I-𝑪𝒉𝒆𝒄𝒌𝒎𝒂𝒕𝒆
-L'hypocrisie, dit-il.
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↻6 juillet 2017
↻Lieu inconnus.
↻21h43
Pdv Omniscient:
L'odeur de sang et de sueur régnait sur le sombre lieu.
Où le métal était roi, et là où mort s'amusait à tourmenter les âmes de ses victimes, celle-ci s'exciter face au regard apeuré de ces pauvre vie.
Des bidons d'essence, des armes ; des ustensiles de torture ; des chaises et des chaines en fer étaient entre posé un peu partout, des murs peint de sang; des fenêtres barricadées, l'antichambre réserver au séance de sous-tirance informationnelle ,était l'une des plus craintes des sbires des quatre fondatrices de la mafia Kegareta-chi.
Au centre de la pièce, un amas de personnes était présent :
Les unités ainsi que leurs cheffes respectives, formaient inconsciemment un cercle, ressemblant fortement a un mur infranchissable.
Des cris essoufflés résonnaient en même temps que les bruits sourd-qui faisant pensée a ceux d'une arme- la principale source de ces acclamations stridentes ainsi que du mouvement se faisait apercevoir.
Tendant son arme à feu a son nouveau subordonné la jeune femme dont les yeux verts pourraient tromper plus d'un, sourie aux regards incertains du jeune homme.
Souriant gentiment, elle lui donna un coup dans le dos avant de s'exclamer :
—C'est un Hk Usp ! Une légère pression sur la gâchette et la balle se loge directement entre les deux yeux ! Fait donc attention quand tu la tiens Junpei !
Le dit Junpei avala difficilement sa salive sentant ces mains devenir moite avant de prendre l'arme dans sa main droite. Une ambiance des plus oppressante se tenait présente. Motivé à ne rater aucun bout de ce sinistre spectacle, la mort responsable de cette atmosphère se tenait dans l'ombre de ce flingue. Se tournant une nouvelle fois vers celle qui l'accueillis le nouvel arrivant s'inclina avant de recharger maladroitement l'Hk Usp.
—Relax baby~ Ce n'est pas en tremblant comme un cela que tu réussiras à la mettre.
Observant du coin de l'œil sa seconde supérieure au cheveux bicolore ricaner il fronça des sourcils, démontrant sa concentration.
Face à lui, sa victime.
Un homme âgé de la cinquantaine se tenait, essouffler, l'œil rougis et gonfler, l'autre n'y étant plus, la moitié du visage brûler, la bouche en sang et son corps dans un pitoyable état se tenait là, assis sur une chaise en métal, ligoté aux chevilles et au poignet.
Tentant de former un mot, tout ce que le quinquagénaire réussis à faire est bafouiller du sang et de la salive au plus grand dégout de la jeune femme qui fournit l'arme au nouveau mafieux.
—Junpei, tire-lui entre les deux yeux qu'en finisse. Ce vieux porc me dégoute du plus profond de mon être, lâcha la stratège du groupe, Ça lui apprendra les bonnes manières.
—Eh oh ! tu n'oublieras pas de saluer mes parents là-haut ! Ajouta dramatiquement Runa.
—Runa, pour la énième fois tes parents ne sont pas décédés, ils sont seulement partis vivre à Sugamo...N'empêche il pourra saluer Baji ! Sourie la blonde aux yeux azur.
—Oh la bâtarde- Ta osé haha ! plaisanta Runa.
—Fermez vos gueules. Junpei on ne te retiens plus, tire.
Fermant un oeil dans le but de visé en plein centre des yeux, Junpei fut arrêter par l'affolement du quinquagénaire.
—N-non, pfeu, s'i' fous p'aît ! '-e f-ous en '-fupplie ! Kagerata-chi-sama ! -'e vous donnerai tout che que fous foulez !
(*non, je-! vous- !s'il vous plaît, je vous en supplies !Kegareta-chi-sama je vous donnerais tout ce que vous voulez !)
