Chapitre 35
- Narration : Michael -
Comme les autres ont fini leur semaine de partiels, les filles ont décidé s'organiser une fête avec tout le monde chez Mike. Bien évidemment, j'ai accepté d'y aller.
Depuis que j'ai été pris par mon père et son ami, je suis souvent au studio.
Ils ont aime deux de mes nouvelles chanson, et vous ne savez pas à quel point est-ce que je suis heureux. Je bosse dure pour ma musique, et je veux qu'elle plaise.
Seulement je sais que si mon père a accepté, c'est uniquement parce que ça a plu à son ami. Mais ce n'est pas grave, je me battrais coûte que coûte en donnant le meilleur de moi-même pour qu'il finisse de lui même par aimer mon travail.
Je veux qu'il soit fier de son fils, et qu'il me produise parce qu'il en a envi, et non parce que quelqu'un le lui propose.
Bref la je suis en train d'arriver devant chez Mike.
Je me gare là où je trouve une place, puis je descend rapidement de la voiture.
C'est calme à l'extérieur, mais les voitures sont là donc les gens sont à l'intérieur.
Je sonne, et c'est Mike lui même qui m'ouvre.
Il a un verre de champagne dans les mains.
Moi : Yo!
Mike : Michael, entres!
J'entre et il referme la porte derrière nous.
La musique bat son plein, ça boit, ça discute, ça fume et ça danse.
En gros, la même ambiance que d'habitude.
Mike : ça va mec ? Ça fait un petit moment déjà.
On se tchequait.
Moi : je sais, c'est juste que j'étais pas mal occupé ses derniers temps.
Mike : donc c'est un peu une fête pour toi.
Je haussais les épaules.
Moi : si on veut.
Quelques garçons était assis sur les canapés en train de fumer des joints, et bien évidemment je les ai rejoins.
Breezy : ah enfin t'es la.
Moi : tu me cherchais ma poule ?
Breezy : Eww...m'appelle pas comme ça. Je suis pas gay.
Jason : t'es sure?
Adrian : j'avoue on a des doutes.
Breezy : allez vous faire foutre.
Tyga : tu veux une bière bro?
Il s'adressait à moi.
Je hochais la tête et il me lançait une cannette de bière que j'attrapais rapidement,
Sammy : sinon, quoi de meuf ?
Moi : bof rien et toi ?
Sammy : rien de précis, je bosse sur de nouvelle chanson.
Thug : t'étais pas censé nous faire écouter?
Moi : c'est vrai ça!
Sammy : je vais le faire.
Adrian : mdr pourquoi ta nana te colle comme ça ?
Il faisait allusion à Stassie, qui était assise sur les jambes de Sammy.
Apparemment, ils sortent ensemble maintenant.
Mais bon je suis pas surpris non plus.
Stassie : ta gueule toi.
Adrian : pourquoi tu rage ?
Stassie : je rage pas.
Travis : t'es chiant.
Yachty : et c'est que maintenant que tu t'en rend compte ?
Moi : mdr.
Taco me passait le joint, et je fumais avec le plus grand des plaisirs quelques taffes avant de faire tourner.
Après les autres sont allés un peu partout, et je suis resté avec Yachty.
Jusque là, je n'ai pas encore vu tout le monde.
Moi : c'est qui qui mixe ?
Yachty : Killa, je crois.
J'écarquillais les yeux.
Moi : t'es sérieux ?
Yachty : bah ouais, c'est elle le dj mdr. Pourquoi ? T'avais prévu de la mixer ce soir aussi.
Moi : t'es con.
Yachty : bah quoi ? C'est ce que vous faite.
Moi : non.
Yachty : bah si. Tu baise avec elle, c'est ce que tu m'a dit.
Moi : ne parle pas de Killa comme ça.
Yachty : je répète juste ce que tu as dis.
Moi : ce n'est pas ce que j'ai dis.
Yachty : qu'est-ce que tu as dis alors ?
Je soufflais, et ouvrais le sachet de weed pour en mettre un peu dans le grinder, commençant à le tourner petit à petit pour que l'herbe soit broyé afin de faciliter les choses quand je vais rouler.
Moi : j'ai dis que c'était juste du sexe.
Yachty : tu as dis baisé!
Moi : donc je me suis mal exprimé.
Yachty : donc vous avez pas baiser ?
Moi : pourquoi tu me fais chier, comme ça ?
Il haussait les épaules en riant, tout en me passant un toncar qu'il venait de faire pour moi. Je le remerciais et le prenais pour le placer sur la feuille dans lequel j'avais mis la weed préparée plus tôt, pour enfin pouvoir rouler ce fameux joint.
Yachty : j'aime bien t'emmerder avec ça.
Moi : bah lâche moi.
Yachty : pourquoi ? Je croyais que j'étais ton conseiller Perso.
Je secouais la tête, désespéré.
Cet enfant ne changera donc jamais.
Moi : tu rêve.
Yachty : non mais sérieusement, vous en êtes où ?
Je soufflais.
Si je ne lui parle pas, il va pas me lâcher.
Moi : on est nulle part, Miles.
