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des exemples de mes fiches a mes débuts...
(pourquoi c pas en format paysage ?)

j'ai mon correspondant donc aucun jugement accepté. Ni de plagiat.

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(montage raté)

Tam Chudaree Debhakam, 25 ans, est le premier Top Chef Thaïlande après avoir été le plus jeune de la compétition. Top Chef est un américain. série de télé-réalité mettant en scène des chefs s'affrontant dans divers défis culinaires proposés par la chaîne One31.

Après avoir obtenu son diplôme de l'International Culinary Center de New York, Tam a travaillé pendant deux ans pour Dan Barber au Blue Hill at Stone Barns, New York (actuellement numéro 11 sur la liste des 50 meilleurs restaurants du monde). Le restaurant est réputé pour son concept alimentaire durable. Situé sur des terres agricoles, le menu met en valeur des produits frais biologiques. Avec son expérience en cuisine agricole combinée à ses connaissances en nutrition, la cuisine du chef Tam se concentre sur les produits thaïlandais biologiques et locaux, avec des saveurs thaïlandaises traditionnelles et une touche américaine moderne.

Chudaree Debhakam (Tam), le tout premier gagnant de Top Chef Thaïlande, sait que pour atteindre le sommet, il faut de la passion, du dynamisme ainsi que des compétences.

Beaucoup d’entre nous ont de grandes ambitions dans la vie. Mais lorsque nous essayons réellement de les atteindre, ils peuvent s’avérer trop difficiles. Pour atteindre le sommet, il faut de la passion, du dynamisme ainsi que des compétences. Chudaree Debhakam (Tam), la toute première gagnante de Top Chef Thaïlande, le sait bien. Sa victoire est la récompense d’années de travail acharné et de sacrifices.

Top Chef Thaïlande est un passionnant concours de cuisine télévisé mettant en vedette 15 chefs professionnels et experts culinaires de tout le royaume. Afin de tester la capacité des concurrents à performer sous pression, le spectacle propose trois défis : le Quickfire Challenge, l'Elimination Challenge et l'Elimination Quickfire Challenge. Au final, c'est Tam, 24 ans, qui a le plus impressionné les experts par ses créations culinaires et son calme sous la pression.

Elle a obtenu une étoile Michelin dans son restaurant Baan Tepak à Bangkok en 2022 avant de recevoir sa deuxième étoile en 2023.

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Amener le tourisme vers le futur

Alors que le tourisme entre dans la troisième année de la pandémie mondiale et dans un contexte de lente reprise, un effort considérable pour soutenir le secteur est encore nécessaire, en particulier de la part du secteur privé, qui a travaillé main dans la main avec le gouvernement.

Pendant la période la plus difficile pour les hôtels, la Thai Hotels Association (THA) dirigée par la présidente Marisa
Sukosol Nunbhakdi a joué un rôle de premier plan dans les initiatives de réouverture du pays, en particulier le programme d'exemption de quarantaine Test & Go, dans lequel les hôtels doivent gérer le premier test RT-PCR pour tous les clients entrants.
Mme Marisa a déclaré que Covid-19 a été la pire crise que la plupart des opérateurs et entreprises du secteur du tourisme aient jamais connue, ce qui fait du poste de président de la THA un grand défi.

Elle est présidente depuis août 2020.

Avant de devenir présidente, Mme Marisa a travaillé pour l'association pendant des années en tant que présidente de l'environnement, promouvant les hôtels écologiques.
Elle a déclaré que l'association compte plus de 1 000 hôtels parmi ses membres et que la direction comporte de lourdes responsabilités car la THA ne peut laisser personne de côté, qu'il s'agisse de chaînes hôtelières internationales ou d'hôtels indépendants appartenant à des propriétaires locaux.

Le poste l'oblige à mener des recherches et à se tenir au courant des thèmes d'actualité. Elle rassemble des informations mises à jour sur divers sujets lors de réunions avec des parties publiques et privées pour communiquer avec les membres.
La principale responsabilité de THA est de répondre aux besoins des hôteliers.
Mme Marisa a déclaré que la THA doit coopérer avec le gouvernement et les agences liées au tourisme pour créer des mesures efficaces qui peuvent aider les entreprises hôtelières à échapper aux pires effets de la pandémie.