De nouvelles larmes, cette fois rouge, se mirent à couler pour la trentième fois- depuis qu'il s'est fait enlever- le long de ses joues bleutées.
—Et puis quoi encore ? Tu n'es pas heureux ?-moi si j'étais à ta place j'en jouirais roucoula la voix de Miari. Tu sais que chez kegareta-chi on traite les traîtres avec luxe et ça mieux que nos ennemis~
Ecarquillant les yeux de terreur l'homme se mis à trembler et à s'agiter de plus en plus sur sa pauvre chaise.
L'idée de mourir l'horrifiait, comme auparavant l'idée de perdre son argent.
—Sincèrement, entre vivre et mourir dans votre état, mourir et plus préférable. Lâcha ennuyeusement Nao.
—Bordel Junpei tire avant que je ne le fasse. Tu veux peut-être le rejoindre en enfer ?? Râle Rei.
— Il ne m'en est guère envie Rei-sama, vos désirs sont des o-ordres !
Sans plus tarder le brun appuya légèrement sur la gâchette en métal de l'Hk Usp.
La balle se libérant dans l'immédiat, elle vient se loger entre les yeux horrifiés de l'homme.
Sa tête se heurtant en arrière, les lycoris rouge parsemée sur le Chemins des enfers vint accueillir le dénommé Tozen Suzuki, homme d'affaire. Il était si avide de richesse qu'il en a mis sa vie en jeu. Les fleurs sont donc là pour lui rappeler que là-haut tous les hommes sont égaux devant la mort et le jugement divins...
Tendant avec les deux mains tout en se courbant, l'arme à Nao, Junpei, nouveau membre de la mafia Kegareta-chi remis l'Hk Usp a son propriétaire.
—Bien joué Junpei, néanmoins la prochaine fois tu n'hésites pas ! complimenta Nao
Hochant la tête, le jeune homme âgé seulement de la vingtaine se retira discrètement, rejoignant le bâtiment principal appartenant richement a la mafia Kegareta-chi.
—Cheh, il n'avait pas qu'à nous confondre avec des moutons. Cracha Runa. J'espère que l'enfer finira ce qu'on a commencé haha !
—Je te jure, il a vraiment cru pouvoir nous arnaquer et nous voler 1,251,873yens comme ça ! *(9000€) ajouta Miari.
—Vos gueules, vous me soûler.
S'avançant vers l'une des portes du vieux garages du bâtiment -où se trouvait le groupe de mafieux- Rei sortis du lieu confiner avant d'ordonner à ces troupes :
—Les merdeux, vous me ferait le plaisir de tout nettoyé sa empeste le sang. Sur ce a plus~
Refermant les portes rouillées de la salle provoquant un cri strident de celle-ci, Rei s'en alla laissant les trois autres jeunes femmes et la quarantaine d'homme, présent, au milieu de cet attirail ensanglanté. L'unité tertiaire de Rei se mis à la tache tandis que le reste des mains d'hommes de la mafia se dispersèrent après s'être inclinée profondément auprès de leur supérieur.
Ne restant finalement que l'unité de la jeune Canado-japonaise ainsi que les trois mafieuses, celle-ci décidèrent d'aider leurs subordonnés. Ou du moins, excuse trouver par Miari voulant discuter plus longtemps dans cette salle.
-—Je pense vraiment finir par te l'interdire la salle de torture Miari...soupira dépiter Nao face au sourire jouissant de la blonde. Tu es pire que Sanzu et ses pilules, vraiment.
—C'est toi qui as un vrai problème à me comparer à lui !!
—Nah ne met pas dans le lot des bêtises de Runa, grimace-t 'elle Oh et puis vous pensez quoi des stratégies de l'autre chouette ?
—NUL ! NUL ET NUL s'écria énergétiquement Runa faisant sursauter quelqu'un des subalternes présents.
