🔸12🔸
||CIRÉ||
•Cinq mois plus tard•
Oh mon Dieu je me fatigue de jour en jour. Ma grossesse est à maintenant six mois.
Tout le monde va bien. Le problème de Prince s'empire de jour en jour. Comme tout homme qui doit céder aux caprices de sa femme quand elle est enceinte, eh bha prince n'est pas de ce genre là.
Alima est là. Elle se porte très bien. Mais quand y a ma belle mère Henriette elle s'y fait. D'ailleurs en parlant d'elle, elle veut que nous nous voyons aujourd'hui je ne sais pour quelle raison.
Ma mère va bien aussi.
Il était déjà seize heures notre rendez-vous c'est en ce moment. C'est elle qui m'appelle comme ça.
Appel téléphonique...
Allô ?
Oui Henriette ?
Je suis au lieu de rendez-vous. Tu es où toi ?
J'arrive Mamá tu sais avec mon ventre aussi c'est pas la peine.
Oui je sais ma fille. Mais toi aussi c'est pour une bonne cause.
D'accord j'arrive alors.
Ok fait vite je t'attends.
Je ne sais pas ce qui est si important comme ça pour que je me presse. J'espère c'est pas grave hein.
Je m'étais déjà habillée. Alima était de garde jusqu'à dix-huit heures et prince était au boulot il rentre à vingt heures précisément.
Donc je sors ferme la porte, puis je choppe un taxi au carrefour.
Arrivé au lieu de rendez-vous mamá m'attendais sur un banc à côté du parc.
-- bonsoir mamá désolé pour le retard.
Henriette : t'inquiète chérie maintenant que tu es là c'est bon.
Je prend place à côté d'elle.
-- okay c'est quoi ? Qu'est-ce qui ne va pas?
Henriette : bien ! Tu sais que tu es ma belle fille chérie non ? Et tu sais aussi que j'attends je veux dire tout le monde attend ce moment là que tu accouches.
-- euh oui et?
Henriette : alors comme je disais t'es ma belle fille chérie je voudrai que tu fasses quelque chose pour moi. Tu sais être co-epouse et même deuxième femme personne n'aime ça non?
-- bien sûr. Mais pourquoi tu me dis tout ça mamá. Arrête de tourner autour du pot non.
Henriette : et bien...euh... je voulais que tu...
En faisant sortir quelque chose de sa poche. Un petit sac noir.
Henriette : tu vois ce sac là ? Ça contient une poudre maléfique. Tu vas mettre ça sous le coussin de mon fils prince je dis bien prince hein.
-- mais pourquoi mamá ? Je veux dire tu veux tuer ton fils ou quoi ?
Henriette : oh Jésus Marie Joseph! Non ma fille c'est pas pour le tuer. C'est pour que... approche toi...
Je m'approche d'elle en tremblant parce que je n'ai pas l'habitude de faire ces genres de choses.
Henriette : c'est pour qu'il te regarde toi et juste toi!
Et puis elle dit ça en souriant.
-- pourquoi ? Je ne suis pas sa seule femme mamá toi aussi arrête ces genres de truc , tu es âgée pour ces...
Henriette : pour faire quoi? Pour te sauver la vie? Moi je suis âgée pour te sauver la vie? Il y a cinq mois t'étais couchée sur un lit d'hôpital défigurée comme du n'importe quoi, il te tabasse quand bon lui semble de le faire alors qu'il y a mon petit fils dans ton ventre. On a parlé à Prince fatiguer il ne comprend pas. Je ne sais quel diable est dans son corps. Veux-tu qu'il continu à te maltraiter quand il veut et qu'il laisse Alima se reposer et que toi tu prépares pour les nourrir hein? Tu veux perde ton fils, son fils, mon petit fils à cause de Prince ? Juste parce qu'il ne te considère pas comme sa femme tu vas le laisser faire tout le mal qu'il t'inflige depuis que t'es Madame Kadjo ?
Je l'ai regardé entrain de crier sur moi comme son enfant... Je ne peux pas accepter ce qu'elle me demande. Alima m'a choisi juste pour avoir un enfant pour la famille de Prince pas pour faire de la sorcellerie pour qu'il m'appartienne.
Henriette : alors ? Tu acceptes où il te faut du temps pour réfléchir?
-- j'aurai pas besoin de temps pour réfléchir je peux pas le faire... C'est absurde ce que tu veux me faire, faire Henriette.
Henriette : c'est absurde tu dis? Ce qui est absurde Leïla tu sais c'est quoi ?
-- ...
Henriette : C'est de te laisser maltraiter par ton propre mari quand il en a envie, en sachant que tu portes son bébé dans ton ventre. Voilà ce qui est absurde !
Elle s'est levée et m'a regardé.
