Chapitre 27

...: maman ?

J'ai subitement ouvert les yeux,
Pour remarqué que je me trouvais en plein milieu du salon,
Complètement plongée dans le noir et assise sur un fauteuil.

J'ai immédiatement froncé les sourcils.
Mais qu'est-ce que je fais là ?
Je n'ai absolument aucun souvenir d'être venue ici.

Je tourne la tête,
Et c'est North qui est dans l'encadrement de la pièce.
Elle tenait son ours en peluche en main.

North : maman ? Tu m'entend ?

Je décrispais le visage,
Avant d'entrouvrir les lèvres.

Moi : oui, je t'entend North.

North : j'arrive plus à dormir maman, je fais un vilain cauchemar. Je suis allée dans ta chambre mais papa il dort et toi t'étais pas dans le lit. T'es restée ici ?

Je fronçais à nouveau les sourcils.
C'est bizarre, je ne sais même pas depuis combien de temps je suis ici.

Moi : je ne sais pas chérie.

Elle s'approchait doucement,
Avant de venir s'asseoir à côté de moi.

North : est-ce que je peux dormir avec toi maman ?

Moi : oui, on va aller se coucher avec papa.

North : non maman, moi je veux pas parler à papa.

Je la regardais.
Ça fait deux jours que Michael lui a dit la vérité,
Et North refuse de lui parler.
Elle lui fait vraiment la tête.

En ce qui me concerne vous me connaissez.
Je ne peux pas lui faire la tête bien longtemps.
Il s'est excusé, et j'ai compris que c'était assez délicat.
Je reste tout de même blessé qu'il ne m'en ai pas parlé.

Moi : ma puce, papa est vraiment triste que tu ne lui parle plus tu sais ?

Elle haussait les épaules.

North : je ne veux plus de lui.

Moi : mais tu ne peux pas dire ça Nori, parce que c'est ton papa.

North : mais il est méchant ! Il m'a dis un mensonge et c'est pas gentil.

Je lui caressais les cheveux.

Moi : je sais que tu es très triste que ton papa ai fait du mal à Killa, mais il ne l'a pas fais exprès je t'assure.

North : je suis fâchée contre lui.

Elle serrait les poings.
Bon...je préfère attendre qu'elle se calme d'elle même.

Moi : tu veux je je t'accompagne dans ta chambre ? Je pourrais rester avec toi jusqu'à ce que tu t'endorme.

North : est-ce que je peux dormi avec papa et toi mais pas à côté de papa s'il te plait ?

Moi : d'accord, viens.

Je lui ai pris la main,
Et on est remonté à l'étage.

Quand on est arrivé dans la chambre,
J'ai vu qu'il était deux heures du matin.
Comme ça se fait qu'à deux heures du matin je me sois retrouvée dans le salon ?
C'est vraiment bizarre en fait.

Avec North on s'est couché,
Et comme elle ne voulait pas dormi au milieu j'ai dû le faire.
Michael s'est réveillé, et il m'a serrer contre lui.

Mais North de l'autre côté à attraper ma main,
Pour ne pas que je m'éloigne d'elle.
Ils ont vraiment le même caractère tous les deux.

Michael s'est redressé les sourcils plissés,
Avant d'ouvrir les yeux et d'allumer la lampe de chevet,
Pour voir que North était là aussi.

Michael : quelle heure il est ?

Moi : deux heures du matin.

Michael : t'étais où ? On dormait pourtant tous les deux...

Alors ça veut dire que j'étais en train de dormir avec lui d'abord,
Du coup pourquoi je me suis retrouvée dans le salon ?
Avouez que c'est vraiment pas net quand même...
Bref.

Moi : Elle a fait un cauchemars.

Michael : Princesse...tu viens dormir avec papa ?

North : non je veux pas de toi !

Michael : s'il te plait princesse, papa est désolé.

North : t'es un menteur !

Michael : je sais, et je suis triste que tu m'en veuille. J'aimerais beaucoup te prendre dans mes bras tu sais ? En plus je te promet de te serrer tellement fort que tu ne vas faire que des merveilleux rêves de princesse.

Elle écarquillait les yeux.

North : c'est vrai ?

Michael hochait la tête.

Michael : je te le promet.

North : alors je viens juste pour que tu me protège des cauchemars, parce que je suis fâchée contre toi !

Elle avait dit ça d'un ton ferme.
Michael à hoché la tête,
Puis North et moi on a changé de place.

Son père la serré contre lui,
Et elle n'a même pas mis plus de cinq minutes à s'endormir.
C'est de la magie !

Je me suis mise à sourire,
En les regardant.
Michael s'était rendormi aussi,
Et ils sont vraiment mignons.

