Chapitre 9 "Alliances"

NDA : Je tenais à préciser aux lecteurs/lectrices que ce chapitre est très spécial. Il comporte une scène de lemon très chaude entre deux personnages et leur langage vulgaire n’est pas une de mes habitudes et ne le sera jamais. Mais pour bien vous faire comprendre les caractères de ses deux-là cette scène était obligatoire. Alors je tiens à m’excuser d’avance auprès de vous, pour ceux et celles qui voudraient passer cette scène je vous mets ses symboles 🍋🍋en début et fin, ce qui vous permettra de l’éviter. 


PDV Valentin  

 
Je dois bien avouer que je suis plutôt fier de moi. Il y a de cela deux jours j’ai pu plaquer au mur pour l’embrasser sauvagement dans notre salle de repos mon plus beau fantasme jamais vu sur cette terre. J’ai vu dans ses magnifiques yeux toute la surprise de mon geste, il ne s’y attendait vraiment pas. Son air perdu m’a permis de pouvoir faire ce dont j’avais envie depuis un bon, soit bientôt neuf mois de patience et d’attente.  

Depuis que je suis arrivé au Centre je n’ai eu d’yeux que pour lui. Mon regard a croisé le sien pendant une réunion de présentation à toute l'équipe et depuis il reste un fantasme avec lequel je compte bien assouvir tous mes désirs. Plus il repousse mes avances et me dit qu’il n’est pas intéressé et plus j’entends dans sa voix tout l’inverse. Même son corps parle pour lui, il ne sans rend même pas compte, il se voile la face. Et puis regardez-moi, qui me résisterait franchement. J’arriverai à le coincer et à le prendre jusqu’à plus soif. Certes ma supérieure à mis en place une demande d'éloignement deux mois après mon arrivée pour un temps donné et m’a menacé de me virer, foutaises. Venant d’arriver et étant donné qu’elle ne trouvait personne d’autre, elle n’a pas eu le choix que de me garder. 

Certes j’ai plusieurs fois eu droit à des plaintes de mes collègues dans mon dossier mais rien de grave à priori puisque je suis encore là et que je travaille toujours. A croire que ma supérieure m’encourage à continuer puisqu’elle ne bouge pas le petit doigt pour ses employés trop coincés du cul. Après tout je suis LE docteur Morgenstern, celui à qui on ne dit jamais non et si cela arrive, je le prends quand même, personne ne me résiste. Mon bien-être est plus important que celui des autres en dessous, bien en dessous de moi et même au ras des pâquerettes pour certains. Oui la jalousie de certains pour mon statut de Médecin alors qu’eux ne sont même pas reconnu par le milieu médical comme tel, un appuie de plus pour mon statut. JE suis au sommet et les autres personnes de l’équipe ne m'arrivent pas à la cheville. JE suis la cerise au sommet du gâteau et bientôt je serais le directeur de ce Centre, que dis-je, le roi de ces lieux. 

Je dois bien avouer qu'il ne sait pas laisser faire et j'ai adoré cela. Ma lèvre supérieure qu’il a mordue sauvagement est toujours gonflée par ce superbe échange mais quelle douce caresse de sa part. Ce mec a un corps d’Apollon, tout son être est un appel à la luxure. Comment pourrais-je y résister ? Non, en fait je ne veux même pas y résister. Je le veux, je l’aurai et je le posséderai par n’importe quel moyen mais je l’aurai et le fatiguerai jusqu’à ce que je sois moi-même épuisé par nos ébats. J'ai bien cru y arriver en fin de journée, alors que je me dirigeais vers les vestiaires pour me prendre une bonne douche et rentrer chez moi. J'ai mis plus de temps car une opportunité s'est présentée à moi. Mais le destin en a décidé autrement, certainement parce que la prochaine fois sera la bonne. 

 
 

Flashback de l’instant du vestiaire 

Parfois la vie met des gens sur votre route et vous savez que c’est le moment. Ne pas réfléchir et sauter le pas dans tous les sens du terme. Alors j’ai foncé tête baissée dans ce moment qui aurait pu être agréable au possible. Quand j’ai vu ce kiné de pacotille sortir seul du vestiaire, je me suis tout de suite douté que mon beau fantasme y était encore. Ils sont inséparables ces deux-là à se demander s’ils ne couchent pas ensemble. Ah !! Beurk !!! Rien que d'imaginer ce minable toucher au corps de mon fantasme me rend malade.  

