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L'argent ne fais pas le bonheur, la misère aussi 🎶

Paris





J'allume un joint en attendant l'arriver d'Aziz, sous l'œil attentif de Moussa et Hamza. Je sais pourquoi je suis là, il sent que je prépares un coup en douce et il va essayer de me déstabiliser mais hors de question que je me laisse aller, je suis pas aller aussi loin pour flancher face à lui. Encore une fois, Aziz me fait pas peur, autrefois c'était un petit délinquant, une petite frappe, aujourd'hui il sent plus ses couilles parce qu'il roule en Ferrari, même si je penses qu'il en à jamais eu. Il n'est pas assez rusé et assez déterminer à mon goût pour occuper la place qu'il détient, à partir du moment ou je soupçonne des gars de vouloir me la mettre par derrière je bûtes tous le monde sans hésitez.


- Aziz: Te voilà enfin. J'ai beaucoup de mal à te retrouver.

- Je me cachais pas.


Il prend place en face de moi et me regarde droit dans le yeux, je ne baisses pas le regard je ne l'ai jamais fait face à mon père c'est pas avec lui que ça va commencer.


- Aziz: Je te sers à boire ?

- Je veux bien un thé. 

- Aziz: Fatima ! Un thé pour notre inviter.


Un jeune femme, sûrement la domestique revient quelques minutes plus tard avec un thé, je bois tranquillement, mais il ne m'a pas fait venir pour rien et sincèrement j'aurais préférer une bonne baise matinal comme je les aimes avec Aya plutôt que d'être entourer de fils de pute.


- Aziz: Alors, comment vont les affaires ?

- Tranquille.

- Aziz: Je vais ouvrir une nouvelle boite de nuit, je cherches un gérant, si sa te dit, on peut s'arranger.

- Je vais y réfléchir. Mais je ne pense pas que tu m'as fais venir pour rien, j'ai beaucoup de choses à faire....Alors ? Qu'est-ce que tu attends de moi.

- Aziz: Je sens que quelqu'un essaye de me planter un couteau dans le dos, j'ai toujours senti ce genre de truc, heureusement pour moi.

- Je voies toujours pas en quoi ça me concerne.

- Aziz: Selon un de mes indic, la National Banque serait la cible de petit braqueurs inoffensif.


Il sait que j'ai un ego surdimensionné alors il fait exprès de me dénigré pour voir ma réaction mais comme je le dis plus haut, Aziz est loin d'être malin.


- Si ils sont inoffensif qu'est-ce que tu as à craindre ?

- Aziz: Moi, craindre ? C'est très mal me connaître Zaïm, je ne crains rien ni personne sur ce bat monde. Je veux juste être sûr que tu n'as rien avoir là-dedans.

- Je n'ai rien avoir avec ça, à toi de voir si tu me crois, je me mettrais pas à genoux pour te supplier d'avoir confiance en moi.

- Aziz: Et je ne te demande pas de le faire.

- Bon, comme ça c'est régler.


Je me lèves et m'apprête à partir lorsqu'il me retient.


- Aziz: Une dernière chose.

- [...]

- Aziz: Cette prostituer avec qui tu était ce matin. Est-ce que tu sais si elle serais intéresser par un boulot ?

- Je parles pas avec elle, c'est une pute. Je la baise c'est tout, tu à qu'à lui demander.

- Aziz: Je le ferais.


Je ne répond pas et quitte rapidement les lieux, au moment ou je sors je voies une voiture entrer et ce garer et j'ai cru avoir halluciné en voyant la jeune femme qui en sortait.


- Inaya ?

- Inaya: Zaïm ? Qu'est-ce que tu fais ici ?

- C'est lui ton mari ?

- Inaya: Oui...


Elle est tomber encore plus bas que ce que je pouvais imaginer.


- Inaya: Tu travaille pour lui ?

- J'ai une tête à obéir aux ordres ?