J'ai éteins la lampe de chevet,
Ensuite j'ai fini par m'endormir à mon tour.

[...]

Ce matin je suis allée à la salle de gym avec Kylie.
On avait décidé ça depuis longtemps,
Du coup après avoir déposer North à l'école je m'y suis rendue.

On a fait plusieurs exercices,
Et honnêtement j'étais épuisé.
Je crois même que j'ai des courbatures.
C'est horrible, son coach c'est le pire.
Plus jamais.

Je suis revenue à la maison,
Et je me suis garée.
Je transpire comme un porc,
Du coup il faut que j'aille prendre une douche,
Et c'est ce que j'ai fais.

Quand je suis sortie de la salle de bain,
Michael était dans la chambre.

Michael : hey, t'es rentrée. C'était bien ?

Moi : j'ai des courbatures de partout, c'est horrible.

Il s'approchait de moi,
Avant de poser ses mains sur ma taille,
Puis de me faire un câlin.

Michael : tu veux que je te masse ?

Moi : tu ferais ça ?

Michael : je ferais n'importe quoi pour toi.

Je me suis mise à sourire timidement.

Michael : mais euh j'ai une question.

Moi : je t'écoute.

Michael : t'es toute nue sous ce peignoir ?

Moi : Micky !

Michael : mais quoi ? Je demande, j'ai le droit.

Moi : tu n'es qu'une pervers,

Michael : et fier de l'être.

Je roulais des yeux.

Moi : tu n'es vraiment pas croyable.

Michael me prenait la main.

Michael : allez, bienvenu dans ton salon de massage privé mon amour.

On s'est dirigé vers le lit,
Et il m'a demandé de m'allonger sur le dos.

Il a prit de l'huile de massage,
Puis il est venu se placer au dessus de moi.

Michael : il va falloir que tu retire ce peignoir mon amour.

Je me suis mise à rougir.
Heureusement qu'il ne voit pas mon visage.

Moi : n'en profite pas.

Michael : tu sais très bien que je vais en profiter.

Il a fait descendre mon peignoir jusqu'au bas de mon dos,
Avant de commencer à me masser le dos.
C'était plutôt agréable.

Michael : tu crois que North m'a pardonné ?

Moi : je ne sais pas, mais c'est en bonne voix.

Michael : j'espère.

Moi : tu sais j'ai réfléchis et je me suis dis que finalement, ce serait mieux que je laisse Saint ici quand je pars la semaine prochaine.

Michael : pourquoi tu ne veux plus l'amener avec toi ?

Moi : Lauren a changé mon emploi du temps, du coup j'aurais un peu plus de boulot et ça ne va pas être évident de pouvoir le garder en même temps comme je l'avais prévu. Mais ce n'est pas grave parce que comme la dernière fois Jane va rester ici pour s'occuper des enfants en mon absence.

Michael : Jane ? Je pensais que c'était Ashlee qui le faisait ?

Moi : oui mais à la dernière minute il y a eu un changement.

Michael : donc elle va rester dormir à la maison comme la dernière fois ?

Moi : oui. Ça ne te dérange pas j'espère ?

Je l'ai entendu glousser,
Avant qu'il ne me réponde.

Michael : non bébé, ça ne me dérange pas t'en fais pas.

Moi : tant mieux. Elle est vraiment bien, tu ne trouve pas ?

Michael : c'est vrai qu'elle est plutôt bien.

Il continuait de me masser,
Ensuite je l'ai senti descendre ses mains jusqu'au commencement de mes fesses.

Michael : je devrais masser par là aussi...

Il ne m'a même pas laissé répondre,
Qu'il a directement retirer mon peignoir en intégralité.
Je me suis retournée en écarquillant les yeux,
Et lorsqu'il s'est mis à regarder mon corps j'ai rougis.

Il m'a fait un clin d'œil,
Avant de s'allonger au dessus de moi et de m'embrasser.
Bien évidemment, j'ai répondu à son baiser.

Il s'approchait de mon oreille,
Commençant à en mordiller le lobe.

Michael : j'ai envi de toi.

Il avait dit ça d'une voix roque et sexy,
A tel point que je me suis mise à frissonner.
Il a commencé à se moquer de moi,
Du coup je lui ai donné une tape.

Moi : idiot !

Michael : tu es magnifique.

Moi : n'essaye pas de m'amadouer.

Il passait ses mains un peu partout sur mon corps,
Et je n'arrêtais pas de gigoter.

Michael : je ne t'amadoue pas bébé.

Il a recommencé à m'embrasser,m
Et le baiser devenait de plus en plus féroce.
Il m'a serré fort contre lui,
Et c'était assez gênant parce que je pouvais sentir son érection contre moi.

