12 «Le retour»
Y'a-t-il encore des personnes sur ce livre? Car je suis prête à remettre la chronique en feu.
DEUX ANNÉE PASSÉ.
eh ouais coco, j'allais tout de même pas raconter toute ma vie, ce sale. Y'a rien de glorieux et toi même tu l'sais, la seule chose qui vous faisiez croire ça. C'est les médias, les séries, les chroniques..
Qui montrer que, y'a de bonne personne, remplie de bonté et d'innocence malgré leur fort et sombre vécu, caractère etc... Sauf que dans la réalité c'est deux choses qui s'opposent et en aucun cas l'inverse.
A S T R I D
focalisation zéro (omniscient)
Je sonne plusieurs fois, personne me répond, attend comment ça personne ne répond. Il est midi et tout le monde dors c'est ça?
-AARON OUVRE TA RACE.
Aaron-Mot de passe.
-Aaron je compte jusqu'à trois, à trois si t'ouvre-
Il ouvre la porte et je l'attrape par les cheveux.
Aaron-AÏE..
-J'ai faim.
Aaron-Moi aussi. Je lache ses cheveux et souffle.
-Papa et maman sont où?
Aaron-J'sais pas, je me suis réveiller y'a à peine deux minute par tes cries en plus..
Il me dit ça avec ça bouille de bébé, je le regarde et ris, des fois il peut être marrant.
Je prend une céréale de son bol et il ma tape le dos de ma main.
-Eeh...
Aaron-Tu n'a qu'à prendre un bol.. ET TU SAIS QUE JE DÉTESTE ÇA ASTRID.
Il part de la cuisine avec une démarche de fille, même une fille elle marche droit.
Je le regarde en hochant simplement la tête négativement et pars au salon.
Des fois j'ai des envies de sortir, de partir à la plage, de partir en Belgique un week-end ou même juste un soir. De prendre la voiture et de juste mettre la musique à fond et danser snaper etc.
Mais j'ai de une, pas d'amis.
Et de deux, je n'aime plus personne à part ma famille. Et encore..
Bon déterminée que je suis je me lève du canapé alors que je viens tout juste de m'assoir.
Prend les escaliers et atteint ma chambre, je sors une belle tenue, je sors mon maquillage. Je sors même mes projecteurs à la con que j'ai achetée sur Amazon.
Aaron rentre et me regarde en fronçant les sourcils. D'incompréhension je suppose.
Aaron-Euh.. je peux savoir tu fais quoi?
-Des trucs de filles. Dis-je en appliquant bien comme il faut mon gloss
Il me regarde et ferme la porte derrière lui, je souffle et il met la musique à fond. Je pose par terre ma palette et fixe un point imaginaire.
-AAAAAARON.
Aaron-J'ENTEND RIEN..., J'SUIS FRAIS DE LA TÊTE AU PIED LE VIDEUR VEUT ME POINTER J'SORS LE VIOLET LÀ IL VEUT ME LAISSER RENTRER
-TOUTES LES GADJ-
Aaron-DJI ME REGARDE DE TRAVERS, Y'AURA RIEN POUR EUX MOI J'SUIS PAS LEUR PÈRE.
-OH MAMA SITA OH MAMA SITA.
Aaron- J'SUIS PAS EN VOITURE J'TE CHARGE EN VESPA.
Je me lève et prend ça baff, je met sur pause et il me regarde mal.
Aaron-Wsh wsh wsh, remet remet.
-Parle pas comme ça on dirait un traîné.
Aaron-Ok, donc. Pourquoi enlève-Tu ma musique? Je suis fébrile je m'en excuse sœurette.
-Alors.
Je reprend ma palette, je commence à faire mes yeux, un rose nude avec les paillettes rose gold et un peu de peach sur le creux des paupières.
-ça te dis on prend ma voiture, on fais l'plein et on va à la foire?
Aaron-Moi je dis mieux, c'est les grandes vacances. On a actuellement 3 mois devant nous.
Je souffle et continue de me maquiller, il est toujours dans l'excès j'imagine que ça demande aussi.
