PDV Extérieur

_ Oui, tout à fait mon cher Angel Heart, répondit-elle sur le même ton que lui. Mais ... Il est où ?... Commença-t-elle, alors qu'elle cherchait dans son sac quelque chose qu'elle ne trouvait pas et pour cause. C'est toi qui me là prit, accusa-t-elle en regardant l'indonésien de son regard noir accompagné de son sourire mauvais.

_ Pris quoi, encore ? Chaque fois que quelque chose t'arrive, c'est ma faute ou celle des autres ! Ma grande prend tes responsabilités, tu as un mauvais karma et puis c'est tout. Alors dis-moi qu'as-tu perdu ? Pas ta langue ça se saurait ! Lui sortit Magnus amusé, sachant très bien ce qu'elle cherchait en vain.

_ Mon portable ... Merde j'ai perdu mon portable, toutes les preuves de ta véritable identité sont dedans ! Hurla-t-elle furieuse. Je suis sûr que c'est toi qui l'as ! Cracha-t-elle à l'attention de Magnus qui rigolait de la jeune femme, avant de lui répondre.

_ Ah oui et comment j'aurais fait ? Je me serais jeté un sort comme les sorciers pour me dédoubler ? L'un te piquait ton portable et l'autre dansait devant tout le monde, commença-t-il d'un air souriant avant de reprendre. Pour ta gouverne, j'étais sur la piste de danse avec Alexander, toute la salle en est témoin. De plus, je ne savais même pas que tu étais là. Et pour te dire sincèrement je m'en balance que tu sois là ou pas. Jamais tu ne m'empêcheras de faire ma vie comme je l'entends et avec la personne que j'ai choisie et qui me mérite, lui sourit Magnus pour l'agacer un peu plus, se moquant que les journalistes soient là à enregistrer, filmer et prendre de nombreuses photos d'eux pendant leur échange, puis il reprit.

_ Bien maintenant que tu t'es bien fait remarquer, que ta diffamation est infondée, dégage de ma vue et de celle de mes amis, siffla méchamment l'indonésien, lui jetant son regard noir, n'en supportant pas plus.

_ Et notre scoop alors, il est où mademoiselle Bellecourt ? Crièrent plusieurs paparazzis d'une même voix, fulminant contre Camille qui les avait fait venir pour rien.

_ Vous voulez un scoop messieurs, alors je vais vous en donner deux pour le prix d'un, commença Magnus sous les regards curieux de toutes les personnes présentes. Premièrement, Camille et moi n'avons jamais été un vrai couple. Les seules choses qui l'intéressaient en moi, c'était ma notoriété et mon argent, dit-il tout en se plaçant face aux journalistes et leur souriant.

_ Magnus, cria Camille outrée.

_ Silence je parle, lui cracha-t-il en la regardant méchamment avant de reprendre. Deuxièmement et c'est le plus important pour moi, commença-t-il en se rapprochant de son Alexander et en le tenant par la taille avec une de ses mains. Cet homme Alexander Lightwood est l'amour de ma vie et bientôt il deviendra mon mari, m'ayant dit oui, finit Magnus tout en montrant leurs mains jointes ornées de leurs bagues de promesses.

_ Ah oui bien sûr mais une bague est facile à porter, dit l'un des journalistes sur un ton méprisant.

Sans attendre plus longtemps, Magnus se tourna vers son Alexander et l'embrassa comme jamais devant les journalistes qui les mitraillent, ayant mis leur appareil photo en rafale pour ne rien manquer de ce superbe moment, sous le regard haineux au possible de Camille. Magnus reprit son souffle tout en regardant les magnifiques yeux cobalt briller de bonheur de son Alexander. Puis se retournant vers les journalistes sans lâcher la taille de son futur mari, il reprit heureux et le sourire aux lèvres.