Michael : tu le sens ? Mon anaconda meurt d'envie de pouvoir déguster chaque moindres recoins de ton intimité bébé.

Moi : Micky...tu me gêne.

Michael : arrête d'être aussi timide bébé, c'est une chose qu'on fait depuis des années tu ne devrais même plus rougir autant.

Moi : laisse moi.

Michael : je t'aime.

Il me regardait dans les yeux.

Moi : je t'aime aussi.

Il commençait à embrasser la peau de mon cou,
Puis à me faire des suçons au même endroit.
Des petits soupirs de plaisirs s'échappaient de mes lèvres.

Il s'est mis à embrasser ma poitrine,
Et je gémissais.
Il a commencé à se déshabiller.

La tension montait rapidement,
Et nos baisers se faisaient de plus en plus féroces et sauvages.

Michael a retiré son pantalon,
Puis il s'est placé entre mes cuisses.

Michael : j'espère que tu es prête bébé, parce que mon anaconda a très très faim aujourd'hui.

Il me regardait toujours dans les yeux,
Et je n'ai même pas eu le temps de réagir qu'il s'est introduit en moi.
Je me suis mise à agripper les draps avec mes doigts,
Tandis que lui commençait à entamer des coups de bassin.

Au début il était plutôt lent,
Ensuite c'est devenu doux,
Puis un peu plus rapide, mais sans être brutale.

Et je ne sais pas pourquoi,
Mais je n'arrêtais pas de gémir.

Michael : si tu continue de gémir comme ça bébé, on risque de passer toute la journée au lit et tu me connais bien pour ça.

Croyez-moi, il est sérieux.
Il serait vraiment capable de me garder dans ce lit pendant une journée entière.
C'est ce qu'il a fait le deuxième jour de notre lune de miel.

Il continuait ses coups de reins,
Un peu plus profond à chaque mouvement de bassin.

Michael : bébé moins fort....j'adore savoir que je fais du bon boulot, mais on est pas tout seuls à la maison.

Je hochais la tête gênée,
Et il s'est mis à embrasser ma poitrine à nouveau.

Tout à coup,
On a entendu quelqu'un cogner.
Michael s'est raidit d'un coup,
Avant de lâcher un gros râle de mécontentement.

Michael : putain !

Il fronçait les sourcils,
Avant de se retirer de moi.
Je le regardais.

Michael : qu'est-ce que c'est ?

... : excusez-moi de vous dérangez monsieur, c'est Jane. Le petit n'arrête pas de pleurer, et il veut voir sa mère.

Michael : ça ne peut pas attendre ?

Bizarrement je n'entendais pas mon fils pleurer au début.
Ce n'est qu'après un petit bruit sourd que je l'ai entendu pleurer.

Michael m'a regardé,
Comme s'il attendait que je me décide.
Il regardait en direction de la porte.

Michael : ça arrive de pleurer, il va se calmer !

Moi : Micky !

Michael : mais c'est vrai, c'est un bébé donc il pleure forcément. Elle n'a qu'à lui donner son biberon et il va se calmer. Ou alors elle lui change sa couche j'en sais rien moi.

Jane cognait encore à la porte.

Jane : C'est qu'il pleure vraiment beaucoup, et je ne voudrais pas prendre le risque qu'il tombe malade.

Dès qu'elle a dit ça,
Ça m'a fait réagir.

Moi : je vais le prendre.

Michael : mais-

Moi : Micky, tu arrête de faire le bébé !

Il s'est mis à bouder,
Et moi je pouffais de rire.

Moi : une seconde Jane, je vais le prendre !

J'ai rapidement enfilé un de ses t-shirt,
Puis j'ai enfilé mon peignoir.

J'ai ouvert la porte,
Et Jane était juste devant avec le petit.
Il était tout rouge, et bizarrement il pleurait comme s'il avait mal quelque part, et non comme s'il avait faim ou je ne sais quoi.

Dès qu'il m'a vu il a tendu les bras.
On aurait dit qu'il était pressé de quitter les bras de Jane.
Il la regardait comme si elle lui avait fait quelque chose.

Moi : il a prit son biberon ?

Jane : oui, et sa couche est propre aussi.

Moi : c'est bizarre, d'habitude il ne pleure jamais comme ça.

Mon fils est comme North,
C'est un enfant plutôt calme.

Il accepte tout le monde,
Et il ne pleure pas pour rien.

Juste quand il a faim,
Ou s'il veut dormir ou qu'on lui change sa couche.
Ou alors il a mal quelque part.

Jane : C'est justement pour cette raison que je suis venue vous voir.

Je commençais à calmer le petit,
Avant de descendre avec lui.

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