Je me suis donc vite faufilé à l’intérieur faisant le moins de bruit possible et me suis déshabillé à la va vite ne regardant même pas où mes vêtements tombaient, trop pressé par mes envies de lui. Je me suis approché doucement des douches communes et quelle n’a pas été ma surprise de le voir nu sous mes yeux. Sa silhouette si parfaite, ses muscles du dos roulant sous chacun de ses gestes calculés pour se laver les cheveux et se frotter le corps. Rien qu’à cette vue splendide mon sexe frétille de joie et mon cœur bat la chamade. Comme j'aimerai être ce gant de toilette qui touche cette peau d’ivoire qui a l’air si douce. Avoir cette superbe scène sous les yeux me provoque une érection et de petits gémissements de plaisir incontrôlable sorte de ma bouche. Mon cerveau étant totalement déconnecté sous la vue divine de ce bel Apollon. J’ai juste eu le temps de me cacher derrière le mur quand il s’est retourné brusquement. Peut-être m'a-t-il entendu ou il veut être sûr qu'il était bien seul. Si tu savais mon beau ce que je compte bien faire de toi. Je n’en pouvais plus d’être là à seulement le regarder, je voulais aussi le toucher, le goûter et le posséder. Cette petite voix dans ma tête me hurlait d’y aller car je n’aurai peut-être plus cette opportunité de l’avoir ainsi à ma portée et encore moins dans cette tenue d’Adam. Oh combien merveilleuse pour mes yeux et ma santé mentale. Puis je sors de ma cachette et me dirige vers lui avec assurance.   

_ Je savais que je te retrouverai. Il fallait juste que je sois patient. En plus je te retrouve dans la meilleure des tenues, lui dis-je.  

J’affiche mon plus beau sourire et les yeux adorateurs détaillants la moindre des courbes de son magnifique corps, tout en me léchant les lèvres appréciant tout ce que je voyais de lui. Je suis déjà dans un état second rien qu’à cette sublime vue. Je le sens crispé mais il cache sûrement ses vraies émotions, il est plutôt du genre timide. Je le sais, nous avons un ami en commun. Oui un ami qui l’a très bien connu d’ailleurs sous toutes les coutures même. Il connaît par cœur les courbes de son corps, ses défauts et ses qualités. Oh oui, il le connaît tellement bien. Je regrette de n’être arrivé ici qu'après la fin des hostilités entre eux. Il le découvrira peut-être plus tard … ou pas. 

Il laisse tomber son flacon de gel douche à ses pieds, certainement sous l’excitation qu’il éprouve de me voir nu devant lui, réaction normale je fais cet effet à tout le monde. Personne ne peut résister à mon corps digne des statues grecs. Les heures d’entrainements et de musculation à la salle de sport ont porté leurs fruits. Mes épaules carrées, mes pectoraux et mes abdominaux aussi bien sculptés que les muscles de mon fessier rebondi. Et que dire de plus de mes cuisses et de mes mollets dessinés à la perfection. Mes bras sont aussi bien formés que le reste de mon corps. En un mot je suis parfait. Personne ne peut me résister car je suis le mâle a l’état pur. Non je ne suis pas égocentrique, je suis … moi. Je ne suis pas non plus macho aux dires de certaines personnes. Je dis juste que chaque personne doit être à sa place et que de ce fait les femmes doivent servirent en tant que tels leurs supérieurs qui sont, nous les hommes. Si elles ne sont pas d’accord, soit plusieurs possibilités existent et la rééducation en fait partie. En douceur pour commencer et si ça ne marche pas, la manière forte est de mise. En général, à ce stade personne ne peut aller contre la volonté du supérieur. Et puis de toute façon ce monde avec cette société qui l’entoure n’est bonne que pour les dominants donc par logique les plus faibles nous doivent le respect et l’allégeance c’est la base.  

Personne ne cherche non plus à me donner tort puisque quoiqu’il arrive j’ai toujours raison. Si une personne essaye de me résister, soit je mets tout en œuvre pour que sa timidité parte à volo et donc je me dois par la suite de lui donner ce qu’elle souhaite. Mais en général elle le garde silencieusement pour elle comme un secret que moi seul est su voir et lire en elle. C'est-à-dire me vouloir moi. Et croyez- moi quand je vous dis que je donne sans compter. Non d'ailleurs rectifications je ne donne jamais rien, je prends. Si la personne me dit non, aucune importance pour moi c’est un oui caché, un oui discret qui n’est pas assumé, alors je prends.  

