ƈɧą℘ıɬrɛ 7 (M)
⇝ pdv Jimin ⇜
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Hoseok était un garçon qui aimait la danse depuis aussi longtemps qu'il s'en souvienne. Il a toujours participé aux concours de danse et de chant de son école primaire et durant ses années de collège, qu'elle que soit le thème et le nombres de participants.
La compétition ne lui faisait jamais peur et il adorait se montrer en spectacle devant ses anciens camarades de classe. Au fil des années, il n'a jamais perdu son sourire quand il venait s'inscrire pour les cours mi- trimestriels et arborait son éternel sourire lorsqu'il montait sur scène.
Toujours, sauf le jour où ses parents sont venus le voir pour sa représentation lors de sa dernière année de collège, il était monté sur l'estrade, il avait regardé le public, composé essentiellement d'élèves et de quelques parents, dont les siens qui s'étaient calés derrière le poteau à côté de l'enceinte qui était à gauche de la scène, il avait perdu son sourire dans la seconde.
Je règle la température de l'eau quelques secondes et me glisse sous le flot abondant qui rince mes péchés en un instant.
Ses parents ne l'ont jamais cautionné, ils n'ont jamais voulu le voir danser, le voir gigoter sur une scène pour attirer l'attention, se mouvoir comme une fille, comme un faible, comme un oméga. La danse est un sport considéré comme insultant pour un alpha, ce n'est même pas considéré comme du sport et encore moins comme un art pour la famille Jung. C'était humiliant.
Il méprisait leur fils pour ça, mais c'était le seul qu'ils avaient. Le seul alpha. Non, Sub-alpha. Et même ça, ça les dérangeait. Qu'il ne soit pas comme le père, alors que les deux parents étaient tous les deux alphas, même leur fille l'était. Alors en plus, que leur fils aimait danser, et dansait dans leur dos, c'était le comble.
J'inspire un bon coup et me masse le bas du dos en m'appuyant sur le mur de pierres torsadées.
Ils devaient être là, il me semble qu'ils avaient rendez-vous avec la directrice, pour régler les quelques points finaux pour le dossier de Jung Dawon, sa sœur aîné, de quatre ans, qui rentrait à l'université après les vacances d'été. Le collège et le lycée formaient un seul et même grand bâtiment, mais l'aîné avait finit sa terminale avec brio et passait à la fac l'année d'après.
Elle gardait le secret de son frère pour la danse et les spectacles, elle venait aussi souvent à ses répétitions pour l'aider et le soutenir, et ce jour-là, elle ne manquait pas à l'appel, mais accompagnée de ses deux géniteurs, le visage fermé. Son sourire aussi avait disparu en voyant la détresse dans les yeux de son benjamin, elle s'en voulait, alors qu'elle n'y était pour rien, mais c'était comme ça.
Je lève la tête vers le pommeau de douche, une douche à l'italienne. J'aurai du prendre un bain pour mes reins.
C'était cet été, un jour comme un autre, après la répet, un samedi si je me souviens bien.
J'avais vu le meilleur danseur de notre cours pleurer.
Lui qui souriait tout le temps, ça m'avait fait comme un choc, pire! Un électrochoc. Il avait l'air si misérable, si triste.
Quand il avait relevé la tête dans ma direction, il avait sans doute senti ma présence, j'avais vu dans ses yeux toute la peine du monde, ses beaux yeux en amandes, d'ordinaire si pétillants, brillaient de reflets dorés, sombres et presque noirs, ses joues inondées par les assauts de larmes incontrôlables.
Il paraissait tellement fragile que je m'étais précipité sur lui et l'avais blotti dans mes bras, sa tête dans mon cou. Il avait attrapé mon t-shirt comme une bouée de sauvetage et ne m'avait plus lâché pendant de longues minutes, des heures même, je ne sais plus. Et c'est à ce moment qu'il s'est confié, qu'il m'a raconté son histoire, je l'avais simplement écouté, d'une oreille attentive, en lui frottant le dos et lui caressant les cheveux pour l'apaiser. C'était naturel chez moi.
