ꜱᴄᴏʀʙᴜꜱ - 𝐂𝐨𝐦𝐢𝐧𝐠 𝐨𝐮𝐭

– Tu es sûr que tu peux le faire, je ne te force à rien tu sais...

– Scorp, je suis près, c'est bon, ne t'inquiète pas pour moi. Je sais que tu veux le faire depuis longtemps, alors je le ferrais aussi.

Les vacances de Noël approchait à grand pas, et dans moins de deux jour, Scorpius et Albus rentraient chaqu'un chez eux, les deux garçons avaient décidé qu'après trois ans de relation, il était temps pour eux de tout dire à leurs parents respectifs.

Le premier à vraiment vouloir le faire était Scorpius, mais malgré ça, il restait toujours très stressé, il redoutait la réponse de son père, le grand Drago Malefoy, Albus avait finalement décidé à son tour que c'était mieux de ne plus vivre dans le mensonge, il était, comparé à son copain, bien plus détendu, même si au fond, il savait que ça ne se passerait pas incroyablement bien.

– Ça va bien se passer, ne t'inquiète pas Scorp, ton père est... possiblement mieux que le miens, ricana Albus.

– Oui mais quand même... si ça ne se passe pas b-

Albus interompi son copain en l'embrassant gentiment.

– Arrête de t'inquiéter, juste un instant, je t'en pris, murmura Albus en frottant doucement la joue de son copain.

Scorpius hocha de la tête et pris Albus dans ses bras avec un léger soupire.

– Pour l'instant, profitons de nos deux jours ensemble, OK ?

Scorpius hocha de la tête et ferma doucement les yeux, Albus avait raison, ça allait bien se passer avec leurs père, et là, il allait profiter d'Albus le plus possible durant ses deux jours avant d'être séparés deux semaines de vacances où il devrait se contenter de hiboux et de lettres.

×××

Scorpius marchait le plus rapidement possible, il était en retard, par Merlin et Salazard ! Dans dix minutes, le Poudlard Express était censé partir, et évidemment, il était en retard, en plus de ça, Albus avait comme disparut, et il n'avait put le trouver nul part, donc, actuellement, il en était presque à courir dans les couloirs de Poudlard afin de ne pas rater le train.

Soudain, alors qu'il passait à l'extérieur, il sentit quelqu'un tirer sur sa robe et le prendre dans ses bras, Albus, évidemment, puisque personne d'autre ne faisait ça dans l'école, puisque personne d'autre ne l'appréciait.

– A-Al ?

– Scorp, ça va ?

– Euh- oui ça va, mais qu'est ce que tu fais ? Le Poudlard Express va bientôt partir, on est en retard !

– Peu m'importe, je veux passer quelques instants avec toi avant de retourner chez moi.

Scorpius sourit doucement et déposa un baiser sur les lèvres de son copain.

– Allons-y, sinon on va se faire tirer les oreilles, aller.

Albus hocha la tête, il attrapa la main du blond et ils partirent ensemble – en marchant un peu – rapidement vers la gare. Une fois arrivés, ils se séparèrent à contre-cœur, Albus partit rejoindre James Potter et Lily Potter, ainsi que Rose Granger-Weasley, Scorpius, lui, décida de s'asseoir seul dans un compartiment avec d'autre Serpentard avec qui il ne parlait pas vraiment. A vrai dire, il n'avait pas d'autre amis qu'Albus.

×××

Lorsque le Poudlard Express arriva enfin à son bord, Scorpius descendit rapidement, il croisa le regard d'Albus qui le regardait d'un regard impassible, froid, tellement différent de toujours, de ce regard plein de sentiments. Il savait qu'Albus devait faire exprès parce que son père devait être là, et que ce dernier n'aimait vraiment pas la relation "amical" de Scorpius et Albus ainsi que James, Lily et Rose, mais ça lui fit tout de même mal au cœur.

Au loin, Scorpius remarqua son père, il lança un dernier regard à Albus et s'approcha de lui.