—Beuh , c'est son problème, tant que je peux questionner geeentiment moi ça me conviens~
Soupirant pour la énième fois, Nao souris abuser du comportement enfantin de ces deux meilleures amies avant de se diriger à son tour vers la porte en acier. Effectuant les mêmes gestes que sa précédente, elle fit un dernier signe de la main avant de quitter définitivement les lieux, autorisant seulement à son odeur corporelle parfumé a l'amande occuper les lacunes de ce site habité par les incubes maudit.
Les hommes de mains de Rei ayant fini, se dirigèrent à leurs tours vers la porte.
Et tel des voleurs, âme par âme quittèrent ce lieu si lugubre et semblable à un abime sans fond ou les crissements du feu se mêlent aux cris inaudibles des précédente victime au corps enfoui par la terre mère, préférant maintenir le mutisme de ces horreurs dont la lune est fâcheusement témoins...
-Demain, dirent-ils, sera un nouveau jour. Laissant donc le soleil illuminer notre destiné et la lune effacer nos pêchés.
↻6 Juillet 2017
↻Cabinet général Hano, Shinjuku
↻18h34
Pdv Nao:
❝L'hypocrisie dans ce monde m'étonnera toujours. Cependant les blessures qu'elle afflige sont douloureux et destructeurs. Et j'aimerais dire que le temps n'aide pas et agrandis la noirceur qui abrite le cœur. Puis trahison et mensonge s'invite dans la danse et l'organe de vie, lui, pourrie du venin de cette triste cacophonie. Les larmes de la réticence résonnent dans les couloirs de l'ignorance et cette adjectifs amer prend plaisir à semer apathie et atonie. ❞
Posant mon stylo noir sur la surface de la table, j'observer avec lassitude le bout de papier froissé sur laquelle je venais d'écrire un petit paragraphe sur l'hypocrisie, une idée qui me vint soudainement comme à mon habitude quand je fais face a l'ennuie. La salle plongée dans le noir -ou du moins quelque léger fuseau lumineux éclairer la pièce par-ci par-là- me donnait envie de vomir sachant que l'odeur typique d'une clinique planer, ne m'aider pas trop. J'ai plus de patient depuis une bonne heure et mon service ne s'achever que dans une demi-heure de quoi me frustrer.
Toc Toc
Relevant la tête a l'entente de ce bruit trop présent dans ma vie, je lâchais un petit « oui » avant de voir la porte s'ouvrir délicatement et laisser entrevoir mon patron. D'un air aigri il me toisa du regard jugeant forcément l'états de la pièce actuelle avant de me regarder avec dégout. Avachis sur mon bureau en désordre, jambe croisée dessus, un caprisun dans la mains droite l'autre occupé par la feuille chiffonné et par-dessus tous mes cheveux en désordre, souriant bêtement je me rassis correctement sans manquer de renverser ma boisson et la moitié de la paperasse au sol. Lâchant un rire nerveux et un « désolé » je me tournais complètement vers lui, le voyant devenir rouge de colère.
—Docteur Igarashi puis-je vous être utile ?
—Non, fit-il sèchement, Je suis présent seulement pour annoncer la fin de votre service. Comme promis vos congés de l'année sont avancés et vous disposer donc de cinq jours plus du jour férié et du pont qui arrivent soit d'une semaine complète.
—Oh ça ! Je vous remercie infiniment Docteur ! dis-je en m'inclinant après m'être relevé pour ramasser le tas de feuille au sol.
—Oui oui épargnez donc moi vos éloges et compliments. Sur cette bonne fin de journée je vous laisse et a lundi prochain.
Replaçant ces lunettes, il inclina légèrement sa tête faisant bouger ses quelques cheveux restants. Souriant tout en m'inclinant une dernière fois, je ne pus m'empêcher de grimacer lorsqu'il referma la porte.
Connard va à tout moment je te fous une balle dans la tête avec ta vieille calvitie.
Continuant de marmonner dans ma barbe imaginaire, je décidai de ne faire aucun effort et de laisser mon bureau dans l'état catastrophique actuelle. Ça lui apprendra à me prendre de haut. Heureusement qu'il ne me reste un mois et mon contrat sera enfin terminer et je pourrais à ce moment ouvrir mon propre cabinet psychologique !
