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Vis la nuit car elle porte conseille 🎶

Paris





- Yemma: Tu viens, je vais aller voir ta grand-mère.

- Je suis aller la voir hier.

- Yemma: Tu lui à beaucoup manquer, il à pas été trop dur avec toi ?

- Qui, Ibrahim ?

- Yemma: Oui, et l'appelle pas Ibrahim !

- C'est lui il veut plus qu'on l'appelle grand-père, il assume pas son âge, il m'a tiré les oreilles et m'a insulter mais sa c'est bien passer. 

- Yemma: Et ton père ? Il ose pas me le dire, mais je sais qu'il veut te voir.

- J'ai pas envie d'en parler, Azhar m'a dit que t'avais arrêter ton travaille.

- Yemma: Oui, j'aide ton père à son entreprise.

- T'aime bien ?

- Yemma: Je le soutient.

- Tu fais des choses que t'aimes pas pour lui.

- Yemma: [...]

- Je vais y aller.

- Yemma: Tu peux venir mercredi après-midi, y'a des amies à moi qui veulent te voir.

- Sah je les aimes pas tes shabs, toujours à vouloir me caser avec une de leur fille, si à vingt cinq pige elles sont pas mariés faut se poser des questions.

- Yemma: Dit pas de bêtises, allez va t'en je t'ai assez vu.

- rire


[...]


- Emre: On se fait une petite soirée ?

- Appelle des filles.

- Emre: J'appelle Nour et Shana.

- Pourquoi Nour ?

- Emra: Bah pour toi !

- Je l'aime pas, appelle sa shab, la blonde.

- Emre: T'as kiffer enfoirée ?

- Appelle la.


Comme convenue, elles étaient là toutes les deux une vingtaine de minutes plus tard, Shana était belle, mais rien avoir avec boucle d'or, elle avait un truc qui me poussait à aller plus loin, au lieu de rester dans l'appartement, on les a emmener manger dans un petit restaurant qui fait aussi bar à chicha, l'ambiance était tranquille, entre Emre et Shana qui allaient nous faire des petits sur les sièges, Aya et moi on se contentaient de se lancer des petits regards, j'admirais ses jambes nu et je les imaginais déjà nouer autour de ma taille.


- Emre: Bah alors vous deux, vous allez restez là comme des cons ou quoi ?

- Shana: Emre je vais me remaquiller dans les toilettes, tu viens, comme ça tu me tiens la porte.

- Emre: Je te suis.


Ils se lèvent tous les deux et quittent la table, Aya était à fond dans son téléphone, ou alors elle faisait exprès pour ne pas avoir à faire la conversation, sa tombe bien, parce que je suis pas bavard non plus.


- Je vais me chercher à boire, tu veux quoi ?

- Aya: Un mojito s'il te plait.


Je me lève et me dirige vers le bar, je sens le regard de deux trois chiennes sur moi, mais rien de bon à manger, en général je ne touche pas les filles que je rencontres dans ce genre d'endroit, trop sale à mon goût, j'aime les femmes qui aime le sexe et qui l'assume mais baiser dans des toilettes je trouve sa dégradant, si tu veux faire la salope, autant bien le faire, y'a des hôtels. Je suis pas un de ses hommes qui s'attend à avoir une femme vierge après avoir forniquer toute sa vie.

Je commandes deux mojito et m'apprête à aller m'asseoir quand on m'interpelle.


- Inaya: Zaïm,  c'es toi ?

- Ça se voit non ?

- Inaya: Ta mère m'a dit que tu était sortie, tu...tu as beaucoup changer.

- Toi t'es toujours la même, toujours aussi belle.


Elle rougit légèrement puis baisse la tête vers sa main gauche ou un petit diamant entourait son annulaire, Inaya est la quatrième femme que j'ai connu, j'avais dix huit ans, elle, en avait seize ça à durer assez longtemps, j'étais le mec nerveux et elle la voix de la raison, quand je suis tomber elle m'a dit qu'elle m'attendrais, un an après, j'ai appris dans une des lettres d'Azhar qu'elle c'était marier. La quatrième femme, la première déception. Je me demandais ce qu'elle faisait dans un endroit pareille.


- Félicitation pour ton mariage.

- Inaya: C'est, c'est pas ce que tu crois, j'ai rencontrer Saad après ton incarcération et...

- T'as pas à te justifier, tranquille.

- Inaya: Mes amies m'attendent, j'ai été heureuse de te revoir.


Elle s'approche de moi tout doucement et pose un baiser sur le coin de ma lèvre puis part en déhanchant son fessier, pour une femme marié et sensée être amoureuse de son mari Inaya n'a pas froid au yeux, mais comme je le disais plus tard, j'aime les femmes qui n'on pas froid aux yeux.


Je retournes à la tables ou boucle d'or m'attendait patiemment.


- Aya: J'ai finit par croire que tu m'avais oublier.

- Je suis là.

- Aya: T'était en si bonne compagnie.

- Jalouse ?

- Aya: Je n'ai personne à envier, alors non et puis je ne suis pas une femme jalouse.

- Tant mieux, parce que j'aime pas les pots de colle.

- Aya: De même, alors ne t'attache pas trop à moi.

- rire, Tu penses que moi je m'attaches ?

- Aya: Tu m'aurais pas rappeler.

- T'es bonne, je voulais profiter de ton jolie corps.

- Aya: Alors on est deux.

- Tu fais ça pour le plaisir ou par l'argent ?

- Aya: L'argent c'est un plaisir non ? 


Finalement, elle n'est pas aussi bête que toutes les autres, elle saisit le verre et et boit une gorgée avec la paille, à ce moment-là j'imaginais ses lèvres ailleurs que sur cette paille, elle me chauffait, et sa fonctionnait, mais l'homme c'est moi, j'ai passer quatre ans sans toucher une femme, je sais contrôler mes envies et je dois lui faire comprendre que c'est moi qui décide.


- T'essayes de me chauffer ?

- Aya: Moi ?


Elle prend un air innocent puis repose le verre et se dirige doucement vers moi.


- Joues pas à ce jeux la avec moi boucle d'or tu finirais par te brûler les ailes.

- Aya: Boucle d'or ?

- Tu t'attendais à quoi ?

- Aya: J'ai connu mieux, venant de toi je m'attendais à autre chose.

- Boucle d'or ça te va bien.

- Aya: Je vais aller danser, tu viens ?

- Je danse pas.

- Aya: Dommage tu sais pas ce que tu rates !


Elle se rend sur la piste de danse et commence à se déhancher et à bouger, elle danse bien, elle me chauffe, si elle réveille le petit Zaïm, il faudrat qu'elle assume, je me lève à mon tour et par la rejoindre je me cale derrière elle et suis ses mouvements, elle se colle contre moi et j'enfouit ma tête dans son coup, elle sent bon.


- Aya: Tu as changer d'avis ?

- Il faut croire que oui.

- Aya: On rentre ?

- Suis-moi. 


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