Henriette : tu as mon numéro Leïla, quand tu vas avoir mare de tout ça tu m'appeleras. Mais un conseil ciré. Si mon petit fils meurt à cause de son père ça sera de ta faute parce que tu rates une occasion pour te faire aimer. Mon petit fils meurt à cause des coups de Prince, tu m'oublies définitivement ce qui veut dire tu seras dans la cour d'Alima je te considererai comme elle. T'as tous le temps maintenant Salut!
Après ces mots elle est partie. Mais comment peut-elle penser à faire ça. À son propre fils, et le fait de me dire de me faire aimer, mais moi j'ai pas besoin de me faire aimer, si tu ne m'aimes pas comme je suis bha ok mais je vais pas changer pour juste me faire aimer quand même.
Je quitte ce lieu pour partir boire un verre j'en ai besoin... Je buvais tranquillement mon jus de grenadine, ma préférée quand un homme élancé avec des bras musclé avance à ma table.
Homme: bonsoir demoiselle. Depuis ma table...
En pointant sa table au fond.
Homme : ...je vois que vous êtes si pensive il se passe quoi ?
Je bois mon verre à cul sec puis met l'addition et me lève.
-- vous êtes malade sur la vie de mon père.
Et je me suis barrée... Mais comment un inconnu peut s'approcher d'une dame comme ça et lui demander si tout va bien et propose son aide. Tu ne l'a connais ni d'Ev ni d'Adam tshiiip n'importe quoi.
Je rentre fatiguer à la maison. Quand je suis quittée au bar là je suis passée chez Hélène comme elle travaille le matin au chantier et moi je suis en congé.
Je suis rentrée à vingt heures et j'espère que prince n'est pas encore rentré.
J'ai trouvé Alima au salon entrain de regarder la télé.
-- bonsoir Alima.
Alima: bonsoir chérie comment sava ?
-- bien! je vais bien.
Alima: avec ton ventre là mdrr. Bon la vérité j'ai pas préparé hein donc si tu peux préparer avant que prince ne rentre okay.
-- comment ça t'as pas préparé ? Mais Alima t'es devenue une sadique hein.
Alima: surveille ton langage petite. Je t'ai juste rappelé au cas où si t'aurai oublié ce que prince fait si y a pas de dîner.
-- pourquoi tu n'as pas préparé toi? Tu étais là depuis dix-huit heures non. Et si t'étais couchée j'allais comprendre que t'es fatiguée mais là assise devant la télé ça veut dire t'es pas fatiguée donc tu pouvais faire à manger. Dans mon état là encore tu me demandes de cuisiner? Tu n'a plus aucune pitié?
Alima: bha oui je suis fatiguée. Fatiguer ne veut pas dire se coucher et dodo. Quand t'es fatiguée tu te détends et te repose et tu ne fais rien d'autre voilà !
-- je crois que toi aussi t'es possédée hein il faut te déposséder. Et sache que je vais rien faire toi et ton satané de m...
J'avais même pas fini de parler que je vois la porte s'ouvrir c'était Prince.
Prince : vas-y continu... Son satané de quoi ? De mari? Euh chérie Alima elle t'as fais quoi?
Alima: elle m'a rien fait chéri. Je lui ai juste dit de cuisiner puisque madame était sortie aujourd'hui depuis seize heures, elle vient à peine de rentrer aussi.
Prince : merci mon cœur.
Il se tourne vers moi et commence à s'approcher.
-- mais Alima depuis quand tu es comme ça ? Comment se fait-il que vous changez du jour au lendemain ?
Prince: ferme là !!! Imbécile ! Si tu ne veux vraiment pas que je te touche ce soir tu vas directement rentrer dans la cuisine et nous préparer à manger moi et ma femme sinon c'est toi qui sera notre repas.
-- tu es malade toi, tu es devenu vraiment fou je ne sais pas tu as quoi mais il faut te faire soi...haa !!
Et bim une claque sur ma joue.
Prince : c'est la dernière fois que je me répète Leïla rentre dans cette cuisine immédiatement et prépare quelque chose de bon.
-- frappe moi, tue moi si tu veux mais je vais plus t'offrir ce plaisir... Haa !!
Bim ! et ainsi de suite... J'avais du sang qui coulait j'avais plus de force...je voyais flou...
Prince : tu vas pas préparer hein? Tu vas voir...je vais tellement t'amocher le visage tu vas ressembler à un porc...
Il continuait toujours à me frapper quand...
Alima: c'est bon prince ! Ça suffit n'oubli pas qu'il y a ton fils dans son ventre.
Il arrêta de me frapper et me laissa par terre puis rentre dans sa chambre. Alima m'a dévisager une minute puis elle est aussi partie.
J'avais tellement mal aux côtes que je ne pouvais même pas me lever pour regagner la chambre. J'espère que le bébé va bien. J'ai pensé aux paroles d'Henriette. Ça venait en boucle dans ma tête.
Et si j'acceptais ? Non ça sera trop facile je vais me battre pour mon enfant il le faut.
J'ai dormis sur le sol glacé du salon.
ميت✨
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