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Comment savoir sur qui tirer quand c'est tous des fils de putes ? 🎶
Paris
Je me regardes une dernière fois dans le miroir du restaurant, habiller de cette magnifique robe moulante à dos nus et d'une paire de chaussures à la semelle rouge je suis prête à attirer le poisson dans mes filets. J'attrape ma pochette puis rejoins Alessandro à notre table, ma démarches, mon regard, mon sourire, mon rire, ma posture tout est parfaitement calculer je sais à quel moment je dois sourire et à quel moment je dois être sérieuse.
Il me parle du marché de l'immobilier je fais semblant d'être intéressé après tout, c'est un dîner d'affaire non ?
J'ai fais des études, que j'ai arrêté précipitamment, mais j'en ai dans la cervelle et je penses que cela à du le surprendre. Aujourd'hui une femme ne peux plus être belle et cultivé ? A croire que toutes les femmes ne sont bonnes qu'à faire le ménage, la cuisine puis attendre sagement monsieur. Totalement ridicule.
- Lui: Tu sais, tu m'as réellement troubler.
- À oui ?
- Lui: Voyons Aya, ne fais pas semblant tu as bien remarquer que tu me plaisais.
- Plaire est une chose. Troubler en est une autre.
À partir du moment ou dès le premier soir un homme vous avoue que vous l'avez " troubler " ne le croyez surtout pas. C'est un mensonge, aucun homme ne peux avouer après seulement une demi-heure de blabla qu'il à été troubler c'est une marque de faiblesse et une technique pour nous avoir plus facilement dans leur lit.
- Je dois avouer que tu ne me laisse pas totalement indifférente. Mais cela ne veut pas dire que je veux aller plus loin.
- Alessandro: Pourquoi avoir accepté le dîner alors ?
- Je n'avais rien de prévu.
Il semble toucher dans son égo, mais il est tellement déterminer à me vouloir qu'il ignore ma remarque.
- Lui: Tu es une très mauvaise menteuse.
- [...]
- Lui: Je sais que je te plait. Sinon tu ne serais pas ici, tu n'est pas le genre de femme à t'embêter avec des hommes qui te repoussent.
- Toucher.
- Lui: Et si on allait terminer cette soirée ailleurs ? Je connais un bar pas loins d'ici.
- Je te suis.
[...]
Sa magnifique Range Rover prend place dans le parking V.I.P du club, la musique qui résonne témoigne déjà de la bonne ambiance des lieux. Je sais que sans lui je n'aurais sûrement jamais pu entrer dans un établissement pareille. Après être sortie il contourne ma voiture pour pouvoir m'ouvrir la porte, un véritable gentleman. Du moins, le temps de m'avoir dans son lit.
- Lui: Tu es parfaite.
- Merci.
Il dépose un chaste baiser sur ma joue, je n'ai rien sentis, il avait beau être magnifique et avoir de l'argent je ne ressentais rien pour lui.
Zaïm
Emre se gare dans le parking V.I.P ce qui en soit est logique, vous m'imaginez garée ma BMW dans un parking miteux ? Nous rejoignons le maître des lieux, une de nos anciennes connaissances qui nous à inviter pour l'ouverture de son club. Je me suis mis frais, c'est pas le genre de club qui accueille les mecs du coin, se soir en matière de fille il y aura du haut niveau et je comptes bien ramasser le pactole.
L'alcool et la drogue circule de partout, je commandes une bouteille et m'installe dans un coin tranquille avec quelques potes, de loin j'aperçois mon frère Naïl, c'est pas son genre les boîtes de nuit, mais je suis content de passer du temps avec lui.
- T'es parties à la chasse ?
- Naïl: J'ai quelqu'un.
- Et alors ?
- Naïl: C'est ba*ser a droite à gauche qui va m'aider à l'épouser.
Franchement mon grand frère je le respectes de fou, j'aurais voulu être comme lui, il est avec sa meuf depuis cinq ans, il attend qu'elle termine ses études pour aller demander ça mains.
- Bon je vais y aller moi.
- Naïl: Je vais rentrer, j'emmène ma' au marcher demain. Bois pas trop Zaïm.
- T'inquiète je gères.
On se fait une accolade puis il finit par partir, je me rends sur la pistes de dance et automatiquement deux filles viennent se positionner devant moi. Comme si j'avais un émetteur à chienne quelques part sur moi. Mais ça me dérange pas.
J'attrape la plus bonne des deux et la colle jusqu'à plus en pouvoir, une petit métisse comme je les aimes, je lui est montrer qu'il y a pas que les renois qui gèrent avec les coup de rein. La température était à son plus haut niveau.
En levant la tête je voies une fille assis dans le coin V.I.P avec un mec j'ai reconnu ses bouclettes blondes, voilà ce qu'elle avait de prévut. Sentant sûrement mon regard sur elle, elle tourne la tête et fait les gros yeux lorsqu'elle me voie, elle chuchote quelques mot dans l'oreille de son pd et se dirige vers les toilettes. J'attends quelques minutes avant de pousser ma petite métisse avec un pincement au cœur et je me rend à mon tour dans les toilettes.
[...]
Je referme la porte derrière moi et la bloque pour ne pas qu'on soit déranger.
- Elle: Qu'est-ce que tu fous ici ?
- Je te retourne la question.
- Elle: Je travaille.
- T'appelle ça un travaille ?
- Elle: Toi tu deal ou tu braque. Moi je ba*se, chacun son gagne-pain.
- Évite l'insolence avec moi !
- Elle: Je joues gros ce soir ! Alors fait comme si tu me connaissais pas.
- Qu'est-ce que j'y gagne ?
- Elle: Ma reconnaissance.
- C'est pas asser.
- Elle: Arrête Zaïm, c'est important pour moi.
- C'est qui ce gars ?
- Elle: Je l'ai rencontrée aujourd'hui.
Elle s'appuie contre le lavabo, je l'aurais bien prise ici, mais trop risqué et j'ai claquer tout le liquide que j'avais sur moi, néanmoins je m'approche d'elle tout doucement, sa respiration devient beaucoup plus forte, je sais que je lui fait de l'effet, je lui plait. Elle à beau faire la femme fortr, autaine et inaccessible j'ai réussi à entrer dans sa petite tête. Malgré tout, les plans comme ça je les sens pas, ça se finit toujours mal.
- Fais attention.
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Thugyh ©
Une petite partie assez courte je dois l'admettre, si certaine trouves que le langage est beaucoup trop cru je m'en excuse mais j'ai prévenue avant.
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