Mais revenons à mon bel Apollon, nous continuons à échanger cordialement et j’en profite pour le mater de plus bel. Il a l’air ailleurs mais je sais qu’il cache son jeu, la timidité le fait réagir ainsi. Alors je m’approche de lui … Et lui se met en position de défense. Il ne me fait pas peur et je sens que l’on va bien s’amuser tous les deux. Je le pousse contre le mur de la douche dans un bruit sourd qui lui provoque une grimace mais dans ses yeux je peux voir qu’il aime ça, alors je continue. Je lui attrape les poignets d’une main que je bloque au-dessus de sa tête, alors que mon autre main part à l’exploration de son torse musclé et bien façonné. Il est couvert de gel douche, j’étais tellement pressé d’assouvir mes besoins que je ne l’ai même pas laissé se rincer. De ce fait, il arrive à se dégager de ma prise et me pousse avec force sur le muret qui sépare les douches du vestiaire. Woua, je n’avais pas imaginé un seul instant qu’il était si fort et encore moins qu’il avait ce côté sauvage. J’adore ça quand ma proie se débat, les moments qui suivent sont tellement bons juste après. Oui, le fait que ma cible se débatte m'excite encore plus. Pour moi cette autodéfense c'est comme de longs préliminaires. Quand mon futur jouet sera fatigué, épuisé de toute cette agitation, là je le prendrai avec toute ma fougue refoulée pour le moment. Oui à ce moment-là je le posséderai avec délices et merveilles pendant des heures et des heures. Jusqu’à épuisement total de mon corps satisfait d’avoir pris ce qui lui est dû. Sentir ma victime se laisser faire et aimer ça, tout en entendant ses soupirs de plaisir qu’il aura la chance que je lui donne hummm !!! Mon corps se réveille rien qu'à cette pensée fugace mais sublime, j’ai hâte d’y être. Mettant fait mal en me rattrapant sur le mur maladroitement ayant été surpris de son geste, je me permets de lui dire pour mettre un peu d’huile sur le feu. 

_ Tu vas me le payer et tu ne vas pas aimer ce qui va suivre, je lui affirme menaçant pour lui faire battre en retraite et pour qu’il se laisse faire. Puis je lui glisse mon plus beau sourire et mon regard empli de désir pour lui et son superbe corps. 

_ Si tu insistes, tu ne vas pas aimer non plus ce qui va suivre, me crache-t-il au visage. Il a l’air énervé et agacé par mon insistance, pourquoi cela ?  

Je ne sais pas du tout. Pourquoi devient-il menaçant alors que je ne souhaite que lui rendre service avec une bonne baise en bonne et due forme entre collègues de travail. Tout comme il doit le faire avec son ami l’autre kiné. Pourquoi lui y aurait-il droit et pas moi ? On ne résiste pas au Docteur Morgenstern, c’est lui qui décide pour vous. 

Puis je me redresse rapidement et me jette sur lui, le tenant par la taille j’essaye de le faire tomber au sol ce qui sera plus facile pour moi, pour la suite de nos … échanges. Alors que je le ceinture, il m’appuie ses pouces sur les yeux et me pousse la tête en arrière en même temps de toutes ses forces. Perdant l’équilibre je me ramasse sur le carrelage de la douche et alors que je le relâche dans ma chute, je le vois lui se tenir fermement sur ses pieds comme si de rien n’était tout en maintenant son équilibre à l’aide de la pomme de douche. 

Alors que je m’affale avec perte et fracas sur le sol froid et glissant, mon visage se froisse tout en criant de douleur. Je ressens une affreuse brûlure au niveau de mon coccyx. Je pense et j’en suis sûr que ce dernier n’a pas du tout aimé cette chute brutale et imprévue. Je suis très surpris de cette défense moi qui pensait que ce jeune homme ne pouvait pas être aussi beau et savoir se défendre, ça ne va pas du tout. Mes plans et mes connaissances sur lui sont erronées, je vais vraiment devoir y remédier.  

