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XXX

ᴘʟᴇᴀꜱᴇ, ꜱᴛᴀʏ ᴡɪᴛʜ ᴍᴇ ᴛᴏɴɪɢʜᴛ


Je jetai un coup d'oeil sur le réveil de la table de nuit.
Minuit, indiquaient les chiffres digitaux rouges.
Aucun rai de lumière ne filtrait au travers des rideaux, mise à part ceux de la lune et des quelques étoiles présentes.

— Vous devriez dormir. M'incitait Mr. Park le regard toujours fixe sur moi

Depuis notre arrivé dans ma chambre il ne faisait que ça sous le silence de la nuit, comme s'il ne voulait pas oublié chaque trait de mon visage.

A cet instant j'étais prise de gêne, surtout après lui avoir demander de rester cette nuit.
Je ne sais pas ce qui m'avais pris, mais je ne voulai absolument le voir partir d'aussitôt alors que nous venions tout juste de nous retrouver.
J'avais besoins de lui, il l'avait compris malgré mes mots maladroit, cependant le principal c'est qu'il ai compris le message dissimulé.

— Justement, je ne veux pas. Admetai-je en regardant ma main face à l'embarra qui me submergeait

Il a un regard si déstabilisant, je sais sans aucun doute que mes joues rougissent et ça me perturbe.

— Pourquoi donc ?

— Je sais que vous allez me laisser seule.

Il soupire, la tête reposé contre sa paume de main.

— N'ayez aucune inquiétude j'attendrai que vous - vous endormiez pour m'en aller.

— Mais justement, je vous l'ai dis plutôt.
Je n'ai pas envie de vous voir partir d'aussitôt.

— N'insistez pas.
Puis, en sois je m'endormirai juste sur le divan je ne suis pas si loin que ça.

— De toutes manière je n'ai pas sommeil.

Il soufflait d'exaspération face à mon insupportable insistance.
Et je le comprenais dans le fond, je suis perspicace.

Non, je n'ai pas peur.
Juste peut être légèrement prise dans l'embarra, le stresse et l'appréhension.

Je repoussai le moment de croiser son regard, de peur de tressaillir alors que je ressentais encore une fois le doux besoins de ses lèvres contre les miennes.
Cependant, je le sentais, même les yeux clos, aventurer ses yeux sur mon corps, d'une façon oppressante, me scrutant au crible.

J'étais dans une position peu avantageuse, peut être trop innocente pour y penser, sur le ventre, le bras plier contre la surface plate du matelas, la main posé sur l'oreiller, une jambe étendu, l'autre replier vers ma poitrine, le tissu tendu, la chair sortant.
Cette chair resortante, celle de mes fesses en l'occurrence, semblait lui faire de l'œil, je le voyait bien lorsque je rouvrai les yeux, il en était concentré à maté.

J'ose finalement le regarder dans les yeux afin de venir croiser les siens, sombres, doux, perçants, quand ils viennent lâcher mon corps.
Il sourie, le regard vicieux, ce qui en dis long sur ses intentions.

Il est malsain, et j'aime ça.

Sa langue passant sur ses lèvres, ses douces lèvres, charnues et rosé.
Il suffoquait, tirant sur le col de son t-shirt à la recherche d'air plosible afin de faire descendre la chaleur de son corps en irruption.

La tentation fut trop poussé afin de resister indefiniment qu'il tendait avec hésitation, sa main, touchant du bout des doigts la partie de mon corps découverte de tissu, mon short tendu.
Son instinct devenait moins hésitant, déformé par l'envie, brulante, pinçant la chair entre ses petits doigts boudinés et glissant, peu après, prenant la forme galbé et ronde contre sa paume puis se refermant autour.
Il reprend son geste, encore, et encore, malaxant toujours un peu plus fort.
Cette fois-ci, observant la moindre de mes réactions, que j'essayais d'étouffer et camoufler au travers de mon oreiller, jusqu'à ce qu'un son obscène ne sorte soudain lorsque sa main claquait contre ma fesse.

Sa main caresse, juste après, descendant sur ma cuisse, puis elle s'aventure frolant ma culotte puis vient pousser mon corps le forçant à s'allonger sur le dos pour plus de confort.
Sa main généreuse, rejoins mon intimité alors j'ouvre un peu plus le compas de mes jambes afin de mieux l'accueillir.
Je m'offre à sa merci, à son envie.

Je prend cent degré au thermostat, plus vite que je ne l'aurai imaginé.
Mon corps chaud, embrasé ne sait pas quoi faire, alors lâchement je fermais les yeux afin de prendre avidement ce qui me semble être offert.
Ses caresses ne tarde pas à manifester des conséquences désastreuse dans mon pauvre être.

Ses doigts flirtent en moi, le laissant faire à sa guise, pendant que je m'y abandonnais totalement.
Je penche ma tête en arrière, l'enfonçant dans le coussin moelleux, ma respiration est erratique, obscène, alors que ma poitrine monte et descend violement, gonflant mes seins devant ses yeux lorgnant et avide.