_ Maintenant que vous avez un scoop même deux je dirais, gare à ceux d'entre vous qui déforment mes propos et qui détournent les photos prises par la même occasion. Vous connaissez tous ma famille et savez de quoi nous sommes capables. Bonne fin de soirée à vous messieurs, nous nous allons fêter cela comme il se doit, cria Magnus à l'intention de son groupe d'amis qui approuva ses dires avec des cris de joie, tous les félicitant pour cette superbe nouvelle.

_ Tournée de champagne pour tout le monde, hurla Magnus vite remercié par les hurlements de joie de toute la foule du Pandémonium, les barmans s'activent déjà pour servir les personnes qui se présentaient à eux devant le bar.

Les journalistes qui attendaient des informations croustillantes partirent avec le scoop d'un futur mariage entre un jeune kiné et Magnus Bane, l'un des fils du célèbre milliardaire Asmodée Bane. Certains d'entre eux connaissent très bien la famille Bane et savaient ce qu'ils en coûteraient si les dires du jeune homme apparaissent déformés dans leurs journaux. Ces mêmes journalistes montrèrent à Catarina qu'ils avaient effacé certaines des photos prises durant la soirée et celles qu'ils gardaient pour leur rubrique. En partant, les paparazzis demandent précisément à Camille d'oublier leurs numéros de téléphones pour leur éviter une perte de temps et d'argent à moins qu'elle ne paye leurs frais de déplacement la prochaine fois. La jeune femme partie furieuse sous les rires de nos amis et sous les huées des personnes présentent qui n'appréciaient pas cette nana, ayant cherché des poux à bon nombres d'entre eux, parce que pour la plupart, ils ne voulaient pas faire ses quatre volontés. Bref, les journalistes ainsi que Camille furent raccompagnés à la porte par les vigiles de la boite, ayant eu l'autorisation de leur patron pour le faire en bon et due forme, sans brusquerie n'y violence. La musique reprit et l'ambiance remonta aussi bonne que tout à l'heure comme si de rien n'était.

La fin de soirée se passa pour le mieux, nos amis s'amusent longuement entre danses endiablées et chaudes mélangées avec les verres d'alcool. Ils se séparèrent à l'aube, fermeture du Pandémonium oblige, chacun d'eux partie avec sa moitié, c'est ainsi qu'Alec se retrouva dans l'appartement de Magnus pour la première fois depuis presque deux mois de relation. A sa sortie d'hôpital, Alec avait été amené chez ses parents qui surtout Maryse avait été aux petits soins pour lui avec de nombreuses visites de Magnus bien évidemment qui prit la relève quand ils se retrouvaient tous les deux. Restant sages malgré leur libido qui les travaillaient durement au corps. Mais ils s'étaient promis d'attendre d'être bien remis sur pieds avant de reprendre leurs ébats.

Arrivés devant la porte de l'appartement de Magnus, ils avaient beaucoup de mal à ne pas se toucher et s'embrasser. La montée des étages dans l'ascenseur en compagnie d'un jeune couple voisin de l'indonésien avait été très dure car notre couple Malec savait très bien que dès le premier baiser donné la suite serait inévitable attendant cela depuis bien longtemps maintenant. Ils s'étaient chauffés toute la soirée pendant leur danse endiablée, collée/serrée. L'indonésien avait à peine fermé la porte d'entrée à clé, qu'il se faisait plaquer contre cette dernière par un Alexander très amoureux et impatient qui captura ses lèvres dans un baiser appuyé, doux et tendre à la fois, tout en se frottant légèrement sur lui. Alec colla son corps chaud contre celui de Magnus, lui faisant sentir son excitation, le regardant avec des yeux brumeux par l'alcool mais empli d'amour et de désir pour son bel asiatique. Si Magnus avait ses mains autour du cou de son compagnon, ce dernier avait les mains baladeuses et appréciait chaque courbe du corps de sa moitié. Les baisers s'enchaînèrent toujours plus approfondis, laissant leurs langues danser entre elles sensuellement. Chacun caressant le corps de l'autre, tout en s'effeuillant langoureusement, accompagné par leurs soupirs de plaisir. Ils se décalèrent un instant pour retrouver leur souffle. Ils se regardèrent intensément et d'une même voix, ils se murmurèrent à l'unisson ces trois mots.