Alors que je me remets debout assez vite tout en sentant bien la douleur qui me tire méchamment, je reprends mes esprits et lui agrippe les poignets. Je les serre pour ne pas qu’il m'échappe cette fois et que je puisse enfin arriver à mes fins avec lui. Mais plutôt que de se laisser faire, il se débat de nouveau faisant pivoter ses poignets d’un quart de tour et en même temps tire d’un coup sec sur ses bras. Ce qui me fait glisser et perdre ma prise, du coup lui se libère de nouveau. Bien évidemment si je lui avais laissé le temps de se rincer de ce satané gel douche de me… J’aurai assouvi depuis longtemps mon fantasme avec lui. Avant qu’il ne s’éloigne de trop je l’attrape par l'épaule et le plaque au mur une nouvelle fois. Il tire sur mon bras me faisant perdre l'équilibre, me donne un coup de genou dans mes bijoux de famille et me finit avec un énorme coup de coude dans le nez que je m’empresse de tenir au vu du bruit de craquement que ce dernier vient de faire. Je hurle ma douleur, mon corps souffre et mon nez saigne abondamment. Comment peut-on avoir mal au cul et à la tronche sans rien faire de précis, demandez à Lightwood. Sale gamin qui ne sait pas ce qu’il veut. Mon sang rouge macula le carrelage de la douche qui est immaculé. J’ai l’air d’un abruti me tenant le nez d’une main et les parties de l’autre. Je suis recroquevillé sur moi-même pour ne pas que la personne qui vient de parler ne me voit plus. Mon corps n’est pas pour tous les regards même en état de faiblesse. Faiblesse, je ne supporte pas ce mot. Non, le docteur Morgenstern n’est certainement pas un faible. Je l’ai laissé gagner ce round, le second sera le bon et j’aurai ce que je souhaite. Oh oui, je l’aurai dans tous les sens du terme, je l’aurai. 

_ Tu me le paieras Lightwood, soit en sûr ! J’hurle avec une voix de canard alors que lui sort du vestiaire sans plus de cérémonie. 

Il ne se retourne même pas pour savoir comment je vais. Il ne prévient personne non plus, me laissant là à l’agonie. Attends la prochaine fois, je te ferai ta fête Alexander. Oui il va me le payer et je sais qui aller voir pour savoir ses points faibles, je vais bien m’amuser. Cela fait trop longtemps qu’il me résiste, fini de jouer la manière douce ne passe pas. La manière forte sera beaucoup plus utile comme à chaque fois d'ailleurs. Et puis cela fait un moment que je n’ai pas revu mon cher ami, il est temps de se rappeler à son bon souvenir. 

Flashback fini 

 
Cela remonte à deux jours mais je le revis comme si c’était hier, sale gamin. Alors que je commence à peine à boire mon café latté tranquillement dans mon bureau. Celui-ci pris à la va vite à la cafétéria pour ne plus voir tous ces cafards, quelqu'un vient m'importuner dans mon moment de pause en tapant assez brutalement sur la porte à plusieurs reprises avant d’ouvrir celle-ci sans mon autorisation. 

_ Pour qui vous prenez-vous, Mademoiselle ? dis-je surpris de là voire ici. Que me veut-elle, celle-là ? 

_ Mon père m’a dit que vous étiez un de ses amis, docteur Morgenstern … Et surtout que vous lui devez encore un service ! Explique-t-elle de sa voix mielleuse et venimeuse. 

_ En effet je lui en doit encore un … à lui, pas à vous ! lui dis-je, quelque peu énervé qu’elle vienne me déranger pendant ma pause. Non mais quel culot ! 

_ Mon père me fait vous dire, que ce soit lui ou moi, c’est du pareil au même ! réplique-t-elle sans hésitation avec son regard hautain et sa posture dominante.  

Enfin elle essaie mais elle me fait plus rire qu’autre chose avec ses bonnes manières de fille pourrie gâtée. Intérieurement je suis mort de rire mais je ne le montre pas pour le moment je ne voudrais pas froisser la belle. Il n’y a pas à dire, elle a autant d’assurance et de prestance que son paternel. Peut-être est-elle plus sournoise avec son minois qui je dois bien l’avouer ne me laisse pas indifférent bien au contraire. Ses courbes généreuses sont superbement mises en valeur et agréables à regarder. Je ne doute pas que les toucher et les dévorer soit encore mieux. Ses cheveux noirs tombant à merveilles de chaque côté de sa poitrine généreuse mise en avant dans le décolleté serré de sa robe me donne des idées pas très catholiques mais au diable la varice. Sous cette dernière de couleur rouge sang très courte puisqu’elle lui arrive juste sous ses fesses superbement rebondies. Il ne nous faudrait pas longtemps pour que nous nous amusions tous les deux, assis sur mon fauteuil derrière mon bureau et elle a califourchon sur moi, nous faisant du bien mutuellement.  

