38
38
Tu vis ta vie, au fond t'es pas heureuse, t'inquiètes pas je te vois,
Tu t'affiches, le soir tu fais la folle, t'inquiètes pas je te vois,
J'avoue ça me pique, mais t'as fait ton choix,
J't'avais dis, j't'avais prévenu t'en trouveras pas deux comme moi 🎶
PARIS
Le médecin vient tout juste d'arriver, un attroupement c'est former devant la porte de ma chambre, j'essaye de pousser mais il n'y a aucune évolution, le bébé est dans une mauvaise position et si cela continue il va s'étouffer, j'essaye de me battre, je puise dans mes dernières ressources, je pousses de toute mes force et une fois qu'il sort je m'affale sur le matelas, le médecin le tient dans ses bras essayant de le faire crier, je m'agites essayant de comprendre pourquoi est-ce que mon bébé ne pleure pas, j'essaye de me lever mais la douleur me paralyse, il y à un brouhaha énorme autour de moi, je ne parviens pas à me concentrer, ma vue se brouille la seule chose que je voies c'est le médecin tentant de le réanimer puis plus rien, plus un bruit, aucun son, le médecin se tourne vers moi et m'annonce d'une manière totalement neutre.
- Lui: C'est trop tard, il est mort.
De quoi parle t'il ? Qu'est-ce qui est trop tard, je ne comprends rien jusqu'à ce que je le voies envelopper le corps sans vie de mon bébé dans une petite couverture, je hurles, je bouge dans tous les sens il n'a pas le droit, il n'a pas le droit de partir avec mon bébé, c'est mon bébé il n'on pas le droit de me l'enlever, les deux assistantes de Stella essaye de me tenir mais je suis beaucoup trop enrragé, malgré ma faiblesse je ne les laisserais pas partir avec mon enfant. Stella se joient à elles elle sort une sereingue et la plante dans mon bras je sens le liquide couler dans mes veines, je suis totalement ailleurs, il m'a fallu longtemps pour comprendre que mon bébé était mort.
Le médecin fait demi-tour, le corps du bébé toujours dans ses bras, il s'approche de moi et le pose délicatement contre moi, je frotte doucement mes doigts contre sa peau, son corps est froid, gelée, les larmes roule silencieusement sur mes joues, je me sens partir, le produit commence à faire effet je clignes des yeux à plusieurs reprises avant de les fermer pour de bon.
[...]
J'ai d'abord cru à un cauchemar mais en sentant les quelques point de sutures entre mes jambes j'ai compris que ce n'était pas un cauchemar c'est bien réel, j'ai mis un enfant au monde, j'ai accouchée d'un bébé mort né, j'ai senti mon cœur se contracter dans ma cage thoracique, je voulais hurler, si j'avais accouché dans un hôpital peut-être qu'il serait encore en vie, les médecins l'auraient réanimé à temps, je détestais Stella, je voulais sa mort, je voulais la tuer et la regarder agoniser sous mes yeux. Encore une fois, j'ai perdu la notion du temps je ne sais pas combien de temps je suis restée inconsciente, je ne sais même pas ce qu'il on fait de mon bébé. Je me sentais totalement désorienter, je pensais à Zaïm, aussi fou que cela puisse être c'était son bébé à lui aussi et on me l'a arracher d'une façon si violente, j'en ai mal au ventre, la douleur que je ressentais n'était égal à aucune autre, pas même à celle de l'accouchement. Je ne sais même pas si c'était une fille ou un garçon.
[...]
Toujours allongée en boule, mon bras gauche était menotté au lit, je me retournes dans tout les sens en essayant de trouver une position confortable jusqu'à ce que la porte de ma chambre s'ouvre, Stella entre et ferme la porte derrirère elle.
- Stella: Bon, vu les circonstances, tu auras besoins de temps pour te reposer.
- Mon bébé...Qu'est-ce que vous avait fait de lui ?
- Stella: Le médecin l'à emmené à la morgue il à été incinérer.
- Mais je suis sa mère....vous avez pas le droit, c'est mon bébé.
- Stella: C'est une chance pour ce bébé d'être mort, tu aurais fait une mère pitoyable, crois-moi.
- [...]
- Stella: Tu peux pleurer autant que tu veux, ça ne le ramènera pas et ça ne te feras pas sortir d'ici. Tu va mourir ici.
LYNA
- Zaïm: Qu'est-ce que tu voulais me dire ?!
- Ton...Ton père va mieux ?
