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T'as des tatouages, on a des cicatrices 🎶
Paris
OMNISCIENT
- Hind: Youri !
- Youri: Hum ?
- Hind: On peut parler ?
- Youri: Qu'est-ce qui à ?
- Hind: Viens, assis-toi.
- Youri: T'es enceinte ?!
- Non idiot.
- Youri: Tu m'as fais peur.
- Hind: Azhar elle va passer le bac et après elle va partir aussi.
Il saisit ses mains puis les embrasses une à une avec un large sourire.
- Youri: Enfin seule ! Rien que toi et moi.
- Hind: Justement, tu te souviens de Karine la pédiatre, celle qui travaillait au cabinet avec moi.
- Youri: Celle qui...ouais je voies.
- Hind: Oui celle qui à des gros seins.
- Youri: J'ai rien dit moi.
- Hind: Tu l'as penser tellement fort.
- Youri: Donc qu'est-ce qu'elle à ?
- Hind: Elle travaille pour médecin sans frontières en Syrie.
- Youri: Humm, c'est bien.
- Hind: Et elle est bénévole dans une association pour les enfants.
- Youri: Tu veux que j'envoie de l'argent ?
- Hind: Non...Tu sais, je pensais à autre chose.
- Youri: Quoi ?
- Hind: On pourrait adopter.
Il la regarde attendant un signe montrant qu'elle plaisantait, mais voyant qu'elle est sérieuse il fronce les sourcils.
- Youri: Je t'ai donnée quatre enfants, c'est assez non ?
- Hind: C'est un moyen de leur venir en aide. Y'a des tas de bébés qui n'on pas de parents là-bas. Et c'est aussi mon pays d'origine.
- Youri: Y'as d'autre moyens pour leurs venir en aide. On allait enfin se retrouver seule. Et t'as repris ton boulot au cabinet.
- Hind: Je veux un bébé !
- Youri: Arrête Hind...C'est trop dangereux à ton âge.
- Hind: Pourquoi tu veux pas ?
- Youri: C'est pas que je veux pas, mais la procédure tout ça, c'est trop long.
- Hind: Je peux me renseigner et tu me promets de réfléchir ?
- Youri: Humm.
- Hind: Promis ?
- Youri: Ouais.
- Hind: Merci, je t'aime !
- Youri: C'est normal ça.
AYA
- Alessandro: Alors, tu as quelqu'un dans ta vie ?
- Tu penses que je serais ici avec toi en étant en couple ?
- Alessandro: Je ne sais pas, vous êtes tellement difficile vous les femmes.
j'ignore sa remarque et porte ma boisson à ma bouche, un délicieux cocktails comme je les aimes.
- Alessandro: Alors ?
- Non, je suis libre.
- Alessandro: Heureusement, dit-il en saisissant ma mains gauche. Je n'aurais jamais cautionner le fait de devoir de partager.
Je voyais quelques chose dans ses yeux, quelques chose de profond est-ce de l'amour ou seulement du désir ?
- Moi, non plus.
- Alessandro: Je suis tout à toi Aya.
J'ai remarquer qu'il aimait beaucoup prononcé mon prénom, comme si il voulait me faire passer un message, peut-être qu'il ressentait vraiment des choses pour moi. Je me demandes si il n'est pas trop tard pour rebrousser chemin, je voyais en Alessandro le pigeon parfait, mais depuis quelques temps, je le trouves troublant, et cette mystérieuse chevalière qu'il porte m'intrigue beaucoup.
- Aya: Je vais rentrer, il est tard.
- Alessandro: Je vais te raccompagner.
Je hoche la tête et nous quittons le restaurant tous les deux.
[...]
Il se gare devant chez moi, et comme à chaque fois il essaye de me retenir, cela fait plus de deux semaines que l'on se connait et j'ai remarquer toutes ses habitudes, il mord doucement sa lèvre inférieur lorsqu'il appréhende un réaction, se gratte la tête lorsqu'il est gêné sa voix devient plus grave lorsqu'il me complimente. J'ai réussi à le cerner.
