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Quand je suis aller à l'école le lendemain, la police y était. C'était ce que je redoutait le plus. Ils questionnaient les élèves sur la mort de Francis et se qu'ils fesaient à l'heurs du meurtre. Un policier c'était avancer vers moi, je pouvais sentir la sueur couler sur ma nuque jusque dans mon dos:

-Hey, toi. C'est toi... Joseph?

Les gens avaient tendance à entendre "Joseph" au lieu de "Yussef", avec le temps je fini par ne plus trop m'attarder à cette erreur stupide. J'ai répondu tout bonnement à ce policier, tentant de rester calme:

-Ouais... C'est moi. Qui a t'il?

Il me raconta les raisons de sa présence, comme si je ne le savais pas déjà... Il expliqua donc qu'un de mes "camarades" c'était sauvagement fait tuer dans la forêt. Le policier me pris par une épaule et me regarda avant de me dire d'une voix des plus sérieuses de le suivre. À ce moment, les idées se bousculait dans ma tête, que devais-je lui dire? Je ne pouvais quand même pas me dénoncer, je croupirais en prison pour une éternité. Le policier m'amena a sa voiture de patrouille et me proposa d'embarquer. Je le regarda déconcerter. Était-ce une façon de m'arrêter grâce a ma naïveté? Je monta tout de même dans la voiture et il m'amena au poste. Rendu la-bas, je me rendit dans un petit bureau ou il y avait un homme asser vieux assis a un bureau. Il me jeta un regarde sévère et me fit signe de s'assoir. Je savais déjà ce qu'il allait se produire, cet homme allait surement me questionner sur la mort de Francis et tout le tralala. C'est exactement se qu'il c'est produit, il me demanda se qu'il c'était passer. Je raconta un début de vérité, bien sûr saupoudrer de "petits mensonges". Je lui raconta donc que Francis m'avait attaquer pendant que je revenais à la maison, que je m'étais défendu et que je l'avais laisser dans la rue. L'homme me regarda et me demanda si je l'avais tuer. Sérieusement, qui répondrait oui â cette question?... Surement qu'il voulait juste observer ma réaction. Je le regarda. La sueur coulait sur mon front et le silence régnait dans la pièce. Cela devenait malaisant. Il a donc pris la parole me disant de retourner chez moi. Un frison m'avais parcouru.

-Un gars comme toi, sa tue pas voyons. Tu as l'air si sage... Aller retourne chez toi.

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