Chapitre 78

Ps : vous avez fais 120 commentaires en même pas une heure sur le dernier chapitre, alors vous méritiez bien ça 😘😘 Bonne lecture.

- Narration : Michael -

Les gars sont rentrés de tournée plus tôt que prévu,
Et ça n'a pas ravi mon père du tout.
Il m'a demandé de passer le voir aujourd'hui,
Et je sais très bien que ça risque d'être tendu.

Mais je m'en fiche.
Si on est tous dispersé,
C'est plus facile pour Gucci et sa bande de s'en prendre aux nôtres.
Du coup comme on est tous ensemble,
On est beaucoup plus forts.

Du coup la je suis encore à la maison.
Après je vais voir mon père,
Et ensuite je dois voir French,
Avant d'aller retrouver les gars.

On organise l'enterrement de vie de célibat de Tyga,
Et c'est moi qui ai tout organisé.
Croyez moi ça va être de la balle mdr.
On va le bourrer comme jamais ce vieux con.

Moi : bébé ?

Kendall : mmh ?

Moi : tu sais où sont mes clefs de voiture ?

Kendall : ton fils est en train de jouer avec, regarde !

Elle pointait du doit Micky Jr sur le canapé,
Et celui-ci s'amusait avec mes clefs de voitures.

Moi : Hé ! Il les met dans sa bouche !

Kendall : ne crie pas tu vas lui faire peur...tu sais bien qu'il est malade.

Depuis quelques jours le pauvre petit bonhomme a une vilaine grippe.
Et quand il est malade Killa devient complètement parano,
Du coup elle le couve comme pas possible.
Et ce petit bandit il en profite hein.

Dès que je veux embrasser ma femme, il pleure.
Si je veux lui faire un câlin, il pleure aussi.
Pff...n'importe quoi ce petit moi je dis.
Sale traitre va, voleur de femme !

Moi : t'as vu comment il me regarde ?

Kendall : il te regarde normalement, mon coeur.

Je boudais.

Moi : tu prend toujours son parti.

Kendall : parce que je te connais, tu n'arrête pas de le provoquer je te vois.

Je soufflais.
C'est même pas vrai.

Moi : bon, Micky Jr je peux avoir mes clefs de voiture s'il te plait ?

Saint : NON !

Il s'est mis à baver dessus,
Et je grimaçais.

Moi : tu sais quoi ? T'as qu'à les garder de toute façon. Je vais prendre une autre voiture.

Je lui tirais la langue,
Et lui aussi.
Kendall riait.

Kendall : il vaut mieux, parce qu'il ne voudra pas te la rendre.

Elle finissait de boutonner la chemise noire que je portais,
Avant de me regarder dans les yeux en souriant.

Kendall : tu seras rentré à quelle heure ?

Moi : cinq heures du matin, grand maximum.

Kendall : vous ne faite pas de bêtises hein, d'accord ?

Moi : mdr tu rigole ? C'est impossible de faire pire que vous stp. Hailey a fini bourrée sur le piano de la boite, Jenny et Lily ont finis K.O dans les toilettes, sans parler de Camila, Kylie et Nalah qui avaient tellement bu qu'elles étaient à deux doigts d'avaler les bouteilles vides. Non sérieux vous avez vider tout l'alcool de la boite. Vous êtes malades !

Kendall : tu peux parler, on sait bien que vous allez faire pire. En tout cas écoute moi bien...

Je la regardais dans les yeux,
Et elle passait doucement ses mains sur mon torse,
Par dessus ma chemise.
Je souriais de toutes mes dents,
Avant de battre des sourcils.

Kendall : si jamais j'apprend que vous avez fais des folies, je vais te tuer Michael!

J'écarquilllais les yeux.

Moi : wesh elle t'as fais quoi Justine stp ?

Kendall : rien du tout, je te préviens c'est tout.

Moi : d'abord vous à votre soirée il y avait des strip-teaseurs, et pas la peine de mentir j'ai vu des vidéos.

Kendall : oui, mais nous on a le droit. Bref passe une bonne soirée mon amour.

Moi : sorcière !

Kendall : moi ? Pas du tout voyons...

Elle me caressais le visage,
Sans me quitter des yeux.

Moi : je t'aime mon amour...

Kendall : je t'aime aussi.

J'ai posé mes mains sur sa taille pour l'embrasser,
Mais ce petit bandit de Micky Jr il a commencé à pleurer.

Moi : t'as vu ? Il est jaloux de moi.

Killa se détachait de moi.

Kendall : il est malade mon amour, tu devrais le comprendre le pauvre petit bout de chou.

Je fronçais les sourcils,
Tandis que sa mère le portait.

En plus il me narguait du regard,
Et il l'a même embrasser sur les lèvres.
J'y crois pas !

Moi : mais !

Kendall : Non Micky...laisse le tranquille.

Moi : mais j'ai rien fais.