Souriant face à l'idée qui germât dans ma tête, je sortis en de la salle, salua la secrétaire et rejoignis la rue bondée de Shinjuku, célèbre quartier des affaires de Tokyo. Mon téléphone en main, je portais mon intention sur lui lorsque je vis une notifications « messagerie » avec la tête de Runa en gros plan. Déverrouillant mon mobile j'appuyer sur l'icône qui fit apparaitre la discussion et ou le message de mon amie bourrée de point d'exclamations était : « NAOMAKI JE VIENS TE CHERCHER OU PAS ??!!! »
Pouffant je répondis par l'affirmatif avant qu'elle me réponde dans la seconde près par un énergétique : « JE SUIS PAS TRES LOIN J'ARRIVE »
Et c'est en moins de cinq minutes que je vis Runa arrivée dans sa Bugatti Bolide flambante neuf, attirant quelque regards discrets et curieux. Se garant face à moi, je me dirigeai d'un pas rapide avant d'ouvrir la portière arrière, d'y jeter mes affaires et prendre place au cotés delà rousse soit en avant. Saluant verbalement Runa, je mis ma ceinture et ajusta mon siège en position semi-allongé. Littéralement parlant je me mis à l'aise.
—T'es pas censé finir à 19h toi ?
—En effet, mais mon patron il m'a libéré plutôt ce chien. Dis-je d'un ton las, il commence sérieusement à me les briser.
—Tu sais ma grand-mère elle me disait quoi quand j'étais petite ? Brise les gens avant qu'il ne te brise...GENERIQUE !
Runa enclencha sa playlist Spotify et sortis de la boite a gant une paire de lunette et de soleil et se mis à agiter frénétiquement la tête sous mes rires enfantin. Augmentant le volume, elle se mis à crier les paroles de la chanson, sortant mon téléphone je me mis à filmer hilare de sa bêtise jusqu'à ce qu'un bruit sourd vienne stopper notre délire.
Coupant la Bluetooth ainsi que la musique, j'abaisser ma fenêtre pour y sortir ma tête et chercher la cause de notre dérangement.
—Meuf, tu m'explique pourquoi il y a une vingtaine d'Arson Martin derrière nous ?
Runa releva son regard sur le rétroviseur avant de grimacer.
— Elles ne sont pas à nous en tout cas- On a que des Maserati et des Porsche, nous, sauf moi mais t'a compris !
— Sans blague Runa ! Mais elles ont à qu-
Le son d'une détonation retentis, sur l'espace d'une demi-seconde je vis la balle de ce que j'ai pu reconnaitre, un Desert Eagle. Rentrant ma tête sonnée d'avoir frôlé la mort, je me tournai vers Runa le visage blanc :
—Meuf accélère et prend le prochain virage en serrée ! C'est le putain de Bonten a nos trousses !
Son visage se décomposa à la mention du nom de notre mafia ennemie. Ces sourcils roux se froncèrent et je vis sa jambe presser la pédale de l'accélérateur en même temps que sa main gauche qui s'occupait de passer les vitesses et comme mentionné plus haut, elle prit le premier virage serrer qui s'offrait a elle. Sortant maladroitement mon téléphone, je le déverrouillai les mains tremblantes avant d'appuyer sur l'icône appel est d'appeler Rei.
Je devrai me calmer, la panique ne m'aidera à rien.
Inspirant un bon coup, je répondis au troisième « Allo » de la stratège :
— Numéro 69, Arson Martin, armé pour l'instant d'une Desert Eagle, débriefais-je a la jeune canado-japonaise.
Plus jamais je ne laisse MiARI s'occupait des noms de code d'urgence...
—Ah merde...
— Rei un peu de sérieux !! c'est le bonten bordel !! l'affrontement n'étais pas censé être cette nuit ?
