n'apparaissent dans mon champ de vision. Ma respiration se coupait.

L'expression d'horreur collée sur les visages de Hinata et de Takemichi me certifiait que quelque chose n'allait pas. Ils étaient terrifiés et allaient directement se réfugier dans notre direction. Même après avoir arrêté de courir, les deux n'abandonnèrent point leur état de panique.

« Il faut sortir d'ici ! Tout de suite ! » s'exclama Takemichi.

« Ils sont rentrés dans l'école, ils sont partis à votre recherche ! » affirmait Hinata.

« Fantastique.. » j'ironisais ᅳagonisaisᅳ

Peyan et Pachin vinrent échanger un regard puis fermement prendre la parole.

« Laissez nous y aller, on va vite-fait leur péter la gueule et ilsᅳ »

« Ils sont peut-être armés, il faut faire évacuer tout le monde. » les coupait Mitsuya.

« Mais comment ? » s'exclamait Hinata. « personne ne voudra nous écouter.. »

« L'alarme incendie ? » je proposais.

« Je m'en charge ! » répliquait aussitôt Pachin. « Sortez d'ici en attendant et mettez vous à l'abri ! »

Mitsuya m'offrait un doux regard malgré la gravité de la situation. Il déposait sa main sur mon épaule et me compressait contre lui en me faisant rapidement avancer. Étrangement, cela ne me dégoûtait pas, je le laissais faire. Nous récupérions nous souliers et accélérions le pas en direction de la sortie. Entre temps, Pachin avait actionné l'alarme incendie et une montagne d'élèves ainsi que de professeurs se précipitait derrière nous. C'était horrible.

Je ne savais plus qui était qui.

L'établissement s'éloignait petit à petit et ce sentiment de sécurité qu'il m'avait apporté tout au long de la journée venait de brusquement disparaître. La situation avait un côté horrifiant. C'était une apocalypse.

« Regarde devant toi. » m'ordonna Mitsuya. « Ne te retourne surtout pas, je suis là avec Peyan, on va te protéger. »

Mon prénom quittait les lèvres de Takemichi alors que celui-ci tentait de s'approcher de moi.

« Est-ce que tout va bien ? Tu respires fort depuis tout à l'heure.. » constata-t-il.

« Elle fait une crise de panique. » répondait Peyan. « Il faut la poser quelque part. »

« Je suis pas un meuble, sale merde. »

« Hey j'essaie juste deᅳ espèce de saleᅳ »

Un puissant cri provenant de l'arrière nous coupait. Pachin courait rapidement jusqu'à nous, poursuivit par une bande de garçons. Je ne les reconnaissais pas, et l'aura menaçante qui émanait d'eux n'aidait pas. Je me pressais contre Mitsuya. Je me fondais contre lui, dans l'espoir que, si j'osais forcer encore un peu, je finirais par disparaître.

« Elle est là ! » s'écria l'un d'eux avant d'éclater de rire. « Venez, on va l'attraper ! »

« Takemichi. »

Mitsuya me lâchait pour se tourner vers le blond.

« On va s'occuper d'eux. » déclara-t-il.

Mes yeux s'écarquillaient brusquement. Avec une panique immense, je saisissais son poignet et attirais ainsi son attention.

« Tu te fous de ma gueule ? » m'exclamais-je. « Ils sont armés, tu joues à quoi ? »

Mitsuya esquissait un sourire qui se voulait réconfortant avant de déposer sa main sur mon épaule. Je voyais derrière lui le groupe de garçons se rapprocher, ceux-ci rapidement poursuivis par une foule d'élèves. Une boule au ventre me saisissait. Ils n'avaient pas l'air gentils, pas gentils du tout.

Malgré ma haine envers Peyan, j'étais consciente que c'était pas un mauvais type. Certes, je pouvais pas me le voir, mais en ce moment, c'était lui qui se mettait en danger pour moi. Tandis que ces inconnus qui courraient vers nous, je savais pertinemment qu'ils n'étaient ni comparables à Hanma, ni à Mitsuya. C'était ce qui me faisait le plus peur. Car si ils parvenaient à mettre leurs mains sur moi, ces hommes ne me laisseraient sûrement pas m'en sortir indemne. Voire vivante.

« C'est justement pour ça que j'y vais. Parce qu'ils sont armés. » il insistait. « Tu peux fuir, on te protégera. »

Je le regardais encore un peu plus longtemps, sérieusement dubitative. Je l'observais avec attention. La raison de mon départ fut simplement Hinata qui venait de se saisir de mon poignet et qui s'écria brusquement en me tirant hors d'ici. Encore légèrement ébranlée par cette situation, je fus incapable de lui résister. J'en manquais même de tomber.