Yachty : appelle moi Yachty!
Moi : mais Miles c'est ton prénom.
Yachty : tu aimerais que je t'appelle par ton premier prénom, c'est à dire Rakim?
J'ai tout de suite arrêter de rire.
Je déteste mon prénom, j'ai toujours voulu qu'on m'appelle par mon second prénom, c'est à dire Michael.
C'est mieux.
Moi : C'est bon, Yachty.
Yachty: voila qui est bien. Donc...depuis la il se passe plus rien ?
Je soufflais.
Moi : pour être honnête avec toi...
Mon joint roulé, je sortais un briquet de ma poche et l'allumais.
Yachty : ouais ?
Moi : je l'évite un peu en ce moment.
Yachty : mdr déjà? Pourquoi ?
Lui il rit de tout et riant.
Il est fatiguant.
Moi : c'est assez embarrassant à dire.
Yachty : tu peux tout dire à papa, je t'écoute.
Je grimaçais.
Il est vraiment atteint en fait, ce gosse.
Je crois que la weed lui monte au cerveau a celui-là.
Moi : bah la dernière fois on a failli le faire...
Yachty : une troisième fois? Bah putin!
Moi : hé! Cries pas.
Yachty : désolé. Continue...pourquoi vous l'avez plus fait?
Moi : je..
Yachty : tu ?
Moi : je me suis endormi.
Il me regardait avec des yeux ronds avant d'éclater de rire à tel point qu'il se retrouvait en larme à même le sol. Les autres se sont tournés vers nous.
Taco : il a quoi celui-là, encore ?
Moi : il trippe, il a trop fumé.
Travis : comme d'habitude, quoi!
Je poussais légèrement Yachty avec mon pied pour qu'il se calme.
Moi : t'es vraiment con, arrête.
Il se relevait difficilement, et essuyait ses larmes.
Il était toujours mort de rire ce petit bouffon.
Yachty : attend...t'es pas sérieux là! Comment ça tu t'es endormi?
Moi : j'étais complètement bourré, et défoncé aussi.
Yachty : c'est pas une raison, bon sang! Mec, ta fierté en a pris un coup, là. Sérieux, elle va plus jamais te prendre au sérieux après ça.
Je fronçais les sourcils.
Merde.
Moi : je dois faire quoi, du coup ?
Yachty : va lui parler...et essaye de trouver un truc pour récupérer ta signifie dignité parce que franchement, tu l'as perdu comme un triple amateur.
Moi : arrête de me traiter d'amateur.
Yachty : ce n'est pas ce que tu es ?
Moi : t'es chiant.
Yachty : non mais sérieusement mec, si j'étais à ta place j'irais lui parler maintenant. Putin, j'ai honte pour toi.
Je lui tapais la tête.
Moi : vas te faire foutre.
Yachty : va lui parler.
Moi : maintenant ?
Yachty : bah oui.
Il me poussait littéralement.
Moi : c'est vraiment parce que tu me fais chier que je le fais.
Je me levais, et lui aussi.
Je lui tendais le joint, et il glissait quelque chose dans ma poche.
Moi : c'est quoi ?
Yachty : des capotes. Vu comment vous avez pris l'habitude de "discuter", tu en auras besoin.
Moi : t'es vraiment pas croyable en fait, je dois arrêter de traîner avec toi.
Yachty : je t'aime aussi ma poule, allez files.
C'est donc avec le plus grand des calmes que j'ai décidé de faire comme il a dit.
Sur ce coup j'ai pas du tout assuré.
Comment j'ai pu m'endormir ?
Merde.
Kendall était en effet derrière la table de mixage, avec Daniel.
Elle portait un bandeau noir en guise de haut, et une jupe en cuir.
Elle était légèrement maquillé d'un rouge à lèvre noir, et elle avait deux couettes de lycéenne dans les cheveux (voir photo).
Sexy.
- Narration : Kendall -
... : Killa ?
Rien qu'à l'entente de cette voix, j'ai eu un large frisson qui m'a parcouru tout le dos.
Michael.
Je me retournais difficilement vers lui, alors que j'étais en train de sélectionner les prochaines chanson que j'allais mettre, sur l'ordinateur de Daniel.
En fait, depuis la dernière fois Michael et moi on ne s'est pas revu.
On était très occupés tous les deux, je pense.
Moi : Micky.
Il portait un t-shirt blanc, et un pantalon noirs.
Ses cheveux étaient tressés comme à leur habitude, et il les avais attacher tout en laissant quelque nattes tomber sur son visage.
Cette coiffure lui a toujours bien allé.
Daniel : Yo Michael.
Michael : salut bro.
Daniel : ça va ? Ça fais un petit moment déjà...
Michael : c'est vrai, j'étais pas mal occupé.
Daniel : je comprend.
Il posait ensuite ses yeux sur moi.
Mon coeur commençait à batte un peu plus vite.
Michael : je peux te parler deux secondes ?
Moi : euh...c'est que je suis en train de mixer là.
Nous étions chez Mike pour fêter la fin des examens.
Autant vous dire que la semaine a été très longue.
Heureusement que c'est terminé.
