Chapitre 12 : Les Gamins

La première journée d'école de Zycie fut sans aucun doute très éprouvante.
Quand la fin de la journée vint enfin - après son cour sur Bondpic - elle fut très soulagé.
En réalité, toute la pression qui avait pris possession de son esprit était dû aux regards incessants et déroutants que lui adressaient Malec.
Il ne faisait aucuns doutes que la jeune fille avait bien mérité le dîner qui suivait les troublants événements de sa dure journée, qui n'avaient pourtant rien de bien extraordinaire en soit.
Seulement, quand vint ce moment - censé être reposant - Zycie fut surpris par le grabuge que pouvait contenir la simple pièce qu'était la salle d'accueil - aussi grande était-elle.
Les différents peuples se détestaient-ils vraiment au point de ne pas pouvoir manger à des tables différentes sans essayer de s'entre tuer ?
Puisque c'était exactement ce qui se passait. Pas de manière voyante, soit, mais évidente. Et si les armes étaient laissé de côté, la magie, elle, était fortement utilisé.
De manière mesquine, rusée, sauvage et parfois même amusée, presque tout le monde l'utilisait.
Mais qu'elle chaos cela créait !
La jeune demoiselle en était toute abasourdis, tandis que ses camarades de tables mangeait tranquillement en songeant au désordre qui les entourait soit avec amusement soit avec lassitude.
Arim était, lui, très agacé part cette situation, alors que sa petite amie en souriait, ce qui ne faisait qu'encore plus l'énerver.
Les autres avait l'air habitué et souriait lorsqu'une des gaminerie que les autres élèves mettaient en oeuvre avait des conséquences amusantes.

Zycie se risqua à regarder Malec. Il avait le regard plonger dans son assiette et il mangeait avec un calme si paisible qu'il en devenait effrayant. Comme si le désordre et les cris des ses camarades le plongeait dans une sombre mais douce tranquillité.
Quand il releva enfin la tête, la jeune blonde ne pu distinguer ce qu'il ressentait et ce qu'il pensait de ces scènes d'enfantilages - qui était pour elle insoutenables. Elle ne savait dire s'il était lasse du manque de maturité de ces plaisantins ou satisfait de cette "guerre" entre les éléments. Et après une courte réflexion, elle en conclua qu'il devait ressentir un mélange de ces deux sentiments.

Seulement, Zycie n'arrivait pas à manger. Elle n'était certainement pas habitué à une tel cacophonie des éléments et un désordre pareille n'était rien de plus qu'un fait à haïr pour elle.
Abusif dirait-on.
Mais la raison du malaise qui la prenait devant se déluge de coup bas était tout autres que le manque d'habitude qu'une princesse venu du futur pouvait avoir, mais plutôt la comparaison qu'elle faisait avec les nombreux et horrible champs de bataille qui remplaceront les paisible petit village de Magia.
Elle voyait en ces plaisanterie d'enfants - déjà influencé par les petites guerres que menaient leurs parents - le début du mouvement terrible du Mal qui suivra dans moins de deux siècle de cela. Ces scènes de mépris - sortit de la boite de Pandore - étaient de simples préventions aux horreurs futur.

Sous son regard ébahis elle pouvait voir des assiettes garnis de bonne nourriture s'envoler dans les airs pour que le contenus finisse sur la tête des Fires. Des tables élevée dans les airs prendre feu faisant fuir les occupants jusqu'à ce qu'il s'estompe. Des bulles qui entouraient les dompteur de l'eau éclater à cause - ou grâce - à des ronces crée par les enfants de Gaïa, et leurs ennemis répondaient en faisant jahïr l'eau de leurs carafes - retenue par des lianes sur ces meubles de bois - , les trempant de la tête aux pieds. Et d'autres gamineries étaient également les actions maîtresses de ses lieux. Individuelles elles ne menaient pas vers le chaos ou une quelconque comparaison à une guerre sanglante, mais toutes réunis dans une seule et même pièce leurs vu en était presque insupportable pour la jeune fille.

Zycie arrêta finalement de manger et ferma les yeux sous les regards étonné de ses amis.
Elle se mit à cogiter à toute vitesse pour se calmer, se disant que sa comparaison n'avait pas lieu d'être et que ces formes d'amusements n'avait rien à voir avec les massacres que provoquerait le Mal.
Que son trouble était exagéré et le traumatisme que son époque lui avait infligée ne pouvait être renouvelé dans celle-ci.
La peur n'avait pas de sens ici, et elle ne devait pas exister.
C'était sa mission qui en dépendait.

