petite cage obscure
"Il me semble qu'il fait plus sombre aujourd'hui, j'ai pensé en observant la lumière à travers les fentes du vieux parquet, peut-être qu'il pleut?... La pluie..."
Un bruit m'a tiré de mes pensées et j'ai eu à peine le temps fermés mes yeux déjà presque clos avant que la lumière crue des lampes du couloir de l'étage ne s'infiltre dans mon entre par la porte ouverte à la volée. Un silhouette se découpa dans l'encadré du sasse. Grande et brune, ses yeux noisettes emplis d'une niaiserie qui se voyait aussi sur le sourire qu'elle affichait, un bol remplis d'une mixture fumante où était plantée une cuillère à la main, Molly O'neil dans toute sa splendeur.
Elle s'approche rapidement de moi et vien se jeter à mon cou, pèsent de tout son poids sur ce dernier. Je flanche et me retrouve à genoux à terre, elle toujours à mon cou, le bol de mélange que j'estime être du porridge toujours à sa mains. Elle m'a glissée à l'oreille.
《 comment va tu mon chéri ? 》
Je n'ai même pas pris la peine de répondre, elle ne m'en laisse jamais le temps.
《 j'espère que le repas sera à ton goût, a t'elle dit d'un ton mielleux, maman a du travail aujourd'hui, elle ne peut pas rester avec toi désolée. Elle s'est dirigée vers la porte et à ajouter en sortant de la pièce. Je te rappelle que si tu a le malheur d'essayer de sortir je te ligote à ton lit et te laisse affamée pendant 3 jours.》puis elle a verrouillé la porte et est partie.
Ça c'était mon quotidien depuis les morts successives de mon père et mes deux frères, le derrière événements étant à mes 18 ans, 18 ans ou j'ai décidé d'aller chez ma mère pour ne pas la laisser seul pendant mes vacances, mais je n'avais absolument pas prévu qu'elle me piége dans mon ancienne chambre et m'y séquestre jusqu'à mes 20 ans. La situation aurait peu duré si il n'était pas venue se jour là.
J'étais assis dans mon lit, sous la fenêtre calfeutré et bloqué de l'extérieur, m'empêchant l'accès à toute lumière. Mais se soir, mes yeux habituellement plissés pour mieux distinguer les choses dans la pénombre s'étaient écarquillés quand, entre mes jambes en tailleur un trou de lumière s'était formé. J'ai levé les yeux à la fenêtre et est vue qu'un trou était pressé dans les protections et laissait passer la lumière de la lune. J'étais tellement heureux que je n'est pas tout de suite entendu les légé toktok sur la vitre. Comme par réflexe j'ai collé mon oreille contre la vitre, comme avant, quand j'étais enfant et que je voulais entendre le chant des oiseaux quand j'étais privé de sortie. J'entendis alors une voix d'homme modifié :
《 - Salut, comment tu t'appelles
- ... William O'Neil, j'ai répondu très doucement pour ne pas réveiller ma mère mais il m'a visiblement entendu car il m'a répondu.
- ton nom ne colle pas avec ta face, tu a quel âge?
- normal je suis anglo-japonais, j'ai 20 ans. 》
Nous avons continué de parler ainsi longtemps, puis il est parti en me disant qu'il reviendrait vite et ma journée c'est déroulé comme toute les autres, entré fracassante de ma mère et bol de porridge avant qu'elle ne parte en rajoutent une menace, après rien , du moins je croyais. La nuit la trou de lumière est de nouveau apparue et je me suis pincé pour voir si je ne rêvais pas mais non, il est réellement revenue. Se train train à duré un moment, c'était un réel bonheur de parler a quelqu'un de l'extérieur. Il m'a parlé de l'extérieur, de son "travail", de son boss et de ses camarades, moi je n'avais pas grand-chose à dire alors je lui parlais de ma mère, ma famille et la vie dans cette chambre exiguë. Plus je passais de temps à lui parler plus ma vision de ma mère changeait, et se n'était pas pour me déplaire. Elle était passée de ma mère triste et brisé à une personne brisée à un monstre qui me voulait du mal en passant par pleins d'autres visages. Cet homme, il m'a dit se faire appeler Hoodie, ma ouvert les yeux sur beaucoup de choses mais surtout le fait que je voulais m'échapper, quitter se lieu, et surtout me venger de Molly O'Neil.
Quand je lui est fait par de cette idée il m'a dit :
《 - j'attendais que tu proposes, je vais t'expliquer comment faire si tu le souhaite. 》
J'ai évidemment dit oui et le soir même je finissais les préparatifs. Il me quitta en me souhaitant un "bonne chance".
Quand ma mère entra dans la chambre sans dessus dessous elle fût d'abord choquée du bordel puis elle se rendit compte de mon absence dans son champs de vision, elle me chercha donc sous le grabuge, j'en profite pour sortir de ma cachette, c'est à dire derrière la porte ( je me demande comment elle a fait pour ne pas avoir eu l'idée de chercher ici d'abord), et m'approcher d'elle. Je pense qu'elle s'était rendue compte de l'absence de plusieurs lattes du lit mais s'était trop tard. Le bouquet de lattes toute reliée entre elle s'abattit plusieurs fois sur sa tête, une fois deux fois, trois fois et ainsi de suite jusqu'à se qu'elle ne bouge plus. La alors je suis sortie de ma chambre et suis descendue dans la cuisine, est récupéré un couteau et suis retourné dans ma chambre.
Avec le couteau, sans remords, je luis est creusé un longue et profonde entaille dans le cou de sorte à lui trancher les veines jugulaire et d'autres veines et artère, si elle ne mourrait pas de sa jugulaire trancher elle mourra d'hémorragie.
Après mon méfait accompli je suis sortie de la maison, sans chaussures et avec une grande hésitation. J'ai respirer à plain poumons l'aire matinal, il pleuvait.
Je suis ensuite sorti cherchant un endroit où me cacher pour attendre la nuit et avec elle, Hoodie. Ils sont venu tout les deux et après un moment de forte émotion ( pour moi) je l'ai suivie pour qu'il pour qu'il m'amène à son patron
《 - c'est lui qui m'a donné l'ordre de te sortir de là, c'est à lui que tu dois ta liberté.》
Je l'ai écouté sans rien répondre, c'était grâce à son patron que j'étais dehors, sur je respirerai l'aire frais et humide de cette soirée pluvieuse, que j'étais libres.
Je lui devais une fière chandelle et toujours maintenant, c'est pour ça que je me suis engagé à ses côtés et que je travaille désormais pour lui.
Se grand homme la main de fer.
Cet homme pale, blanc, que ça froideur égale sa taille.
...
Hey, ici William O'Neil autrement appelé The Prowling Shadow.
Bienvenue.
Nom : O'Neil
Prénom : William
Âge: 20 ans
Nom de creepypasta : The Prowling Shadow
Aime : se divertir, l'épicer
Aime pas : le porridge, les lieux cools et trop sombres
Crush : E.j
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top