– Bonjour, père.

Drago, toujours aussi tactile, posa simplement sa main sur l'épaule de Scorpius, lui offrant un léger sourire.

– Que se passe-t-il ? Tu as l'air triste, l'interoga-t-il.

– Je... non, ce n'est rien, aucun problème.

– Tu m'en parleras si tu as un problème, je serais toujours là pour t'écouter.

– Oui... merci.

– C'est normal, pour un père.

Scorpius hocha de la tête, avec son père, il transplanèrent jusqu'à leurs maison. A peine arriver, Scorpius partit directement dans sa chambre, il rangea ses affaires et posa sa cage de son hibou sur son bureau. Il le regarda quelque instant puis détourna le regard et s'allongea sur son lit. Il allait dormir quelques instants avant d'aller manger, puis il dirait tout à son père, oui, c'était une très bonne idée, un très bon plan.
En réfléchissant plus longtemps, Scorpius se dit qu'il n'avait jamais eu de bon plan. Mais peu importe, il fallait qu'il le fasse de toute façon, le plus tôt possible.

Scorpius soupira quand il se réveilla. Il regarda l'heure, et se dit qu'il devait bientôt être l'heure de manger, et justement, à ce moment là, son père l'appela pour venir manger.

Il se releva et recoiffa ses cheveux qui s'était emmêlé pendant son cour sommeil, puis il descendit rapidement.

Il s'assit silencieusement à table et ils commencèrent à manger, en silence, le vendre se Scorpius se tordit d'anxiété, plus la fin de repas approchait, plus il se sentait mal. Il appréhendait fortement la réponse de son père. Il espérait fortement que ça irait bien, qu'il ne soit au moins pas trop déçu de son fils...

Scorpius se releva ayant fini de manger et se dirigea vers le canapé dans le salon.

– Scorpius, tu te sens bien ?

Le blond releva le regard vers son père, qui s'était assis à côté de lui.

– Oui oui, ça va, mentit-il.

Drago haussa d'un sourcils.

– C'est la deuxième fois que tu me mens dans la journée, qu'est-ce qu'il t'arrive ?

Scorpius baissa le regard.

– Scorpius...

Scorpius hésita, puis se lança finalement.

– C'est juste que... en fait je suis amoureux de quelqu'un...

Drago parut étonné.

– C'est ça qui te cause du soucis ? Ce n'est absolument pas grave.

– Le problème... c'est que c'est... c'est...

Scorpius tenta d'étouffer un sanglot, en vain, des larmes coulèrent de ses yeux, il ne savait pas pourquoi, mais il se mit à pleurer.

Il sentit un léger poid sur son épaule, il releva ses yeux embués de larmes vers son père qui lui faisait un sourire rassurant. Il sentit qu'il se calmait légèrement.

– Ne pleures pas voyons, ne te stresse pas, je ne le prendrais pas mal, tu le sais bien, le rassura-t-il.

Scorpius tourna la tête de gauche a droite en baissant le regard.

– Mais si tu ne te sens pas de le dire maintenant, repris Drago, je comprend, je te laisse le temps de le dire, je sais bien que ce n'est pas facile.

Scorpius ravala sa salive, il devait le dire, maintenant, sinon il n'oserait jamais.

– Albus... C'est Albus... et je suis avec lui depuis trois ans...

Scorpius releva le regard vers son père, il ne paraissait même pas étonné.

– Je m'en doutait, dit-il après quelque secondes de silence. Je sais à quel point ça t'avait brisé quand Potter voulait que vous ne soyez plus amis, chaque fois que tu parlais de lui, je voyais bien qu'il y avait quelque chose, et puis, le nombre de lettre de lui que tu as dans ta chambre. Au fond, ça me semblait évident.

Il sourit, Scorpius, lui, était étonné.

– D-donc tu ne m'en veux pas ?

– Scorpius... pourquoi je t'en voudrais, je me fiche royalement de qui tu aimes du moment que tu es heureux. Enfin, du moment que ça ne part pas trop loin. Et puis, je n'étais pas mieux que toi, quand j'étais à Poudlard.