J'ai toujours était tactile et à l'écoute, mon instinct d'oméga, me le dictait simplement.
Je ferme les yeux pour mieux sentir l'eau glisser sur ma peau, qui s'échoue lamentablement dans le siphon.
Je me souviens aussi, qu'il y a deux mois, jour pour jour, nous avons couchés ensemble, pour la première fois, dans ce même vestiaire. On venait de finir d'apprendre tous les pas principaux de notre nouvelle chorégraphie en duo, et manque de peau, c'est tombé sur Hoseok. C'est un gars gentil mais c'était devenu quelque peu tendu entre nous à cause de l'incident du premier soir.
Et le prof de danse avait insisté pour tenter de mélanger les styles, on a du trouver un compromis: je suis du côté contemporain et lui plus street, hip hop. Les opposés s'attirent comme on dit si bien et les raccords étaient plutôt pas mal.
Malheureusement pour nous, la fantaisie de mon côté, la grâce et la coquetterie de mon style et l'engouement, la force et l'animalité du sien faisait rencontrer nos corps plus de fois que prévu. Le résultat valait le détour mais j'étais en manque, j'avais mes chaleurs qui approchaient à grands pas et lui était sur les nerfs depuis déjà un temps.
Il posait ses mains sur mes hanches pour me faire sauter par dessus son épaule, je devais rouler sur sa cuisse tendue et contractée pour échanger nos positions, et ça plus d'une fois dans la soirée, je n'avais pas su résister, il n'avait pas pu se retenir non plus, et ce qui devait se passait se passa.
C'était brutal je m'en souviens, c'était grossier et sauvage. Nos loups avaient parlé pour nous deux. Et c'était malgré tout charnel et remplis de sentiments, entre nos baisers et nos câlins pour reprendre notre souffle entre chaque round, c'était électrique. On se dévorait des yeux et on se connectait étrangement bien pendant nos premiers ébats.
Je passe une main dans mes cheveux et expire l'air qui quitte presque douloureusement mes poumons.
Je m'en souviendrais encore longtemps aussi, quand nous avons retenter l'expérience. C'était pendant la pause d'une longue session de quatre heures consécutives. Le prof de danse a estimé qu'au bout de deux heures sans boire ni souffler, pouvait ruiner nos muscles et nos poumons sous le trop plein d'effort.
On était tous partis prendre l'air pour la plupart, boire un coup et manger quelque chose aux distributeurs mis à disposition dans le hall, alors que d'autres étaient sortis dehors respirer ou fumer une cigarette, aucune logique pour moi d'ailleurs: tu te donnes à fond pendant des heures pour griller une clope juste après, de quoi bien ruiner tes poumons.
Enfin bref, de mon côté, j'avais préféré repartir aux vestiaires me passer de l'eau sur le visage et m'essuyer le dos avec ma petite serviette de corps. Ce qui n'était pas prévu au programme, c'est que Hoseok me suive aux pas et ferme la porte à clé derrière nous.
Il m'avait sourit, naturellement je lui ai sourit en retour et je m'étais dirigé vers mon sac de sport pour en sortir mon essuie. Il était arrivé dans mon dos à une vitesse que j'aurai pu penser qu'il savait se téléporter. Par la surprise, j'avais lâché ma serviette et il l'avait rattrapé au vol par réflexe. Dos à moi, il m'avait demandé de retirer mon t-shirt, il voulait m'aider.
Inconsciemment, je tire sur mes cheveux et fais glisser ma main sur mon cou, puis sur mon torse, et palpe mon téton.
Je l'avais retiré, le t-shirt. Je l'avais attraper et fais passer au dessus de ma tête de mes deux mains, sans pour autant l'enlever complètement. J'attendais simplement que mon collègue passe un rapide coup de chiffon sur mon dos pour le remettre ensuite rapidement. J'étais encore un peu mal à l'aise quand je me retrouvais seul avec lui, être à demi nu devant lui, ne calmait pas les battements de mon coeur, que j'entendais battre contre ma cage thoracique, et c'était pas à cause des deux heures de danse.
