Je pense qu'à partir de maintenant, je pense mettre des One Piece Facts en en-tête de chapitre, comme celui ci, ou celui sur Ace plus tôt, je ne sais plus dans quel chap ... Dites-moi si ça vous plaît ou non en commentaires ;-)
Et aussi, je souhaite préciser que la mère de Yuki à changer de nom, une lettre a été rajouté, elle s'appelle désormais Alya.

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Usopp regarda Yuki partir lentement vers le couloir qui menait aux chambres. Il était plus que choqué par ce qu'il avait pu voir. La jeune femme avait tout simplement vécu une enfance où la lutte pour l'honneur et le pouvoir était constante. Ce second paramètre, il le savait car elle en avait parlé, lorsque Chopper lui avait demandé de quelle île elle venait. Yuki avait dit :« Ils avaient pour projet d'avoir une fille et de la placer sur le trône de la Gracieuse » en parlant de son père biologique et sa femme et « Ma mère mourut trois ans après l'Empereur. Ce fut le Nouvel Empereur, mon père biologique qui prit le pouvoir. Sa première décision fut de se remarier avec son ex-femme. Elle devint l'Impératrice. Depuis ce jour, je vécu un enfer. »

Une fois dans son antre, elle sortit le miroir. Grâce au Rokku Kaijo, elle pouvait enfin l'utiliser. Mais une partie d'elle avait peur de ce qu'elle allait voir et préférait ne pas savoir. Ne pas savoir ce que sa sœur avait commis, ce qu'elle avait fait subir à son peuple. Yuki ne voulait pas voir sa Terre Natale dévastée par une guerre civile ou contrôlée par la Marine. Des ruines ...Elle espérait qu'il ne restait pas que des ruines des îles qui l'avaient vue grandir.

Elle sortit alors le parchemin et le déroula. L'écriture était fluide et délicate, gracieuse et féminine.

« A toi qui possède le Rokku Kaijo et sûrement le miroir, je suis la Gracieuse Anis. Contrairement à ce que tu pourrais croire, le Rokku Kaijo n'est pas un sort. C'est le moyen de ''déverrouiller'' la fenêtre sur Sôten, c'est vrai, mais cela ne se fait pas à l'aide d'un sort. Cela aurait été plus simple, en effet, mais les personnes malintentionnées auraient alors pu retrouver cette Terre que j'apprécie tant. Et il en est hors de questions.

Pour pouvoir utiliser le miroir, tu dois te concentrer sur le souvenir le plus précieux que tu as de Sôten. Fais remonter en toi toute la nostalgie que tu éprouves pour cette terre qui est la tienne. Le miroir ressentira ton désir de la retrouver et te la montrera. Il te suffira ensuite d'effleurer de l'esprit ce que tu veux voir et le miroir te l'amènera. »

La jolie brune reposa le parchemin sur son bureau et souffla. Assise en tailleur, le miroir sur les genoux, elle ferma les yeux et se concentra.

Beaucoup de souvenirs de Sôten lui étaient précieux.Mais le plus marquant était celui du jour de la reconnaissance.

Une petite fille portant une robe rouge parsemée de dorures et autres détails tremblait à cause du stress. Aujourd'hui, sa mère allait la présenter au peuple non comme sa fille, mais comme la future reine. La future Gracieuse. Celle qui continuera de faire vivre la lignée et donnera le jour à une autre héritière.

Aya s'approcha doucement, accompagné de Hiro, son mari. Il sourirent à leur fille et elle le leur rendit timidement.

« Tout va bien se passer, les habitants t'ont déjà acceptée, lui souffla sa mère.

- Et puis, qui ne pourrait aimer une si mignonne princesse, continua son père.

Le sourire de la petite Yuki s'élargit et elle souffla un coup afin d'évacuer toute sa tension.

Aya la regarda une derrière fois, fière au possible, et s'avança devant le rideau, sur l'estrade.

« Mes chers Concitoyens. Aujourd'hui je ne m'adresse pas à vous en tant que Gracieuse, mais en tant que Mère, et également habitante de ce royaume. Car un jour, je ne serai plus votre souveraine, je serai au même rang que le votre, je serai soumise aux ordres de la Gracieuse.C'est ma fille, Yuki Kibo no Shinzu Shinozuka Sôten que je désigne pour me succéder. Viendra le jour où elle reniera le nom de son père pour porter celui de son époux, et se jour-là, je la couronnerai.