La voix de Rei me parvient sourde après que l'une des voitures de ces salop vint heurter celle de Runa, ce qui nous fit dévier de la route et sûrement allez nous écraser pas très loin, cependant de manière professionnelle elle réussit à maintenir le volant et la voiture sur le droit chemin et réussis les semer pour quelque minute en tapant sur l'accélérateur tout en s'aidant du plan étroit du quartier. Prenant mon PM, un pistolet semi-automatique je le chargé de ses cartouches et enclenchais le croché du chargeur situé en dessous de la poignée Le système de mise en feu est de type simple-action à chien externe ce qui faciliter la tâche lors des situations d'urgence, débloquant celui-ci, je détachai ma ceinture et abaissa ma fenêtre pour ne faire sortir que le haut de mon corps non protéger. Tirant trois fois de suite, je réussis à viser dans le mille les fenêtres ainsi qu'un des vise du pneu avant de l'Arson Martin qui explosa faisant rouler la luxueuse voiture du Bonten sur le cotés. Fière de moi, je pointais mon arme cette fois sur l'œil visible de mon adversaire, les cheveux au vent, je sourie pour je ne sais quelle raison et appuya sur la gâchette.
Un ennemi de tuer.
Pdv Omniscient :
Le soleil se coucher, la lune se dévoiler. Certaines étoiles émerger de leurs sommeils avec douceur tandis que le ciel se teinté d'une couleur écarlate, le quartier d'Ikebukuro lui, maintenez son rythme jovial et chic. Les multitude couleurs qui s'y trouvait, les affiches et les panneaux publicitaire enrichissez ce quartier, célèbre pour son riche commerce industrielle et électronique, les milliers de personnes présente sont principalement la pour leurs shopping, cependant ce qu'ils ne savaient pas c'est que dans les minutes qui vont suivre, des victimes surplomberont les rues animé du quartier.
Passant la vitesse au maximum, Runa pris la première voix qui s'offrit à elle, sortant du quartier Shinjuku elle pris la route pour Ikebukuro. Les tirs des différentes armes à feux persisté dont ce de Nao qui fut rejoint par son unité équiper jusqu'au dent. Sur un rapide appel de la part de Miari, elles se sont convenu de se retrouver au quartier du shoppings pour laisser à Rei et la blonde le temps de s'y rendre et de former une embuscade au Bonten.
—S'ils pensaient pouvoir nous avoir par le temps, qu'ils se foutent les doigts dans les yeux parce-que nous on les auras par force ! c'était écrier Runa.
Du cotés de Rei et de Miari ainsi que le reste des membres de la mafia Kegareta-chi la tension n'étais plus que palpable. Le coup bas du Bonten avaient fait montée en eux une colère et un sentiment d'angoisse sombre. Rei appliqua à rapidité une stratégie et partagea la plupart de ces plans de secours. Actuellement l'essaim divisé en 4 unités sans compter celle de Nao qui étais a avec elle, était dispersé dans différent lieux du quartier tapis dans l'ombre de leurs voitures. Pour plus de discrétion beaucoup prirent des voitures banales mais tous demeurer fidèle a leurs costumes ou le nom de leur mafia trônait avec présomption et a une seule idéologie : Abattre le Bonten.
Le grondement des moteurs des luxueuse voiture se firent entendre. Certains passant à l'oreille fine se retournèrent par curiosité mais rien encore ne paraissez.
« Il faut attendre encore quelque seconde », se murmurer Miari, allongé a plat ventre sur le toit de l'un des gratte-ciels de la ville. Celui-ci n'était ni trop haut ni trop bas, parfait pour viser le front de ces adversaires en pleine course poursuite. Son doigt démanger, voulant a tout pris appuyer sur la gâchette, son impatience grandissez. On entendait très clairement les coups de feu et les ronronnements surpuissants des bolides mais aucun signe a l'horizons. Son unité était également nichée en hauteur tandis que les sous-unités générales demeurer au sol, parmi la foule ou encore enfouis dans les recoins stratégiques des arrondissements. L'attente et la nervosité étaient à leurs plein, le pied de la blonde au yeux azur ne pouvais s'empêcher de s'agiter et de crée un bruit insupportable et répétitif.