- Inaya: Non, toi tu désobéi.


Je ne lui répond pas et quitte cette maison sans me retourner.


[...]


- Emre: Alors ?

- Tranquille.

- Emre: Tu penses qu'il sait que c'est nous ?

- Je penses surtout que si t'arrêtais de te venter de partir bientôt au Bahamas il arrêterait de se poser des questions.

- Emre: Rien avoir.

- Tu bois trop et tu sais pas tenir ta bouche.

- Emre: Tant qu'il à pas de vrai doute on est tranquille.

- On perd trop de temps, ce soir je sors avec Souad toi tu t'occupes des clefs.

- Emre: Me parle pas comme ça Zaïm, je suis pas à tes ordres. T'es en train de changer.


Je l'attrape par le col et le plaque contre le mur.


- Me dis pas que je suis en train de changer alors que t'es pas capable de bien faire ton taff. Si on nous retrouves tous les deux avec une balles entre les couilles dans un ravin ça sera de ta faute. Bosse et me casse pas les couilles !


Il se retire violemment de moi crache au sol puis finit par quitter la pièce, le plan ne pourra jamais fonctionner si Emre continue à ouvrir sa geule quand il est bourrer.


[...]


Je suis posée sur le petit muret de la cité avec quelques gars, il faisait chaud aujourd'hui, on à sortie les bécanes et on à organiser un grand barbecue pour distraire un peu les petits.


- Emre: A quel heure tu passes la prendre ?

- Le temps de me changer.

- Emre: Je vais prévenir les autres.


C'était froid entre nous, mais il faut qu'il comprenne qu'on joue notre vie, on risque de prendre dix ans si on rate ce coup. C'est pas une simple banque, c'est pas un simple braquo, c'est la clé du bonheur.


[...]


- Souad: Entre bébé.


J'entre et fait l'état des lieux, j'essaye de repérer ou elle cache ses clefs pendant qu'elle est entrain " de se faire belle " comme elle dit, très vite je remarques le petit vase posé sur la table basse de son salon, un gros trousseau de clé posé à l'intérieur, je saisis le téléphone avec la carte pré-payer que j'ai acheter et une envoie un message à Emre.


- Souad: Je suis là, comment tu me trouves bébé chou ?

- Ouais, tu passes on y va ?

- Souad: Tu m'emmène ou mon coeur.

- Ferme-la et avance !

- Souad: Humm bébé ! T'es énerver garde ta méchanceté pour ce soir, j'aime les mecs violents au lit.





[...]


- Emre: J'ai reposer les clefs.


Je ne réponds pas à son message et décide de rentrer le plus rapidement possible. Cette fille c'est une prise de tête, un moulin à parole je l'aurai bien fourrer pour qu'elle arrête de parler mais les toilettes du resto était occuper.


- Souad: On rentre déjà ?

- Ouais.

- Souad: Humm j'espère que t'es prêt.

- Ouais.

- Souad: Qu'est-ce que t'as bébé ?

- Ouais.

- Souad: Sofiane tu m'écoutes ?

- Ouais.

- Souad: Bon Sofiane, je crois que je vais arrêter là avec toi.

- Sérieux ?

- Souad: Ouais !

- Merci, de m'éviter le supplice de devoir te baiser.


Je pars sans même lui laisser le temps de me répondre, une migraine cette meuf elle m'a casser le cerveau toute la soirée. J'ai pris la route jusqu'à l'appartement de Aya pour aller chercher la clé USB, je l'ai presque oublier celle-là.


AYA


Je jette un coup d'oeil à ma montre, 13h45 affiche celle-ci, dans Alessandro ne va pas tarder à arriver, et en effet quelques secondes plus tard seulement je le voies apparaître au loin toujours aussi bien habillé, portant une paire de lunette de soleil parfaitement bien accorder avec son costume.


- Alessandro: Bonjour Aya.

- Bonjour, tu vas bien ?