Elle fit un geste vers les rideaux dissimulant les coulisses, et Yuki s'avança. D'un pas lent et digne. D'un pas léger et délicat. Le dos droit, le regard se perdant dans les yeux de ses futurs sujets, scrutant chacun d'eux. Que cherchait-elle ? Quelle confirmation désirait-elle trouver dans leurs prunelles la dévisageant ?

Elle arriva près de sa mère et celle-ci la pris par les épaules pour la placer au bord de l'estrade, à quelques mètres à peine de la foule.

Il y eut un grand silence.

Et si sa mère c'était trompée ? Et si le peuple ne voulait pas d'elle comme prochaine Gracieuse ? Et si elle n'était pas aussi adorable ? Aussi Mignonne que son père le prétendait ?Peut-être ces gens ne la voyaient que comme un outils que les Magistrats manipuleraient à leur guise ? Une simple potiche servant à représenter le peuple ?

La clameur jaillit des rangs telle une explosion, la tirant de ses questions :

- VIVE LA PRINCESSE HERITIERE YUKI !!!!! VIVE LA GRACIEUSE YUKI !!!!LONGUE VIE A ELLE !!

La concernée en eut les larmes aux yeux. On la soutenait ! On l'aimait ! On l'acceptait ! Tous ces gens qu'elle ne connaissait pas, qu'elle ne reverrait peut-être jamais, ils lui apportaient leur soutien, voir leur admiration ? Elle s'inclina plusieurs fois, ne pouvant prononcer le moindre mot, et les clameurs redoublèrent.

On l'aimait telle pour ce qu'elle était. Sans rôle. Sans masque. Leur future reine.

Quand elle rouvrit les yeux, son reflet ne s'affichait plus dans le miroir. Il montrait la place publique et son estrade, le même lieu qu'elle venait de quitter en pensées.

Mais ce qu'elle y vit la dégoûta et lui provoqua une haine profonde.

Une potence était dressée sur l'espace surélevée. Mais ce qui ajoutait à l'horreur de la situation, c'était le corps desséché pendant au bout de la corde. Un souffle de vent balaya la place vide, le cadavre se balança mollement. Un écriteau était passé autour de son cou et reposait sur son torse :

« Je ne suis rien. La Gracieuse Sakyu est tout. Vive la Gracieuse Sakyu Kazawa Sôten. »

Yuki jeta immédiatement le miroir et se rua dans la salle de bain.

Appuyée et penchée au-dessus de la cuvette, elle pleura et vomit tout ce que son estomac contenait. Son petit-déjeuner très peu consistant, mais également toutes la bile amère qui le remplissait depuis longtemps.

Durant plusieurs longues minutes, ses gémissements emplirent la petite pièce.

La jolie brune finit par se relever doucement après avoir essuyé ses larmes, la tête lui tournant. Elle se retourna en titubant, dans un état second.

Dans l'encadrement de la porte, Usopp la regarda lever ses beaux yeux améthystes vers lui. Ils brillaient. Il avait voulu voir dans quel état était Yuki après son voyage dans le passé et avait entendu les bruits de vomissures. Le jeune homme au long-nez s'approcha lentement. Elle tremblait. Il ne savait pas ce qui avait pu la mettre dans un tel état, mais il ne pouvait la laisser ainsi, seule et désespérée au point d'en être malade. Il la prit dans ses bras et la serra contre lui.

Après un instant d'incompréhension, elle se laissa faire.

- Je la déteste .... Je la déteste .... répéta-t-elle en bégayant.

- Elle paiera, la rassura Usopp, se doutant mais surtout espérant qu'elle parlait de sa sœur.

Il recula quelques peu et prit son visage dans ses mains afin de la regarder bien en face.

- On la fera payer, moi et les autres, lui garantit-il.

Elle le remercia du regard et il la raccompagna jusqu'au pont afin qu'elle respire un peu d'air frais.

Zoro voulait, à l'origine, monter s'entraîner dans la vigie, mais en voyant Yuki arriver le teint blafard, soutenu par le tireur d'élite pour marcher, il changea son programme. Décidant de mettre sa fierté de côté, il vint à leur rencontre et aida Usopp à maintenir la jeune femme debout. En effet, ses jambes la portaient à peine. Il passa le bras de la jeune femme autour de ses épaules et son propre bras autour de ses hanches afin de la maintenir plus fermement. D'abord surpris de sa réaction, son camarade ne tarda pas à faire de même, bien qu'il aurait pu laisser le sabreur s'en charger seul tellement il était musclé. Mais il voulut aller jusqu'au bout.