—Allez, murmura-t-elle, a trois...un...deux...trois !
Une centaine de voitures fortuné et noir arrivèrent en grande vitesse. L'on pouvait repérer celle de Runa et de l'unité de l'algéro-japonaise, faisant sadiquement sourire Miari :
— WAHA ! Parfait, parfait, parfait !
Se tordant dans tout les sens comme si elle en éprouver une certaine jouissance, Miari enclencha le viseur, rapprocha son visage et laissa libre choix a son index de presser la détente. Passant sa langue sur ces lèvres, elle se mis à rire lorsque la première balle fut dégagée et qu'elle pénétra pleinement dans l'œil de son ennemi au volant ; de son viseur elle pus voir le sang jaillir et la voiture dévier jusqu'à s'écraser contre un stand créant un mouvement de foule.
—haha ! regardez-moi ça, regardez-moi ça ils ont peur !
Une seconde seulement suffit pour que son index pressent à nouveau la détente et que la cartouche en argent s'éjecte avec vitesse et précision pour rencontrer sa nouvelle victime. Une troisième balle, fut libérer, une quatrième puis une cinquième, certaine réussirent à attendre les hommes du Bonten, d'autres les habitacles de ceux-ci et d'autres d'autre missile furent malheureusement intercepté par d'innocente victime. Et que ce soit en hauteur ou a terre, les balles fusaient sans pitié a travers les rues bourrer des citadins affolés par ce soudains drame terroriste.
Il fallait dire les thermes que ce soit le Bonten ou Kegareta-chi, aucun des deux ne se préoccupait des hommes, femmes et enfant présent ce soir-là.
Se mettant à genoux, elle ajusta le viseur a bonne hauteur, elle replaça l'auriculaire a sa place, son sourire si carnassier disparus d'un coup laissant place a un regard amer de douleurs. A travers l'objet de ces crimes elle vit au bord d'une Arson Martin l'homme qui dans le passé avait d'elle une vraie poupée au cœur brisé...
Les cris de la foule s'élevaient dans les airs et se mélanger à celle des voitures. Assise au volant de sa Porsche garer dans un parking vide près du cinquième arrondissement d'Ikebukuro, Rei, une oreillette ou toutes les informations de l'unité de Nao étais transmise, écouter religieusement tout ce qu'on lui informer. Son cerveau boosté, il était comme une machine en surchauffe, tentant de mettre en place les meilleures et les plus rusé des plans afin de pouvoir renverser l'empire que voulaient bâtir le Bonten. Elle avait donc décider de prendre en sandwich l'organisations ennemie au moment ou ils arriveront au carrefour du quartier. Des renseignements qu'elle a eus, leur proie ne serait qu'a quelque mètre du piège. Son sous-chef est chargée de lancer le signal contre la mafia adverse.
Alors qu'elle venait d'enclencher le moteur, une surface métallique froide vint se poser contre sont front, reconnaissant l'objet, Rei, resta stoïque et maintint sont sang-froid.
Pourtant a l'intérieur d'elle un flot d'émotions amer et acerbe vint compresser son cœur, les larmes pourraient menacer mais la jeune femme appris bien avec le temps qu'il était inutile de les déverser face a celui qui les a amenés...
— Tiens tiens...qui voilà ?Le boss du Bonten en personne.
— Epargne-moi tes discours. Fit-il sèchement après quelque seconde.
— Pff, tu rigole ? Tu es le premier a savoir que je suis bien plus silencieuse que ça. Répliqua-t'elle en appuyant sur le « Tu ». Que me vaut ta venue connard ?
Ne réagissant pas, il se contenta seulement de cogner la tempe de la jeune femme avec son revolver.
—Ne fais pas la maligne avec moi. Je suis ici pour en finir.