Saint : Maman ! Papa vilain !!

Moi : tu paie rien pour attendre, sale traitre !

Kendall : Michael !

Moi : mais c'est lui qui a commencé.

Il rigolait quelques secondes,
Avant de poser sa tête sur la poitrine de sa mère,
Et de s'amuser à passer ses mains dessus.

Kendall : on se demande d'où il tient ça...

Moi : oh c'est bon...tout de suite les grands mots. De toute façon t'as qu'à bien faire le malin ce soir petit bandit, parce que quand moi je rentre tu verra que je vais faire un autre bébé à ta mère comme ça tu ne seras plus le petit bébé.

Kendall m'a regardé dans les yeux sans rien dire.
Merde.

Moi : Killa je suis désolé, je ne sais pas ce qui m'a pris de dire ça. Putain...

Kendall : c'est pas grave.

Moi : je ne voulais pas te blesser, je te jure.

Kendall : c'est pas grave Micky. Tu devrais y aller, il ne faudrait pas faire attendre ton père.

Elle m'a embrassé sur la joue,
Avant de monter avec le petit.
Putain, j'aurais vraiment dû la fermer moi.

J'ai attrapé d'autres clefs de voiture,
En particulier celle qu'elle m'a offert à Noel.
Je suis monté à l'intérieur,
Et j'ai roulé en voiture jusqu'à chez mes parents.

Quand j'arrive le gardien me laisse entrer.
Je me gare et j'entre dans la maison.

Je vais directe dans le salon.
Mon père y est,
Il était en train de fumer un cigare,
Et de boire un verre de scotch.

Papa : enfin, te voila.

Je me suis assis.

Moi : tu voulais me voir.

Papa : qu'est-ce qui se passe dans ta tête en ce moment ? J'aimerais savoir.

Moi : oh c'est bon papa, c'est juste une semaine.

Papa : une semaine pour eux, et près de trois semaines pour toi.

Moi : et alors ? C'est quoi le problème ? J'avais des problèmes de famille, je n'allais pas repartir en tournée alors que ta petite fille était à l'hôpital.

Papa : elle est sortie de l'hôpital peu de temps après, tu aurais dû y retourner. Est-ce que tu sais ce que vos petits caprices me coûtent ?

Moi : attend t'es sérieux là ? C'est pour ça que tu me dispute ? Si tu veux je te le rembourse ton argent.

Papa : ne fais pas le malin avec moi, tu entend ? Je suis ton père et tu me dois un minimum de respect.

Je ne répondais pas,
Parce que si je le fais on va encore dire que je suis impoli,
Donc c'est mieux je ferme ma gueule.

Papa : un coup tu te comporte bien, et ensuite tu fiche tout en l'air. Je ne comprend pas, qu'est-ce que tu me cache ?

Moi : rien.

Papa : ta femme est revenue à la maison, ça prouve qu'elle a bien compris le message, alors c'est quoi le problème ? Pourquoi tu agis sans réfléchir ?

Je fronçais les sourcils.

Moi : qu'est-ce que tu as dis ?

Papa : tu m'as entendu.

Moi : tu as parlé de ma femme. Quel message ? Qu'est-ce que tu lui as dis ?

Papa : oh elle ne t'as rien raconté ? Elle me surprend de jour en jour, je pensais vraiment qu'elle serait venue te le dire.

Je serrais les poings.

Moi : qu'est-ce que tu lui as fais ?

Papa : rien de grave. Je lui ai juste expliquer que quand quelqu'un s'en prend à des membres de ma famille...c'est s'en prendre à moi.

Moi : attend tu l'as menacé ?

Papa : ce n'est pas le mot exact, disons que je lui ai fais un peu peur. Elle essayait de te séparer de tes enfants, il fallait bien que je fasse quelque chose.

Calme toi Michael.
Ne le tue pas, c'est ton père.

Moi : putain t'es sérieux ? Pourquoi t'as fais ça enfin ? Après tu t'étonne que je ne te dise jamais rien, mais regarde comment tu te comporte ? Tu ne peux pas acheter tout le monde avec ton argent, papa. Putain c'est la mère de mes enfants, comment t'as pu faire ça ? Qu'est-ce qu'elle va penser de nous ?

Papa : tu devrais me remercier. C'est grâce à moi qu'elle est revenue.

Moi : c'est pas grâce à toi, putain ! Elle est revenue parce qu'elle m'aime. Ça n'a rien avoir avec toi. Putain je suis dégouté....j'arrive pas à croire que tu es fais un truc pareil surtout que tu connais sa famille et que tu sais bien qui ils sont. Qu'est-ce qu'ils vont penser de nous maintenant ? Et moi qui pensais que tu avais changer...

Papa : tu baisse d'un ton quand tu me parle.

Moi : sinon quoi ? Qu'est-ce que tu vas me faire hein ? Me menacer ? Fais le, j'ai pas peur de toi.