Ils déposèrent leur amie sur l'herbe, derrière un arbre, en l'adossant au mur. Zoro s'installa en tailleur à côté d'elle et Usopp resta debout, se contentant de s'appuyer contre l'écorce du tronc.

La princesse héritière ferma les yeux et prit plusieurs grandes inspirations afin de se calmer. Mais son souffle se coinça dans sa gorge et elle se remit à haleter quelque peu avant de reprendre un rythme normal. Ses paupières papillonnèrent, comme si elle se réveillait d'un long sommeil ou une période d'inconscience. En considérant les choses d'un certain angle, elle revenait en effet d'un long sommeil peuplé de terribles cauchemars. Cauchemars qui étaient pourtant réels.

- Usopp ! J'ai besoin de toi dans la cale ! Appela soudainement Franky

Surpris, son regard alterna entre le cyborg et sa camarade en mauvais état. Elle esquissa pourtant un sourire rassurant et lui fit signe de suivre le bleu.

- Je ne veux pas que quoi que se soit change à cause de moi ici, expliqua-t-elle une fois qu'il fut partit.

- C'est tout à ton honneur, lui répondit Zoro. Comment te sens-tu ? Que ....

Yuki fixait un point au loin droit devant elle. On aurait dit qu'elle ne l'écoutait pas. Cependant elle répondit, laissant ses larmes couler.

- C'était pire que tout ce que j'avais imaginé ... Même pas des ruines, ce que j'ai connu n'est plus qu'un fantôme. Un spectre ....

Elle était totalement absente. Physiquement, elle était ici, assise dans l'herbe du pont du Thousand Sunny en compagnie de l'équipage au chapeau de paille, mais mentalement, elle était chez elle, à Sôten. La vision du miroir repassant encore et encore devant ses yeux. Elle avait revu des fragments de son passé, elle avait revu son enfance brisée. Désormais, c'était son être présent qui venait d'être brisé par les atrocités de sa demi-soeur. Zoro espérait juste que cette jeune femme blessée serait capable de puiser en elle afin de trouver la force de se relever. Car si elle abandonnait maintenant, se serait rendre vain sa fuite du Baratie, réduire à néant l'espoir d'un jour laver le nom de son père adoptif. Laisser gagner Hangyaku et Uso-Tsuki.

La brune devait être arrivée à la même conclusion car elle essuya les larmes qui coulaient avant de relever le visage vers le ciel et de hurler toute sa haine et sa rage de vaincre.

Au loin, un autre cri lui répondit. Un cri comme celui d'un animal sauvage rugissant.

- C'était quoi ça !? S'exclama Nami en sortant précipitamment de la salle des cartes.

Sanji arriva bien vite sur le pont, suivie de Chopper,Luffy et Robin. Brook et Zoro, déjà présents, se relevèrent et dégainèrent leur lame. Enfin, Franky et Usopp remontèrent de la calle le plus vite possible.

Yuki se releva difficilement, encore un peu faible. Elle fit quelques pas hésitants sur ses jambes tremblantes et réussit à atteindre la barrière délimitant le pont. La jolie brune dévisagea l'horizon, à la recherche d'un quelconque signe de la créture ayant émi ce cri en écho au sien.

- Shinozuka ! Chapeau de Paille !! mugit Smocker depuis son navire. C'est quoi ce cri ?!

- Si on le savait on te répondrait !! lui répondit Franky.

Ne prêtant pas attention aux vociférations, Yuki inspira un grand coup et hurla de nouveau.

Les personnes s'insultant se turent net. Ce n'était pas un cri humain. C'était le rugissement d'une bête sauvage qui jaillissait de la bouche de cette femme.

Un rugissement de dragon

Il finit par s'éteindre progressivement et aucune parole ne fusa. Au bout de quelques secondes, un autre rugissement lui répondit.

- C'est-c'est le .... le-le .... le MONSTRE !!!! s'écrièrent Chopper et Usopp. LE MONSTRE VA NOUS TROUVER ET NOUS DEVOREEEER !!!!!

Ils se mirent à courir dans tous les sens en paniquant. Nami les calma immédiatement en leur frappant l'arrière de la tête.