« Tu vas bien ? » Lui demanda Arim, la sortant de ses songes.

« Oui, oui, ne t'inquiète pas. C'est juste que le manque de maturité et les jeux des élèves de cette école me donne la migraine. Je n'y suis pas habitué...

- Dans ce cas, je ne pense pas que tu devrais venir avec nous à Gamme lors de notre temps libre de demain. » Lui dit Jennifer, tandis que les autres acquiescèrent d'un simple hochement de tête.

« La sortie dans la petite ville dont vous m'aviez parlé ?

- Oui, c'est le seul endroit, qui ne fait pas partit de Bondpic, où nous pouvons aller durant nos temps libre. C'est une petite ville où seul les élèves, les professeurs et les fées peuvent se rendre en dehors de vacances scolaires. » Expliqua Gabriel - qui semblait aimer les études et faire part de ses connaissances.

« Mais pourquoi ne devrais-je pas y aller ? » Ne comprenait toujours pas la jeune blonde.

« Et bien... si tu n'aimes pas l'atmosphère qui règne lors des repas dans cette salle, tu n'aimera sûrement pas celle qui est constamment reine de Gamme. » Affirma Samantha.

« Vraiment ?!

- Si tu veux en être sur, viens et tu verras par toi même. On t'aura juste prévenu, alors il ne faudra pas te plaindre. » Lui dit Mathias, d'une manière directe - propre à lui - mais tout de même avec un sourire amicale.

« Très bien, je viendrais, alors ! » S'exclama joyeusement Zycie.

Ayant fini de manger durant ce cour échange, Zycie décida d'aller se coucher et après avoir souhaité une bonne nuit à ses amis, s'éleva dans les airs en tournoyant dans une parfaite harmonie qui lui apportait un bien être irremplaçable, car les dieux seuls savaient à quel point elle pouvait aimer voler.

Elle ne s'arrêta qu'une fois devant la porte bleu pale de sa chambre. S'apprêtant à ouvrir cette dernière, elle remarqua que Maligne n'était pas avec elle.
Elle rentra enfin dans la pièce et décida d'aller prendre une douche pour se relaxer.

L'eau chaude qui ruisselait sur son corp nu et qui s'imprégnait dans sa peau - jusqu'alors froide - lui procurait beaucoup de bien.
Durant la guerre elle ne pouvait pas en prendre, d'ailleurs, elle ne le devait pas : la boue et les mauvaise odeurs était un des meilleurs camouflages qui pouvaient exister.

Après une bonne vingtaine de minutes de relaxation sous l'eau presque bouillante qui sortait de la pomme de douche, Zycie s'enroula dans une serviette de bain blanche comme la neige et fit de même avec ses longs cheveux blonds - foncés par l'eau.
Elle se rendit ensuite dans son pressing où elle se munit d'une robe de chambres simple, d'un blanc cassé très jolies et parsemé de paillettes argentés.
Elle s'en vêtu avant de retourner dans la salle de bain pour se brosser les dents et les cheveux.
Elle fut surprise de constater que cette dernière n'était plus vide, mais qu'une autres jeune fille s'y trouvait, une brosse à dent dans la bouche.
Zycie se rappela les dires de sa petite fée qui lui expliquaient que les salles de bains était partagés entre deux personnes du même peuples.

« Oh... je n'avais pas vu que la salle de bain était occupé, je reviendrais plus tard. » S'excusa la jeune blonde.

« Non, non. Reste, je ne fais que me laver les dents après tout. Moi, c'est Elsa Milan. » Lui répondit la jeune fille. Elle avait les cheveux châtains clairs et des yeux couleurs noisettes. Elle était plutôt de petite taille et portait toujours son uniforme scolaire.

« Enchanté. Je m'appelle Zycie Polskie.

- Tu es l'une des deux nouvelles de la classes 3.C. J'en fait aussi partit et j'ai été très impressionné par tes performances magiques et ton magnement arme. » La jeune demoiselle devait sûrement parler de son intervention dans l'altercation entre Malec et Mathias et des ses exploits lors du cour de combat. « Comment sais-tu tous ça ? Tu es nouvelle en plus. » Lui demanda-t-elle ensuite.

