Au début, je ne te connaissais quasiment pas.

Même si quitter la personne que je déteste le plus nous a rapprochés.

Nous nous serons peut-être jamais rencontrés sans cela.

Puis je t'ai vu comme un ami. Puis un meilleur ami. Jusqu'à me rendre compte que je t'aimais.

Puis, un jour, je t'ai demandé, comme ça, simplement : "Maxence, est-ce que tu aimerais être en couple ?"

Ta réponse était que non, et j'ai voulu t'oublier. Je n'y arrivais pas totalement. Nous étions encore de très bons amis.

Le temps avait passé, jusqu'à que tu m'envoies ce message : "Je dois te parler ! C'est important !"

Tu m'avais donc appelée, puis m'as dit : "*Tôka*, tu penses que je veux te dire quoi de si important !?"

J'ai répondu que je ne savais pas.

Après quelques minutes à tourner autour du pot, tu m'as avoué que tu m'aimais.

Mes sentiments pour toi s'étaient révélés à nouveau.

Tu me disais ensuite que tu m'aimais à 30%, 40%, en augmentant les valeurs.

Puis je t'ai révélé que je t'ai aimé ce jour où tu m'avais dit que tu ne voulais plus être en couple, et je t'ai dit des secrets.

On s'est mis ensemble, s'est quittés pendant une semaine à cause d'un malentendu, puis on s'est remis ensemble.

Quelques semaines plus tard, nous avons eu notre premier baiser, dans un voyage organisé par notre club de plongée, et ça a été magique.

Quelques mois après nous avons eu notre premier baiser... plus intense, disons. Et ça a été vraiment génial.

Puis on a commencé à s'appeler par des petits surnoms...

Le 8 septembre 2024, tu m'as vu au théâtre, jouer une pièce. Tu m'as trouvée ravissante, et tu m'as dit que je jouais trop bien.

Le 20 septembre ( en plus c'était la Saint Maxence hehehe ), je t'ai boudée toute la journée.   Je ne voulais pas te quitter. Je voulais te faire plus, quelque chose qui fera avancer notre couple davantage. 

Je t'avais donné une condition... Tu ne l'avais pas respectée !

Bon bah, plusieurs semaines après je te l'ai quand même fait, avec ton consentement.

Je te toucherai encore où je veux et quand je veux. ♡

Et toi aussi tu pourras me le faire.

Je m'en fous.

Je t'aime trop...

Tu te rappelles du message ?

Oui, je sais. 

On le fera quand tu voudras, où tu voudras.