- Quelle créature peut émettre pareil cri ? questionna Robin.

- Il y a bien les monstres marins mais .... dit Sanji.

- Ce cri venait de quelque chose à l'extérieur de l'eau et non d'un animal en surface, vous vous en êtes tous rendu compte n'est-ce pas ? fit Yuki

Les deux femmes de l'équipage ainsi que Zoro, Sanji et Smocker hochèrent la tête.

- Quant à la créature que ça doit être .... Je ne suis pas du tout sûr mais il semblerait que se soit un dragon

- Mais ... Ce n'est quand même pas un dragon millénaire comme dans les légendes, si ? s'inquiéta Tashigi.

- Non, je parle d'un dragon de Sôten. Là-bas, ils sont considérés comme des créatures sacrées mais autrefois, ce n'était pas le cas. Autrefois, c'étaient des monstres menaçant la sécurité des habitants.

- Tu ne nous avait pas dit qu'il y avait des dragons chez toi ! l'accusa Usopp en tremblant.

- Oublié ? essaya-t-elle avec un sourire d'excuse. Peu importe, maintenant, il faut le trouver. D'une manière ou d'une autre, il nous permettra d'accéder à la dernière étape avant notre arrivé à Sôten.

Usopp se mit à trembler de tout son corps en se lamentant, Chopper a courir en tout sens et Zoro esquissa un sourire sadique.

Yuki se mit à dessiner dans les airs, à écrire en tous sens avec un stylo utilisant de la lumière comme encre.

Enfin, elle donna une direction à suivre avec précision. Selon elle, les courants étaient particulièrement changeant et nombreux dans cette zone de Grand Line.

Ils voyagèrent pendant près d'une heure dans un silence pesant. Il semblait que le dragon avait regagné son nid, mais la Gracieuse héritière affirmait que les fonds marins était de plus en plus rocheux, mais également plus proche de la surface.

Enfin, un rocher haut d'au moins deux ou trois étages apparu dans la brume. Ils se tordirent le cou à regarder en haut et certains purent y apercevoir un enchevêtrement de branchages.

- Il vaudrait mieux attendre se soir afin de monter. Il va rester sur ses gardes jusqu'en fin d'après-midi et il serait suicidaire de monter là-haut pendant ce temps. Seule consigne en attendant la prochaine escursion, faîtes le moins de bruit possible !! Donc, pas de musique ni de chant, pas d'explosion, pas de cris, et pas de disputes, ordonna-t-elle d'une voix dure.

- Que ce passera-t-il si quelqu'un ne respectait pas les règles, osa demander Tashigi.

- Le dragon nous remarquera et nous attaquera. Ils sont très intelligent malgré les apparences.

- En quoi nous attaquer serait intelligent ? questionna Usopp.

- En sachant que nous avons amarré à son rocher en nous dissimulant, sans avoir cherché à le "prévenir" de notre arrivée, il nous prendra pour des ennemis, donc son instinct de survie prendra la dessus et il nous attaquera. Je serais dans ma cabine si vous me cherchez, indiqua Yuki.

Tous assimilèrent plus ou moins les informations et Nami enferma Luffy dans la cale avec Franky et ses gadgets afin de le tenir tranquille. Zoro remonta à la vigie, Nami dans sa salle des cartes tandis que Chopper partait travailler à l'infirmerie, Sanji dans la cuisine et Robin descendait à la bibliothèque avec Brook.

Ils s'occupèrent chacun de leur côté tandis qu'un petit papier circulait lentement sur le bateau des soldats à la mouette.

- Et pourquoi on doit se taire et ne plus faire de bruit ?! s'écria un soldat une heure plus tard.

Ils se fit fusiller du regard par ses camarades et se mit à marmonner dans son coin. Ne regardant pas ce qu'il faisait il trébucha dans un cordage et s'étala par terre avec fracas.

Il serra les dents et soupira, soulagé de n'avoir rien provoqué. Mais il cria victoire trop vite car un rugissement retentit dans l'air.

Smocker, Tashigi et les Chapeaux de Paille accompagnée de Yuki se ruèrent sur les ponts de leurs navires.

les yeux de la brunes se mirent à lancer des flammes (au sens figuré).

- Qui a indiqué notre présence au Dragon ? demanda-t-elle.

