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~Ciré en media~


||C I R É||

Aujourd'hui c'est samedi donc pas de travail sur le chantier, Ibrahim mon cœur ne va pas y aller aussi pareil pour Prince mais, Alima est de garde ce matin elle fini à quatorze heures c'est cool parce qu'on a décidé de faire une sortie entre couples ce soir à partir de vingt heures.

Donc comme il est que huit heures je fais correctement le ménage puisque ma mère dort jusqu'à présent, et je veux pas qu'elle m'assassine avec son bâton mdrr.

Après avoir fini le ménage, je vais me laver puis pars au marché tout près d'ici. J'ai acheté tout ce qu'il fallait et je suis rentrée.

Il était déjà dix heures du matin presque onze heures. Ma mère était déjà debout entrain de boire son thé.

Vous avez remarqué j'ai pas dis je déjeune et tout, parce que moi je déjeune à douze heures comme ça là ça va trouver mon estomac il est bien réveillé mdrr.

-- mbóte yaya, bien dormi ?

Yaya : oui ma fille j'ai très bien dormi? Tu sors d'où comme ça ?

-- na yaka ya otambola °•je viens du marché•°.

Je vais dans la cuisine et pose tout sur la table puis m'assieds à côté de ma Mamá.

-- yaya?

Yaya : boye ngai mwasi ? °•oui ma fille?•°

-- est-ce qu'au moins Mama-nkoko °•grand mère•° t'appelle pour kosalisa yo nsango ? °•prendre tes nouvelles ?•°

Yaya: haa toi même tu sais qu'elle s'en fout de moi. Pourquoi elle va m'appeler ?Ntembe mpo afingi to ya kozokisa °•Sûrement pour m'insulter ou me rabaisser•°.

-- hum pourquoi ces palabres entre vous? Moi qui pensait que vous êtes malamu mwasi mpe mère na ya libota °•meilleure fille et mère de la famille•°.

Yaya : ça c'est depuis y a longtemps ma fille hum on s'entendait bien, on riait à la perfection atako óyo mpóso te ngáí °•mais c'est pas moi•°. Mes petites míbalí ne m'aimaient vraiment pas, elles ne faisaient que mentir sur moi et ça jusqu'à présent hein.

-- ha bon quel nkuta °•mensonge•° Mamá ?

Yaya: tu sais que ta tatá Sandie m'aime vraiment pas du tout, elle a osé dire que moi tous les jours son mari vient ici et couche avec moi, et ça devant toute la famille hum.

-- haaaaaa !

J'ai crié en mettant ma main sur ma bouche.

Yaya: sois pas étonnée mwasi y a beaucoup de truc qu'elle m'a fait subir moi ma petite sœur, même sang hein. Même ta tatá Viviane la suit comme sa chienne toujours là à m'insulter de tous les noms.

-- mais Mamá j'espère tu parles aussi hein parce que c'est pas possible ça. Tes petites sœurs ??

Yaya: ah mwasi je peux rien dire ohh quand je dis je vais parler ta mama-nkoko me dit de me taire. Même ton oncle George m'a giflé une fois.

-- non Mamá tu gardes tout ça pour toi tu me dis rien, je ne savais pas que mama-nkoko était si mabe °•mauvaise•°

Yaya : tout le monde à sa nature ma fille oh hum j'ai tant été humiliée dans cette famille alors que j'ai vraiment rien fait hein. Je fais que du bien ils ont oublié tout les mosala°•services•° que je les ai rendus.

-- vraiment Mamá je sais pas comment tu peux ekosala °•supporté•° tout ça hayy.

Yaya : je suis habituée ohhh mwasi.

-- non Mamá tu peux pas continuer à te taire de la sorte il faut aussi komoniza lokola yo ezali ya Dayana °•montrer que tu es une Dayana•°.

Yaya : mmh tu sais mwasi dans la vie il faut apprendre à laisser le passé derrière nous et marcher vers l'avenir. Quoiqu'il nous arrive ou quoique nous soyons en train de vivre, akokaki ntango elikia mpe mapamboli °•ayons toujours confiance en l'avenir•°,

Souvenons nous qu'il y a toujours une lumière au bout du tunnel. Ne considérons pas les makambo lokola yo akokaki ndakisa nazwaki °•choses que nous avons comme acquises•°. Ne prenons jamais quoique se soit pour acquis et n'attendons rien des autres.

En étant nous-même, yo abakisaki eloko moko makambo óyo kitoko na mokili °•nous ajoutons quelque chose de beau au monde•° quelque chose qui n'était pas là auparavant.

-- hum ok yaya j'ai compris.

Yaya : lève tes fesses maintenant et va cuisiner il est douze heures passées de trente septs minutes.

-- hayy medsly Dayana moi mes fesses ?

Yaya : c'est mbata tu veux c'est hein?

Donc je me suis levée et j'ai bien préparé quand j'ai fini il était déjà quinze heures. Je suis partie me laver et me reposer un peu j'étais trop fatiguée.

||P R I N C E||

Vous me connaissez déjà je suis le mari à Alima et j'en suis fier mdrr bon aujourd'hui c'est repos et demain aussi donc tout le monde est content.

Y a une soirée aujourd'hui à partir de vingt heures et qui a eu cette brillante idée bha c'est ciré mdrr elle est très sociable ma belle sœur.

Il est déjà seize heures et demi nous avons le temps d'abord ma merveilleuse femme était partie dans la cuisine me chercher à boire, elle revient avec un plateau je bu de l'eau fraîche.