_ Je t'aime !

Ils se dirigent vers la chambre à moitié nu, riant, heureux d'être enfin réunis et de pouvoir enfin se prouver de nouveau leur amour toute la nuit. Ils reprirent leur baiser et fermèrent la porte derrière eux. La suite de la soirée est interdite aux moins de dix-huit ans. La seule chose que je peux vous dire c'est que leurs voisins mirent des boules quies ce soir-là pour pouvoir dormir.

*** *** *** *** *** ***

Le lendemain, quelqu'un se mit à sonner à la porte de l'appartement, réveillant ainsi notre couple Malec qui dormait profondément enlacé dans les bras l'un de l'autre. La nuit avait été un peu courte pour eux. Ils s'étaient endormis à l'aube après s'être prouver chacun leur tour leur amour, s'étant retrouvés comme avant. Heureusement, c'était dimanche personne ne travaillait et il était seulement dix heures du matin. Magnus habillé d'un bas de pyjama de satin bleu nuit et de son peignoir assorti, cheveux légèrement en épis sur la tête. Il alla ouvrir, suivit d'un Alec encore endormi habillé d'un short noir et d'un tee-shirt aux couleurs LGBTQIA+ légèrement délavé que son bel asiatique lui avait prêté. Pas que ça déplairait à Magnus de le voir encore nu mais ne sachant pas était derrière la porte et ne voulant choquer personnes. Ou plutôt du point de vue de l'indonésien, lui seul avait le droit de voir son Alexander ainsi. A leur grande surprise, ils virent débarquer leurs fratries souriantes et heureuses, les bras chargés de sacs différents et de plateaux de boissons chaudes.

_ Bonjour à vous deux, dirent-ils d'une même voix.

_ A voir vos têtes, la nuit a été mouvementée, leur dit Izzy sur un ton taquin tout en faisant un clin d'œil à Magnus qui lui répondit avec un sourire rayonnant.

_ On a pris des cafés, des thés différents et des chocolats chauds, commença à expliquer Clary, aidé par sa moitié.

_ Avec des viennoiseries en tout genre, continua Catarina suivi de Ragnor.

_ Sans oublier des fruits avec des crêpes, gaufres et pancakes, précisa Simon qui passa la porte avec Jace juste derrière lui.

_ Et aussi des toasts, des œufs et du bacon, finit Andrew tout en embrassant Raphaël avant de rentrer eux aussi dans l'appartement sous le sourire heureux de Magnus.

Alors que l'indonésien ferma la porte, leurs amis faisant comme chez eux, Alec le prit par la taille, le rapprocha de lui prit son visage en coupe et l'embrassa fougueusement ses douces lèvres qui lui manquaient déjà. Ce baiser était si chaud que tous leurs sens étaient de nouveau en éveilles.

_ Si tu continues comme ça Sayang, je ne réponds plus de rien et je nous enferme dans la chambre pour prendre possession de ton superbe corps, famille présente ou pas, ça ne me dérange pas, expliqua Magnus avec un regard malicieux. Il en était capable, Alec le savait bien.

_ Alors je vais prendre sur moi et attendre d'être de nouveau en tête à tête avec toi mon chat, lui sourit le noiraud voyant l'état dans lequel il avait mis son compagnon.

_ Ça va être dur autant pour toi que pour moi sans mauvais jeu de mots, lui répliqua-t-il tout en lui faisant un clin d'œil accompagné de son sourire ravageur.

