Chapitre 8 : Bondpic
Bondpic était vraiment gigantesque.
Zycie avait beaucoup admiré le grand château. Oui, puisque s'en était un.
Devant elle se trouvait d'abord une rivière qui la séparait de son prochain lieu de résidence durant les semaines.
Il fallait monter dans des petites barques, qui - comme les voitures ne touchaient pas le sol - ne touchaient même pas l'eau, mais la frôlait tout de même. Il n'y avait aucunes rames; ces petits bateaux, avançaient simplement porté part l'air.
De l'autre côté de ce petit court d'eau se trouvaient la t'en réputé école - aux majestueuses éloges - de la grande Europe.
Le devant du grand bâtiments possédait trois hautes tours, celles sur le côté étaient identiques et possédaient dix fenêtres - autant que le nombre d'étages - et celle du milieu était en réalité un cloché muni d'une unique cloche de fer recouverte de feuille d'or qui laissait entendre un son merveilleux. Le même son que celui qui sortait des lèvres dites fines, minces mais charnues, de la si connue Gaia qui - comme toute mère - chantait de douces berceuse à son fils, Ouranos.
Et quel beauté ! Quel splendeur pouvait avoir ces paroles sans mots !
Le château à l'allure majestueusement mystérieuse mais tout de même accueillante, comme si la déesse du foyer, Hestia, y vivait elle même, possédait une grande porte principale qui était une oeuvre d'art à elle seule.
Faite de bois, de la même forme que les portes aux ponts levis du Moyen-Âge, elle dégageait une grande attirance, poussant toutes personnes vers l'intérieur. La porte - qui s'ouvrait en deux partie - était semblable à deux bras rassurant, qui promettait d'éloigner tous danger de l'être qui acceptait de passer à travers celle-ci, pour entrer dans un monde encore plus extraordinaire que celui qui se trouvait à l'extérieur.
Elle n'était pourtant pas si spéciale que ça, cette porte.
Elle paraissait même petite, si on l'observait un peu mieux.
La magie était peut être la raison de ses sentiments de bien-être que l'on pouvait ressentir vis-à-vis de cette porte finalement bien ordinaire.
Ou les dieux - qui en aurait fait don - aurait mis une part de leurs pouvoir universel en récompense à la réussite de cette école.
Ou Hestia, elle-même, pariant sur la réussite de ce lieu d'apprentissage s'y était réfugier, ou y avait placer une part d'elle.
T'en de possibilité pouvait expliquer ces doux sentiments, oui, tant...
Tout autour du bâtiment, de chaque côté de la rivière, le long du chemin qui conduisait jusqu'à ce lieu, un peu éloigné de la ville, ce trouvait des arbres. Ils formaient une forêt qui rejoignait celles autour de Spirit.
Seulement, derrière le bâtiment - qui était d'une certaine longueur - il n'y avait pas l'air d'y avoir de forêt, du moins, ce n'était que en regardant bien qu'on s'en apercevait, puisque sinon, si les détails nous échappait, il nous était impossible de distingué le faite que la forêt qui se trouvait derrière la gigantesque école n'était en réalité qu'une simple illusion.
Et Zycie s'en aperçut, malgré le fait qu'elle ne soit encore que de l'autre côté de la large rivière.
Elle n'avait pas bougé tellement elle était absorbé part le paysage qui l'entourait : la pureté du petit lac, la beauté du bâtiment, le chant de la cloche, l'étrangeté de la porte et la fougue des arbres.
Et cette forêt illusoire l'avait assez troublé pour la sortir de sa torpeur.
Elle vit Anita la regardé avec un doux amusement. Tandis que Malec avait l'air d'avoir disparue, ce qui n'était pas plus mal puisque la jeune fille était à la fois gêné et légèrement héritée de tous ces regards qu'il lui portait, sans même essayer de les cacher.
« Bien, je vois que tu aimes la vue. Je t'aurais bien accompagné jusqu'à l'intérieur, mais je suis moi même très occupé à m'installer, je suis professeur après tout." Lui dit gentiment la jeune femme. "Prend tes valises, entre donc dans ce merveilleux château que tu as l'air de beaucoup admirer et amuse-toi. Suis les autres élèves, d'accord ? »
Zycie hochant la tête. Un grand sourire ornait et illuminait son visage. Elle était de toute beauté et déjà admiré, de loin, par quelque garçons.
Elle fit voler sa valise dans les airs qu'elle contrôlait à la perfection et se dirigea vers les barques.
En y réfléchissant bien, cette rivière n'en était pas vraiment une. Elle en avait la forme, les composants, mais pas la taille.
Elle était vraiment très longue, bien trop longue pour un simple court d'eau.
La magie était, à coup sur, la raison de cette si grande distance qui séparait les deux rives.
La jeune fille monta dans l'une des barques - qui pouvait accueillir six personnes - où elle s'assit près d'un garçon d'environs son âge.
Il était assez mignon avec ses cheveux désordonnés. Sa carrure était assurément celle d'un sportif et son large sourire laissait entrevoir ses dents d'une blancheur inhumaine.
Les beau yeux noisette du garçon croisèrent ceux de la jeune fille.
Il lui tendis ensuite la main droite avant de lui articuler quelque mots.
« Salut, moi c'est Arim Magouem, troisième année. Tu es nouvelle, non ? En tout cas, tu n'as pas l'air d'une première année, physiquement, je veux dire.
- Enchanté, je m'appelle Zycie Polskie. » Lui dit-elle en lui serant la main qu'il lui tendait. « Je suis bien nouvelle, et en troisième année également.
- Voudrais-tu que je te guide ?