Elle voulait reprendre le plateau sur la table basse et repartir dans la cuisine mais j'attrape sa main et la met doucement sur mon torse.

-- y a quoi bb? Pourquoi tu es si pâle aujourd'hui ? Tu dois être contente non? Ou c'est le boulot qui te fatigue comme ça.

Alima : non mon cœur sava je t'assure c'est juste que je suis un peu fatiguée c'est tout rien de plus.

-- bha alors va te reposer avant notre sortie hein chérie... Attend

Je la soulève et la prend comme une princesse.

Alima : azali, na ezali nini ekozala bb °•attend, tu fais quoi là bb•°?

-- ça ne se voit pas ? Bamemaki ngai malamu alingaki oyo ya kolala °•j'emmène ma bien aimée dans la chambre•° pour qu'elle puisse se reposer.

J'ai couru avec elle mdrr je l'aime trop ma petite femme.

Alima : malembé olala °•doucement•°

Elle a pu dormir... J'ai entendu on sonnait à la porte je suis parti regarder qui s'etait.

C'est ma mère, j'espère elle n'est pas là pour crier sur ma femme hein parce que si c'est ça elle n'a qu'à vite retourner chez elle.

-- hee Mamá mbóte na yo °•salut•°

Elle me dépasse, pas de réponse ok. Je la laisse s'installer dans le salon.

-- sava mamá ? Je te sers quelque chose à boire.

Mamá : non je ne suis pas là pour boire assied toi seulement j'ai à te parler.

-- Mamá si c'est le problème d'Alima on en a déjà parlé je crois

Mamá : assit je dis!

Bha okay je m'assieds.

-- je t'écoute.

Mamá : bien c'est pour juste te dire je ne supporte plus cette situation je veux que tu prennes une deuxième femme, qui peut au moins avoir des enfants.

-- mais attend Mamá. Nini? Non je peux pas mamá, ça non. Pourquoi t'es pressée ? Un enfant c'est un don de Dieu s'il dit qu'Alima peut pas avoir d'enfant c'est sa volonté et personne peut la changer. Je suis désolé mamá mais je veux que tu chasses cette idée de ta tête que ça soit claire je vais pas prendre une deuxième femme. Alima est ma première et ma dernière femme.

Mamá : ah bon hein? Si tu décides comme ça alors il faudra choisir entre moi et ta stérile et stupide femme d'Alima !!

-- quoi Mamá ? Mais t'entends tu parler au moins? Non non mamá! je ne peux pas faire ce choix là. Mais je vais pas prendre une deuxième femme pourquoi même? j'aime pas la polygamie. J'ai signé pour la monogamie.

Mamá : Prince je suis ta mère, celle qui t'a gardé dans son ventre neuf mois qui a supporté toutes tes caprices d'enfance, Alima n'était pas là pour m'aider je te rappelle. Donc je vais te donner juste une semaine je dis bien une semaine pour que tu puisses réfléchir à : kopono ya mibale mwasi to ntina °•choisir une deuxième femme ou m'oublier•°.

-- mamá non je crois pas tu pourras faire ça ?

Mamá : ah malamu na bindimeli sango te? moto ya amona sango te ntango °•ah bon tu crois hein? On verra bien alors•°

Elle prend son sac et s'en va. Mais pourquoi insiste-t-elle ? c'est insensé enfaite. Comment dire ça à Alima moi elle me suffit amplement avec enfant ou pas mais pourquoi ma mère déteste tant ma femme et pourtant elle n'a pas choisi d'être stérile. Personne ne le choisi d'ailleurs.

{•••}

On était en route pour la soirée, ciré m'a appelé qu'elle s'y trouve déjà avec Ibrahim.

-- bb sava maintenant ? Tu te sens bien ?

Alima: oui oui tout va très bien maintenant lol je me suis bien reposée.

-- cool alors chérie !

Je ne lui ai pas dis pour notre entrevu avec ma mère, on va a une soirée là je ne veux pas qu'elle se sente mal au moment venu je vais lui dire. Elle a bien dit une semaine. Ok.

Arrivé sur le lieu de rendez-vous on voit le couple Diallo arrêtés devant un restaurant chic et classe c'est trop beau à voir de l'extérieur et à l'intérieur les baies vitrées le montre.

Nous les rejoignons je vous passe les salutations.

On a commandé nos plats...

Ciré : alors le couple Kadjo le restaurant vous plaît. C'est choisi avec mon ibou hein.

Alima: bah oui hein trop beau en tout cas vous avez bon goût sans mentir.

-- oui tout est vraiment magnifiquement magnifique. Et vous mes deux femmes vous êtes sublimement sublime avec vos robes africaines.

Ibou: oui trop classe lol.

Ciré et Alima: merciiiiiii les n'amours.

-- au faite Ibra c'est pour quand le mariage avec ma belle ciré ?

Ibou: ha...bon...à vrai dire on hésite un peu entre les dates quoi mais c'est pas pour dans longtemps mdrr.

-- okay et c'est quoi vos dates là ?

Ciré et ibou : quatorze et vingt-sept février mdrr.

Alima: haa ouiii la veille de la Saint Valentin quoi, c'est cool ça et puis le mois de février est troooooop exceptionnel.

On continua à parler et tout. Nos commandes sont venues on a bien sympathisé de plus moi et ibou c'est un gars bien en tout cas. Ciré le mérite vraiment.

Après la soirée tout le monde est rentré le ventre plein mdrr c'était un vrai délice.

Arrivés à la maison nous avons pris un bon bain moi et mon miel. Puis on a prié le bon Dieu. Après on s'est endormi comme des bébés.

ميت✨

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