🍋🍋 

Comme une réponse à ma pensée silencieuse, je la vois se diriger vers moi me regardant droit dans les yeux souriant de ses belles lèvres ornées d’un gloss assorti à sa tenue, elle s’approche et se stoppe devant moi. Ne m’étant pas levé, je suis toujours assis à mon fauteuil. Elle continue de me regarde me détaillant de la tête au pied et ses yeux noirs s’arrêtent à la limite de mes parties qui sont d’ailleurs serrées en ce moment au vu des courbes voyantes de la jeune femme, qu’elle ne cherche pas du tout à dissimulées sachant très bien l’effet qu’elle provoque aux hommes et peut-être même aux femmes. 

_ Bien maintenant que j’ai toute ton attention. Je pense que nous allons parler d'affaires sérieusement tous les deux, me dit-elle.  

Tout en remontant sa robe qui me laisse entrevoir qu’elle ne porte rien en dessous, elle me laisse admirer son sexe épilé à la peau lisse. Tout en me regardant, elle ne veut rater aucune de mes expressions, de ses yeux noirs de défis elle me met un de ses doigts dans la bouche pour que je lui lèche. Puis ne lâchant pas notre contact visuel elle le descend vers son entre-cuisse et sous mes yeux commence à se doigter ne lâchant à aucun moment mon regard, je ne veux rien rater de cet instant érotique qu’elle me permet de voir et d’apprécier. Ce qui me fait encore plus être serré dans mon pantalon, chose qu’elle remarque. Elle vient se frotter contre mon entre-jambe me provoquant des frissons dans tout le corps et des gémissements non dissimulés sortent de ma bouche sans le vouloir. Elle m’a fait perdre le contrôle de mon corps, c’est intolérable. Sentir son corps chaud contre le mien, si elle continue ainsi je ne réponds plus de rien et je la prends direct sur mon bureau. Mais je veux voir jusqu’où va aller la belle dans sa manœuvre pour me manipuler. Voyons voir ce qu’elle me réserve, j’adore ces petits jeux où on ne sait pas qui domine l’autre. 

_ Ah oui et de quoi donc as-tu besoin ? lui dis-je sentant mon plaisir monter, alors qu’elle continue de se mouvoir sur moi tout en me mettant sa superbe poitrine sous le nez.  

Ses yeux brillent de malice et de désir mélangés puis elle pinça sa lèvre inférieure entre ses dents me montrant qu’elle aime ce qu’elle fait et qu’elle assume totalement. Ce n'est certainement pas moi qui vais la stopper appréciant tout autant ce qu’elle me fait subir et puis surtout cela fait un moment que le docteur Morgenstern n’a pas eu de rapports aussi intenses avec quelqu’un. 

_ Tu vas espionner un de tes patients pour moi, réplique-t-elle, tout en me chuchotant ses mots à l’oreille. 

Commençant par me lécher le lobe de celle-ci avec douceur pour le mordre sauvagement par la suite. Quelle tigresse j’adore ça mais ça n’est pas une raison pour me faire des marques, surtout sur un corps aussi parfait que le mien. Puis ses mains descendent sur mon torse, elle s'écarte légèrement de mon corps pour faire passer ses doigts fins et agiles entre nos corps chauds d'excitation et elle déboutonne mon pantalon avec une facilité qui m’étonne. La belle n’est pas à son premier coup d’essai, elle a l’air même très douée pour cela. Elle laisse sortir avec lenteur mon sexe à l’air libre celui-ci est déjà en érection mais elle continue de le caresser. Elle titille de son pouce le gland qui s’échauffe, faisant des vas et vient avec ses mains expertes tout en regardant ma réaction qui l’amuse beaucoup. Elle sourit à cette vue et continua son monologue sachant qu’elle a toute mon attention et même plus.  

_ Chaque fois que j’aurai besoin de toi et que ma demande sera exaucée je viendrais payer ma dette en nature, me chuchote-t-elle. 