Il sourit d'un air nostalgique, puis frotta doucement l'épaule de Scorpius avec sa main.

– Aller, viens par là.

Il ouvrit légèrement les bras, Scorpius s'y blottit sans aucune hésitation, c'était si rare qu'à chaque fois que ça arrivait, il en profitait au maximum.

– Merci...

Il posa sa tête contre l'épaule de son père, ils restèrent ainsi durant plusieurs minutes, puis au final, il se détachèrent. Scorpius remonta a sa chambre, et décida qu'il était un peu tard pour envoyer son hibou dans la nuit. Il s'allongea dans son lit, complètement détendu, et s'endormit.

Le lendemain, à peine réveillé, il attrapa rapidement un bou de parchemin, pris sa plume et commença à griffonner une lettre.

      “Albus.

Hier soir, j'ai parlé avec mon père, ça s'est super bien passé, il m'a super bien soutenu, ça a même fini en étreinte, je ne m'y attendais pas, mais apparemment tu avait raison, je devrais t'écouter plus (au risque de finir chauve, brûlé par un dragon ou perdu dans le temps)
Bref, j'espère que ça se passera bien pour toi aussi.

     Scorpius. M”                   

Il donna la lettre à son hibou, ouvrit sa fenêtre et l'envoya en lui demandant de l'envoyer à Albus, il l'a regarda disparaître dans le décor puis descendit pour prendre un déjeuner.

×××

Albus descendit du Poudlard Express, accompagné de James, Lily et Rose. Il lança un regard froid et impassible, comme il se devait de le faire, à Scorpius. Au loin, le petit groupe repérèrent leur parents. Ginny et Harry Potter, et Hermione Granger et Ron Weasley, les parents de Rose. Il s'avancèrent avec entrain vers eux – moins pour Albus, évidemment – et se saluèrent joyeusement. Albus restait à l'écart, ne souhaitant pas se mêler à eux, Harry s'approcha de lui et le salua tout de même, il y répondit distraitement, puis, il rentrèrent chez eux. Albus, pour l'instant, estimait qu'il valait mieux d'attendre avant d'en parler à ses parents.

Le lendemain, il reçu un charmant hibou vers la fin de la mâtinée, un hibou qu'il connaissait bien puisque c'était celui de Scorpius. Il lui donna quelque chose à manger et commença à lire la lettre. Le hibou se modillait joyeusement le doigt.

Albus sourit en finissant de lire la lettre. Il était déjà rassuré pour Scorpius, maintenant il lui fallait le dire à ses parents à lui.


Le soir arriva à une vitesse fulgurante, il soupira et quitta dans sa chambre, puis partit dans le salon, ou il retrouva son père, assit sur un canapé.

– Elle est ou maman ? demanda-t-il.

– Elle est sortit avec James et Lily faire des courses.

– Et pourquoi pas avec moi ? dit Albus, légèrement vexé.

– Elle s'est dit que tu n'aurais pas envi, donc elle a estimé que ce serait mieux de ne pas te demander.

– Elle avait bien raison, marmonna Albus. Bref, il fallait que je te parles.

Harry releva son regard vers son fils et sourit.

– Je t'écoute.

– C'est par rapport à Scorpius.

Harry fit une grimace et fronça des sourcils.

– Tu sais bien que je n'aime pas ce garçon. Je n'aime pas le fait que vous soyez amis.

– On n'est pas amis, lança Albus.

Harry hocha de la tête.

– C'est sûrement mieux comme ça.

–  En fait, on est ensemble, c'est pour ça qu'on est pas amis, lâcha subitement Albus, sans même s'en rendre compte.

Les yeux d'Harry devinrent rond comme de pleine lune et sa mâchoire se serait décroché si c'était possible.

Pardon ?!

– Je suis en couple, avec Scorpius, depuis trois ans. C'est ça qu'il fallait que je te dise, marmonna Albus en baissant légèrement le regard.