Aaron-On part à Marseille, que toi et moi. Ont laisse papa et maman ici.
-Et toi tu dis ça dans le plus grands des calmes.
Aaron-Bah ouais tu crois que j-
...-DE RETOUR OH.. ÇA SENS MAUVAIS C'EST QUOI ÇA.
Aaron et moi on se lache un regard complice et il me chuchote.
Aaron-Oh non pas elle putain pas elle.
Je lui met une tape sur la tête et descend à vive allures.
-AMAYA.
Elle se retourne et se pointe du doigt.
Amaya-C'est moi amaya genre?
Elle se re-retourne et je la tire vers moi pour lui faire un câlin.
-BON T'A TENU TA PROMESSE.
Je ris gênée et elle sourit en regardant autour d'elle.
Amaya-Ça a pas changer, par contre ça pu c'est quoi?
Elle commence à enlever ça veste et ses sandales.
-Tes sérieux il fait trente degré dehors toi tu met une veste en cuir.
Amaya-*rire*Bah oui, logique.
Elle s'affole sur le canapé et m'ouvre ses bras. Je prend son téléphone et tombe sur elle. Elle hurle limite.
Amaya-La bouffe et toi c'est l'amour fou ou quoi? -dit-elle en essayant de ce redresser.
-Ouais ouais..
Aaron descend et avait ses doigt noir, je le regarde et il me sourit à pleine dent. Et fini par me-
Aaron-Oups.
-C'est quoi?
Aaron-JE SAIS PAS ME TAPE PAS.
Amaya-Respect, tu t'es même pas encore levée qu'il croit déjà.
-Tu connais..
Je la tchèque et estompe mon sourire, je reporte vite mon regard vers Aaron qui lui était obnubilé par ses doigt qui virée vachement à un noir poudrée.
Attend.
Je rêve ou?
NOOOOON PAS ÇA.
-T'es au courant que je vais râper tes doigt avec un cutter pour reprendre la poudre là?
Il me regarde avec un air dégoûté et commence a reculé doucement.
-Un conseil-
Amaya-Cour cour. Dit-elle en rigolant.
-TU TROUVE ÇA DRÔLE? 65 BALLE POUR UNE PALETTE?
Elle lève les mains et les positionnes devant-elle et me regarde.
Amaya-M'en balec un peu..
-Tu va mourir ce soir.
amaya- mais dis ça à ton frère.
Aaron-C'est pas ma faute t'avais pas qu'à laisser tes habits par terre.
Non, non non.
C'EST QUOI CE BORDEL.
Amaya lache un fou rire extrême et moi j'étais exaspérée.
Je vais le tuer.
Aaron-Pardon..
Je le regarde et ne dis rien.
Aaron-Bebe? Dit-Il avec hésitation.
Comme si son bébé allez changer quelque chose à son pardon minable.
-Vas-y je voulais t'emmener avec moi au centre commercial et ensuite au restaurant bah non.
Amaya-Moi je veux bien.
-Toi ta gueule qui t'a parler?
Amaya-Calme down calme down.
Aaron-*rire*
-Pourquoi tu ris toi?
Aaron-Ta dis ça comme la meuf qui avait des faux cheveux et même la p'tite lui a dis c'étais des faux cheveux..
-Attend je crois il veut j'le tape?
Aaron-Non sans façon la plus belle..
Amaya-Bon on sort?
-non.
Amaya-Et pourquoi?
-Mes habits sont dans ma chambre, si j'y vais et que je vois le carnage qui a été fais je crois je vais mourrir pour de vrai.
Amaya-Pff je vais te chercher des habilles bouge pas.
-Ok.
Amaya s'en va en montant les marches, je la suis du regard puis repose mon regard vers Aaron. Il me sourit et je lui montre mon majeur.
Connard va.
Aaron-Mais calme toi tes yeux me brise le coeur woula.
-ARRÊTE DE DIRE WALLAH TES CHRETIEN.
(J'était obligé bref je vous laisse en 1212 mots).
nael
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