Puis sans crier gare elle vient s’empaler sur mon sexe érigé d’une seule poussée nous faisant hurler de plaisir réciproquement, autant par l’effet de surprise que par le fait que c’est trop bon. Je viens agripper fermement ses hanches de mes mains pour être sûr qu’elle ne s’échappe pas. Même si au vu de ce que je vois dans ses yeux, ça ne sera pas le cas, appréciant grandement mon geste. Alors qu'elle entame un va et viens langoureux sur moi nous faisant gémir tous les deux de nouveau. Dans ses mouvements elle bascule sa tête en arrière profitant totalement de ce moment et gémissant de plus belle. Puis reprenant contenance, son regard se pose de nouveau sur moi et elle continue notre échange.  

_ Tu es d'accord n’est- ce pas ? me demande-t-elle tout en ronronnant de plus bel et accentuant ses mouvements de bassin me faisant perdre pieds tellement c’est bon.  

Elle est tellement bonne, elle a un don c’est sûr. Son mouvement cadencé reprend de plus bel mais sentant que la belle s'épuise alors que moi je suis en pleine forme grâce à ses stimulations, je la maintiens encore plus fermement. Je veux qu’elle me sente, qu’elle imprime mes mouvements, qu’elle hurle son plaisir, non mon plaisir. Tout en la tenant, je passe mes bras sous son superbe cul et je profite d’avoir une fesse dans chacune de mes mains pour le malaxer. Je me lève du fauteuil et la plaque dos à mon bureau. Assez joué, maintenant je prends le contrôle de ce moment, la patience n’est pas pour moi. Je la veux et c’est maintenant. Mes coups de butoirs la font hurler de plaisir en demandant toujours plus, plus profond, plus rapide, plus fort. Elle est autant demandeuse que moi et j’adore ça. Tout en la maintenant je laisse ma bouche happée un de ses tétons sortis de son décolleté par le mouvement brusque du plaquage sur le meuble. Tout en la pénétrant ardemment je lui dévore le cou lui laissant des marques de suçons. J’aime marquer mes partenaires et elle aime cela aussi vu ses complaintes de bien-être. Tout en accélérant mes mouvements nos respirations deviennent chaotiques, mes vas et vient sont désordonnés mais à chaque coup de bassin nos gémissements de plaisir se font entendre. Je veux l’entendre, je veux qu’elle crie.  

_ Crie mon nom, gémis-je tout en m'enfonçant en elle sans relâche, toujours plus vite, plus rapide. Crie mon nom, vas-y !!! insistais-je de ma voix rauque tout en continuant mes mouvements saccadés. Un dernier coup bien placé fait hurler la belle et moi par la même occasion avec un râle bestiale. 

_ Val … Valen … Valent Iiii Nnnn oh ouiiii …. Miaule-t-elle. 

Je l’ai eu, j’ai eu ses cris de plaisirs dans les oreilles et ça fait un bien fou de pouvoir se faire du bien. Et surtout entendre hurler mon prénom, oui je suis le roi des baiseurs y a pas à dire. Je suis toujours à l'intérieur de sa chaleur quand la belle me plaque à elle de nouveau sur le bureau et m’embrasse sauvagement me mordant la lèvre et léchant le peu de sang qui en coule, un vrai vampire. En veut-elle encore ? Je suis toujours prés, toujours au garde à vous surtout devant une si belle femme aussi bien foutue qu’elle et douée de surcroît. Je la prendrais dans tous les sens si je le pouvais. Nous pourrions faire le Kamasutra, je suis sûr qu’elle ne serait pas contre, bien au contraire. Je reviens de mes pensées alors qu’elle me repousse violemment sur mon fauteuil tout en me regardant de ses yeux pleins de malices et de perversions.  

