Chapitre 37

Bon bah voilà... Ceci est une des fins de la fiction : une sad end. J'essayerai de mettre la Happy End dans la semaine. Bonne lecture !














Voilà. Presque deux heures du matin. Les mains moites. La sueur au front. Tout s'enchaînaient très vite, trop vite.

L'heure était à nos dernières caresses, nos derniers mots doux, nos dernières pensées.
Bientôt, nous irons rejoindre les anges, ensemble. Enfin, il était déjà un ange de son vivant. Quand est-il de moi ? Personne ne peux en dire pareil.

Les larmes roulaient abondamment sur nos joues. Deux heures pile. Il est temps.

On se redressa, pris nos lames qui étaient précédemment qu'un souvenir. On se regarda, un long moment, la sirène d'une voiture de police nous fis revenir à la réalité.

"-Je t'aime.
-Je t'aime."

Il planta sa lame dans mon bras, et je planta la mienne dans le sien. Nous tracions de longs trait, faisant tout nos avant bras dans leurs longueurs. Nous faisons pareil dans l'autre, nous arrachant des cris de douleurs.

Je vint rapidement me loger dans ses bras, bien qu'un peu sonner par le manque de sang dans mon corps. Il nous allongea. On se regardait avec un sourire niais mais quelque peu fier, comme pour se dire "voilà, on l'a fait, je suis ravi d'être mort dans t'es bras". On se vidait de notre sang, nos yeux devinrent livide, tout comme notre peau. Ça c'est finis comme ça.













"Jamais je ne le remercierais pour avoir autant chamboulé ma vie et de m'avoir fait sourire quand ça n'allait pas. Il était mon bonheur mais aussi ma plus grande faiblesse.
Car, parfois, il a des choses tellement belles qu'elles nous font mal, comme lui.
Il était devenu le genre de personne qui donne toute son âme sans rien attendre en retour, il était incroyable. Il était le genre de personne qui a su me persuader que la vie n'est pas si moche, alors que tout foutait le camp.
Un seul de ses sourires, et tout s'éclairait.
Ce que j'aimais le voir rire. Une grosse bouffée d'oxygène, moi qui ai vécu en apnée jusque là. Oui, J'aimais l'entendre rire. C'était comme un retour à la normal.
Parfois, je le regardais, et je me demandais comment pourrait-on ne pas l'aimer.
Je l'aimais plus que j'aurai dû. J'avais même du mal à croire qu'il était bel et bien réel.
Oh, Taehyung. Si tu savais. Tu m'as permis de tout oublier.

Se sera toujours le plus beau chapitre, celui qui m'a le plus fait sourire durant ma courte vie.

Je t'aime, Taehyung.

Merci pour tout,


JungKook."

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