17

  Là où je t'emmène, tu vas pas regrette, ça fait des semaines que j't'ai identifiée.T'as verrouillé mon coeur et avalé la clé. Un seul être vous manque et tout est dépeuplé 🎶

Paris

Le soleil tape fort contre mon visage, il fait assez chaud pour un début de mois mars, j'ouvre doucement mes yeux et tâte le lit histoire de trouver Aya, mais la place qui se trouve à mes côtés est vide. Aya n'était pas dans la chambre, je me lève et me rend dans la salle de bain histoire de prendre une bonne douche, mes côtes et mon ventre me faisaient beaucoup moins mal.

[...]

- Elle est ou Aya ?

- Nour: Je sais pas, tu veux déjeuner ?

- Non.

- Nour: Tu sais, je fais moins chère qu'Aya.

- En même temps t'es moche.

Elle me regarde de haut en bas puis attrape son téléphone, j'ouvre les placards prend des gâteaux et une canette d'oasis et quitte l'appartement.

[...]

- Yemma: Tu t'es souvenues que tu avais une mère ?

- Je t'ai appeler avant-hier.

- Yemma: Tu est censé m'appeler tous les jours.

- rire, D'accord ma' je t'appelle tous les jours maintenant.

- Yemma: Alors mon fils, tu comptes te marier bientôt ?

- Non.

- Yemma: Mais, je veux des petits-enfants !

- Demande aux jumeaux, ils sont plus grands que moi.

- Yemma: Naïl il m'a déjà présenter sa future femme, il attend qu'elle termine son année avant d'aller demander sa main, et Naïla c'est encore mon bébé.

- Mais moi je suis plus ton bébé ?

- Yemma: Non, toi tu est grand. Marie-toi !

- Humm, je vais y aller.

- Yemma: Déjà ?

- Oui, je t'appelle ce soir.

Je m'éclipse rapidement avant qu'elle ne me retienne, je roule jusqu'à la cité ou Emre m'attendait chez-lui, Hamza ne l'a pas rater avec la batte de base-balle.

- T'as encore mal ?

- Emre: Non, j'ai pris de la morphine.

- Tu l'as trouver ou ?

- Emre: Chez le japonais, ils parlent beaucoup de braquage. Pas de suspect pour le moment.

- Ils on trouvée le fourgon ?

- Emre: Oui, mais ils peuvent rien en tiré pour le moment. On est tranquille pour quelques temps.

- T'as le double des clefs ?

- Emre: Ouais, je suis aller le récupéré avant que t'arrives.

Il me tend les clé de la banque, les clé du bonheur, les clé de mon, bonheur, avec l'argent que je vais ramasser grâce à ce braquage j'aurais plus jamais besoin de travailler. Je peux pas m'empêcher de sourire en aillant le trousseau de clef dans mes mains.

- Emre: On est bon khoya. Dans quelques semaines on sera à Bali.

- On vend pas la peau de l'ourse avant de l'avoir tué. Pour le moment on est sûr de rien.

- Emre: Tu peux pas t'imaginer en train de baiser toutes les femmes de Bali ?

- Pas tant que j'y serais pas. Faut garder les pieds sur terres, être trop rêveur ça à jamais réussi à personne. Une place au soleil ça se mérite.

- Emre: Pardon le philosophe.

- Il faut que je vérifie le trajet entre la banque, le parking abandonnée et la planque.

- Emre: C'est court, il va nous falloir un homme en plus.

- Non, laisse moi évaluer le tout et je te dis. Je penses pas que les gars vont acceptée de partager à nouveau.

AYA

- Aria: Il est magnifique ton collier.

- Merci.

- Irina: Cadeau d'Alessandro ?

- Non, de Zaïm.

- Aria: Il à bon goût ton voyou.

- Je ne fréquentes que des hommes capables de m'offrir ce genre de merveille, donc, oui il à bon goût.

- Aria: Excuse-nous, rire.

- Vous devinez jamais ou Alessandro veut m'emmener en vacances.

- Irina: Dis nous.

- Aux Seychelles.

- Aria: Chanceuse.

- Irina: Vous partez quand ?

- Et bien, vu que j'ai mon appartement, le temps que j'emménage. Donc, disons dans deux ou trois semaines.

- Aria: Cette été on pourra partir toutes les trois.

- C'est une bonne idée.

- Irina: En attendant qu'es-ce qu'on fait ?

- On à qu'à aller au cinéma.

- Aria: Oui, y'a Fast and Furious 7 en plus.

[...]

Nous venons tout juste d'arriver au cinéma, Aria et Irina avait appeler une amie à eu, une guinéenne italienne Lenya, je me suis tout de suite bien entendue avec elle. Après avoir payer nos places et pris de quoi grignoter, on se dirigent toutes vers la salles, alors qu'on cherchaient un endroit au calme, je balaye la salle du regard et trouve Zaïm et une fille assis trois rangs plus haut que nous.

- Aria: On à qu'à se mettre là.

- Très bonne idée.

On s'installe puis le film commence, même si c'était un très bon film je n'arrivais pas trop  me concentrer, Zaïm était trois rang plus haut pourtant on arrivait à entre le rire de la bécasse qui l'accompagnait, en entendant sa voix je me rend compte qu'il s'agit de la fille que j'ai eu au téléphone quelques semaines plus tôt.

- Irina: Elle peut pas se taire ? Elle fait mal au crâne.

- Lenya: Son rire tout moche.

- Laissez-la on s'en fout.

Le film s'arrête, nous sortons de la salle et après quelques bavardages on décides d'aller manger un peu avant d'aller faire la fête, je sentais le regard de Zaïm sur moi, mais je faisais semblant de ne pas l'avoir vu, jusqu'au moment ou on me tire doucement par le bras, les filles me regardent d'un air interrogateur, je leur fait un sourire pour leur expliquer que tout va bien. Nous nous éloignons un peu de la foule.

- Zaïm: T'étais ou ce matin ?

- Attend je consultes mon agenda...Il est inscrit au samedi 6 mars que Zaïm n'est pas le centre de mon monde.

- Zaïm: Fou toi de ma gueule salope !

- Tu la baise bien la salope, tu devrais rejoindre t'a gamine elle va faire une crise je vois déjà l'acné poussé sur son front.

- Zaïm: La gamine en vérité c'est toi, t'as 21 ans et tu passes ton temps à pigeonner des gars, elle, au moins elle compte faire quelque chose de sa vie.

- Dit celui qui prévoit de braquer la Banque Central.

- Zaïm: Qui t'as parler de ça ?

- Au revoir.

- Zaïm: Je passes ce soir.

- J'ai mes règles.

- Zaïm: Je m'en bas les couilles !

- J'aurais du te laisser crever hier soir.

Aimer et Commenter 😍😘❤️

Thugyh©