Hinata nous faisait pénétrer dans une ruelle et avançait jusqu'à nous faire perdre notre souffle. Takemichi restait derrière et il n'y avait finalement plus que nous trois à la fin. J'entendais de là des bruits de lutte, Mitsuya, Peyan et Pachin couvraient nos arrières. Ils nous faisaient gagner du temps.

Ma respiration finissait par se calmer et j'en profitais dès lors pour me détacher de Hinata. Sa main abandonna mon poignet tandis que je tournais les talons en direction de là où nous venions. Mes mains se cramponnais à mes genoux. Fichtre. Merde ! Ma gorge me brûlait, mes yeux aussi et j'avais tellement mal aux jambes à force de courir. Mon coeur aussi me faisait mal. Il était comme compressé dans ma poitrine. Respirer m'était devenu un luxe. Un luxe que je n'étais plus capable de m'offrir.

« Qu'est-ce que je fais ? Bordel. Qu'est-ce que je fais ? »

Appeler la police ne me semblait pas une bonne idée, y retourner leur donnerait plutôt l'avantage mais fuir risquait de causer leur victoire, et puis ce ne serait que retarder l'inévitable. Je n'avais aucune idée de quoi faire.

« Demandons de l'aide à Mikey ! » proposa Takemichi.

Furieusement, je me tournais vers lui.

« Ferme la, bordel. » le coupais-je. « Mitsuya, Peyan et Pachin risquent déjà leur vie pour moi. Ils ont rien à voir dedans, alors personne n'appellera Mikey ! » je m'énervais.

Hinata me regardait avec inquiétude.

« On aura besoin de toute aide poᅳ »

Je sortais rapidement mon portable de ma poche et le déverrouillais avant de fouiller dans mes contacts. Je ne leur laissais pas le temps de répliquer.

Takemichi et Hinata me regardaient faire avec impatience. Un long silence persistait dans cette lugubre ruelle, ça n'annonçait rien de bon. Finalement, lorsque j'enclenchais le haut parleur, Hanma décrocha. C'était immédiat, me prenant par surprise.

« C'est touchant que tu m'appelles après avoir fini tes cours, ma belle, mais je suis un peu occuᅳ »

« Hanma, ilᅳil faut que tu m'aides, d'accord ? Ils sont là. »

Un silence retentissait la seconde suivante, j'entendais ensuite quelqu'un hurler de douleur et un corps s'effondrer au sol. La respiration de Hanma était bruyante, saccadée, elle me mettait immédiatement la puce à l'oreille.

« Qui est avec toi ? » il me demandait, plutôt grognait.

« Takemichi et Hinata. »

« Putain de merde. » il jurait. « On peut vraiment compter sur personne. »

« Hanma, qu'est-ce que tu fais ? » je lui demandais.

Il se battait, c'était évident. Je ne comprenais tout simplement pas comment tout ça avait pu arriver en l'espace de si peu de temps.

« Tu vas rire princesse. » siffla Hanma.

« Évidement.. Le contraire m'aurait étonnée. Qu'est-ce que t'as fait ? »

« Je me baladais comme de pur hasard dans le quartier de ton école etᅳ Oh, attends deux secondes. »

Sa main s'en allait saisir quelqu'un et furieusement le frapper. Il se déchaînait sur lui l'espace d'une bonne minute avant de rattraper son portable et de m'appeler. Il fumait en même temps, je l'entendais.

« Mhh, je suis toujours là. » répondis-je.

« J'en étais où déjà ? » il demandait. « Ah oui ! »

« Alors, comme je le disais; je me baladais dans le quartier de ton école et je me suis dis que je pourrais peut-être venir te chercher. Sacrée coïncidence hein, princesse ? » reprit-il avec amusement.

« Ça explique pas vraiment pourquoi tu te bat. » le coupais-je.

« Disons que.. j'ai peut-être ou peut-être pas croisé des membres de Asgard en chemin. Je crois qu'ils sont venus te chercher. »

La mine surprise d'Hinata n'était rien comparée à celle de Takemichi voire de la mienne. J'attrapais expressément mon portable entre mes deux mains et fronçais mes sourcils. Mon écran était si proche de mes yeux qu'il m'en cramait la rétine.

« Tu vas bien ? » je m'exclamais.

