18
18
🎶Petite algérienne, marocaine, tunisienne
Pas celle qu'il y a sur les champs
Elle m'parlait d'amour, elle m'parlait de nous, elle m'parlait de vacances
Son ex la battait, elle en souffrait, elle rêvait d'une deuxième chance
Son amour un fardeau, j'ai quitté l'bateau, j'ai même changé des eaux. 🎶
Paris
- Irina: On commence ?
- Ouais, d'abord on déballe tout.
On commence par tout déballer avant de mettre les meubles en place, ça nous à pris toute la journée mais j'était fière de notre travaille.
- Comment j'ai chaud.
- Aria: Je vais prendres une douche.
- Ok je vais commander à manger.
Je me dirige vers mon sac et saisis mon téléphone et découvre plusieurs messages d'Alessandro me demandant si je suis bien installée, je lui réponds puis commande de quoi manger avant de recevoir un appel d'un numéro non enregistrée.
- Allô ?
- Zaïm- C'est moi.
Je savais qu'il finirais par arrêter de bouder, depuis notre altercation dans le cinéma on ne c'étaient pas parler.
- Ça va ?
- Zaïm: Ouais t'es où ?
-Chez-moi, j'ai déménager.
- Zaïm: T'es libre ce soir ?
- Je viens juste de terminer de ranger, demain si tu veux.
- Zaïm: Ok, à demain.
Il raccroche immédiatement après, notre relation avait un peu changer, il y avait une certaine distance et ce n'était pas plus mal, on étaient devenus trop proche à mon goût, il ne faut pas que je m'attaches à lui, je connais ses plans, dans quelques jours il sera sûrement en cavale et moi au bras d'un autre.
ZAIM
- Naïl: Alors tu viens ?
- Ouais mais il veut quoi ?
- Naïl: Je sais pas, il veut qu'on soient tous la ce soir.
- Ok, je prends une douche et j'arrive.
Je raccroche me lèves du lit et me dirige vers la salle de bain je prends une bonne douche froide histoire de me préparer à devoir passer la soirée avec lui puis je prends la route jusqu'à chez mes parents.
[...]
Je toques puis entre je retires mes chaussures dans l'entrée et me rend dans le salon ou mon père mon frères ainsi que mes sœurs m'attendaient, je cherches ma mère du regard mais ne la trouve pas, je salues tout le monde puis m'assois près d'eux.
- Naïl: Elle est où ma' ?
- Lui: Elle est pas là je vous ai tous appelées parce que je dois vous parlez.
- Azhar: Pas trop longtemps parce que j'ai des choses à faire.
- Lui: Tu la fermes, ça prendra le temps que ça prendra.
Je me suis retenue de rire ça peut paraître fou mais ça me rappelait de bons souvenirs, lorsque l'un d'entre nous faisaient une bêtise et qu'il ne voulait pas avouer il nous réunissait dans le salon et nous fixait droit dans les yeux pour décerner le coupable.
- Lui: Vous avez tous grandis et vous devez construire votre vie, mais votre mère à passer la moitié de sa vie à s'occuper de vous et c'est parce que vous êtes grands que vous devez l'oublier. Elle est toujours toute seule parce que personne vient la voir. Et toi Azhar, tu vies ici oui ou non ? Ma maison c'est pas un hôtel ! Continue comme ça et on verra si tu iras faire tes études à Londres.
- Naïla: On l'a pas oublier baba, mais on à beaucoup de travaille.
- Lui: Je vous demandes juste de passer la voir plus souvent. Et lui dîtes pas que ça vient de moi.
D'un côté il n'avait pas tord, elle mérite qu'on fasse tous plus attention à elle. Quelques secondes après elle arrive enfin et le magnifique sourire qui c'est afficher sur ses lèvres lorsqu'elle nous à vu tous réunis m'a fait prendre conscience des choses.
- Elle: Qu'est-ce que vous faîtes tous là.
- Lui: Les enfants voulaient te faire une surprise.
[...]
- Emre: On à tout qu'est-ce qu'on attend pour commencer ?
- Il faut être patient.
- Emre: J'ai envie de me tirer de cette cité ! Et sans argent je ne peux pas.
- Calme-toi ! Il faut que Aziz baisse sa garde.
- Emre: Ils on reçu une grosse cargaison hier.
- Comment tu le sais ?
- Emre: J'ai des yeux partout, et si on allaient faire un tour dans la cave ?
- Tu veux qu'on volent leur marchandises ? On en fait quoi après ?
- Emre: Une tonne de cocaïne ça se vend vite.
- Le braquage de la bijouterie c'est parce que t'étais dans le besoin, mais là sa devient une obsession.
- Emre: L'argent c'est notre garantie Zaïm, on pourra tout avoir une fois qu'on l'aura.
L'argent commençait à lui monter à la tête, Emre n'avait plus les pieds sur terre, il en voulait toujours et encore plus. Et un homme est prêt à tout lorqu'il y à de l'argent en jeu. J'ai toujours considérée Emre comme mon frère mais à présent je devais faire attention.
AYA
- Alessandro: Une table pour deux.
Le serveur hoche la tête puis nous emmène jusqu'à une table juste sur le pont, nous sommes en ce moment-même dans le restaurant d'un magnifique bateau mouche.
- Alessandro: Tu aimes la vues ?
- Beaucoup.
- Alessandro: Ça me fait penser à mon yatch sur Saint-Tropez.
- [...]
- Alessandro: Tu es déjà aller à Saint-Tropez ?
- Non, je suis simplement aller au Maroc et au Méxique.
- Alessandro: Un jour je t'y emmenerais. Il y à quelque chose que je ne t'es pas dit Aya.
- Quoi ?
- Alessandro: J'ai une fille, elle à trois ans et elle s'appelle Monica.
- Je voies.
- Alessandro: J'aime énormément ma fille et si pour toi elle est un obstacle à notre relation je penses qu'on devrait arrêter.
Je voies dans ses yeux qu'il espère que je ne prennes pas mes jambes à mon cou, je devine aussi qu'il est en train de tomber amoureux de moi, il à vraiment l'air de tenir à sa fille et jamais il ne m'en aurais parler si il ne tenais pas à moi.
- Est-ce que tu m'as vu partir en courant ?
Il souri puis bois une gorgée de son cocktail.
- Tu sais, je voulais te remercier pour l'appartement. Tu as vraiment bien négocier.
- Alessandro: C'est mon travaille et tu sais je sais comment tu pourrais me remercier.
- Et comment ?
Il me sourri puis caresse ma jambe sous la nape, je me raidit et pose ma mains sur la sienne j'ai toujours fait en sorte de repousser le moment ou je devrais coucher avec lui, mais à présent je n'ai plus aucune excuse.
Aimer et Commenter
Thugyh
Il y à beaucoup de fautes mais c'est une petite partie parce que je culpabilisais de vous laisser comme ça. Je ne sais pas quand il y aura une suite
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top