Chapitre 3 : La pièce provocatrice de sa peur.
Zycie était maintenant stupéfaite, les yeux écarquillés et la bouche grande ouverte devant la vue qu'elle avait.
Après s'être présenté, Anita l'avait aidé à se relever et lui avait proposé de venir chez elle.
La jeune fille avait longuement hésité, mais après réflexion, elle s'était rendu compte qu'elle n'avait aucun toit pour dormir, ne serait-ce une nuit.
C'est pour cette raison, qu'un peu gênée, Zycie accepta la proposition de la jeune femme.
Anita occupait l'étage supérieur d'une grande maison à deux appartements.
Cette-dernière était un peu éloigné de la ville. Par ce fait, elle était aussi très différente : elle ressemblait beaucoup plus à une maison de campagne qu'à une demeure citadine.
Sa couleurs légèrement rose pastelle lui donnait un petit côté coquet et presque chaque fenêtre possédaient un petit balcon aux barrières de fer noir, ce qui faisait ressortir un côté chic à cette grande habitation.
La porte d'entrée était faite de bois peint en rose et la poignée était d'un noir éclatant.
Sur le coins droit de la maison, un rosier fait de roses rouges écarlate montait jusqu'à la première fenêtre. Quel élégance !
Le côté gauche était paré d'un banc d'écolier, au bois marron claire et au fer noir d'ébène.
Qui aurait pensé que cette belle demeure ne ce situait qu'à quelque petits kilomètres de la ville qu'était Paris ?
De plus, l'arrière cour était un jardin au fleurs diverses, muni également d'un petit potager. Et le paysage qui entourait la maison était ce qu'il semblait être une petite prairie où poussait une multitude arbres feuillus.
L'intérieur n'était que plus beau. Fait de deux étages, la maison avait un espace parfaitement organiser. Du moins au rez-de-chaussé.
Quand Zycie était entré dans la demeure d'Anita, elle avait été éblouis - d'abords au sens propre, puis au sens figuré - par le mélange de couleur claire de chaque pièce.
Les fenêtres laisser passer la lumière de manière totale et magnifique, si bien qu'on n'avait sûrement besoin d'éclairer par l'intermédiaire de l'électricité seulement après le coucher du soleil.
Anita avait expliqué à la jeune fille que la maison appartenait à une jeune femme d'une vingtaine d'année. Cette dernière se nommait Mathilda Spary et avait hérité d'une grande fortune, ainsi que cette maison lors de la mort prématuré de ses parents, il y avait presque trois ans.
Ne voulant pas rester seule dans une si grande maison, elle avait décidé de loué l'étage supérieur.
Ce dernier comportait trois chambres, une salle de bain, une pièce quelconque et un salon.
Elle avait fait construire une porte en haut de l'escalier pour que son ou sa locataire - à ce moment elle ne savait que ça serait - puisse avoir ça part d'intimité.
Seule la cuisine était commune.
Zycie ne pût pas observer bien longtemps la partie inférieure de la maison, puisque la propriétaire était absente et que c'était impolie.
Elle monta donc avec Anita jusqu'à l'étage où elle logeait.
La porte ouvrait sur un petit couloir qui avit l'air d'être également l'entrée où on pouvait poser son manteau et échanger ses chaussures de ville avec de confortables souliers.
Ce couloir conduisait jusqu'au salon et la jeune fille fut ébahi : en dehors des petites bibliothèques dos au mur, la table à mangé au fond, près de la fenêtre, des quelque étagère et armoires de rangement et de la table basse centrale, l'espace du grand salon était principalement occupé par des canapés et des fauteuils de couleurs et formes différentes.
Quatre canapés simple mais écarlates entouraient la petite table basse.
Près d'une des bibliothèque ce trouvait un petit canapé noir. De chaque côté d'une autre, deux fauteuils adjacents.
Et de part et d'autres de la pièce en étaient encore dispersés d'autres.
En y réfléchissant bien, Zycie se rappelait d'avoir vu des canapé de divers couleurs dans le couloir et le corridors. Ces derniers se mariait très bien avec la couleur blanche des murs et crée un côté accueillant et lumineux à ce passage - obligatoire pour rejoindre les autres pièce - qui aurait fait penser à l'atmosphère d'un hôpital si ce n'était pas le cas.
Anita fit visiter le reste des pièces à la jeune fille. D'abord sa propre chambre. Cette pièce était assez grande et les murs était vers. Deux grandes étagères blanches étaient adossées à deux murs différents, l'un était celui où ce trouvait la porte et l'autre était celui qui était à droite en ouvrant cette même porte.
Le la tête du lit était é également adossé à un mur, celui qui ce trouvait à gauche quand on entrait dans la chambre. Et pour finir, le reste de l'espace contre les murs était occupé par des canapés blancs et verts, sauf sous la fenêtre qui était en face de la porte blanche.
Une autre chambre, cette fois roses et violette était presque dans la même disposition. Seulement, les étagères était des armoires de bois claire et le lit n'était pas de deux places mais d'une seule et il était adossé au mur horizontalement et non verticalement. De plus, il n'y avait qu'un canapé rose et chic dans la pièce, puisque la reste de l'espace était occupé par des jouets.
La dernière chambre était aussi dans la même disposition, mais cette fois dans un camaïeu de bleu et le lit ressemblait à celui que Zycie avait à son époque, un lit de princesse. Aussi, il y avait un peu moins de canapé pour laisser place à un bureau blanc, à coté de l'armoire à droite.
La salle de bain était normale, faite de carrelage et elle comportait une baignoire et deux lavabos.
Puis vint le tour de visiter la dernière pièce. Anita rangeait un cahier dans une étagère et elle ne vit pas tout de suite la jeune fille commencer à ouvrir la porte. Et quand elle la vit, elle cria un puissant "non" de désespoir.
Zycie ne devait pas ouvrir cette pièce, cela aurait de grave conséquence.
Mais c'était déjà trop tard. Zycie l'avait déjà ouverte et était stupéfaite de ce qu'elle contenait.
Anita s'en voulait de ne pas lui avoir dit de ne pas ouvrir cette porte plus tôt. Que dira son mari ? Et qu'arrivera-t-il à sa famille si la jeune fille dévoilait ce qu'elle avait vu dans cette pièce et le secret qu'elle habitait ? Qu'arriverait-il alors à sa fille ?
Une larme commença à coulé sur la joue de la jeune femme qui était pourtant si forte.
Mais elle ne pouvait rien faire contre cette goutte salé, car même si son sourire était puissant, la peur l'était encore plus.
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