Est-elle pire que moi ? C’est impossible, je suis unique. JE suis le seul de ce monde à être aussi parfait et sain de corps et d’esprit. Je la vois s’agenouiller devant moi et se placer entre mes jambes. Quelle superbe vue pour moi qui adore mettre les gens à mes pieds. Là sans rien demander c’est encore mieux. Et là sa sublime bouche vient titiller mon sexe encore chaud de notre précédente jouissance. Elle sait y faire la garce. Elle me lèche sur toute la longueur, me mordille par endroit et quand elle me reprend en bouche ses lèvres font des vas et viens divin m’arrachant des soupirs de plaisir. Je sens mon sexe se gorgé de plaisir une nouvelle fois, elle est tellement douée. Elle me regarde avec ses yeux de tigresse tout en me faisant une superbe fellation. Et là je ne tiens plus, ma main se pose sur sa tête, je lui tiens fermement les cheveux et je prends le contrôle de nouveau. Je lui pénètre la bouche sans ménagement, elle adore cela la violence. Plus je la prends et plus elle gémit son plaisir et son désir de plus, toujours plus. Plus elle s’exprime et plus ça m’excite, je lui pilonne sa superbe bouche, plus fort, plus rapide et quand je sens que j’arrive au point de non-retour je ne pense même plus à elle mais à mon plaisir personnel et je me déverse dans sa gorge au plus profond. J’entends autant mon râle bestial que le sien et comme si elle n’en avait pas eu assez, quand je la relâche et que je m’affale sur mon fauteuil, elle vient laper ma semence rester sur mon sexe encore tiède. Pendant qu'elle lèche elle se sert de ses mains pour me caresser les testicules ce qui me provoque de nouveau de l'excitation. Nos regards se croisent et la belle n’en a pas assez on dirait, puisque ma hampe étant de nouveau en érection grâce à ses petites attentions, elle vient de nouveau à califourchon sur moi et s’empale de nouveau. Elle est inépuisable … J’aime ça. 

_ J’adore le sexe. Je ne suis jamais rassasiée. Je pourrais baiser toute la journée et toute la nuit. Et quand je tombe sur un partenaire digne de ce nom, je ne le lâche pas de sitôt et en redemande toujours plus, m'explique-t-elle toute gémissante et tremblante de plaisir. 

Car même si elle est montée sur moi de nouveau, je mène le jeu et la croyais moi, elle en veut la chienne, elle va en avoir, je vais la défoncer comme jamais personne ne l'aura fait. Elle va se souvenir pour longtemps du Dieu du sexe, le docteur Morgenstern. Sa chatte va tellement chauffer qu’il lui faudra du temps pour s’en remettre. Son entre chaude entoure mon sexe gorgé de désir. Cette chaleur et ses vas et viens me procure un bien fou, me vider de nouveau les couilles en elle quel délice. J’adore cette garce si elle savait à quel point la baiser est si bon. J’en profite pour la mettre à nue en lui enlevant sa robe sous laquelle elle ne porte vraiment rien. Sa poitrine généreuse qui tressaute au fur et à mesure de nos mouvements, je la gobe avec ma bouche tout en la mordant par endroit continuant de lui rajouter des marques de suçons. Alors que mes mains en profitent pour malaxe une nouvelle fois, son superbe petit cul rebondit pendant que mes coups de butoirs nous font mouver sur mon fauteuil. Cette chienne va me rendre fou tellement elle est bonne. Le meilleur moment de ma journée, baiser cette chienne de Bellecourt. Putain son père en ferait une crise cardiaque s'il apprenait que j’ai baisé et que je baiserais encore sa fille chérie. 

_ Alors marché conclu, me chuchote-t-elle tout en gémissant de plus belle. 

_ Marché conclu à une condition. Chaque fois que tu viendras me payer ton dû, tu devras crier mon nom, lui réponds-je tout en approchant de la jouissance. 

_ D’acc … ord …  In … gémit-elle. 

_ Avec effet … Immédiat, lui dis-je au bord de l’orgasme. 

_ Val … Valen … Valent Iiii Nnnn …oh ouiiii, hurle-t-elle de nouveau encore plus fort que tout à l’heure atteignant la jouissance qui nous consume en même temps. 

Alors qu’elle est toujours affalée sur moi, elle me regarde de ses yeux malicieux et son sourire arrogant. Elle décide de se lever, attrape sa robe, jetée à la va vite dans la pièce, se rhabille et me dit tout en souriant de ses dents blanches et de son air hautain. 

🍋🍋 

_ Chaque fois que l’une de mes demandes sera faite, je viendrais ici dans ton bureau et tu pourras faire de moi ce que tu veux, me dit-elle tout en se léchant les lèvres gonflées par nos embrassades sauvages. 

_ Tout ce que je veux, tu es sûr de cela ? lui demandais-je, ayant déjà toutes sortes d’idées pour nos ébats à venir. 