Harry se releva d'un coup et s'approcha dangereusement d'Albus.

– Tu es en couple avec Scorpius, en plus de ça un Malefoy, et un fils de Mangemort ?! Qu'est ce qu'il te prend ?!

– Je n'ai pas choisi d'être amoureux de lui, répondit Albus en haussant des épaules, évitant le regard de son père.

– C'est absolument hors de question que tu sois avec lui ! Je ne veux plus jamais que tu lui parle, ni que tu le voit.

Albus serra les poings et serra les dents.

– Qu'est ce qu'il te dérange dans le fait que j'aime Scorpius ?!

– Que tu l'aime. C'est tout, c'est un problème ! s'exclama Harry.

– Mais pourquoi ?!

– Il n'y a pas de pourquoi qui tienne, c'est hors de question, point final ! Maintenant monte dans ta chambre, et que je n'entende plus jamais parler de toi et Scorpius ! s'écria Harry.

Albus sentit les larmes lui monter aux yeux, il s'éloigna d'Harry, monta une marche de l'escalier et s'exclama :

– Je te déteste !

Il s'enferma dans sa chambre et éclata en sanglots, il savait bien que ça ne se passerais pas bien, mais si mal, il ne pensait pas que son père serait aussi peu supportif.

Il se releva difficilement et s'approcha de son bureau en tremblant, il ne savait pas s'il était plus en colère ou triste, ou un mélange des deux, mais il y avait quelque chose qui n'allait pas. Il attrapa son parchemin et une plume, puis d'une écriture tremblante, il commença à écrire.

      “Scorp
J'ai tout dit à mon père, et il n'a absolument pas accepter, il t'a insulté, et moi aussi au passage, je ne comprend pas, qu'est ce que j'ai fait de mal ? Ou est le problème ? Pourquoi ne veut-il pas comprendre ? Tu es mieux que la plupart des humains de ce monde, mais il continue à te traiter de fils de Mangemort... À dire que tu a une mauvaise influence sur moi, je ne comprend pas, ça m'énerve, ça me rend triste... Je ne sais plus quoi faire...

Il ne veut plus qu'on se voit, plus qu'on se fréquente, il s'est mis dans tout ses états, je me suis enfermé à ma chambre, je sens que ça ne va pas bien se passer par la suite... J'ai peur Scorp, je ne sais pas quoi faire... Je ne comprend pas ce que j'ai fait de mal, ce qu'on a fait de mal ? J'en ai marre, il ne comprendra jamais que du moment que je suis heureux c'est tout ce qui devrait lui importer...?

J'aurais aimé que ça se passe mieux, je pensait que ça pourrait se passer mieux, apparemment pas...
Je suis désolé pour tout...
    
                               Albus”

Il attracha le bout de parchemin à la patte de son hibou.

– À Scorpius, fait vite, c'est important... s'il te plais... murmura-t-il.

Le hibou battit des ailes, comme pour le rassurer, et s'enfuit rapidement de la fenêtre.

Albus s'assit au pied de son lit et se recroquevilla sur lui même, ses larmes coulaient toujours de ses yeux qui le piquait à force de pleurer.

Une dizaine de minutes plus tard, il entendit une voix dans le salon.

– Malefoy, qu'est-ce que tu fais la ?!

– A ton avis, je viens pour une partie de Quidditch, répondit la voix de Drago Malefoy, sérieusement, Potter, pourquoi veux-tu que je sois venu ?!

Albus se releva et se rapprocha de la porte, il colla son oreille contre cette dernière.

– Vois-tu Potter, nous étions tranquillement en train de manger avec mon fils, et nous recevons un hibou avec une charmante lettre à l'intérieur, disant que toi, tu refuse que ton propre fils soir dans une relation, avec la seul personne qui ne l'ai jamais réellement compris, une lettre qui montrait réellement sa douleur, alors, évidemment nous avons transplanter ici pour avoir des explications, expliques-toi, Potter !