- Avec grand plaisir. »
La barque accosta et les deux jeune gens posèrent leur deux pieds sur terre.
Zycie était encore émerveillé par la beauté du château vu de plus près; et la bouche grande ouverte, ainsi qui les yeux écarquillés de la jeune fille arrachèrent un petit sourire au garçon qui l'accompagnait.
Arim trouvait déjà Zycie fort jolie et elle l'était encore plus avec cet air d'émerveillement. Si il n'avait pas déjà offert son coeur à un ravissante jeune fille, ceux dernier aurait certainement louper un - ou plusieurs - battements en regardant la belle blonde.
Le jeune garçon, dénommé Arim, dit à la jeune fille de la suivre.
Elle fut impressionné par la hauteur de la grande porte. Elle hésita un peu avant d'entrer dans le bâtiment.
Seulement deux minuscules petit pas le lui permettaient pourtant.
« N'es pas peur, ce n'est qu'un de porte après tout. » La rassura son nouvel ami.
Zycie hocha la tête avant de franchir - non sans peur - le seuil de l'entrée du grand château. Des frissons la parcoururent quand elle ressentit une présence durant la traverse de la porte.
Mais elle arrêta d'y penser quand elle vit l'intérieur.
La jeune fille fut encore plus ébahi pour la beauté de ces lieu que celle de l'extérieur.
L'entrée était en réalité une grande salle, où trônait divers table placé dans un désordre organisés, pouvant accueillir de quatre à huit personnes et si certaines correspondaient à chacun des quatre éléments, d'autres étaient plongée dans la simplicité du neutre.
Arim, qui c'était arrêté pour laisser le temps à le jeune fille de se remettre de cette vue fantastique, continua sa marche.
Il fut vite suivit pas la belle blonde qui était sortit de ses rêverie.
Puis le garçon se retourna pour lui parler, avec un air interrogatif sur le visage.
Qu'est-ce qu'il allait bien pouvoir demander à la demoiselle ?
Zycie eu alors peur. Et s'il lui demandait pourquoi elle n'était venu que pour sa troisième année. Il est vrai qu'elle avait déjà une belle et émotionnelle histoire à raconter, elle était d'ailleurs très proche de la réalité, mais n'était-ce pas une chose que l'on évitait de crier sur les toits ?
« Je ne t'ai toujours pas demandé qu'elle magie tu pratique. » Lui demanda alors le jeune homme.
La jeune fille fut soulagé, et elle regretta déjà de s'être inquiété pour si peu.
« L'air, je contrôle l'air.
- Mais n'est-ce pas fantastique !? » S'exclama le garçon dans une joie que Zycie ne compris pas. « Mes amis et moi sommes dans la même filière magique, nous sommes aussi de Arias.
- Voilà une bonne nouvelle ! » Dit alors la blonde, avec moins d'enthousiasme que son ami, mais elle était tout de même paré d'un grand sourire sincère.
Les deux jeune gens se dirigèrent alors vers une table dans les airs. Celle des Arias.
Celles des contrôleur de la terre étaient retenu part des racines sur le sol.
Les Aquams était dans une bulle d'eau, qui les enveloppaient eux et leurs tables.
Celles des Fires étaient en lévitation, grâce aux flammes qui se trouvaient sous les pieds de leurs tables.
Et les autres tables étaient d'une totale banalité.
Sur celle où contait s'installer Arim se trouvait déjà deux garçons et trois filles.
Ils étaient assis sur une table de huit.
Le garçon fut le premier à s'envoler pour les rejoindre. Là, il embrassa une brune et salua les autres, avant de faire signe à Zycie de monter.
Et c'est qu'elle fit.
Elle s'éleva dans les airs, sans aucune difficulté et avec une grâce presque inhumaine.
Les jeunes gens qu'elle rejoignait étaient impressionné par l'étonnant mariage entre l'air et cette mystérieuse jeune fille, qu'ils ne connaissait pas, à par Arim, et cela depuis quelque instants seulement.
La belle blonde alla alors s'assoir à côté de ce dernier, simplement puisqu'il était le seul qu'elle connaissait.
« Je vous présente Zycie Polskie. Elle est nouvelle en troisième année, et comme vous avez pu le voir, c'est une Aria. » Expliqua son nouvel ami. « Zycie, à ma gauche ce trouve Samantha Balia, c'est ma petite amie. »
Arim montrait une fille au long cheveux brun. Elle avait une allure de petite fille avec ses deux couettes hautes. Mais cela lui allait à ravir.
« Elle est en troisième année, tout comme Jennifer, Mathias et Gabriel. » Continua-t-il en montrant une fille au cheveux noir comme le jais, un garçon brun et un blond.
« Et pour finir, il y a la petite, Morgane. C'est la petite soeur de Gabriel et elle est en deuxième année. » Fini-t-il en parlant de la belle petite blonde, assit à côté de son frère. Ils avaient les même yeux marrons et les même cheveux.
« Ne m'appelle pas 'la petite', je t'ai déjà dit que je n'aimais pas. » Fit mine de s'énerver cette dernière.
Jennifer pris ensuite la parole, expliquant qu'il fallait attendre dans cette grande salle, appelé "salle d'accueil". C'était également la salle à manger et celle où on pouvait ce rendre pour discuter, jouer au jeux de société et autres activités durant les entres cours.
Mais elle fut interrompit dans ces explications part une lumière scintillante, argenté et minuscule qui se mit à tourner autour d'eux, avant de s'arrêter pour parler.
« Zycie Polskie, la directrice vous demande. »
La jeune fille était toute abasourdie.
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