Souriant avec mesquin, Rei décider de jouer le jeu. Restant neutre, le regard fixant un point vide face à moi, je répliquais avec sadisme :
— Va te faire foutre. Le bonten est fichus.
— Fichus ? Tu demanderas à Sanzu, je n'ai pas de compte a te rendre.
Son gun descendait petit a petit, longeant son visage ainsi que son cou jusqu'à arriver au-dessus de sa poitrine. Son cœur se mis à battre, comprenant l'allusion de ces mots.
—Tu na quand même pas...Batard, je sais que tu en es capable ! s'écria-t'elle soudainement sans jamais bouger d'un pouce. Tout ça c'est entièrement de ta faute Mikey...tu n'es qu'un sombre salaud.
Rei le sentais cette sensation dans son estomac se tordre dans tous les sens, qui lui donnait le tournis et cette misérable envie de recracher son dernier repas.
Et putain,difficile pour elle de se l'avouer mais c'est bien de la peur.
Ce sentiment angoissant qui te pèse sur L'estomac et te noue la gorge quand tu es face à ton cauchemar, face à l'inconnu tel que l'incertitude lié a la mort. Ce sentiment qui te ronge les entrailles et te bourre le crâne d'horrible pensée et te coince dans une boucle d'illusions vicieuse et mauvaise.
Elle n'y tremblait presque rien qu'en n'y pensant.
Elle ne voulait pas mourir et encore moins des mains de Mikey, alors sans hésitations et avec la rapidité d'une flèche elle prit son Hk Usp et tira près du jeune homme, qui par instinct recula rapidement. Sortant de la voiture, elle fonça sur lui, et lui envoya un premier coup de pied qu'elle suivait de son poing droit et d'une tire aveugle de son arme à feu. Mikey esquiva avec agilité les actions de la jeune canado-jaonaise avant de répliquer à son tour.
Il s'en suivit d'un violent combat ou étrangement, seule Rei fut gravement blessé.
— Laisse tomber...Ton heure est arrivée...Dit-il sans émotions, son Hk Usp pointé sur la canado-japonaise, à genoux au sol. Un dernier mot ?
— Tsk...T'es un putain de batard...
Et sans la laisser ajouter un mot de plus, Mikey appuya sur la détente. Le corps maintenant sans vie de Rei vint s'écraser contre le sol froid du parking. Elle aurait aimé lui dire, mais ces démons lui interdirent tout autre mot pouvant éveiller son cœur meurtris.
Rentrant sans effort son arme dans son jean, Mikey laissa un dernier regard, cette fois brisé à la défunte avant de s'en aller. Il prit son téléphone avant de contacter ces acolytes :
— Il ne reste plus que Nao dépêchez-vous.
Ces pas résonnait contre le béton et dans son cœur ces derniers mots furent entendus par elle : « On se reverra...ku. » une larme des plus froide vint s'écraser sur le béton abimer du parking...
Les sirènes de la police et des pompiers résonnaient a travers la ville de Tokyo, une foule de journaliste se précipiter sur les lieux, les grands journaux affiché déjà : « Drame a Ikebukuro » « Une fin d'après-midi ensanglantée » ou encore « La mafia vide le pays de son sang. ».
Roulant a plus de cent quatre-vingts kilomètres par heure, zigzaguant entre les ruelles, Nao, sous le choc de la tournure des évènements, tenter de fuir le Bonten. Après avoir lutter comme des sauvages, son équipe mourut sous les décombre d'une explosion, Runa fut tuer sous un violent accident ; un camion du Bonten lui fonça dessus l'envoyant s'écraser contre plusieurs stands. Quant a Miari, elle apprit des quelques membres survivants qu'elle périt tuer par plusieurs balles après avoir exploser les têtes de la moitié des hommes du bonten par les mains des frères Haitani.