Tout en restant dans les bras l'un de l'autre dans l'entrée, ils observèrent leurs amis préparer le petit-déjeuner, faisant comme chez eux. Fouillant dans les placards de la cuisine pour trouver le récipient adéquat. Chacun mit ce qu'ils avaient amené dans un plat ou une assiette, étalant sur la table de la salle à manger toutes ces bonnes choses qui leur donnaient faim. Sans oublier les verres de jus de fruits frais et les serviettes pour ceux qui comme Raphaël ou Jace étant affamés pouvaient manger salement sous les rires amusés de leurs compagnons, fratries et amis. Les odeurs venant chatouiller les narines et faisant gargouiller leurs estomacs n'ayant rien mangé depuis la veille. Une fois que tout était prêt, chacun était assis autour de la table, ils commençaient à bruncher dans une bonne ambiance joyeuse, chaleureuse et conviviale.

Catarina prit la parole la première, étant inquiète pour son frère à la suite des dires de Camille devant les journalistes.

_ Magnus je ... Je ne veux pas casser cette belle et agréable ambiance mais ... Je m'inquiète, commença-t-elle.

_ Oui, en effet y a de quoi d'ailleurs. Comment as-tu su qu'elle n'avait pas son portable sur elle ? Questionna Ragnor, c'était risqué quand même ? Finit-il de dire.

_ Ça il faudra le demander à blondi, dit Magnus tout en regardant ce dernier se goinfrer de pancakes au sirop d'érable, mangeant comme un affamé ce qui fait rire toute la table.

_ Et bien c'est facile, s'est moi qui l'est ! Répondit Jace la bouche pleine, tout en leur souriant comme un bienheureux.

_ Mais comment ? Lui demandèrent en cœur les jumeaux aussi curieux que le reste du groupe.

_ Grâce à Lorenzo, répliqua-t-il sous les regards surpris de tous.

_ Lorenzo, qu'est-ce que ce lézard puant vient faire là-dedans ? demanda Magnus aussi étonné que les autres.

_ Ok, je vais vous expliquez, commença-t-il tout en vidant sa bouche ...

Flashback au Pandémonium

Pendant que notre couple Malec dansait collé/serré, personne n'avait vu qui était présent dans la boîte sauf Jace qui avait les yeux partout depuis le dernier accident de son frère. Il s'en était tellement voulu de ne pas avoir été là pour son frère, pour le protéger, qu'il avait culpabilisé comme jamais. Alec avait su lui remonter le moral en lui faisant comprendre qu'avec tous les malades qui vivaient dehors personnes n'étaient à l'abri et que ça n'était en rien de sa faute. Mais depuis, dès qu'ils sortaient en groupe, il se devait de surveiller les alentours autant pour lui que pour leur groupe d'amis d'ailleurs. C'est ainsi qu'il avait aperçu Lorenzo dans un coin de la boîte essayant de se camoufler pour éviter d'être vu et pour cause, à l'opposé au bar était assise Camille draguant ouvertement un des barmans qui avait autre chose à faire que de l'écouter minauder à ses oreilles, de plus il la trouvait vulgaire, loin d'être à son goût. Il la sert au plus vite et passe avec joie à la cliente suivante laissant Camille sur sa faim. Cette dernière regardait sa montre à répétition comme-si elle attendait quelqu'un et justement ceux qu'elle attendait arrivèrent enfin. Jace se disait qu'il allait y avoir du grabuge encore à cause de mademoiselle pétasse, alors qu'il avançait vers ses amis pour les prévenir, il fut attiré par de grands gestes que lui faisait l'ancien garde du corps Lorenzo Rey, il s'approcha de lui discrètement. Ce dernier lui murmura à l'oreille.

_ On devrait aller plus loin pour discuter !

Jace le suivit dans une arrière-pièce qui se trouvait juste en dessous de la cage du DJ qui dominait la piste d'un étage. Cette pièce était insonorisée et servait parfois pour les gens qui avaient besoin d'un moment de calme avant de repartir faire la fête.

_ Bien, maintenant tu m'expliques ? Questionna Jace, alors que le noiraud regarda plusieurs fois à droite puis à gauche avant de fermer la porte à clé derrière lui, voulant être sûr de ne pas avoir été remarqué, n'y même suivit.

