Chapitre 4 : Une magicienne ?!
[Puis vint le tour de visiter la dernière pièce. Anita rangeait un cahier dans une étagère et elle ne vit pas tout de suite la jeune fille commencer à ouvrir la porte. Et quand elle la vit, elle cria un puissant "non" de désespoir.
Zycie ne devait pas ouvrir cette pièce, cela aurait de grave conséquence.
Mais c'était déjà trop tard. Zycie l'avait déjà ouverte et était stupéfaite de ce qu'elle contenait.
Anita s'en voulait de ne pas lui avoir dit de ne pas ouvrir cette porte plus tôt. Que dira son mari ? Et qu'arrivera-t-il à sa famille si la jeune fille dévoilait ce qu'elle avait vu dans cette pièce et le secret qu'elle habitait ? Qu'arriverait-il-il alors à sa fille ?
Une larme commença à coulé sur la joue de la jeune femme qui était pourtant si forte.
Mais elle ne pouvait rien faire contre cette goutte salé, car même si son sourire était puissant, la peur l'était encore plus.]
Zycie regardait l'intérieur de la pièce avec stupéfaction mais aussi avais émerveillement.
Elle remercia intérieurement Tyché. La déesse du destin et de la prospérité, mais surtout de la chance. Elle remercia du fond du coeur cette déesse qui avait choisit son destin et lui avait offert cette chance.
Mais le souvenir de cette déesse procura aussi une grande nostalgie chez la jeune fille : C'était trois ans avant la guerre, lors d'un voyage politique. Elle était aller dans le royaume d'Eau et elle avait été ébloui par la beauté de ces lieux.
Elle était aller dans le pays principale, là où la Reine Claudia d'Eau et son fils Aquam d'Eau régnaient avec équilibre et sagesse.
Son père et elle était venu passer un accord et après que les deux peuples l'ai signé, le peuple de l'Eau avait remercie la déesse Tyché pour la chance qu'elle leur avait offert - pour eux, signé un accord sans accro est une chance - en buvant à l'unisson un vers d'eau.
Zycie s'était demandé pourquoi ils avaient fait ça et son père lui avait expliqué que la déesse de la chance était une divinités très importante pour eux parce qu'elle était très lié à l'eau. Si bien que la chance était une des "valeurs" de ce peuple.
Quoi qu'il en était, Zycie ce devait de remercier la déesse Tyché puisque la dernière pièce de l'étage supérieur était remplis d'objets magiques.
Anita était donc magicienne ! Zycie avait débarqué dans une époque inconnue, une époque où la magie est encore rare et Tyché lui avait permis d'y trouver une magicienne dès son arrivée.
« Nom de Zeux, remerciez Tyché » Ne pu s'empêcher de dire la jeune fille.
Anita continuait à pleurer en silence, continuant à ce demander ce qui allait arriver pour elle.
Mais une phrase la fit relever la tête.
Elle l'avait bien entendu n'est-ce pas ?
La jeune fille avait bien nommé Zeux et Tyché ?
« Qu'as-tu dit ? » Demanda Anita, la voie tremblante.
« Je remerciait Tyché et demandait à Zeux de la récompenser »
Anita n'avait donc pas rêver, la jeune fille avait des religions Magia et non celles des Sans Magie.
Avait-elle des relations avec la magie ?
Était-elle magicienne ?
Non... elle ne devait pas l'être. Anita travaillait dans la plus grande école de magie de ce monde, mais aussi la seule qui enveloppe l'Europe. Et elle en était sur, Zycie n'en faisait pas partie.
Pourtant elle devait déjà avoir dans les 14 ou 15 ans. Elle aurait déjà du être, au moins, en troisième année.
« Vous êtes une magicienne, n'est-ce pas, Anita ?
- En effet.... mais toi, comment ce fait-il que tu est des religions Magia ?
- C'est une longue histoire...
- Es-tu une magicienne ?
- Oui...»
Sur ces mots, Zycie fit apparaître un tourbillon d'aire entre ses doigts.
« ... De la branche de l'air. » Finit-elle.
Anita en était totalement abasourdie, comment était-ce possible ? Elle n'avait jamais vu la jeune fille à Bondpic.
Anita s'empressa de lui demander si elle allait dans une école de magie, et la jeune fille lui répondit que oui, mais pas ici.