- Zaïm: Ouais, il rentre demain.
- Il...Il faut que je te dises quelques chose Zaim, c'est pas facile.
- Zaïm: Y'a quoi ?
- Je...Nous, notre renconte c'était pas un hasard.
- Zaïm: Qu'est-ce que tu racontes.
- Mon père est avocat, un jour un homme est venue me voir en me disant qu'une femme avait porter plainte contre lui pour agression sexuel, il m'a dit que si je voulais sauver mon père je devais me rapprocher de toi et t'éloigner de la fille que tu voyais avant.
- Zaïm: Aya ?
- Oui, je devais faire en sorte qu'on quitte le pays toi et moi, sauf que même en ayant réussi il continuait à me faire chante, j'avais peur alors je faisais ce qu'il me demandait, jusqu'à l'accident de ton père, j'ai compris que c'était trop grave et que tu était en danger, avec le temps j'ai compris que la femme avait menti, on l'a payer pour mentir elle ne connaissait même pas mon père, mais j'avais peur alors je...
Il m'attrape violemment par le coup et me plaque contre le mur, j'essaye de retirer ses mains mais je n'y parviens pas. Je peux lire de la haine dans ses yeux je suffoque, je m'étouffe je n'arrives plus à respirer voyant mon état il finit par me lâcher, je glisse et tombe au sol tentant de reprendre mon souffle.
- Zaïm: Relève toi salle chienne !
- [...]
- Zaïm: Je vais te buter salle pute !
- No...Non, ne fait pas ça...Je t'en pris Zaim, j'avais peur pour mon père, j'ai jamais voulu te faire de mal ni à ta famille quand j'ai compris que Aziz à voulu tuer ton père je suis venue t'avertir.
- Zaïm: Aziz ?
- Je suis allé chez lui pour lui remettre des dossiers, il parlait avec une femme, grande blonde il parlait de toi et de Aya et je l'ai entendue avouer qu'il voulait tuer ton père, je suis désolée Zaïm, je suis désolée ne me tues pas stp.
Il me fixe longuement dans les yeux crache un mollard sur mon pull et s'en va à toute vitesse.
ZAIM
Je roulais comme un fou, la circulation était mauvaise, j'ai griller au moins cinq feu mais j'en avais rien à foutre, j'arrive à l'adresse de la dernière fois, je me gare rapidement et sors de la voiture j'arrive devant l'appartement je cherche le nom de son amie sonne à plusieurs reprises jusqu'à ce que la porte s'ouvre.
- Elle: Oui ?
- Elle est là Aya ?
- Elle: Aya ? T'es qui toi même ?!
- Elle est là ou pas ?
- Elle: Non, je l'ai pas vu depuis longtemps, vous êtes qui ?
- Son gars.
- Elle: Zaïm ?
- Ouais.
- Elle: Désolé, mais ça fait longtemps que j'ai plus de nouvelle, mais je sais qu'elle à une sœur qui habite pas très loin, je peux vous donner l'adresse.
Elle me note l'adresse sur un bout de papier, je pars rapidement sans me retourner la route était longue mais il fallait que je comprennes, la dernière fois que je l'ai vu c'était il y à dix mois environ depuis je n'ai plus eu de nouvelle, comme je lui avait demander elle n'a pas chercher à me contacter et moi non plus. Tout était devenue flou, je comptais sur Lyna même si je ne l'aimais pas j'avais confiance en elle j'ai bien faillit la tuer tout à l'heure, j'accepte tout, sauf qu'on s'en prenne à ma famille ça aurait pu être ma mère ou une de mes sœurs. Je dois retrouver Aya, parce que j'ai l'impression que tout ça à un rapport avec elle.
Je regarde une dernière fois le bout de papier, je suis à la bonne adresse, je sors de la voiture et marche jusqu'à la porte, je toques une fois, personne ne répond une deuxième fois et quelques minutes après la porte s'ouvre sur une femme, blonde ressemblant trait pour trait à Aya, sûrement sa mère.
- Bonsoir.
- Elle: Bonsoir, je peux vous aidez ?
- Je cherches votre fille.
- Elle: Sûria ? Elle n'est pas ici.
- Non, euh...vous avez une fille qui s'appelle Aya ?
Elle sa raidit à l'entente de son prénom.
- Elle: Elle ne vie plus ici depuis longtemps.
- Désolée pour le dérangement.
( Les fans de El Hadj je vous voies )
Aimer et Commenter 😍😘❤️
Thugyh©
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top