Jour 7: Demande
PDV Zhongli
Cela fait à présent pas mal d'année que Tartaglia et moi, nous, nous côtoyons.
Et pour ainsi dire, que nous, nous voyons chaque jour.
Quand je l'ai ramené ici, il y a 2 ans, au début, il était assez énervé, mais a vite compris, et c'est donc calmer.
Depuis, je lui ai infligé son courroux.
M'aider au quotidien, en aidant les gens à connaître la vérité sur l'Archon Geo, sans pour autant dire qu'il s'agissait de moi, et aussi...
J'ai détruit son œil maléfique.
À présent, il se bat sans, et c'est beaucoup améliorer.
Mais sont envi de ce battre ne s'est en aucun cas amoindrie.
Au contraire.
Tartaglia : Zhongli ! Battons-nous !
Je soupire.
Zhongli : Tartaglia... On avait dit une fois par jour, pas quatre !
Tartaglia : Mais tu es le seul adversaire intéressant ici !
Zhongli : Ce n'est pas une raison.
Il me saisit la main, la tirant comme un enfant voulant un jouet.
Tartaglia : Allleeezzzzz !!!
Zhongli : Assez.
Je retire sa prise sur moi, puis regarde au loin.
Zhongli : Ne comprends-tu pas, que cela n'est pas le moment ?
Sans comprendre, il regarde au même endroit que moi, puis réalise.
C'est la nuit...
Mais pas de n'importe quel jour.
La nuit de cette terrible bataille, ou de nombreuses vies se sont envolé.
Tartaglia : Est-ce... ?
Zhongli : Le soir, de la bataille aux plaines de Guilli.
Tartaglia : Navré, je devrais te laisser-
Zhongli : Non reste. Tu ne me déranges pas.
Sans un mot de plus, il s'assied alors à côté, silencieux, tandis que mon regard se diriger toujours vers cet endroit...
Tartaglia : Elle t'a tout apprit... C'est Guizhong n'est-ce pas ?
J'acquiesce simplement.
Zhongli : Exacte... C'était la déesse de la poussière. Une sage personne, au savoir infini, aux paroles douces, et très aimante de son peuple.
Tartaglia : ...Désolé.
Zhongli : Pourquoi donc ? Tu n'as rien fait contre elle, ni moi. Au contraire. Je suis même sûr que d'une certaine manière vous, vous entendriez bien tout les deux.
Un fin sourire se forme sur mon visage.
Oui.
C'est même sûr.
Après tout, tout deux voulait simplement protéger ceux qui leur son cher.
Tartaglia : Tu voudrais aller voir sa tombe n'est-ce pas ?
Je me relève doucement.
Tartaglia : Je prends ça pour un oui.
Il se relève à son tour, me souriant, se place devant moi, me tendant la main.
Tartaglia : Je ne suis certes pas immortel, mais toi non plus désormais alors... Tâchons de profiter de notre vie au mieux.
Zhongli : Ensemble.
Tartaglia : C'est pas déjà ce que l'on fait ?
On eu un rire synchroniser, puis toujours avec ma main il me tire vers lui, avec un sourire joueur.
Tartaglia ; Et puis... Tu as des choses à m'apprendre, tout comme moi, je dois t'apprendre des choses.
Zhongli : Comme quoi par exemple ?
Tartaglia : Les émotions humaines, qui vont désormais te traverser le corps sans prévenir, les sensations que tu auras dans ton corps par moment, toutes ces choses, je te les expliquerais.
Zhongli : Tu vas en avoir du travail...
Tartaglia : Particulièrement pour une.
Je le questionne du regard, tandis qu'il me tend alors une fleur... Une fleur de lys verni.
Tartaglia : L'amour. Et je t'apprendrais tout sur elle, dans les moindre détails.
Ses yeux avaient cet air, doux, aimant et pourtant sérieux.
L'amour...
Cette émotion, si contradictoire.
Complexe.
Et difficile à cerner.
Zhongli : Tente ta chance, après tout...Toi seul peux le tenter.
Il glisse la fleur alors dans ma main, qu'il tenait toujours.
Tartaglia : Ce sera mon nouveau jeu avec toi. Je te ferais succomber, et ouvrirais ce cœur que tu as enfermé dans de la roche éternel.
Ces mots...
Me font l'effet d'un frisson dans le corps, partant par mon torse.
Je regarde ma main contenant la fleur, puis le regard de Tartaglia.
Zhongli : Que le jeu... Commence.
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