Chapitre 3: " la femme fatale"
«-Quelque chose à écrire, Texting-chan ?»
Ses mots ce répétèrent pendant quelques instants dans la tête un peu embrouillée de la jeune blonde. Celà fit rire un des vampires devant elle,un beau rouquin avec un fameux chapeau Fedora. Notre cher Laito était amusé par le bloquage de l'écrivaine.
«-Aww~ Notre petite Bitch-chan est toute embrumée~~ Kawaii-nee ~»
Il se baissa en faisant de l'ombre devant le visage totalement figé et incompris de leur nouvelle proie qui avait l'air, déjà bien succulente, du moins aux yeux des triplés. Le rouquin aux yeux émeraudes en profita pour se rapprocher en venant posé sa main fine et glacée sur l'épaule frêle de notre rédactrice de Shojo. Il avait un sourire bien particulier plaqué sur ces lèvres qui voulait tout dire sur l'action qu'il allait effectué et la douleur aussi.
«-Laito. Ton comportement commence vraiment à m'affecter. Enlève ta main de sur son épaule,c'est pitoyable.»
Ce ton froid avait rendue l'humaine moins dissipée dans ces pensées et releva la tête vers celui qui venait tout bonnement de lui faire évité sa première morsure,Reiji.
Mais,en voyant cadet des triplés à seulement quelques centimètres de son visage,elle fut traversé d'un coup de chaud qui se voyait très bien sur ces pommettes maintenant écarlates et chaudes.
Très vite le regard hautain et assez haineux que lui lançait l'ébène lui fit froid dans le dos. Maintenant,elle comprenait assez pourquoi Yui était aussi intimidée, surtout avec un tel regard sur sois.
«-Il faut lui faire regretter les choses qu'elle a écrite sur nous,elle le mérite. Tu es vraiment une humaine égoïste et vulgaire..nee Teddy ?..»
Le violet s'approcha de son frère pour ce mettre de l'autre côté de la blonde pour s'accroupir et venir lui humé l'épaule avant de lui prendre d'une force incongrue le petit et faible poignet de cette dernière pour qu'elle ne gesticule pas.
Elle sentie une douleur profonde dans ses os et puis dans son épaule. Kanato venait de la mordre, aillant planté de manière acérée ces canines dans la chaire de leur particulière banque de sang. Bien-sûr,elle couina mais rien de plus,elle était figée,elle avait trop mal et une grande peur l'envahit en se faisant collé par chacuns des frères qui la fit sombré dans l'inconscience...
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