– Il n'avait pas à envoyer une lettre, et puis de toute façon, tu penses vraiment que je vais le laisser fréquenter ton fils ?!

– Qu'est-ce que ça fait que ce soit mon fils ou le fils de quelqu'un d'autre, c'est un humain, comme tout le monde, il n'a rien fait de mal ! Et toi, te rends-tu au moins compte qu'en les séparant, tu rend ton fils malheureux ?

– C'est justement mon fils, comme tu dit, je suis celui à qui il doit obéir, et si je lui dit qu'il ne peux pas rester avec cet enfant, il ne restera pas avec lui, point.

Le cœur d'Albus failli se décrocher de sa poitrine quand il entendit un sanglot de Scorpius, depuis le salon. Il sortit de sa chambre à la volée et descendit les escaliers quatre par quatre – en manquant presque de se tordre la cheville d'ailleurs –.

– Scorpi-...

– Albus, je t'avais dit de rester dans ta chambre ! s'exlama Harry.

Mais Albus ne l'écouta pas, il s'approcha, et prit Scorpius dans ses bras, sans se sourcier ni de Mr Malefoy, ni de Harry.

– Scorpius...

– Albus, quand j'ai reçu ta lettre je suis tout de suite venu avec mon père... écoute, pour rien au monde je ne me serparerait de toi, même si c'est ton père qui le demande, je refuse, je t'aime de tout mon cœur, je ne veux pas qu'on soit séparer, et ça n'arrivera pas, pour rien au monde...

– Moi non plus je ne veux pas être séparer de toi... tu es la seul personne qui compte réellement pour moi...

Albus nicha son visage dans le cou de Scorpius, tentant de se calmer au mieux, rien que la présence du garçon l'avait déjà rassuré.

– Tu vois Potter, regarde les, regarde les et ose me dire que mon fils a une quelconque mauvaise influence sur le tiens, que Albus ne sera pas heureux avec Scorpius, tu vois bien que ce n'est pas le cas, qu'ils sont heureux ensemble, quoi qu'il arrive, reprit Mr Malefoy. Qu'est ce que tu ne comprend pas ?

Harry resta silencieux durant plusieurs longue secondes.

– Tu vois, toi même tu sais que j'ai raison, mais pourquoi tu ne veux pas qu'il soit ensemble, c'est simple, à cause de nos bêtise d'adolescents, c'est bien ça ? Et bien ne crois pas que c'est en empêchant Albus d'être avec Scorpius que tu le protégera d'on-ne-sait-quoi, puisque tu le fais plus souffrir qu'autre chose, comme ça. Et tout ça pur quoi ? A cause moi peut-être ? Mais Scorpius n'est pas moi, il est même sûrement dix fois meilleur que moi, alors pourquoi ? Dis moi simplement pourquoi.

Silence.

– Rien, voilà. Tu ne sais même pas toi même.

Albus ressera son étreinte contre Scorpius, qui m'avait écarté un peu, si bien que s'il parlait à voix basse on ne pouvait pas les entendre.

– Qu'est-ce qu'on a fait de mal, Scorpius, pour que les gens ne nous comprennent pas comme ça...? murmura Albus.

– Je ne sais pas, Al, mais ce que je sais, c'est que je t'aime et que je t'aimerais toujours, peut importe comment, je serais toujours avec toi. Même si pour ça il faut que je me batte contre deux Dragon, trois Basiliques et tout les fondateur de Poudlard, je ferrais toujours tout pour toi...

– Moi aussi je ferais tout pour toi Scorp... (il s'écarta légèrement de lui) et tu sais quoi, si il le faut, on les combattra ensemble, ces dragons, s'il faut qu'on les combattre, même si je me fais renier par ma famille, je t'aimerais toujours et personne 'e me séparera de toi, moi aussi je serais toujours là pour toi. Je t'aime de tout mon cœur, pour toujours...

– ... et à jamais, continua Scorpius, en le reprenant dans ses bras les yeux larmoyant.

– Je t'aime, firent-il de nouveau, d'une même voix.

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