« Évidement que je vais bien ! » rit Hanma. « Je me suis pas sentis aussi bien depuis ce matin ! C'est le pied, bordel. »

Son grognement me fit haleter. Je jetais un regard en coin à Takemichi puis à Hinata.

« Takemichi, rends toi utile et va voir comment s'en sort Mitsuya. » je lui ordonnais.

Je le sentais longuement hésiter avant de finalement se mettre à courir hors de la ruelle. Hinata se rapprochait de moi, enlaçant son bras au mien puis déposait sa tête sur mon épaule. Je la sentais trembler. Ou alors c'était moi qui tremblais..? C'était moi. J'étais complètement paniquée.

« Hanma, fais vite. » je lui demandais. « Je les ai vus, ils avaient des armes.. Je sais pas combien de temps ils vont être retenus. »

« Je fais ce que je peux, princesse. » il maugréait. « Ils sont un paquet ici et il faut encore que je défonce ce connard à leur tête. »

« Tu vas vraiment mettre fin à tout ça ce soir ? » le questionnais-je.

Hanma bougeait de nouveau, je l'entendais réajuster la position de son portable et rapidement souffler. Il continuait de se battre, c'était à n'en plus finir.. À l'autre bout du fil, quelqu'un poussa un cri étouffée et retomba durement au sol.

« Ça fait trop longtemps que ces sombre fils de chiens m'empêchent de te voir, alors ouais, j'y mets fin maintenant. » il répliquait. « Tâche de rester en vie jusque-là. »

« Attends ! »

« Mhh ? »

« Par pitié Hanma, fais attention à toi. »

« Bien sûr. » il répliquait. « C'est plutôt pour eux que tu devrais t'inquiéter. »

« Non, je suis sérieuse. » le coupais-je. « Si tu meurs.. Hanma, si tu meurs je ne m'en remettrai jamais. »

J'étais terrifiée. Ma voix tremblait tellement et je sentais mon sang pulser violemment dans mes veines, jusqu'à faire palpiter de manière répugnante ma jugulaire. Je m'accrochais à mon portable, il fallait qu'il le sache. Il fallait qu'il se rende compte que la situation n'était pas à prendre à la rigolade. Sinon j'en deviendrai folle.

« Hey, princesse. » il reprenait plus sérieusement.

« Oui, Hanma. »

« Je serai bientôt là, alors fais attention à toi en attendant, t'occupe pas de moi. Je fais vite. »

« Mhh. c'est promis. » lui assurais-je. « À plus tard. »

« À plus tard. » il me sourit.

L'appel se coupait juste après et je relevais mon regard vers Takemichi qui revenait dans notre direction. Il était essoufflé et son air paniqué persistait.

« Ils... »

Déposant ses mains sur ses genoux, une fois arrivé devant Hinata et moi, Takemichi agonisa l'espace d'une bonne minute avant de se redresser.

« Mitsuya, Peyan et Pachin sont blessés mais ils vont bien. » il déclarait. « Il reste encore deux trois membres de Asgard debout. »

Je pensais immédiatement à quelque chose, quelque chose qui me fit brusquement me crisper. Je serrais mon portable entre mes doigts avant de relever un regard paniqué dans la direction de Takemichi et Hinata.

« Quand Hanma m'a parlé de ce gang, il m'a dit qu'ils étaient plus âgés et dangereux. » expliquais-je.

« Mhh. Ils doivent avoir la vingtaine. » acquiesçait Hinata.

« Sauf que ça m'étonnerait que Hanma se dispute contre un gang aussi petit. » j'insistais. « Ils ne m'ont pas l'air très fort, alors ils doivent sûrement miser sur le nombre et la ruse. »

« Qu'est-ce que tu entends par là ? » paniquait Takemichi.

La mine horrifiée de Hinata me confirmait qu'elle venait de comprendre ce que je cherchais à dire. Sa respiration se faisait inaudible et elle commençait déjà à regarder les alentours.

« Ce que je veux dire par là, » repris-je. « C'est qu'ils ne sont peut-être pas seuls. »

⸻𝖊𝖓𝖉 𝖔𝖋 𝖙𝖍𝖊;
𝐂𝐇𝐀𝐏𝐓𝐄𝐑 𝐓𝐇𝐈𝐑𝐓𝐘 𝐅𝐈𝐕𝐄.

⸻ᅳ𝖜𝖔𝖗𝖐 𝖇𝖞;
@_𝐒𝐇𝐎𝐄𝐒𝐔𝐊𝐄_

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