- Merci pour tout.
- Alessandro: C'est normal, si tout va bien l'appartement sera à toi.
Je me contentes d'un simple baiser sur la joue comme à chaque fois, il est étonnement très patient contrairement à Zaim qui râle lorsque je prends trop de temps à faire ce que je dois faire. Après quelques regards je quittes sa voiture et me rend chez-moi.
ZAIM
- ?: Zaïm !
Je me retournes et aperçois Lyna l'amie d'Azhar juste derrière moi, elle me fait un sourire timide tout en se dirigeant vers moi.
- Elle: J'était pas sûr que c'était toi.
- Tu va bien ?
- Elle: Oui, et toi ?
- Je vais bien. Qu'est-ce que tu fais ici ?
- Elle: Je suis venue à la pharmacie pour ma mère.
- Je vais m'acheter une paire tu m'accompagnes ?
- Elle: Euh...
- T'inquiète je fais vite, comme ça tu me donnes ton avis.
- Elle: Bon, d'accord.
Elle me sourie puis nous marchons jusqu'au magasin de chaussures, je savais déjà quel paire acheter je la lui montre elle me dit qu'elle aime bien, je décides de prendre un survêtement.
- Prend un truc.
- Lyna: Non, ça va aller, je t'assures.
- Prend un tee-shirt ou un survêt !
- Lyna: Non, merci Zaïm ça ira.
- Prend je te dis !
Elle ne dit rien et se diriges vers le rayons des femmes, elle revient quelques minutes plus tard avec un veste Nike.
- Lyna: Merci.
- Tranquille je vais essayer mon survêtement, prend ma sacoche.
- Lyna: D'accord.
Je le tend la sacoche et me rend dans une cabine d'essayage j'essaye le survêt, puis ressort, Lyna m'attendais juste devant je prend le tout et on se dirige vers la caisse.
- Lyna: Une fille à appeler.
- Elle t'as donné son nom ?
- Lyna: Une certaine Aya, très polie au passage.
- Humm, on y va.
- Lyna: C'est ta copine ? Parce que elle avait pas l'air d'apprécier.
- Non, c'est pas ma copine.
- Lyna: [...]
Elle était blesser je le sentais, je sentais aussi qu'elle était entrain de tomber sous mon charme.
- T'es jalouse ?
- Lyna: Non, c'est juste que je pensais pas que tu aimais les filles comme ça ?
- Fille comme quoi ?
- Lyna: Rien qu'à sa voix tu sens qu'elle est hautaine, alors que moi je suis plutôt timide et réservé, pourtant t'es là...avec moi.
J'ai visé juste, la petite est entrain de tomber amoureuse.
- J'ai jamais dit que j'aimais ce genre de fille...tu l'as dit toi même je suis là, avec toi.
AYA
Je m'allonges sur mon canapé avec un paquet de Snickers glacé, lorsqu'on sonne à la porte.
- C'est qui ?!
- Zaïm: Ouvre !
Je souffles puis pars lui ouvrir la porte, il entre et la ferme directement derrière lui.
- Zaïm: T'ouvres la porte en string toi ?
- Tu m'as déjà vu.
- Zaïm: Et si sa aurait été quelqu'un d'autre ?
- J'aurais ouvert.
Il ne dit rien puis vient s'installer à mes côtés, il descend la bretelle de mon débardeur et dépose des baiser sur mon épaule.
- T'as ramener la gamine chez elle ?
- Zaïm: T'es jalouse ?
- D'un bébé de dix huit ans ?
- Zaim: Dix huit ans ou pas ça reste une femme. Elle à une ouverture comme toi.
- Je te l'ai déjà dit, t'es pas ma seule source de revenue.
- Zaïm: C'est bizarre, tu te ventes de voir d'autres mecs mais j'ai jamais vu aucune trace sur ton corps. Sauf les miennes.
- Je suis professionnel Zaïm.
- Zaïm: Dit juste que y'a que moi ça ira plus vite.
- T'es venue pour quoi ?
- Zaïm: Déshabille toi et je te montres.
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Thugyh©
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