Papa : Michael, tu baisse d'un ton.

Moi : t'as de la chance que ma mère m'ait appris le respect avant de mourir. Sinon je t'aurais frapper.

Il s'est levé.

Papa : écoute moi bien espèce de sale gamin ingrat. Je t'ai donné naissance, tu entend ? Tout ce que tu es aujourd'hui et tout ce que tu as aujourd'hui c'est uniquement grâce à toi. J'ai travailler très dur pour faire de toi ce que tu es maintenant, et il est hors de question que tu fiche tout en l'air, t'entend ?

Moi : tu ne t'approche plus de ma famille, t'entend ? Plus jamais. J'en ai rien à foutre de ton argent. J'ai travailler dur moi aussi. Je suis parti quatre ans et t'en avais rien à faire de moi. Je suis revenu et tu m'as exploité. C'est ma musique, d'accord ? Sans moi et mes potes aujourd'hui ton label il ne vaut plus rien !

Papa : Michael je vais te le répéter une dernière fois. Tu baisse d'un ton quand tu me parle. Je suis ton père !

Moi : tu étais mon père. Dès lors où tu te comporte de cette façon avec ma femme...tu ne mérite plus que je t'appelle mon père.

Je me suis barré,
Avant de tomber sur ma belle-mère dans le hall.
J'entendais toujours mon père m'appeler.

Maman : qu'est-ce qui se passe ?

Moi : t'as qu'à demander à ton mari. J'arrive pas à croire qu'il est fait ça à Killa.

Maman : oh, tu es au courant ?

Moi : alors tu le savais ? Comment t'as pu le laisser la menacer, enfin ?

Maman : j'ai essayé, mais tu le connais. Tu sais bien qu'il n'écoute que lui-même.

Moi : il me dégoute. Vous me dégoûtez tous.

Je suis sorti de la maison,
Et je suis monté dans ma voiture.
Mon père et sa femme m'appelaient,
Mais je ne répondait pas au téléphone.

Putain j'ai tellement honte que mon père ait fais ça.
J'arrive même pas à croire qu'il ait dit ça à Killa.
D'ailleurs je ne comprend pas pourquoi elle ne m'a rien dit.
Elle aurait dû me le dire.
Surtout que nos familles se connaissent très bien.

J'arrive chez French.
Vic ma rejoins ici,
Parce qu'on voulait parler à French sans que les autres ne le sachent.

Vic : ça va ? T'as l'air en colère !

Moi : je viens de me disputer avec mon père alors oui, je suis en colère !

Vic : qu'est-ce qu'il a fait cette fois encore ?

Vic connaît bien mon père.
C'est son bel-oncle,
Du coup il sait comment il fonctionne.

Moi : j'ai même pas envi de parler, ça m'a mis sur les nerfs de fou là ! J'ai juste envie que French me dise qu'il a de bonne nouvelles.

Vic : moi aussi. Justin est aussi tomber sur mon arme et c'est vraiment la merde. Je ne vas pas pouvoir lui mentir bien longtemps.

Je soufflais.

Moi : je sais c'est la même avec Killa, mais je ne veux pas qu'elle s'inquiète. Tout le monde pense que j'aime lui mentir mais ce n'est pas le cas. Je l'aime de tout mon coeur et j'en ai marre qu'elle ait à vivre dans la peur. Elle a le droit d'être heureuse après tout ce qui nous est arrivés depuis qu'on est ensemble. Ce connard n'a pas le droit de venir et de tout gâcher. Il n'a pas le droit de faire ça !

Vic : alors on fais quoi ?

French : le mariage approche, pour le moment il faut juste que tout se passe bien. Après ça je vous promet de mettre la main sur lui pour que vous puissiez enfin lui faire sa fête les gars. Je vous lâcherais pas...

Vic : trouve le nous ! Ça va beaucoup trop loin et j'en ai marre de devoir faire suivre ma femme partout où elle va comme si c'était un animal. Elle est enceinte, elle n'a pas besoin de tout ce stresse. Alors choppe les nous.

French : je vais le faire, c'est promis les gars.

Moi : bon on y va ? Les gars nous attendent et j'ai vraiment besoin de me détendre.

Vic : on y va, mais je t'ai à l'œil mon pote.

Moi : mdr t'es devenu comme Jaden toi ou quoi ?

Vic riait.

Vic : je suis là parrain de ton fils, alors ta femme m'a ordonné de te surveiller sinon elle mettrait Justine en colère et avec les hormones je veux pas de problème mdr.

French : bon, allons faire la fête.

Moi : ouais, j'ai besoin d'un verre. Ou d'une bouteille tient !

Vic : que ce soir le verre ou la bouteille, tu la bois à côté de moi bro. Ce soit on a interdiction formelle d'approcher des nana.

French : bah c'est ça d'être caser mdr. Vous inquiétez pas je vais m'amuser pour trois.

Moi : continue de me chercher toi.

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