La tension était palpable, encore plus quand il avait frôler mon dos de sa paume. Partant de l'élastique de mon short, remontant sur ma colonne vertébrale, pour chouchouter la naissance de mes cheveux.
J'ai toujours été sensible ici, une de mes nombreuses zones érogènes. Je montais vite en effervescence à cause de ça. Je me souviens que sa main avait fait le chemin inverse pour caresser mes omoplates et mes côtes.
Je laisse mes doigts glisser sur mes abdominaux et taquine ma hanche. Je démêle mes doigts contre mon aine et meus ma main vers la naissance de mes fesses.
Cette fois là, il avait été attentif à toutes mes réactions. La manière dont je gigotais sous son toucher, la façon dont j'avais de creuser le dos et contracter le fessier. Il m'avait brièvement essuyer le dos pour se coller contre moi. Il avait eu le temps d'abaisser son short de sport et il se frottait, lascivement contre ma croupe.
Je ne pouvais pas me permettre de faire du bruit, et même, laisser passer ça, et si quelqu'un était entré? Je l'avais repousser vainement, et il en avait profiter pour saisir mes hanches pour bouger plus fortement contre moi, je sentais la forme de son phallus à travers nos couches de vêtements, et j'étais tellement excité, qu'involontairement, je m'étais appuyer au mur pour me pencher contre Hoseok.
Je prend appuie sur mon avant bras, la tête dans mon coude pour ne pas perdre pied. Je viens taquiner mon entrée mouillée de sperme et je dessine le contour de mon trou qui se contracte encore autour de mes phalanges.
C'était notre échappatoire à tous les deux. Le sexe, c'était ce qu'il nous fallait pour décompresser. Lui c'était pour se libérer du poids de ses parents et moi me déstresser de celui des compétitions et de la danse, le temps de profiter d'un moment d'intimité. C'était parfois vite fait, parfois long comme aujourd'hui mais ça restait toujours passionnant et frénétique.
Hoseok a d'ailleurs était d'un grand secours pour mes dernières chaleurs. Nous avions passés pratiquement une semaine dans mon appartement, à coucher dans toutes les pièces, je n'arrivais pas à être rassasié, j'en redemandais tout le temps.
Entre mes caprices et mes envies, il n'avait pas eu le temps pour lui, mais il m'a rassuré et m'a dit que c'était ok, que tout était normal, que ça lui plaisait aussi. Il est tellement gentil avec moi, même quand on couche ensemble. Il est rude et violent mais tellement attentionné, et j'aime quand il est comme ça avec moi. Quand il s'occupe de moi après le sexe, quand il me câline pendant de longues minutes avant qu'on ne recommence encore.
J'ai toujours été un oméga sensible, rapidement affecté par les phéromones. Dès que mon loup est sorti et même bien avant, j'étais vite émotif et réceptif aux odeurs que dégageait un alpha. Encore plus avec l'odeur de Hoseok, il m'ébranle et me rend dépendant. Son effluve est tellement addictive et enivrante.
Je tâte mon anus et j'entreprend de rentrer un premier doigts quand les phéromones de mon amant se propage dans la salle d'eau, il est entré, il est là, derrière le rideau. Je sens sa chaleur et son loup grogner. Le mien couine pour lui répondre.
Du plus loin que je m'en souviens, je n'ai jamais partagé le lit de mes anciens plans culs, et encore moins emprunté leur douche ou leurs draps. C'était toujours du rapide, sur le canapé ou contre un mur. Je me rhabillais puis je partais simplement après avoir tiré mon coup. Jusqu'à ce que Hoseok partage mes cours de danse et puis ma chambre.
Il est rentré dans ma vie comme un rayon de soleil qui passe à travers ma fenêtre chaque matin. C'est devenu mon rayon de soleil depuis ces deux mois, j'ai passé le meilleur été de ma vie, et les meilleures moments d'étreintes intimes depuis ma majorité. Je me sens réconforté par son odeur et son loup a toujours été patient et attentif, il m'a accepté, je le sais, je l'ai senti après la première vraie nuit qu'on a passé ensemble, après le concours du mois de juillet, on avait bu, mais on avait gagné et on avait couché ensemble naturellement.