« C'est... dû à un passé quelque peu douloureux. » Zycie essaya de prononcer ses quelque mots avec une petit sourire amicale, seulement, elle ne pouvait s'empêcher de se dire que ce passé sera le futur si elle ne faisait rien.

Elle se mit alors à se brosser les dents en compagnie de la petite brunette qui s'était tut depuis la déclaration de la blonde, sûrement par gène.
Elle coiffa ensuite sa longue chevelure, encore trempé, et en fit une simple tresse sur le côté avant de passer sa main sur celle-ci, séchant ses cheveux par magie.
Zycie vit qu'Elsa était ébahi puisque ses yeux sortait presque de leurs orbites.
En fallait-il si peu pour l'impressionner ?

« Comment as-tu fais ça ?! » Lui demanda-t-elle, la bouche grande ouverte.

« Avec de la magie, j'ai simplement chauffé l'air que j'ai fait sortir de la paume de ma main. » Lui répondit la belle blonde en tentant de cacher le fait qu'elle trouvait la question presque absurde et la réponse évidente.

« Mais nous ne sommes qu'en troisième année !!! » S'écria l'étonnée.

« Et ?... » Demanda Zycie dans l'incompréhension la plus complète.

« Nous venons à peine d'apprendre à créer de l'air et ne nous savons certainement pas la chauffé. Toi tu en créer sans aucune difficulté comme si cela t'étais habituel !

- Vraiment ?! Vous entamez votez troisième année d'étude de la magie et jusqu'à peu vous n'aviez seulement appris qu'à contrôler l'air qui vous entour ? Il faut croire que j'ai de l'avance sur vous... » S'étonna la jeune fille. Ce n'est pas en prenant autant de temps d'apprentissage qu'ils s'en sortirons lors d'une guerre. Mais qu'on-t-il bien ou apprendre de vraiment concret et difficile lors de leurs deux premières années ?
Zycie se le demandait, mais elle décida également de ne pas se focaliser sur ce détaille et aller se coucher. Elle souhaita donc une bonne nuit à sa voisine de chambre et pénétra dans la sienne.

Là, elle ouvrit le sac qu'elle avait emporté lors de son voyage dans le temps. Ce-dernier qu'elle avait caché en haut d'une des armoire de sa chambre et qu'elle avait pennée à reprendre - cela à cause de sa taille plus petite que moyenne.
Elle en sortit un carnet à l'origine blanc, mais à présent gris à cause de la poussière et de la saletés qui l'entourait lors de la guerre. La tranche et le dos autrefois d'un or scintillant de brillaient plus même si la couleur restait la même.
Elle l'ouvrit à la première page et relu les premiers mots qu'elle avait écrit sur les pages - un peu cartonnés et grisé - du petit livre.

" Zycie Polskie, c'est mon nom. C'est aussi le nom du détenteur de se petit carnet, alors je ne vous dirais qu'une chose, vous, ceux qui l'ont ouvert.
Lisez attentivement avant de décider tourner la page :

Il est interdit d'ouvrir se carnet sans mon approbation.
Il est interdit de lire mes écrits sans mon autorisation.
Je ne fait point de menaces, d'aucun genre, d'aucun mal, mais... tourner cette page et lire se que je vous ai interdit de ne serais-ce survoler reviendrait à briser la confidence qui règne entre ce carnet et la jeune fille qui le détient.
Découvrir des secrets et des pensées est peut être une bien belle aventure et satisfaction, mais elle ne fait que détruire les rêves d'innocence et de l'enfance du détenteur de ces-derniers. Cela ramènerait à la réalité chaque êtres qui s'était jusqu'alors envolé des les douces songes de la naïveté.

Ce n'est qu'un simple carnet qui n'est même pas cadenassé. Son intérieur n'est sécurisé que part un ensemble de mot, censés détourner toutes sortes de regards indiscrets.
Mais si vous lisez ces pages divers, c'est mon coeur que vous y trouverez et se dernier, que par la même occasion, vos briserez.

Votre conscience, si vous en avez, aura été prévenu."

Zycie se rappelait très bien avoir écrit ses quelque phrase.
Ce petit carnet que sa mère lui avait offert avant la guerre, la voyant souvent songeuse mais la savant peu aimer se confier, pensant qu'elle le ferait avec ce livret, avait été son confident durant bien des années.

Elle tourna les pages parsemées de mots jusqu'à en trouver une entièrement vierge et pris un simple mais beau stylo à plume avant de faire glisser gracieusement cette-dernière sur le papier, y écrivant de nombreuses phrases.

