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Mes gouttes de sueurs on l'odeur de l'enfer 🎶
PARIS
Le temps est gris, la pluie s'abat encore une fois sur nous, je me regarde une dernière fois dans le miroir avant de descendre, au rée-de-chaussez, ce trouve une dizaine d'homme et de femmes, de la musique classique résonnent dans la pièce, un orchestre se trouve juste devant moi, c'est la première fois depuis mon arrivée que je me retrouve entourée, ça fait du bien de savoir qu'on est pas seule, je regarde à ma droite puis à ma gauche mais aucune trace de mon client. Je saisis la photo que Stella à glissé dans ma pochette la fixe longuement, balaye à nouveau la salle du regard et le trouve enfin. Un homme, type européen envers trente cinq ans, je ne lui donne pas plus, très séduisant je dois le reconnaître. Je souffle un coup et me dirige jusqu'à lui.
- Monsieur ?
- Lui: Bonsoir, vous êtes Leila ?
Je ne réponds pas, il se lève saisis ma main gauche qu'il embrasse doucement.
- Lui: Asseyez-vous.
Je m'installes à ses côtés pendant qu'il commande du champagne, le plus chère de la maison.
- Alors par quoi voulez-vous commencez ?
- Lui: Je ne sais pas tellement, pour être franc avec vous c'est la première fois que je fais ça.
J'aimerais lui dire que moi aussi mais ce n'est pas le cas, lorsque j'ai commencer la " prostitution " mon seul et unique client était Zaim. Il y a eu Younes avant lui, mais ça ne compte pas, c'était un rapport consentie. Je ne dis pas que Zaim abusait de moi, je dis simplement que le contexte était différent. Je tentes de le rassurer, il s'ouvre un peu plus à moi, me parle de lui c'est quelqu'un de très poli, toujours les bons mots, à aucun moment il n'a été mal à maladroit mais il à aussi beaucoup bu durant la soirée et lorsque nous décidons de monter à l'étage l'alcool commence à faire son effet et au moment ou il s'allonge sur le lit il tombe complètement raide et sombre dans un sommeil profond.
Le lendemain c'est seule que je me retrouve dans la chambre, une liasse de billet posé sur la table, je pars prendre ma douche et ramène la totalité de l'argent à Stella, j'ai entendu dire que chaque fille à un tarif alors Stella connaît la somme exact qu'il m'a remis. Après avoir apporté l'argent, je me rends dans la salle commune afin de prendre le petit déjeuner, nous sommes quinze filles à avoir l'autorisation de descendre, celle qui sont encore en haut sont celle qui viennent d'arriver et j'en ai la chair de poule rien qu'en les voyant arriver, elles arrivaient toujours durant la nuit, par plusieurs ou seules, et je savais qu'elles allaient subir le même traitement que moi, la torture psychologique.
ZAIM
Je regarde José sans rien dire, je tournes en rond et je ne comprends rien. Mon père est allée voir un homme en prison, un homme qui est mon oncle pourtant je n'ai qu'un seule oncle Mehdi.
- José: C'est le cousin de votre père, il y à très longtemps votre oncle à tenté de tuer votre père depuis il est enfermée. Il sera libéré dans quelques mois pour bonne conduite.
- Pourquoi il voulait le tuer ?
- José: Pour votre mère, il était amoureux d'elle.
- Vous pensez qu'il à organisé tout ça depuis sa cellule ?
- José: Je ne pense pas, il n'a plus aucun moyen. Sa famille l'a renié, j'ai surveillé son cas de très prêts pendant toutes ses années. Il n'a rien avoir dedans.
Je m'apprêtais à lui répondre lorsque le médecin entre dans la chambre.
- Lui: Monsieur, votre père vient tout juste de se réveiller. Nous avons appelé votre mère qui va arriver.
Je suis le médecin jusqu'à sa chambre, ou des infirmières s'activaient, nous étions pas autoriser à lui rendre visite pour le moment mais savoir qu'il allait bien pour le moment était le plus important, comme me l'avait dit le médecin ma mère arrive avec mon frère et mes sœurs nous étions tous à le regarder par la vitre de sa chambre, ce n'est que le lendemain que nous avons été autorisé à lui rendre visite. Si cet homme n'a rien avoir avec l'accident ? Qui-est ce ? J'ai d'abord penser à Aziz, mais il aurait été incapable de s'en prendre à mon père il sait qu'en faisant cela il me déclare la guerre, et que je n'hésiterais pas à le tuer. Mais pour cela, j'ai besoin d'être fixé.
OMNISCIENT
- Hind: Youri ?
- [...]
- Hind: Youri tu m'entends ?
- [...]
Il reste silencieux et regarde droit devant lui, cela fait maintenant deux jours qu'il c'est réveiller et depuis il n'a pas prononcé un mot, au début les médecins pensait que son cerveau avait été endommagé puis ils on compris que c'était due au choc de l'accident.
- Hind: C'est moi, je suis Hind ta femme. Tu te souviens de moi ?
- [...]
- Hind: On est marié et on à quatre enfant. Deux filles et deux garçons.
- Lui: J'ai rien oublier Hind.
- Hind: [...]
- Lui: Je suis juste fatiguer.
- Hind: Comment tu te sens ?
- Lui: Bien et toi ?
- Hind: Bien.
- Lui: Et les enfants ?
- Hind: Ils vont bien, ils seront là dans pas longtemps.
Elle se lève et s'installe à ses côtés sur le lit, son visage n'a pas été toucher mais le reste son corps n'a pas été épargné, les quelques entailles cicatrisaient mais le plus difficile était les marques et les petites brûlures qu'il avait sur le torse, Youri tentait de les cacher au mieux, il avait peur qu'elle prenne la fuite en voyant ce qu'il était devenue. Mais Hind les à déjà vu, et elle ne les à pas trouver repoussante au contraire.
- Hind: Parle-moi Youri, pourquoi tu te caches ?
- Youri: Y'a rien à dire Hind. C'est un accident.
- Hind: Pourtant José m'a affirmé que non.
- Youri: Assad va sortir de prison, je suis allé le voir mais on le suis depuis son incarcération, mon oncle et ma tante l'on retiré de leur vie et il n'a pas d'argent. On c'est tromper. Je suis en vie, je suis là, les enfants vont bien et toi aussi alors oublions tout ça, et arrête de pleurer.
AYA
J'avale un cachet en espérant que les douleurs finiront par disparaître il est quinze heures et depuis ce matin, j'ai affreusement mal au ventre des crampes qui me font me tordre de douleurs c'est horribles, ce n'est que vers dix sept heures que je parviens à trouver le sommeil. Mais alors que je dormais la douleur revient cette fois-ci elle est beaucoup plus fortes beaucoup plus intense, je hurles de toutes mes forces, je m'accroche au barre du lit, je sens quelques chose poussée à l'intérieur de moi, c'est une sensation horrible.
Je sens un liquide couler de mon entre jambe se soulève ma robe de chambre, retire ma culotte et porte ma main à celle-ci lorsque je sens quelques chose de dur entre mes jambes, la douleur est de plus en plus fortes, de plus en plus intense, la porte de ma chambre s'ouvre d'un coup, Stella et une de ses assistante entre, elle allume la lumière et s'approche de moi. Je hurle je me tords dans tous les sens, elle relève ma robe de chambre puis dit à la jeune femme qui était avec elle.
- Stella: Va chercher une bassine d'eau chaude et des serviettes. Elle est entrain d'accoucher. Et appelle le médecin.
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Thugyh©
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