Je n'ai pas mis de soutient gorge, ça l'excite.
Il détaille du regard les pointes durci de mes seins au travers du tissu.
Il en a envie, je le sent, je le déduis, c'est tout simplement animal.

Il commet l'irréparable, frôlant mon sexe contre le siens lorsqu'il remontait plus haut afin de découvrir ma poitrine de mon débardeur.
A première vue, il n'a pas l'air déçu par ce qu'il y découvrait, et j'en étais quelque peu rassuré.
Il me souriait, soutenant mon regard, longuement, tandis que ses pupilles s'agrandissent comme, il me semble, lorsque on ressentait un désir profond.
Et je crois bien que ça l'était tout compte fait...

Il approchait sa main en douceur, ignorant mon geste de recul effectué dans l'instant, caressant timidement l'un de mes seins avec le bout de ses doigts chauds.

Il les faisaient ensuite glisser, les frôlants dans une infime douceur, un supplice difficilement contrôlable.
Son toucher si délicat provoquait une bouffé de chaleur ainsi que quelques couinement que je tentai de contrôler, mordant ma lèvre et plissant les yeux sous ma retenu.
Cependant l'immensité du sentiment de plaisir était bien trop grand afin de pouvoir y résister aussi longtemps malgré les efforts fournis.

Sa bouche rencontre enfin, mon premier bouton de chair, puis l'autre, ma respiration est haletante, je gémis sans pouvoir réfléchir à les recouvrir, ou bien les retenir, je n'y arrive juste pas.

Ses mains libres à présent, l'une d'elle se glissait dans le sous-vêtement de mon bas.
Puis à l'aide de ses deux doigts, il exerçait une pénétration similaire à ma première fois, celle dont je n'arrive plus à en oublier les délicieuses sensations.
Ses doigts se font plus pressent, plus invasif, alors que je gémis encore plus fort, il cherche mon plaisir, ma fatigue mais il empire son propre cas.
Je le sent, il durcit, mais ne ce laisse pas pour autant submergé, préfèrent se retenir.

Sa stature massive au-dessus de moi remontait, lachant de sa bouche affamé mon sein, capturant cette fois-ci mes lèvres entrouvertes afin d'y passer sa langue.
Il l'a bouge, caressant la mienne, l'emprisonnant ensuite dans sa cavité buccal lorsque je l'a lui tendait avec plaisir.
Il prenait son pied en la suçant, alors que de ses mains il jouait avec passion exquise. 

Mes mains se frayent un chemin au travers de ses mèches de cheveux colorés, glissant ensuite sur sa nuque, et jusqu'à ses épaules, que je griffai sans vergogne, à l'afflux du plaisir et de toutes ces sensations multiples qui traversaient mon corps.
Je gémissai à chaques coups de ses doigts.

Mon sang bouillonnait sous ma peau, incendiait mon bas ventre, tandis que je peinai à respirer à cause de ses lèvres.

De mes narines, je sentai envahir soudain l'arôme insupportablement alléchant qui émanait de son corps chaud que je ne pu donc pas me résigner à retenir de toucher avec le bout de mes doigts, passant sur son dos, ses bras nu et musclé.

Nous nous séparions l'un de l'autre, avec regret, le temps de reprendre un souffle dit, normal, néanmoins je continuai à toucher timidement la peau sculpté de ses bras.

Ses yeux plongèrent dans les miens continuant son acharnement, et je me sentai chavirer, plaquant ma main sur mes lèvres qui continuai à sortir des sons obsènes de plus en plus fort.
Malgré tout, je réussissai cette fois à tenir jusqu'à ce qu'il se détourne, se concentrant pleinement sur son action.
Mon coeur affolé cognait dans ma poitrine, alors que mon souffle était de plus en plus saccadé par la fatigue.

Je sentai en moi, la déferlante de mon orgasme frapper soudainement, alors il s'arrêtait d'un coup, lui même fatigué et même un peu trop exité.

— Nous devrions arrêter avant que ça n'aille plus loin.
Maintenant dormez. Mumurait-il

— Attendez ! M'écriai-je avant qu'il ne s'en aille

— Oui ?

— Je- Je voulais seulement vous dire que je vous aimes. Déclarai-je en détournant le regard

Sa main, si douce, soit elle, se saisissait de mon menton afin que nos yeux soient en contact.
Il me sourie, les yeux plein de tendresse.

— Moi aussi Mei Lan, moi aussi.
Encore plus que vous ne pouvez l'imaginer. Susurrait-il en m'embrassant une dernière fois sur les lèvres avant de partir  définitivement dormir à l'étage inférieur ❞

XXX

Le Prochain épisode sera "canicule" un petit moment dans la baignoire plonger dans l'eau, à deux, nue.
Je vous laisse imaginer un peu...

J'espère que ça vous à plût, en tout cas espérons que j'arrive à poster le chapitre suivant demain ;-)

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