Il tire le rideau qui nous sépare encore et lorgne mon corps dans son entièreté. Il rentre dans la grande douche et cale son corps contre le mien. Il baisote mon cou et lèche les marques de morsure qu'il ne s'est pas gêné de me faire cette nuit. Je frissonne, tellement la sensation est exquise.
"- Tu te touches sans moi Minie? Tu es un coquin insatiable, tu sais? Il me nargue en appuyant son érection que j'ai délaissé dans le lit un peu plus tôt, contre ma raie.
- Je ne me touche pas Seokie, je d-dois nettoyer, t-tu es venu tellement de fois à l'in-intérieur! Hoseok a-attend~
- Laisse moi m'occuper de ça bébé, j'ai de plus longs doigts que toi.
- Mngh, n-non, tu vas en profiter, on va être en retard en cours, c-c'est la rentrée, c'est pas raisonnable Seokie~
- Je t'emmène en moto, ne t'inquiète pas pour ça bébé, laisse toi faire. Soit un bon oméga pour moi tu veux? Il me demande de sa voix grave et mord mon hélix percé.
- Aah~ Alpha~ fais vite mmh~ , je n'arrive qu'à gémir."
Je sais qu'il aime quand je l'appelle comme ça, comme il sait que ça m'excite vite quand il m'appelle oméga. Je ne sais pas pourquoi mais venant de lui je sais que ce n'est pas dégradant, c'est juste un jeu entre nous, et ça nous plait, ça entretiens l'étincelle de la première fois.
C'est comme donner des surnoms à son copain, quelque chose dans le style. Je sais qu'on ne sort pas ensemble et que c'est en grande partie une relation basée sur le sexe mais ça nous satisfait, il a insisté, et tant qu'il me donne l'affection dont j'ai besoin, le compte y est pour nous deux.
Il pousse ma main qu'il entrelace à la sienne qu'il cale contre mon ventre. Je bascule la tête en arrière et quémande un bisou, j'aime le contact de ses lèvres sur les miennes. C'est captivant. Il mord ma lèvre du bas et joue avec ma langue, qu'il enroule autour de la mienne avant de coller complètement sa bouche et dévore avec appétit ma cavité buccale.
Mon alpha malaxe une de mes fesses et je sens deux de ses doigts, s'insinuer dans mon trou. Le bruit qu'ils font à leur passage est électrisant, c'est tellement humide, je recommence à mouiller. Je ne veux pas le refaire encore, enfin si, mais pas maintenant! Satané nature d'oméga!
- Tu mouille encore bébé, quel petit corps obscène, tu me veux là hein? Il se décolle de ma bouche. Tu veux toujours plus, je suis sûr que mes doigts ne suffisent déjà plus mmh? Il ajoute en les mouvant plus profondément. Si serré~ ton trou m'aspire Minie, tu le sens ici? Et là? Si je vise plus loin? Il prend une voix grave en enfonçant plus sérieusement ses phalanges dans mon antre. Je gémis. Il vient de toucher mon point sensible. Ça te plait bébé, tu aimes quand je cajole cette boule mmh? Tellement sensible!
- f-fais sortir le mmmmh~s-sperme Seokie~ a-arrête de jouer anh~
Il se penche et approche son sexe de ma fente. Je remue, pas encore, je n'arrive pas à tenir debout, je veux pas encore une fois l-
- Calme toi bébé, je vais pas la rentrer. Je vais juste me mettre entre tes cuisses. Il embrasse mon épaule en grognant.
Je sais qu'il se retient de me prendre maintenant, j'en ai envie. Au fond de moi, je sens cette chaleur quand le désir gronde et demande de sortir. Il est déçu, je le sens. Il ralenti la cadence de ses doigts et frotte son sexe gorgé de sang entre mes cuisses. Je perd la tête et m'étale contre le mur en face de nous, c'est tellement bon, mon sexe me fait mal, mais j'ai besoin de plus. Je sais que je n'arriverai sans doute pas à monter sur sa moto, mais je dois le satisfaire, il est affamé. Il peut être de mauvaise humeur toute la journée à cause de ça.