_ Ok, écoute Lightwood je sais que personne ne m'apprécie et pour causes mais je ne suis pas comme elle. Certes j'ai fait des choses impardonnables comme faire du mal à Magnus et sans le vouloir à ton frère, mais je me suis aperçu après différents malaises et avoir vu un médecin que j'avais été drogué à mon insu et que donc mes actes et mon comportement allaient dans ce sens. Je sais que ça n'excuse en rien ce que j'ai fait, mais par la suite j'ai arrêté de prendre ce que Camille me donnait que ce soit nourriture ou boissons en détournant son attention et balançant dans des sachets tout cela pour les faire analyser et confirmer ainsi les dires de mon médecin. À la suite de cette découverte je me suis mis à surveiller tous ses faits et gestes. J'en ai découvert des choses allant de surprises en surprises juste avant de tout mettre de côté et de donner ma démission à mon employeur sans explications n'y à lui et encore moins à sa fille chérie que je n'avais pas revu avant ce soir. J'ai tout un tas de photos que j'ai prise, de mails avec des preuves contre elle et toutes ses magouilles. Quand tu auras vu tout cela toi aussi tu en tomberas des nus. Tout à l'heure, sans qu'elle ne me voie, trop obnubilée par le barman, je me suis faufilé derrière elle et je lui ai piqué cela, dit-il tout en montrant le téléphone portable de Camille. Elle y a tous ses coups fourrés, tous ses chantages, c'est comme son journal intime tout est dedans. Je te le donne pour que ton frère et surtout Magnus puisse avoir la paix et lui faire payer tout le mal qu'elle a fait autour d'elle sans se préoccuper du mal être des personnes qu'elle cibler. Si jamais toi, ton frère Magnus ou les autres avez encore besoin de moi ou même besoin d'un témoin s'ils vont jusqu'au procès, n'hésitez pas à me contacter. Je te donne mon numéro, je serais ravi de lui faire fermer son clapet à cette garce tout comme à son père, finit-il par expliquer.

_ Je ne sais pas quoi te dire ? Enfin si merci mais toi ça va aller tu es sûr ? Lui demanda Jace inquiet par lui avec ce qu'il venait de lui avouer sans filtre, car finalement lui aussi en avait bavé, lui aussi n'avait été qu'un pion et une victime de plus dans les plans foireux de cette Bellecourt de merde.

_ Oui ça va aller, je suis suivi par mon docteur pour me sevrer et je fais partie d'un groupe de thérapie pour mon comportement et ainsi aller mieux. Merci de demander et ... Je suis vraiment désolé du mal que j'ai pu te faire à toi ou tes amis. J'espère un jour pouvoir m'excuser auprès d'eux de vive voix, répondit Lorenzo toute la culpabilité sur son visage ressortait dans ces cernes qu'il avait sous les yeux, son regard était éteint, il était mal de ces gestes de maltraitances qu'il avait pu faire. S'approchant de lui, Jace lui posa une main sur l'épaule pour le rassurer et lui dit par la suite pour le réconforter.

_ Quand ils sauront tout ce qu'elle t'a fait, en plus des preuves que tu as, qui seront vérifiées à la loupe par mes parents, ils te pardonneront je n'en doute pas. En tout cas, merci pour ton aide, je te tiendrai au courant pour la suite. Je t'appellerais sans fautes, lui promis Jace.

Les deux jeunes hommes se serrèrent la main, en sortant de la pièce Lorenzo regarda de nouveau partout et ne voyant personne ils sortirent et se séparèrent sans que personnes n'aient pu les voir. Quand Jace retourna dans la salle principale, il vit de loin que ses amis étaient en grande discussion avec cette Camille de malheur. Les journalistes étaient prêts aux moindres scoops croustillants qui pouvaient se jouer sous leurs objectifs. Jace avait Magnus face à lui et lui montra ce qu'il avait en main, l'indonésien lui fit un clin d'œil comprenant à qui était le portable et par la suite la discussion était devenue plus virulente pour le plus grand plaisir des paparazzis.

Flashback fini