Face à l'aura meurtrière qui l'entourait, tous les soldats pointèrent le fautifs du doigt. Penaud, il hocha la tête et observa ses pieds, particulièrement passionnant passionnant dans un moment pareil ...

La joli brune soupira et disparut.

Elle s'élançait vers le ciel, fendant les nuages de ses ailes brumeuses. Enfin, un rayon dessina l'ombre de la créature à travers l'océan de coton les surplombant.

Bon nombre de soldats ains que Chopper et Usopp s'évanouir alors que la Gracieuse héritière transperçait le dernier voile la séparant de la menace...

Aussitôt à l'abri du regard de ses camarades, elle usa de cette magie qu'elle ne maîtrisait pas.

- Watashi wa ... chikyu to sora no kodesu ! HENKAN ! MUKASHI NO KAIBUTSU !!

Yuki se replia sur elle-même tandis que des écailles poussaient sur sa peau. Elles envahirent son corps tandis que sa peau recouvraient ses ailes. De grandes protubérances osseuses percèrent son crâne, ses ongles grandirent jusqu'à former des griffes ensanglantées de leur dernière utilisation, et ses cheveux poussèrent, poussèrent, virèrent au noir et formèrent des tentacules pointues telles une aiguille géante.

Aujourd'hui, pour la première fois depuis près de cinq ans, elle avait libéré Sceptra, la Reine des Ochita Tenshi, les anges déchus. Mais c'était également la Gardienne de la lignée Gracieuse.

- Më lini në kontroll ? dit une voix féminine et râpeuse.

Cette voix résonnait à l'intérieur de sa tête, mais surgissait également par chaque pores de son corps.

- Jo, nuk dua ta vras, répondit la jeune femme. Mund të më jepni fuqinë tuaj ? Dhe kujtesa juaj ? 

- A doni të flisni me të ? Pff .... Che të thuash se ti më thirre për këtë ...

Mais la princesse sentit que le démon accédait à sa requête. Des écailles se mirent à recouvrirent son visage, gardant cependant libre son oeil et une bonne partie du côté droit de son visage. Mais son oeil gauche devint entièrement noir, alors que les écailles pousser achevaient de la transformer. 

Plus bas, sur le Sunny, Nami demanda :

- Elle ne va quand même pas affronter ce monstre ?

L'absence de réaction de ces camarades confirma son horrible doute, et malgré tout ce qui l'opposait à la jeune femme, elle pria pour qu'elle s'en sorte indemne.

Le dragon apparu enfin devant Yuki, et elle sentit un pincement au coeur en constatant qu'il s'agissait d'une femelle protégeant ses petits. Elle avait bien fait d'empêcher Sceptra de la tuer...

- Je ne te veux aucun mal ! s'empressa-t-elle de dire quand la mère l'eut remarqué.

Elle remercia mentalement la démonte pour lui prêter sa mémoire. Même si certains souvenirs étaient particulièrement atroces, quand ses mots franchirent la barrière de ses lèvres, ils étaient de la langue que parlaient les dragons de Sôten.

Elle n'eut aucune réponse et décida donc de continuer.

- Mes compagnons et moi ne faisons que passer, mais nous avons également besoin de ton aide, ô dragonne ...

La-dîte dragonne la jaugea du regard et rugit. Cela ne présageait rien de bon ...

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J'espère que ce chapitre vous a plus, je suis désolé qu'il ait pris autant de temps à arrivé, mais j'ai eu une panne d'inspiration pour le finir, mais en plus un surplus d'imagination pour d'autre histoire alors .... enfin je vous laisse me déclarer coupable ou innocente...

Je vais sûrement profiter des vacances pour avancer cette histoire, même si entre Noël demain, le Nouvel An, et mon anniversaire (à vous de deviner quand si ça vous intéresse mais c'est pas important) je ne sais pas si j'aurai énormément de temps non plus ... De plus, mon téléphone est en réparation jusqu'à mardi ou vendredi, je ne serai donc pas très souvent active ...

Sinon, que pensez-vous de Sceptra ? Malheureusement pour elle, elle ne sera pas très souvent présente non plus .... disons que c'est un personnage très secondaire dans l'histoire, même si certaines de ces apparitions seront durant des évènements "marquant" ...  à mes yeux du moins ...

Kiss kiss les gens, et bonne fête de fin d'année su je n'ai pas l'occasion de vous réécrire d'ici là

clelie666