Chapitre 68
Je viens de finir un de mes shooting pour la marque "PENSHOPPE", et c'est Michael qui est venu me chercher. Il voulait qu'on passe un moment ensemble, et bien sure j'ai dis oui.
Il s'approche de moi et me serrait contre lui, avant de poser ses lèvres sur les miennes, je souriais, puis il m'embrassait.
Je répondais instantanément à son baiser.
Michael : c'était bien ?
Moi : mmh. J'ai faim.
Michael : tu veux qu'on aille manger, bébé ?
Moi : oui, s'il te plait.
Il souriait.
Michael : comme tu veux, mon amour.
Il attrapait mon sac à main, et me tenait la main.
Nous nous dirigions vers sa voiture.
Il est trop mignon.
Il m'a ouvert la portière, et lorsque je suis montée il a refermer celle-ci avant de faire le tour pour monter à son tour.
J'ai mis ma ceinture de sécurité.
Michael : tu veux manger où ?
Moi : hum...je ne sais pas.
Michael : on va improviser.
Moi : oui!
Il démarrait, puis posait sa main sur ma cuisse.
Je frissonnais aussitôt.
Michael : tu sens bon. Ton parfum a envahit toute la voiture.
Moi : merci bébé. C'est un parfum pour une des marques avec lesquelles je travaille en ce moment.
Michael : il te va bien. Et en parlant de ça, comment ça se passe ?
Moi : oh tu sais, ça se passe bien. J'ai beaucoup de propositions intéressantes, ça me surprend moi même.
Michael : je suis content pour toi bébé. Tu es magnifique.
Moi : et toi tu es adorable.
Il me fit un clin d'œil.
Michael : et sinon, tu as reparlé à ta mère ?
Moi : pas encore.
Michael : tu devrais aller lui parler, Killa...
Moi : je sais, et je vais le faire c'est promis ! Mais pas maintenant. Et puis je suis bien chez mon père.
Michael : peut-être, mais là je ne peux pas voir mon petit Rayan. Je l'adore ce petit, c'est fou.
Je pouffais de rire.
Moi : oh il t'aime beaucoup lui aussi, tu sais ? Il veut tout le temps que tu vienne à la maison. Et puis regarde ! En une seule après midi tu lui a appris à faire du vélo. Et à deux roues en plus.
Il souriait.
Michael : c'est un super gamin.
Moi : c'est vrai qu'il est chouette.
Michael : quand on aura nos propres gamins, je ferais tout pour être le meilleur père qui soit. Je veux qu'ils aient tout ce que moi, je n'ai pas pu avoir. Tu comprend ?
Moi : mmh. Mais tu nous vois avec des enfants ?
Michael : évidemment. Je vois bien des petits Killa et des petits Michael partout dans la maison.
Moi : bah dis donc !
Michael : je te jure. J'en veux pleins, un dizaines au moins.
Moi : t'es pas sérieux là, si ?
Michael : bah quoi ? Il faut bien que je laisse beaucoup d'hériters.
Il caressait ma cuisse.
Michael : et puis ça me permettra de te faire souvent l'amour.
Moi : t'es un vrai cochon !
Michael : je suis un homme bébé, tu ne peux pas m'en vouloir.
Moi : mais bien sûre.
Michael : regarde ce restaurant ma puce, il a l'air bien non ?
Il pointait du doigt un petit restaurant sympa, en plein Venice Beach.
Il a l'air bien.
Moi : oui, on devrait y aller.
Michael : ok, je me gare.
Il stationnait la voiture sur le parking, et descendait pour m'ouvrir la portière. Mais quel gentleman ce garçon, dis donc.
Il m'a tenue la main, et on est entré dans le restaurant.
Michael a appelé un serveur, et il lui a demandé de nous avoir la meilleure table du restaurants si elle était libre. Ce dernier lui a répondu qu'il y avait une excellente table pour les amoureux à l'étage, alors c'est là qu'on est allé.
La table était vraiment bien située.
On avait une très belle vie.
Michael : merci.
Il me retirait ma chaise et me laisse m'asseoir, avant de l'ajuster.
Je souriais.
Moi : tu es un amour.
Michael : tu mérite beaucoup mieux que ça.
Moi : non.
Je lui tirais la langue.