- Alessandro: Oui et toi ?

- Très bien depuis l'autre soir.


Il me fait un sourire puis pose sa main dans mon dos comme pour me guider.


- Alessandro: On va commencer, le premier bien ce trouve à quelque rues d'ici.

- C'est vrai ?

- Alessandro: Oui, le quartier le plait ?

- Beaucoup.

- Alessandro: Tant mieux alors, suis-moi beauté.


[...]


- Je vais faire une offre pour celui-la.

- Alessandro: Il y à déjà beaucoup d'offre pour cette appartement. Mais, je suis sûr de pouvoir faire passer la tienne avant toutes les autres.

- À oui ? Et comment ?

- Alessandro: Doutes-tu de mes talents de négociateur ?

- Pas du tout.

- Alessandro: Tant mieux, tu m'aurais blesser, dit-il avait un sourire.

- Vraiment ?

- Alessandro: Oui, ton avis compte beaucoup pour moi Aya.


Je n'y crois pas du tout, mais faire semblant est mon talent caché, je mériterais l'Oscar de la meilleure actrice dans toutes catégorie, je suis tellement douée pour ça, vous ne trouvez pas ?


- Alessandro: Je te dépose quelque part ?

- Je veux bien, j'ai rendez-vous avec des amies pas très loin d'ici.


Il me regarde de haut en bas puis me dit avec son sourire magnifique.


- Alessandro: Comment j'ai pu oublier de te dire à quel point tu est belle aujourd'hui.

- Aujourd'hui seulement ?

- Alessandro: rire 


J'était vêtu d'une robe kaki la couleur faisait merveilleusement bien ressortir mes boucles blondes, j'ai ensuite opté pour une paire de cuissardes noir et une pochette noir. Alessandro est un homme qui sait parler au femme, si l'école de la séduction existerait lui et moi serions sorti major de promo. Cela change de " t'es bonne " à répétiton de Zaïm. D'ailleurs pourquoi est-ce que je les compares ?


- Alessandro: Allons y, j'ai un autre rendez-vous.

- Je te suis.


[...]


J'était tranquillement en train de siroter un cocktail du Paradis du Fruit en présence de deux " amies " à moi, Aria une colombienne et Irina une Russe. Ce sont les deux seules filles en qui j'ai attribuer le peu de confiance que j'ai à donner, elles savent ce que je fais et aucune des deux ne m'a jamais juger.


- Irina: Fait quand même attention.

- Ne t'inquiète pas.

- Aria: Je t'ai dis que tu pouvais venir vivre chez-moi. Pourquoi t'embêter à prendre un studio.

- Je penses pas que t'aimerais voir une tonne de mec défilé dans ton salon.

- Irina: Sa changeras pas tellement de d'habitude.


Nous rions toutes les deux tandis-que Aria fait semblant d'être vexer, ce que j'aime avec ses filles c'est que aucune d'entre elle ne juge, on peut tout ce raconter ou presque tout sans craindre le regard de l'autre.


- Je dois y aller, il est tard. On s'appelle ?

- Elles: Oui, à plus tard.

- À plus tard.


Je quitte le restaurant et fait appel à Uber pour me conduire jusqu'à chez-moi.


[...]


J'entre et ferme la porte derrière moi, je lève la tête et aperçois Zaïm entrain de regarder la télé.


- Comment t'es rentrer ?

- Lui: T'as serrure c'est de la merde.

- T'es venue récupérer la clé ?

- Lui: Non je suis venue voir comment tu allais.


Je lui lance un regard noir et par récupérer cette fameuse clé, je me demande bien ce qu'elle contient.


- Bon et bien au revoir.

- Zaim: Zehma t'as pas envie.

- Pas ce soir.

- Zaim: Dommage pour toi, je suis pas fatiguer moi.



Aimer et Commenter 😘😍❤️


Thugyh©

La suite est assez longue, en espérant qu'elle vous ai plus.

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