" 10 septembre 1943

Je n'ai pas reposé de plume sur ton papier depuis bien longtemps, mon cher journal.
200 ans ou plus de deux semaine, cela dépend du point de vu de chacun.
J'ai quitté l'année A.M.126 pour atterrir en 1943.
D'ailleurs, je comprend maintenant tout le sens qui réside dans l'appellation de l'année que j'ai quittée.
Si celle de cette époque est rapporté à la naissance du fils d'un pseudo dieu, qui n'a jamais donner de preuve concrète de son existence (contrairement au dieux oublié de la mythologie grecque), celle de mon époque passé a un rapport avec l'existence totale de la magie.
Puisque oui, pour la moment, la magie n'est pas encore connue de tous et peu semblent la pratiquer, dans un monde dit 'parallèle'.
A.M.126 a une signification maintenant claire à mes yeux : A. pour Année, M. pour Magie et 126 pour le nombre d'année qui s'est écoulé.
En conclusion, cela signifie simplement qu'il s'est passé 126 ans depuis l'année où la magie est devenue la base de toute l'humanité.
C'est si simple en réalité...

Mais je ne suis pas ici pour comprendre des faits peu important, mais pour détruire le Mal et cela au péril de ma vie.
Je suis consciente que détruire un malheurs de l'Homme en généra sûrement un pire, mais si un autre prend la place du Mal, cela nous laisserais une seconde chance. Puisque je sais bien que le Mal, n'étant pas solide dans mon époque d'origine, est impossible un vaincre et que la défaite revient à la fin de l'humanité, de la Vie, la Mort, la Joie et le Bonheur. La fin de l'existence en soit.
Le Mal à une importance dans le cycle qui lit la Vie et la Mort, mais durant les années A.M il acquiera une puissance bien trop grande et supérieur à celle qu'il devrait posséder. Si bien que le cycle en deviendra bouleversé et que son pouvoir deviendra dévastateur.

Je me dois d'empêcher ça, qu'importe les conséquences, il ne peut rien arriver de pire que la fin de l'humanité, pour nous, les Hommes, enfant de Prométhée, enfants adoptés par les dieux.

Bien à toi, mon ami muet de toujours."

Zycie remis le journal dans le sac et ce-dernier sur l'étagère avant de se coucher dans les draps soyeux de son lit en baldaquin, se plongeant - comme à son habitude - difficilement dans les bras de Morphée.

La jeune fille se leva en même temps que l'astre solaire, se qui lui permit de profiter pleinement de la salle de bain.
Elle descendit prendre son petit déjeuner et par chance Morgane se rendait également à la salle d'accueil.

Elles discutèrent un peu lors de leur repas et durant leur échange Morgane proposa à Zycie de l'appeler Mo', et l'informa qu'elle était dans la classe 2.A., lui expliquant ensuite que les lettres étaient des manière de différencier les classes. Comme il y en avait 5 en troisième année, elles allaient jusqu'à E.
La troisième année s'en doutait, mais comme elle n'était jamais aller dans une école à proprement parler - à part Bondpic - elle n'en était pas sur.

La cloche sonna près d'une heure après qu'Arim, Samantha, Jennifer, Gabriel et Mathias les ai tous rejoins.

Les deuxièmes, troisièmes, quatrièmes, cinquièmes et sixièmes années n'avaient cour que le matins lors des mercredis, ce qui leurs laissait une après-midi libres.
Les premiers et septièmes années, qu'en à eux, n'avait cour que l'après-midi.

Les cours passèrent vite et l'après-midi vint sans se faire trop attendre.
Zycie remercia Cronos pour cela.
Il avait été décidé que la petite troupe se rendrait à Gamme juste après la dernière heure et qu'ils mangeraient là-bas.
La jeune blonde, ne savant pas où aller les suivit.

Ils passèrent par l'arrière du château, et comme la jeune fille le pensait, la forêt qu'on pouvait apercevoir quand on se trouvait devant le bâtiment était une illusion. À la place se trouvait un immense jardin, muni de bancs et d'un lac près duquel les élèves allaient se reposer.
Le petit groupe traversa tout le parc - qui était très long - pour arriver devant un chemin de pierre qui traversait une véritable forêt.