Moi : c'est toi qui mérite beaucoup mieux que ça.
Michael : ne dis plus jamais ça mon amour, d'accord ? C'est toi la meilleure, et tu sais pourquoi ? Parce que tu es parfaite pour moi.
Je me suis mise à rougir.
Il posait sa main sur la mienne et s'amusait à me caresser.
Ça me faisait encore plus frissonner.
Le serveur est arrivé, et il a prit nos commandes.
Moi : Micky tu sais, je suis au courant.
Il fronçait les sourcils.
Michael : au courant de quoi ?
Michael : de ce que tu as fais à Justin.
Il soufflait, puis détenait le regard.
Je savais qu'il m'avait menti.
Il savait que j'allais l'en empêcher.
Donc il a préféré agir dans mon dos.
Moi : tu aurais vraiment pu le blesser.
Michael : je sais, et j'aurais dû.
Moi : t'as pas le droit de dire ça, et tu le sais.
Michael : il méritait une bonne correction, alors je la lui ai donné. Et puis ça va, je l'ai à peine toucher.
Moi : " à peine "? Tu as faillit lui casser le nez.
Michael : arrête bébé, il va bien.
Je roulais des yeux.
Michael : mais encore heureux.
Moi : hum.
Michael : écoute bébé, on est là pour passer un bon moment en amoureux, donc on ne parle que de nous, et rien d'autre, d'accord ?
Moi : d'accord.
Il m'embrassait.
On nous a rapporté nos repas, et on à manger tout en discutant.
On parlait de nous,
De sa musique.
De pleins de choses en fait.
C'était génial.
Après il a payé, puis on est reparti dans sa voiture.
Michael : on va chez moi ?
Moi : oui, si tu veux.
Il hochait la tête, et conduisait en direction de chez lui.
Quand on est arrivé, il a gare la voiture puis on est entré dans la maison.
Il n'y avait pas de bruit, je crois qu'il n'y a personne.
On montait dans sa chambre, et je me suis assise sur son lit tandis qu'il retirait ses chaussures, assis au sol.
Moi : tu t'es acheté une nouvelle basse ?
Vous savez, c'est le truc des beatmakers.
Michael : oh oui. Elle est plus performante et donc plus adapté à ce que je fais.
Moi : je vois, c'est cool.
Michael : je t'apprendrai en faite, je suis sure que tu serais douée.
Moi : tu crois ?
Michael : mais bien sure voyons ! Tu es Killa !
Il se relevait, et s'approchait doucement de moi.
Il se baissait ensuite à mon niveau, commençant à m'embrasser.
Je répondais àson baiser.
Il s'allongeait ensuite au dessus de moi, commençant s embrasser la peau de mon cou. Je soupirais, et passais mes mains sur son dos pour le caresser,
Michael : je t'aime mon bébé.
Je souriais,
Sa voix 😻
Moi : je t'aime aussi.
Il commençait à balader ses mains partout sur mon corps, sans cesser de m'embrasser pour autant. Il a ensuite commencer à me retirer mes vêtements, et je ne montrais aucun désaccord avec ça.
Je l'ai déshabillé a mon tour et lorsqu'on fut nue tout les deux il s'est rallongé à côté de moi, en m'écartant les cuisses.
Je rougissais de gêne.
Michael : ne rougis pas, mon amour. Tu ne dois pas être gêné. Ce n'est que moi.
Je hochais la tête, et il m'embrassait tout en commençant â s'introduire lentement en moi, je gémissais doucement, et quand il s'enfonçait totalement je me suis agrippée à lui, déposant des baisers sur son cou.
Il entamait des mouvements de bassin, et je gémissais encore plus.
Il me fait complètement perdre le contrôle de moi même,
C'est fou.
Après quelque minutes, j'ai senti que il avait venir.
D'ailleurs, moi aussi mon orgasme commençait à pointer le bout de son nez.
J'ai donc agrippé les draps, et nous sommes tous les deux venus au même moment.
C'était l'extase totale.
En plus mon orgasme il s dure longtemps.
C'était le meilleur de toute ma vie.
Wow 😍
Il se laissait ensuite allé en moi quelques minutes plus tard,
avant de se laisser basculer de l'autre côté du lit.
Il était essoufflé et en sueur.
