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■━𝗒𝗈𝗎 𝖺𝗋𝖾 𝗇𝗈𝗐 𝗌𝗒𝗇𝖼𝗁𝗋𝗈𝗇𝗂𝗌𝖾𝖽━■
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Vendredi : La Balade des Saisons et du Chasseur

Vendredi, ou aussi "Le jour où il y a le plus de monde". Vous prenez place, seul ou accompagné, autour d'une table où sont préparés quelques petits amuses bouche. La salle est éclairée de manière assez tamisée, un long mur végétal couvre l'arrière de la scène, puis enfin, c'est a la salle de changer d'ambiance : cela signale que le spectacle va commencer. Sur scène, déambule le chasseur, puis, il est rapidement suivi par une première saison, incarnée par Belle-de-nuit, qui vient se mouvoir comme le vent autour de lui.

Puis ils commencent à pousser la chansonnette : la comédie musicale débute.
Les saisons apparaissent une à une alors que peu à peu, l'automne tombe amoureuse du chasseur.

Alors qu'ils persuadent l'Automne de se changer en biche le temps d'un moment pour voir si le chasseur pouvait passer outre ce désir de traquer une proie, ils glissent chacun un mot dans l'oreille de ce dernier. L'hiver lui disait "Ce qui est juste n'est pas toujours ce qui est bon.", le printemps murmurait "Prend le temps de contempler le monde qui t'entoure." alors que l'été s'exclamait en un "Ecoute ton coeur."

La pièce se termine sur l'élément tragique : le chasseur tue la biche, il tue alors également sa bien-aimée. Tout s'abat sur le chasseur, abandonné au désespoir dans une ultime chanson aux accord troublés mais qui n'en reste pas moins enchanteresse : et d'un coup, un coup de feu et le noir complet. Le chasseur s'est tué, les saisons ont arrêtés de le tourmenter. Pas une seule note de musique, plus rien... La fin arrache au public un frisson. Puis les artistes reviennent sur scène pour le salut, comme si de rien était.

Après un long moment, la salle se vide dans des éclats de voix... Et alors que vous êtes encore seulement six, les artistes se mettent à partager leur ressentis en se taquinant avant de s'installer à une table, certains restant debout. Une créature arrive pour vivement débarrasser cette table avec l'aide de Merlin afin d'apporter le repas... Alors l'un des membres vous regarde, lequel ? 

Choisissez avec qui vous voulez interagir :

Nalah
Romarin
Pharah
Aurelion

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Samedi : La Lanterne

Sapristi vous étiez en retard ! Vous vous précipitez alors pour atteindre l'endroit où c'était installé la Boîte à Musique, et enfin vous ouvrez le rideau qui cachait l'entrée de la tente... Le spectacle était déjà en cours de route. Devant vous se dévoile l'ambiance enchanteresse que proposait la danseuse aux cheveux bruns alors que la musique joue...
Mais la danseuse est alors perturbée par votre venue, que son regard se fixe sur vous et elle semble elle-même avoir un frein dans sa danse : elle trébuche sur son propre pas, mais fort heureusement, elle est assez habile pour se rattraper juste à temps et faire passer cela comme un mouvement de sa chorégraphie. Mais il vrai que, par votre faute, elle avait perdu une part de sa concentration... Et cette sensation ne vous quittera pas jusqu'à la fin du spectacle. 

Le trouble vous envahissant, vous n'aviez même pas tant prêté attention à l'histoire dont vous aviez déjà loupé la moitié. Surtout que le regard de la danseuse semblait vous guetter... Et à un certain moment, son regard va vous saisir et enfin vous guider hors de votre trouble pour vous empenner la suivre dans ses pas et dans l'histoire déchirante de cette femme qui ne cherche que la lumière, qui la pourchasse sans cesse, même si elle ne semble pas y parvenir. 

Après la fin, elle s'incline, et elle disparaît derrière un rideau. Le trouble se réanime en vous et vous n'êtes définitivement pas tranquille. Vous ne saviez pas où elle allait, mais peut-être aviez vous envie de vous excusez de cette gêne ?

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Dimanche : La Comédie

Vous étiez venu assister au numéro drôle et enchanteur de "L'Illusionniste". Le spectacle était passionnant, et il faisait participer le public à chacun de ses tours, vous étiez venu en connaissance de cause, qu'à chaque fois, il y avait une chance que vous participiez. Mais jusqu'ici, rien pour vous, le magicien n'avait pas posé son regard sur vous. Que ce soit en tirant une carte, qu'en sortant un lapin de son chapeau mais aussi en se multipliant aux quatre coins de la salle pour jouer un tour avec lui-même, voilà qu'il annonçait le dernier tour de son spectacle.

Romarin pivote sur lui même alors qu'il joue a faire apparaître et disparaître des cartes dans ses mains. Son regard amusé se pose alors sur vous, et vous savez délibérément ce qui vous attend. De l'excitation ? De la peur ? Du stress ? Qu'est-ce que l'artiste prépare pour vous ? Il vous fait alors un signe de la main, comme pour vous présenter au reste de la salle alors qu'un projecteur s'allume sur vous.

𝗥𝗼𝗺𝗮𝗿𝗶𝗻 : Monsieur/Madame, le destin vous a choisi pour clôturer cette soirée ! Alors veuillez vous levez, et que l'on vous accueille sur scène avec un torrent d'applaudissements !

Alors que les gens présents se mettent à claquer leurs mains ensemble, c'est à vous d'agir. 

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Entre le crépuscule et l'aube

La pluie et le froid, et il faisait nuit noire... Pourtant, par ce temps lugubre, vous étiez dehors. Quelle idée ? Où allez vous ? Est-ce que vous êtes poursuivi ou seulement désireux d'un endroit où passer la nuit ? Alors que vous vous abritez dans une forêt adjacente pour essayez de profiter des quelques branches qui permettraient de vous cacher du temps impardonnable, une voix s'élève au travers du torrent. Une voix qui chantait une sorte de berceuse, peut-être... Enfin, vous n'étiez pas sûr. Et cette incertitude vous encourage alors à suivre cette voix... Dans n'importe quel film, c'était probablement une très mauvaise idée.
Mais enfin, une silhouette se dessine à travers les gouttes.

Elle marchait, là, chantant une berceuse malgré l'appareil qui obstruait son visage, et surtout sa bouche. Sur son chemin, la nature s'animait, la boue ronflait comme un être alors et s'essoufflait dès qu'elle allait trop loin. Vous entreprenez d'approcher mais... CRAC ! Une branche sous votre pied, un bruit malheureux et la femme se coupe, se tourne brutalement vers vous, son long manteau la suivant dans son mouvement vif. Ses yeux emprunts de terreur mais aussi de haine alors qu'elle vous fixe. Elle met une main à l'intérieur de son manteau, comme pour dégainer quelque chose. 

𝗙𝗲́𝗹𝗶𝗰𝗶𝘁𝗲́ : Qui êtes vous ?! Que me voulez-vous ?!

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