Alors la jeune femme lui posa de multiple questions, D'où venait-elle ? Où allait-elle étudier ? Et qu'elle était cette robe ?
Prise par sa curiosité maladive, Anita en avait oublié la politesse et commençait à trop poser de questions personnelle.
Zycie ne savait que répondre. Elle n'avait pas prévu tant de questions indiscrètes.
Elle avait juste prévue de suivre la seule et unique piste sur le Mal, celle de Bondpic, l'école de magie la plus réputé à cette époque. On disait dans les livres que le Mal s'y trouvait.
Zycie avait donc prévu quelque réponses et histoires émouvante pour justifier la demande d'inscription qu'elle comptait faire.
Elle répondit alors un simple "Je ne veux pas en parler"
Lorsque Zycie avait prononcé cette phrase, Anita avait ressentie un mélange de colère et de tristesse. Lui en voulait-elle d'avoir été trop curieuse ? Il est vrai qu'elle n'avait pas été très diplomate, mais le ton colérique dans la voie de la jeune fille ressemblait à de la haine, la pire haine qu'il ne puisse exister, celle de Mégère.
Cette haine prouvait à qu'elle point la jeune fille avait souffert et Anita regretta alors son indiscrétion quand elle avait posé toutes ces questions.
Remarquant qu'elle avait mit trop de colère dans sa voie, que Anita l'avait remarqué et avait l'air de s'en vouloir, Zycie décida de prendre une part de vérité et de la mélanger avec le mensonge.
Oui, elle allait unir la déesse Aletheia, la déesse de la vérité, de la justice et de la véracité et les mensonges que Pandore avait crée, les mensonges que Hermès, lui même, lui avait appris à magner.
Anita remarqua que la jeune fille commençait à ouvrir la bouche. La jeune femme eu l'impression que le temps que s'écoulait était très long.
Cronos voulait-il retarder les premier mots de la jeune fille ?
Puis les sons sortir de la bouche de Zycie.
Cette dernière la rassura en lui disant qu'elle ne lui en voulait pas, pour ce manque de diplomatie, seulement, ces questions indiscrètes et imprévue lui rappelait un passé douloureux.
Les dieux n'avait rien pu faire pour elle car le Mal qui l'avait tourmenté était bien trop fort pour elle, encore bien plus fort que les Maux qui étaient sortie de la boîte de Pandore il y avait des siècle déjà.
Ce Malheur avait tué ses amis et sa famille, décimé presque toute une civilisation, vainquant même la Mort part la douleur et la souffrance éternel.
Cela c'était passé d'en une petite partie du monde, une partie de cette vaste Terre presque inconnue de tous êtres vivant. Les habitants y vivait dans une évolutions différentes qui pouvaient paraître retardé, puisque ni électricité, ni inventions ou modes modernes si trouvaient.
Seule la magie y régnait.
Mais quand le Mal avait presque tout décimé, elle, part son rang sociale et politique se devait de sauver le reste de sa civilisation par tous les moyens.
Des recherches l'avaient mené jusqu'à une seule et même piste, celle de l'école d'Europe, la plus réputé de toutes, Bondpic.
Et c'est par les airs magiques, par la téléportation céleste qu'elle c'était retrouvé dans la grande ville de Paris, la capitale de la France aux modernités différentes.
Seulement, part fatigue elle c'était évanoui au beau milieu d'une foule de passant.
Les larmes coulaient sur les joues de Zycie. Elle remarqua qu'Anita avait elle même les larmes aux yeux.
Elle savait que la jeune femme ne s'était pas rendu compte que son récit était faussement vrai et c'était étonné elle même d'avoir pu inventer une histoire si proche de la réalité.
Puisque, en faite, seul le voyage temporel n'avait pas été évoqué. Le reste était plus vrai que faux.
Elle vit la jeune femme ouvrir la bouche et l'entendit prononcer quelque mots, des mots qu'elle n'aurait jamais espéré entendre et qui lui avait mit du baume au coeur.
« Je vais t'inscrire dans cette école qui a une si grande importance à tes yeux. Mon travail m'y permet, sans accros j'y parviendrai et tu pourrai sauver les personnes que tu aimes. Je t'en conjure, je t'aiderai et je me porterai garante de tes choix, tes pas et tes paroles, comme une tutrice le ferais. »
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