Le travail d'équipe entre les membres du comité THA aux expertises variées est crucial car ils recherchent ensemble des solutions et doivent parler d'une seule voix, a-t-elle déclaré, surtout s'il veut négocier ou envoyer un message fort au gouvernement concernant les difficultés subies par plusieurs centaines de milliers de travailleurs. dans le secteur.

Mme Marisa est également vice-présidente exécutive de Sukosol Hotels, qui exploite cinq propriétés à Bangkok et Chon Buri, telles que The Siam (Bangkok), The Sukosol Bangkok et Siam Bayshore Pattaya.

Après avoir obtenu un baccalauréat ès arts, elle rejoint l'entreprise familiale pour aider sa mère, Kamala Sukosol, en 1989.

Travailler en tant qu'hôtelier nécessite des compétences d'auto-apprentissage pour comprendre chaque processus et opération afin de créer une entreprise et des services professionnels, a déclaré Mme Marisa. L'objectif est d'améliorer la compétitivité pour lutter contre les entreprises étrangères, a-t-elle expliqué.

« Rien n’est facile. Vous devez avoir du courage et travailler dur pour réussir. Ce sont des leçons de vie que j’ai apprises pendant 33 ans dans l’hôtellerie. dit Mme Marisa.

L'importance de THA est devenue plus pertinente pendant la pandémie, car sa mère et le personnel des hôtels Sukosol apprécient le rôle de leadership que joue Mme Marisa en tant que représentante de l'industrie du tourisme.

« Nous devons être encore plus passionnés et travailler plus dur pour nous battre pour tous nos partenaires du secteur, au lieu de nous concentrer sur des objectifs individuels », a-t-elle déclaré.

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D’après un rapport publié en février dernier par l’Observatoire pour la protection des défenseurs des droits de l’Homme, les droits fondamentaux des femmes qui ont joué un rôle majeur dans la conduite de manifestations pro-démocratiques en 2020 en Thaïlande ont fréquemment été bafoués dans le but d’entacher leur crédibilité et de les décourager.

« Garder la tête haute : c’est la devise des défenseures* des droits humains en première ligne des manifestations pro-démocratie en Thaïlande ». C’est ainsi que pourrait se traduire le titre du rapport Standing tall – Women human rights defenders at the forefront of Thailand’s pro-democracy protests . 22 femmes ont été interviewée, toutes engagées dans la protection et la promotion pacifiques des droits humains et des libertés fondamentaux dans le cadre des manifestations qui ont démarré en juillet 2020 réclamant une réforme de la monarchie à travers le pays. Ces militantes ont été les cibles systématiques d’acteurs gouvernementaux et non gouvernementaux pour avoir participé à ces rassemblements .

Attaques et violences répétées

Recours à des lois et décrets répressifs contraires aux normes internationales , harcèlement, intimidation et surveillance de la part des autorités qui se rendaient notamment à leur domicile ou dans leur établissement universitaire afin de les intimider ou recueillir des informations sur leurs activités: la liste des attaques et tentatives de déstabilisation est longue. Elles doivent aussi faire face à d’autres types de violences liées à leur sexe : elles ont notamment rapporté avoir été la cible d’agressions par les acteurs gouvernementaux, principalement des violences et harcèlements oraux qui leur étaient destinés uniquement en raison de leur sexe et/ou de l’expression de leur genre. Elles ont en outre subi une pression de la part de leur propre entourage en raison de leur militantisme. Cette situation a touché les étudiantes de façon disproportionnée, car elles sont nombreuses à dépendre de leur famille.

Démocratie et féminisme

Les féministes ont connu des difficultés au sein même du mouvement pro-démocratie. Une frange de manifestants jugent que leurs combats sont moins urgents que la lutte démocratique et qu’ils peuvent attendre. « Ça serait complètement hypocrite de prétendre se battre pour la démocratie tout en ne voyant rien de mal dans l’inégalité des sexes » condamne Verita Sriratana, professeure agrégée au Département d’anglais de la Faculté des arts de l’une des plus grandes universités de Bangkok, l’Université Chulalongkorn, et engagée sur les questions féministes en Thaïlande.

Le rapport formule de nombreuses recommandations tant à l’égard du gouvernement thaïlandais que de la communauté internationale pour assurer la protection des femmes défenseures des droits humains et le respect de leurs droits fondamentaux conformément aux normes internationales.

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source du texte sur le féminisme : by suzanne bruneau

☆ gya