Bientôt midi avant l'heure de ma sieste, je descendis de ma jument puis d'un coup de rebond mon ventre gargouilla. J'aperçus qu'il me restait assez de nourriture pour en savourer délicieusement. Je trancha, à l'aide de ma hache de gardien 2.0, un arbre ni trop grand ni trop petit, plutôt de taille moyenne pour pouvoir m'assoir Alors je pris du bois et du silex pour produire des flammes et ainsi faire cuire quelques viandes avec du poisson.

Après avoir fait cuire tranquillement ce savoureux plat, j'entendis de nombreux cris provenir de la forêt.
Je voulus me rendre vers ces étranges bruits mais je me disais que c'était la direction des Bokoblins qui m'ont capturé. Alors je ne pris pas de risques.

Quelques temps assis sur un tronc en train de réfléchir, je trouvai la solution... Me cacher derrière un rocher proche de moi. Je partis me planquer derrière cette dernière. Quelques secondes après, des pas s'effectuaient de plus en plus en ma direction, j'avalai ma salive puis continuai d'observer.

Soudain, une énorme bête très étrange surgit de nulle part et projeta un regard sur moi sauf que j'eus le réflexe de me cacher aussitôt derrière le rocher.

C'était le fléau ? Ou je venais de rêver ?Son corps paraissait aussi dur que de la pierre et son regard avait l'air d'être très terrifiant.

Mon corps tremblait fortement et j'avais peur mais je tentai de m'avancer discrètement avec ma tenue furtive mais je m'aperçus vite que mes affaires étaient présentes sur le tronc de bois que j'ai coupé, sans bouger mais c'est ce qui attira la bête. Un problème se produisit alors car mon ventre n'arrêtait pas de gargouiller toutes les moins d'une minute. Plus je le faisais attendre et plus il poussait d'énormes cris affreux qui me démangeaient terriblement.

Je pensai alors à une stratégie, comment me sortir de là ? Mon épée étant posée au sol ainsi que toutes mes autres armes. Je m'écroula au sol et positionnant une main sur mon ventre. J'écrasai une petite pierre qui était au sol ce qui me faisait assez mal alors je la retira. Une solution me vint à l'esprit d'un seul coup.

J'observai la bête qui dégustait délicieusement la nourriture que j'avais moi-même préparé. Rassurez-vous ! J'ai bien l'attention de me venger. Je siffla d'un côté, puis jeta une petite pierre du côté opposé. Le sosie du fléau, entre parenthèses, s'enfuit d'un coup en laissant tomber un papier assez suspect au sol.

Je le pris à l'aide de ma main droite puis le lit à haute voix.

« Copie de Ganondorf n°3590, construit dans le laboratoire antique d'Akkala. »

Je pensai alors de passer chez Pruha pour lui montrer cette étiquette. Il doit se passer quelque chose d'étrange dans le laboratoire d'Akkala. Cette étiquette était sûrement attachée à cette copie du fléau puis s'était envolée.

Je sentis que le papier n'était pas de la même qualité que derrière cette dernière. C'est alors que je la retourna et vis cette fois-ci une carte, ça devait être un pass pour pénétrer dans le laboratoire.

Je décidai de manger d'abord puis de monter sur Épona pour se rendre à Akkala. Je dégustais avec saveur mes poissons et viandes que j'avais cuit avec tendresse et amour.

Soudain, la copie de Ganondorf surgit encore une fois. Je sortis mon arme et me mit en position pour combattre. Il fonçait sur moi sauf que je lui coupai, à l'aide de ma lame, une pierre avec des flammes bleues.

Sauf q'un cri me fit sursauter et je baissai ma garde aussitôt. Heureusement que cette bête ne m'attaquait pas, il semblait trembler de peur. Je m'approchai prudemment.

Soudain, mes yeux s'écarquillaient de plus en plus quand je vis une genre de coquille s'ouvrir. Il y avait un homme qui se trouvait en caleçon en train de trembler. Il se leva, je pointai mon épée à côté de sa gorge.

« Je ne suis pas un ennemi, ce sont des tas de monstres qui m'ont obligé de faire cela. » trembla-t-il de peur.

Je leva mon arme puis m'agenouilla à lui.

« Explique moi ce qui s'est passé. » demanda-je avec un air sérieux.

« Eh bien... » commença-t-il.