Alors que la jeune femme au yeux émeraude s'acharner à raisonner, elle ne vit pas la voiture face a elle. À la dernière seconde qui s'offris a elle come une dernière chance, elle bloqua le volant, pris appuie sur le frein et fis une doublure dite « sèche ». La voiture s'écarta de la route et détala sur tout le long du bitume ou plusieurs passant y étais encore et causa un bruit assourdissant effrayant les rescapés. La voiture complètement retournée, la brune tenta d'y ressortir. Cependant tout le bas de son corps était opprimé par l'habitacle.
Voyant une masse de monde arriver elle prit son Pm semi-automatique, le chargea avec habilité et se mis à tirer l'aveugle.
Des corps tombées, des cries se faisait entendre, et les oreilles de la jeune femme se mettaient à siffler, son cœur s'oppresser, sa respiration se couper. Ce cocktail de confusion entre la douleur physique et émotionnelle la rendait folle. Son arme décharger, la force nourris par sa haine, se dissipa. Ses larmes se rangèrent dans les coins de ces yeux qu'elle ferma par douleur.
Alors qu'elle priait pour que tout s'arrange, que cela se finisse, elle ne fit pas attention a la personne qui c'était accroupis a ces cotés. Sentant une main chaude se réfugier dans la sienne, son cœur se brisa.
Un flot de regret émergea en elle et les premières larmes s'échouèrent le long de ces joues.
—N-Nao-chan...C'est bien toi ?
Une voix fébrile parvint à ces oreilles lui forçant a ouvrir ces yeux. Ces prunelles vertes croisèrent directement les azurs d'une personne qui lui étais chère et dans elle n'aurais jamais crues revoir aujourd'hui...
— Takemichi...sa voix se brisa, Michi tu fais quoi ici ? Part c'est dangereux...
Le jeune homme la regarda en pleure et dévaster, du sang étais visible sur son tee-shirt certifié « shonen » et son corps entier chanceler.
—Nao-chan , je suis là pour te sauver ! J-je...demande-le moi..Oui suffit juste de me le demander et je te sauverai, toi, les filles et le bonten !
Les pleures de la jeune algéro-japonaise devinrent plus fort.
— Je veux... A la maison..Je veux pas rester ici, je veux pas mourir putain !
L'intonation féminine parvint aux oreilles du dénommé Takemichi qui tenter coute que coute de se convaincre lui-même qu'il pouvait la sauver.
— Michi, je veux revoir Taka-kun, lui dire que...Euh...Laisse...mais je veux revoir le toman, dit moi michi, pourquoi tout a finis comme ça ? Pourquoi tu es partit ? Pourquoi j'ai décidé de partir ?? Une multitude de question traversé son esprit brouiller, multipliant les larmes de la brune. Pourquoi Mikey est partit ? Pourquoi ? Il y a douze ans tout allez bien alors pourquoi ?
Les paroles désolant de la jeune fille, s'éteignez peu a peu avec sa voix. Un filet de sang s'échapa de ces lèvres avant qu'elle ne se mette tousser violement, le liquide vie continuer de couler puisant toute les forces de la jeune femme. Comprenant que la mort l'emporter, Le jeune blond s'écria une dernière fois avant que le temps ne l'emporte réellement:
— Je te sauverai Nao-chan je te le promet ! Je te sauverai vous tous j'en fait le serment ! dit le Noa-chan , dit-moi que tu veux être sauver !
Le jeune homme pris délicatement la main de Nao avant de la serrer fortement contre la sienne, pleurant de plus en plus fort. Souriant avec le peu de force qu'elle avait, la brune au yeux vert ferma les yeux ,et dans un murmure que Takemichi écouta religieusemen alors que son corps devenait bleu, signe du refroidissement de celui-ci, Nao donna la liberté a ses derniers mots:
— Michi, sauve-moi.
"Et c'est 11 ans plus tôt que Takemichi aurais dû agir."
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AnyWayy2 🍂
Waouh ! Enfin publier !!! Je suis Désolé mais vraiment Désolé pour l'attente !!! J'espère que cela vous as plus !
Oubliez pas de voter et de commentez ça fait toujours plaisir :3
Sur ce bonne nuit /journée</3
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