Chapitre I : Contre Cronos
Zycie le savait, elle savait ce qu'elle devait faire.
Elle savait avant même la victoire du Mal. Elle y avait déjà songer avant la perte de l'espoir de chaque êtres vivants de ce monde.
Non pas qu'elle avait perdu espoir avant tous les autres, seulement, elle avait toujours été d'une prévoyance presque maladive.
La fille de Leben savait que la victoire ne serait pas si simple à acquérir. Et pour ces amis, sa famille, son peuple et les merveilleux instants qu'offrait la vie, Zycie avait prévue un plan secondaire.
Le sac où se trouvaient tous les éléments nécessaires pour mettre son plan à exécution était près depuis longtemps déjà, et elle ne s'en éloignait jamais.
Dans celui-ci se trouvait peu de chose.
Seulement un carnet blanc - noirci par la saleté - à la tranche et au dos argenté, un livre nommé "Le Mal, étant solide", de l'argent, des photos, une pile de papier et une boule de verre.
La jeune fille marcha une heure durant, s'éloignant des corps souffrants.
Elle arriva dans une petite clairières entouré d'arbres dés séchés, qu'elle aimait tant, il y a bien longtemps.
Les arbres était aux colleurs du printemps et de l'automne à la fois. Ocres, marrons, de multiples camaïeux de verts, et même parfois jaunes et rouges.
Elle jouait dans cette clairières avec ses anciens amis qui lui manquait tant : Juana, Bella, Axel, Mathieu et... le meilleur de tous, son meilleur ami, Léon.
Ils avaient tous grandit ensemble, étudié ensemble, voyagé ensemble... et ils s'étaient battue - s'en relâche - tous ensemble.
C'est dans un champs de bataille que Zycie les avait vu pour le toute dernière fois.
Elle était consciente que ce qu'elle s'apprêtait à faire ne les ramènerait pas. Elle était bien placé pour savoir que ramené à la vie était une action impossible.
Redonner vie à une personne était inutile, puisque pour cela il fallait sacrifier un coeur, une âme - n'appartenant pas au possesseur du coeur - et forcer un sacrifice de la raison d'un être tiers. Tout cela pour redonner vie à une personne pour seulement cinq jours.
Alors elle le savait, même si ce qu'elle contait faire était différent, cela ne changera rien.
Ce qu'elle allait faire n'allait que crée un nouveau monde, démunis des être de celui dans lequel elle vivait à cette instant.
Oui, elle s'apprêtait à défier Cronos.
À défier le roi du temps.
À remonter le temps.
En effet, Zycie contait simplement - ou pas - remonter à la source et exterminer le Mal tant qu'il en était encore temps.
C'est pour cette raison qu'elle avait dans son sac une pile de document sur lequel était inscrit sa nouvelle vie. Et qu'elle possédait l'artéfact qui lui allait les permette de remonter le temps, une boule de cristal unique : La Prison de Cronos.
Mais utiliser la Prison de Cronos nécessitait un grand sacrifice : celui de l'équilibre de la santé.
Si elle s'en servait, Zycie aurait alors une faible constitution.
Mais elle était décidé, elle allait le faire.
Elle sortie la boule de cristal de son sac, s'en muni fermement et ferma les yeux.
Une lumière bleu sortie des mains de la jeune fille, tandis qu'une même lumière, mais rouge, sortait de la Prison de Cronos.
La fille de Leben poussa un cris strident avant de disparaître dans l'espace temps.
Quand elle ouvrit les yeux, Zycie se trouvait devait ce qui semblait être une cellule.
Elle s'approcha de cette dernière.
L'intérieur était noir et paraissait vide, mais quand une main passa à travers les barreaux, la jeune fille se rendit compte que ce n'était pas le cas.
« Qui es-tu ? » Demanda une fois grave et terrifiante.
« Une passagère voulant retourner dans le passé d'il y a presque 200 ans.
- Qui es-tu ?
- Je viens de vous le... » La jeune fille se tue. Si l'homme - elle supposait que s'en était un, par sa voie grave - dans cette cellule lui reposait la même question, il y avait une raison. Zycie se rappela du nom de la boulle de verre : la Prison de Cronos. Cela devait donc être Cronos dans cette cellule. Serait-elle entré dans la boule ?
Quoi qu'il en soit, elle devait répondre et vite. « Je me nomme Zycie de Pologne, Princesse de ce pays, fille de Leben et de l'esprit céleste. J'ai 14 ans. Je suis ici pour faire recouvrer le bonheur à mon époque, mais pour cela je dois affronter le Mal du passé. Et vous, vous être Cronos, n'est-ce pas ? J'aimerais passer, sauver le peut qu'il reste à sauver, alors, par pitié, laissez moi le passage.
- Fille de la Vie, ou Vie toi même. Ton nom ne veut-il pas signifier cela ? Si je te laisse passer, alors je t'accompagnerai. On m'a donner un rôle indigne de ma personne. Je prouverai que le monde à eu tord. De loin j'observerai tes pas. Mais écoute moi bien avant cela : le monde est vaste, mais le Mal encore plus. La Mort n'est pas ton rôle, c'est le rôle de ta compagne de route. L'amour est ta force. Ta faiblesse est ta culpabilité. N'oublie pas, je te suivrait où que tu aille. »
Zycie ne comprenait pas tout ce que disait le Tirant, elle voulait lui demander plus de renseignement, mais ne pu puisque une lumière aveuglante l'entoura et l'envoya dans le néant.
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