_ Oui tout ce que tu veux, je n’ai aucune limite dans le sexe … Après réflexion dans la vie non plus. Tout ce qui est bon pour moi … Et bon pour moi, me dit-elle sans aucune gêne, assumant ces dires et ces faits. 

 Le portrait craché de son père. En même temps, les chiens ne font pas des chats. 

_ Bien j’en prends note. Mais au fait dit moi, quel patient dois-je espionner pour toi ? lui demandai-je, curieux. 

_ Tout simplement mon petit-ami, me répond-elle. 

_ Futur ex petit-ami, répliquais-je du tac-o-tac, provoquant un rictus de colère sur son joli petit minois. 

_ Bref, reprend-elle énervée et même agacée de ma répartie. Puis elle continue, je voudrais que tu le surveilles, lui et son kiné Lightwood. Je n’aime pas du tout leur rapprochement. Ce kiné a trop d’emprise sur lui et il le protège de trop près pour avoir juste une relation de kiné/patient. Alors surveille moi ça de près … Et ta récompense sera à la hauteur du petit aperçu que tu viens d’avoir, finit-elle tout en se mordant la lèvre inférieure avec dans son regard des étincelles de luxure non dissimulées. 

_ Oui en effet. Je m’étais fait la réflexion suite à notre entretien dans le bureau de la directrice l’autre jour. Et se sourire qu’il a chaque fois que l’on parle de ce patient, beurk à gerber, dis-je écœuré. 

Franchement à part une femme qui voudrait d’un mec qui se maquille, porte des couleurs que seules les femmes adorent et qui s’affiche avec encore plus de bijoux que feu ma mère. Aujourd’hui, j’ai commencé à suivre discrètement mon fantasme. Oui suite à ma conversation avec cette garce de Camille qui a été très agréable, il faut bien l’avouer surtout grâce à mes talents de Dieu du sexe. Cela fait deux jours que je les espionne et je ne suis pas déçu de ce que j’ai découvert car cela amène de l’eau à mon moulin. Alors que je suis appuyé sur le comptoir des infirmières, non loin de la chambre de ce Bane, j’entends l’altercation mouvementée et voit arriver à grandes enjambées les agents de la sécurité. Quelques minutes plus tard, je vois Bellecourt et son cher toutou, escortés jusqu’à la sortie par les vigiles. A leur passage devant moi Camille m'envoie un baiser papillon accompagné d’une œillade. Par la suite, je vois Lightwood sortir de la chambre quand la psy arrive pour sa séance. Je le suis donc, alors qu’il se dirige vers le bureau de notre supérieure, il a l’air furieux. Il est superbement beau, je pourrais le plaquer contre un mur et … Non reste calme Morgenstern … Ça viendra patience …  

De longues minutes plus tard, il ressort et retourne dans la chambre du patient. Ils ressortent tous les deux et cette fois-ci vont en direction du bureau du kiné. Ce que je vois me sidère. Pendant leur court trajet, leurs doigts se frôlent, s’entrelacent, se séparent au passage de personnes se trouvant dans les couloirs. Les regards qu’ils s’échangent et leurs sourires niés me donnent envie de gerber. D’où Lightwood a le béguin pour un patient de passage et insignifiant de plus. Entre lui et moi, le choix est plutôt vite fait, je suis parfait, l’autre ressemble à un cafard. Mais non, Lightwood préfère ce pseudo mec, cette tapette. Soit j’ai dit qu’il le paierait mais je ne lui ai pas dit comment. Il va prendre cher, crois-moi et tu me supplieras de l’épargner. Foi de Morgenstern, il n’a qu’une parole. Tu seras à lui et à personne d’autre.  

Alors qu’ils arrivent à destination, je me cache derrière la machine à café juste dans l’angle du couloir à temps car Lightwood se retourne. M’a-t-il vu ou entendu ? Il suit son pseudo patient, entre et ferme la porte. Merde … Je ne vois plus rien … Mais, mais si bien sûr … Les jardins …  

Alors qu’il m’a fallu un bon quart d’heure pour faire le tour et me cacher derrière les buissons qui longent les baies vitrées de leur salle d'exercice. C’est au moment où je les retrouve que je les vois s’embrasser à pleine bouche et cet abruti de Lightwood qui en redemande, non mais je rêve. Il l’a envoûté ou quoi ce monstre ? 

 
 

 
 

 
 

 
 

  

  

 
 

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