Les arbres étaient gigantesque et chaque côté rejoignait presque l'autre, formant un arc qui voilait la lumière du soleil.
Seulement, cela n'avait rien d'effrayant.
Le chemin était sombre, soit, mais les ombres et les jeux de lumière du paysage étaient de toute beauté.
Aussi, des fées s'y trouvaient.
Maligne, qui avait rejoins la jeune fille la veille, après avoir discuté avec une amie, lui avait expliqué que les fées aimaient bien se rendre dans cette forêt et que quand elles ne dormaient pas dans les lits de leurs humains, elles passaient la nuit dans les minuscules cabanes caché dans les arbres qu'elles avaient construites.

La traverse du chemin dura un long moment, mais les amis rigolaient et se chamaillaient comme des enfants, leur faisant oublier le temps de marche qu'ils devaient faire.

Quand les sept amis arrivèrent enfin à la fin du long sentier qui passait au milieu de la grande forêt aux arbres impressionnants, ils furent éblouis par la lumière du soleil maintenant totalement présente.

Quand Zycie pût mieux apercevoir se qui l'entourait, elle constata que la passage de gravier qu'elle venait d'emprunter menait jusqu'à une petite ville - ou un grand village, elle n'aurait su dire.

Elle passa sous une grande arcade de fleurs multicolores qui semblait être l'entrée principale.
Le village était d'une grande beauté, fleuris, un cour d'eau le traversait, des feu s'y trouvait, réchauffant l'air qui y était dense.
Seulement, la jeune fille compris bien vite la raison pour laquelle ses amis lui avait déconseillé de s'aventurer dans ses lieux - à première vue si beaux.
Des gnomes s'y trouvaient en abondances.
Et ses petits êtres magiques étaient bien connue pour leurs divers blagues et bêtises de mauvais goût.
Les coup-bas étaient leurs spécialité et occupations principale, et surtout ils ne faisaient nullement de tels enfantillages à cause d'une guerre quelconque mais par pur plaisir.
Que faisaient de tels créatures ici ?

« C'est eux les commerçants et les habitants de cette petite ville. » L'informa Gabin, comme s'il lisait dans ses pensés.

Zycie hocha la tête encore abasourdis par la vue qu'elle avait. Elle n'était encore qu'à l'entrée du grand village et elle voyait déjà un nombre incalculable de mauvaises blagues qui faisaient tant rires ces petits chenapans.

« Tu veux toujours rester ? » Lui demanda Mathias.

La jeune fille ne répondit pas tout de suite, pourtant la réponse était évidente - du moins pour elle.
Elle ne voyait certainement pas en ses enfantillages de gnomes la guerres et la souffrance qu'elle voyait dans les coups bas que s'échangeaient les enfants des quatre peuples.
Pourquoi ? Vous demandiez-vous.
Parce que Zycie savait que les blagues des petits monstres qui vivaient dans cette petite ville avait pour but l'amusement et n'étaient pas des conséquence de la haine que pouvaient échanger plusieurs personnes, comme il en était pour les élèves de Bondpic.

« Non, c'est bon, je vais rester.

- Vraiment ? T'en mieux alors. On pensait que les Gamins te dégouteraient affreusement, du moins leur passe temps favoris. Vu ta réaction devant la grabuge du dîner d'hier... » Lui dit Morgane.

« Ne vous inquiétez pas, je sais que s'est dans la nature des gnomes d'agir ainsi. Mais c'est bien eux que tu as appelé 'gamin' ? » Demanda Zycie étonné par cette appellation.

« Oui, c'est comme ça qu'on appelle les gnomes qui vivent ici. Ce nom les définit plutôt bien. D'ailleurs, c'est de là que vient le nom de la ville. » Commença Gabriel. « Aussi... »

Le jeune homme ne pût finir sa phrase qu'il fut couper par sa jeune soeur.

« Stop ! Ne part dans des explications bien trop ennuyeuses à mon goût. On est là pour s'amuser je te rappelle. » Dit-elle avec force, essayant de prendre un air sérieux.

« Tu as raison Mo' » Appuya Jennifer.

« Désolé Gabriel, mais moi j'ai faim, la petite à raison. » S'excusa Mathias tandis que la deuxième année lui répétait - énervée - de ne pas la surnommé ainsi.
Et tout le monde se dirigea vers le centre du village tandis que pour une fois, Zycie souriait d'un sourire totalement vrai face à tant de bonheur qu'elle croyait perdu à jamais.

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Désolé pour le retard... Voici un long chapitre en guise de pardon.
Vos avis me feraient très plaisir.

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