Sarufei - Égoïste
– Saryuu..?
– Mmh...? Qu'est ce qu'il y a, Roko ? demanda le blanc en relevant sa tête de ses bras croisé.
– Je pourrais te parler... s'il te plaît ?
– Je suppose.
Saru détestait devoir parler avec les membres de l'équipe de Garu, enfin, les enfants de cette équipe. Il ne savait jamais comment leurs parler. Enfin aux enfants de Feida en général. Il n'avait pas beaucoup de tacte et pouvais blesser facilement des gens.
– Je sais que ça fait quelque semaines... que tu n'est pas aller voir Fei... pourquoi ? Il a vraiment besoins de toi...
C'était bien dernière, mais bien LA DERNIÈRE CHOSE dont Saru ne voulais absolument pas parler acctulement.
– Après... Si tu ne veux pas aller le voir, tu fais comme tu veux, je tiens juste à dire que c'est un petit peu ton petit copain, mais si tu l'aime pas. C'est tes affaires.
Les yeux de Saryuu s'équarquillèrent et ses poings se crisperent, il se leva violemment, tellement que sa chaise tomba a terre et il se retourna vers la blonde, qui se contenta de lever un sourcil et de commencer à partir.
Sous l'effet de la colère, Saru s'apprêta à utiliser ses ondes télékinetique sur la numéro 6 de Garu mais un regard appuyer d'une violette dans la pièce le fit revenir à la raison tandis que Roko disparaisser de la pièce.
Saru se retourna vers la fille dont il avait croisé le regard.
– Meia... depuis quand est tu la ?!
– Avant que Roko ne viennent te parler.
Il leva les yeux au ciel et soupira, essayant de reprendre son sang froid. Meia se rapprocha du garçon. Et le fixa droit dans les yeux.
– Saryuu Evan... fit-elle avec un ton sérieux. Roko a raison. Fei a besoins de t-
– Tais-toi. Je n'ai pas besoins d'entendre parler de l'état de Fei.
– Saru ! Fei est ton copain bon sang !
– Laisse moi tranquille.
Saru se retourna et se diriga vers sa chambre mais il fut arrêté par une autre personne. Un grand blond au yeux violet. L'air sérieux voir même en colère.
– Saru. Je ne veux pas me mettre contre ton avis. Mais je sais que Fei ne dort presque plus la nuit, il fait des crise souvent, tu lui manque réellement. Alors je ne croix pas qu'en plus de sa maladie, Fei est vraiment besoins de ça ! s'exclama le garçon. Tu lui manques vraiment.
– Je fais ce que bon me semble, Chetto.
– Et ça te semble bon, à tes yeux, de faire souffrir Fei ?
Saryuu serra des poings et fixa Chetto droit dans les yeux. Meia lui attrapa l'épaule '
– Saru. Réfléchi... je t'en suppli.
Le blanc se détacha de Meia et passa à côté du gardien de Garu, il continua son chemin jusqu'à sa chambre et la claqua violemment. Il en avait marre que tout le monde lui fasse des remarques. Ça commençais à l'énerver sérieusement.
Il se frappa violemment le poing contre le mur.
– Je le sais tout ça... murmura-t-il.
Le soir venu, Saru s'eclippsa discrètement du bâtiments de Feida et se diriga vers l'hôpital. Il monta directement au troisième étage et entra dans la chambre 42.
A peine entré qu'il attira l'attention d'une personne se trouvant dans la pièce.
Et à peine quelques secondes après qu'il soit rentrer, les yeux de Fei se remplirent de larmes. Ce qui brisa le cœur de Saru, qui se rapprocha du lit sur lequel il était Mi-allongé.
– S-Saru ?
– En personne, marmonna le garçon.
Fei détourna le regard. Et essuya ses larmes.
– Merde...
Saru s'assis sur le lit au côté de Fei et le pris dans ses bras. Et quand il fut sur que Fei ne puisse pas la voir, il émit un petit sourire satisfait. Un sentiment étrange empli sa poitrine, un sentiment mélange de satisfaction, justement, et quelque chose d'horrible à ressentir.
Fei avait pleurer pour lui, et uniquement pour lui. Ce qui voulais dire que Saru était beaucoup plus important que les autres aux yeux de Fei.
Saru se crispa et s'éloigna de Fei en réalisant à quel point ses pensées lui donnaient envi de gerber.
– Saru...? murmura Fei.
– C'était justement pour ça que je voulais pas venir...
– Hein ? Mais de quoi tu parle ? Saru...
–... Quand je t'ai vu pleurer... j'étais heureux – ou quelque chose du genre... parce que c'était pour moi... et c'est putain d'égoïste. C'est pour ça que je suis pas venu te voir. C'est parce que quand je suis avec toi je deviens un monstre...
Les yeux de Fei se remplirent à nouveau de lames et il enfoui son visage dans le torse de son copain.
– F-Fei...
– T'es con bordel ! T'es stupide ! Tu crois que j'en ai quelque chose à foutre que tu sois égoïste ?! Je préfère que tu te sente égoïste mais que tu vienne me voir que l'inverse ! Et ce que je dit là, tu pense que ça ne l'es pas, égoïste ? Si t'imaginais ! Avant, quand tu venir voir, tu crois pas que des fois j'avais envie que tu rate tes nuits pour rester avec moi ?! Putain, je te déteste...
– F-Fei... Je...
– Ta gueule ! J'ai pas fini !! PUTAIN ! ET TOI... Tu...tu...
Saru sentais que Fei ne pouvais plus parler, il le rapprocha contre lui et caressa ses cheveux tandis que Fei frappais son torse avec son poing.
Saru sentais son t-shirt se remplir des larmes de Fei. Au bout d'un moments, Fei s'était calmer.
– Moi je t'aime Fei... tu le sais ça... n'est-ce pas ?
– Je sais... moi aussi je t'aime... mais
Un silence s'installa dans la pièce et Saru soupira doucement.
– Mais ?
– Nan... rien... oublie... retiens juste que je t'aime... Saru...
Il eu un petit rire et Saru embrassa doucement son copain avant de le reprendre dans ses bras.
Après tout, c'était stupide de ne penser qu'à sois même... mais des fois... peut-être... peut-être que...
Bref... le mieux était l'instant présent. Mieux valait ne pas penser au futur et ne pas ressasser le passé... simplement... Saru voulais juste, rester dans l'instant présent, tant que tout allait bien.
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