J'attrape sa main qui me doigte encore et me retourne pour l'observer un peu. Ses cheveux sont mouillés à cause de l'eau qui coule sur nos deux corps et me regarde en se mordant le lèvre. Ses yeux violets sont tellement magnifique, il bande vraiment fort, ça ne descendra pas en se masturbant. Je le connais. Je la connais.
Je le pousse contre le mur derrière moi et me mord la lèvre à mon tour, j'enroule mes bras autour de son cou et il m'attrape en dessous des cuisses par habitude. Je contracte les fesses par réflexe quand sa bite se cale entre elles naturellement.
Je force sur un bras et apporte ma main à son sexe en érection et la place contre mon anus mouillé, il s'enfonce sans mal et jusqu'à la garde. Il est tellement imposant que je prend une grande inspiration et picore sa bouche pour l'inciter à bouger. Je suis déjà bien préparé avec ses doigts et du à notre nuit d'ébat. Elle entre si facilement et ressort pour mieux se renfoncer.
Mon alpha échange nos positions et me bloque contre le mur.
Il touche ma prostate à chaque aller et venues. C'est si bon que je grogne dans son cou et enfonce mes dents dans sa chaire alors que je jouis entre nous deux. C'était rapide pour moi, il ne tarde pas à venir à son tour après plusieurs poussées dans mon trou hypersensible.
Il me repose à terre en agrippant ma taille pour que je ne chute pas. Il nous lave tous les deux en m'embrassant langoureusement. Il bande encore mais il s'abstient. On a vraiment plus le temps.
On éteint l'eau et on sort de là, une serviette sur les hanches. Je peux voir de là la forme qui se cache en dessous de la sienne. Il n'a pas débandé et ça va le gêner. Je me lèche la lèvre comme affamé.
- On reprendra ça ce soir bébé, on a plus le temps, habille toi vite avant que je ne change d'avis, il dit un fin rictus sur son beau visage. "
Il m'a vu baver sur son érection mais je m'en fou, j'ai des yeux, c'est pour voir. Il m'invite à passer la soirée avec lui, j'ai déjà hâte.
Il s'habille simplement, d'un jean noir moulant et un t-shirt loose rentré dedans avec sa veste en cuir pour la route en moto. On peut clairement voir la forme de son érection mal calée dans son bas mais il ne s'en préoccupe plus. Je me change à mon tour d'un jean déchiré aux genoux et un t-shirt blanc avec ma veste en cuir également.
Il prend ses clés et les deux casques sur la commode de sa chambre. On attrape nos sacs de cours et on sort après avoir préalablement fermé la porte de son studio. Il fait biper la clé et son petit bijou ronronne un peu. J'aime tellement l'odeur quand elle démarre et encore plus le bruit sourd quand mon alpha appuie sur l'accélérateur. On enjambe l'engin _moi avec un peu plus de mal_ et on part pour l'université.
Nous arrivons rapidement et il m'embrasse furtivement après s'être garé avant de me claquer la fesse et partir pour son premier cours. J'aime ça, une chaleur me chatouille l'estomac et je souris bêtement depuis cinq minutes devant l'entrée.
Mais je perd rapidement mon sourire.
Je crois que j'aime un peu trop cette routine qui s'installe entre nous, et mon coeur se resserre dans ma poitrine. J'ai peur. Ça devient incontrôlable.
Cette envie de l'avoir à mes côtés, tout le temps. Pas seulement pour la baise, non!
C'est plus que ça et ça m'effraie.
Le confort de cette relation me consume doucement et je risque de pas me relever intact.
Que m'as-tu fais Hoseok?
***
Alors, le lemon n'était pas prévu mais c'est cadeau! ;) (3280 mots)
Des avis sur les personnages de Jimin et de Hoseok?
Des idées pour la suite?
♡
I purple u all 💜
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