Moi aussi.
Je commençais à passer ma main sur son torse.
Michael : je t'aime.
Je souriais, puis posait ma tête sur son torse.
Il me caressait les cheveux.
Moi : je t'aime aussi, mon coeur.
Je sais qu'il est en train de sourire.
Je le sens.
Après ça on s'est endormie, puis je me suis réveillée deux heures après lorsque mon téléphone s'est mis à sonner. Il était posé sur la table de chevet, alors j'ai répondu sans même regarder qui est-ce que c'était. J'avais les yeux encore endormie.
- allo ?
- Kenny ?
C'est la voix de Kaia.
- Kaia ?
- oui c'est moi. Excuse moi de te déranger mais est-ce que tu peux venir me chercher ? Ça fait une heure que j'attend maman mais elle n'est pas là.
- comment ça ? Ou est-ce que tu es ?
Je sentais Micky bouger dans le lit, à côté de moi.
On dirait que je l'ai réveillé.
- je suis au lycée.
- d'accord, j'arrive tout de suite.
- super ! Merci beaucoup.
Je raccrochais, et Michael ouvrait doucement les yeux avant de me regarder.
Je souriais.
Il est trop chou!
Michael : qu'est-ce qui se passe ?
Moi : c'était ma soeur, elle veut que je passe la prendre parce que ma mère n'est pas allé le faire.
Il fronçait les sourcils.
Michael : elle est où ?
Moi : elle m'a dit qu'elle était au lycée.
Michael : habillés-to et on y va.
Moi : hum.
Il est sorti du lit pour aller dans la salle de bain, et moi j'ai ramassé mes vêtements au sol, plus les remettre. Je me suis aussi arrangé les cheveux, puis j'ai remis vite fais du rouge à lèvre. Michael ressortais au même moment, tout habillé lui aussi.
Il prit ses clés de voiture, et il a directement commence à rouler.
Lorsque je suis arrivé à l'école de ma soeur qui s'avère être mon ancien lycée, elle était la debout contre un poteau. Il n'y avait presque personne.
À peine dix élèves.
Elle s'approchait de nous, avant de monter à l'arrière.
Je me tournais vers elle.
Moi : tout va bien?
Kaia : oui ça va. Merci d'être passer me prendre Michael.
Michael : mais de rien ma jolie.
Moi : pourquoi maman n'est pas venue te chercher ?
Kaia : je ne sais pas. Elle a peut être oublié.
Moi : mais est-ce que tu l'as au moins appeler ?
Kaia : oui. Je l'ai appelé plusieurs fois mais ça ne répond pas. Et comme je ne voulais pas embêter papa j'ai préféré t'appeler toi.
Moi : c'est bizarre, ça ne lui ressemble pas de faire ce genre de chose.
Kaia : oui, je me suis dit la même chose. Mais ce n'est pas grave.
Moi : mmh.
Michael posait sa main sur ma cuisse, et ma soeur nous regardait en fronçant les sourcils. Elle n'est pas encore au courant, en fait.
Je pouffais de rire avant de me retourner, et Michael commençait à conduire.
Nous allons en direction de chez moi.
Le trajet en voiture était assez calme.
Il y avait de la musique, et on discutait de temps en temps.
Quand on est arrivé, Michael s'est garé.
Kaia ouvrait la portière.
Kaia : merci beaucoup !
Michael : de rien. Passes une bonne fin de journée.
Kaia : merci, toi aussi.
Moi : attend deux secondes, je descend avec toi.
Kaia : ok.
Elle commençait à descendre, et je maporochais du visage de Michael.
Moi : je reviens dans deux minutes, mon amour.
Michael : ok bébé. Fais vite.
Moi : t'inquiète pas.
Je souriais, et il embrassait mes lèvres.
Quand je suis descendue de la voiture, ma soeur me regardait les bras croisés.
Kaia : euh...tu m'expliquer ?
Je la prenais par les épaules.
Moi : disons que lui et moi on...
Kaia : vous sortez ensemble ?!
Moi : oui, depuis quelques jours.
Kaia : mais c'est super ça ! Oh mon Dieu je suis trop contente.
Moi : ahaha merci petit monstre.
On allait jusqu'à l'entrée, et on nous a ouvert la porte.
C'était la nounou de Rayan.
Moi : bonjour.
Kaia : maman est la ?
Elle : elle avait une grosse migraine, ça doit faire plus de deux heures qu'elle dort à l'étage.
Moi : c'est vrai ?
Elle: oui mesdemoiselles. Et elle à demander à ne pas être déranger. Sous aucun prétexte!
Moi : c'est bizarre.
Kaia : ce doit être à cause du stress dû aux différents vols qui ont eu lieu ici...
Moi : surement.
Kaia : c'est vrai qu'elle n'est pas mal sur les nerfs à cause de ça.
Moi : mmh. D'ailleurs il faudrait que je lui parle.
La nounou s'éloignait.
Kaia : dis, ce que tu as dis la dernière fois à propos de Kris. Est-ce que c'était vrai?
Moi : bien sure que c'est vrai. Je l'ai vu, et il m'a même menacé de ne rien dire. Mais maman ne me crois pas, comme toujours !
Kaia : moi je te crois.
Je souriais.
Moi : au moins toi, tu me crois toujours.
Kaia : j'essaierais d'en parler à maman. Si il a vraiment quelque chose à y voir il faudrait vraiment qu'on fasse attention.
Moi : c'est ce que je te dis tout le temps.
Kaia : c'est bien vrai!
Moi : j'en parlais au père de Kylie, peut être que lui arrivera à résonner sa soeur parce que moi, je n'y arrive visiblement pas.
Kaia : peut être que c'est une bonne idée. Mais bon, laisses-moi lui parler d'abord et si elle ne répond rien, tu lui en parle.
Je hochais la tête.
Moi : ça marche.
Kaia : tu reviens quand à la maison ?
Moi : bientôt.
Kaia : ok.
Moi : je fais un coucou à Rayan et ensuite j'y vais.
Kaia : d'accord, merci d'être passé me prendre Kenny !
Moi : mais c'est normal ma chérie. Je t'aime.
Kaia : je t'aime moi aussi.
Je souriais, puis me dirigeais dans le salon.
Mon petit frère regardait les dessins animé.
Moi : coucou !
Il tournait doucement la tête à l'entente de ma voix, et entrouvrait les lèvres.
C'est vrai que ça fait un moment qu'on ne s'est pas vu.
Rayan : Kenny-Kenny !
Il sautait du fauteuil pour me foncer dessus.
Je riais, et lui embrassais les deux jours.
Rayan : tu m'as manqué ! T'étais où ? Kaia a dit que tu étais chez ton papa parce que tu t'ennuyais à la maison.
Moi : c'est pas exactement ça. Disons que j'ai eu quelques petits problèmes avec ton papa.
Rayan : Oh.
Je lui embrassais le front.
Rayan : moi je l'aime pas papa ! Il est méchant, et il ne veut jamais jouer avec moi.
Il semblait triste.
Moi : je dis pas ça Rayan. C'est pas bien.
Rayan : pourquoi ?
Moi : parce que malgré tout, c'est ton papa.
C'est justement cette raison qui me fait faire des efforts.
Mais cet homme m'insupporte.
Rayan : ok. Tu vas repartir ?
Moi : oui je dois y aller poussin, Micky m'attend dans les voitures.
Elle écarquillait les yeux.
Rayan : Micky est dehors ?! Je veux le voir !! Je veux le voir!
Il commençait à s'agiter dans tous les sen.
Je rigolais face à la scène.
Rayan : s'il te plait Kenny-Kenny je veux juste lui dire bonjour.
Moi : bon, d'accord. Mais rapidement.
Il me sautait au cou, et on est sorti de la maison.
Direct quand Michael il a vu qu'il était avec moi,
Il à couper le contact,
Puis il est descendu de la voiture lui aussi.
Il s'avançait vers nous,
Et mon petit frère à commencer à courir.
Michael s'est donc accroupi pour pouvoir le prendre dans ses bras.
Rayan : Micky !!
Michael : alors champion ? Comment tu vas ?
Il lui ébouriffait les cheveux.
Ça le faisait rire encore plus.
Ah, les enfants...
Rayan : ça va super bien. Je suis fort comme Hulk, regarde !
Il lui montrait ses petits muscles.
Ils sont adorables.
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top