Daniel : non vas y, je gère.
Mais non.
Pourquoi t'as dis ça, putin?
Moi : huh t'es sure ?
Daniel : bah ouais, c'est mon matos quand même.
Je riais nerveusement.
Moi : c'est vrai.
Je fus donc obligée de suivre Michael.
Michael: on devrait trouver un endroit tranquille pour discuter.
Moi : on est bien là.
Je ne dois absolument pas me retrouver seule avec lui.
Surtout pas.
Michael : La musique est forte, on ne s'entend pas parler.
Moi : je t'entend, la.
Michael : tu vois bien ce que je veux dire. Viens on monte.
Moi : je dois repartir mixer...
Il me regardait en fronçant les sourcils.
Michael : Killa, on monte.
Ça sonnait comme un ordre.
Il commençait à monter les escaliers, alors je l'ai suivis.
Je me suis arrêté dans le couloir.
Moi : c'est bon ici.
Michael : pourquoi t'es comme ça ?
Moi : je...je suis comment ?
Michael : chiante. T'as tes règles ou quoi ?
C'était à mon tour de froncer les sourcils.
Moi : bah non, abrutis.
Il riait.
Michael : je plaisantais.
Je ne répondis pas.
Il me regardait.
Michael : je ne serais pas long, juste cinq petites minutes le temps que je te dise ce que je veux te dire.
Mais qu'est-ce qu'il veut me dire?
Il me regardait d'une façon tellement mignonne que j'étais obliger d'accepter.
On est entre dans la première pièce qu'on a vu : la chambre d'amis.
Moi : alors ?
Michael : je voulais m'excuser pour la dernière fois.
Je faisais mine de ne pas savoir de quoi il parlait afin de l'inciter à développer.
Michael : je ne comprend toujours pas comment j'ai pu m'endormir, et je crois que ma fierté en a pris un coup.
Il se passait la main dans les cheveux.
Il est gêné.
C'est marrant.
Je pouffais de rire.
Moi : t'inquiète.
Michael : non mais c'est trop la honte.
Moi : c'est rien je te dis.
Michael : j'espère que tu...enfin tu vois ?
Moi : quoi ?
Michael : que ça n'a rien enlevé à ma virilité.
Quand il a dit ça, comme une conne je me suis sentie rougir.
Putain.
Moi : on oublie.
Michael : ok.
Moi : c'est bon ? On peut partir maintenant ?
Michael : qu'est-ce qui se passe Killa?
Moi : rien du tout.
Michael : tes sourcils sont froncés, et tu as l'air stressée.
Je soufflais.
Je dois trouver un mensonge.
Moi : c'est les exam, maintenant que c'est fini je stresse pour les résultats.
C'est à la rentrée normalement.
Je vais stressée toutes les vacances.
Parce que oui, c'est les vacances.
Dans cinq jours seulement c'est Noel.
Michael : mais t'inquiète pas Killa, je suis sure que tout va bien se passer.
Moi : tu pense ?
Michael : mais oui! À ta place je ne stresserais même pas.
Je soupirais de soulagement.
Je n'étais pas vraiment stressée pour ça mais plutôt nerveuse par sa présence, mais le fait qu'il m'ait dit ça m'avait beaucoup rassuré.
Moi : merci Micky.
Je lui dis un sourire.
Michael : de rien. Allez viens là...
Il ouvrait grand ses bras, et j'hésitais à y aller.
Michael : Allo Killa, ici la terre.
J'ai donc dû prendre sur moi pour accepter son câlin, et répondre à son étreinte.
Le câlin à durer seulement quelque secondes, mais pour moi c'était comme une éternité. J'avais la tête contre son torse, et je pouvais son parfum.
Il déposait un baiser sur mon front, puis mes cheveux.
Je ne sais pas pourquoi, mais je me suis mise à sourire.
Mais je suis très vite revenue à la réalité, et je me suis décollée de lui.
Il me regardait avec insistance.
Michael : tu es sure que tout va bien ?
Non!
Moi : oui.
Michael : Killa..
Il me relevait la tête en me tenant par le menton, m'obligeant à le regarder dans les yeux. Putin, tout mais pas ça.
Michael : t'es sure que ça va ?
Je hochais difficilement la tête.
En réalité, je me perdais dans son regard.
Mon coeur il a commencé à battre encore plus fort, et j'avais le ventre noué.
Moi : oui, tout va...bien.
Sa main qui était toujours sur mon menton s'est alors posée sur ma joue qu'il a commencé à caresser du bout des doigts.
Je frissonnais, et je crois qu'il l'a remarqué puisqu'il a froncé les sourcils.
Michael : Killa...
Mon souffle se faisait de plus en plus rapide à chaque seconde.
Son regard noir avait le don de me faire perdre tous mes moyens, et c'est pour ça que je ne voulais pas me retrouver seule avec lui.
Moi : qu...quoi?
Michael : tu es magnifique.
J'ai commencer à rougir, encore une fois.
Argh!
Moi : c'est gentil.
Michael planta encore plus son regard dans le mien, en se humectant légèrement les lèvres sans me quitter des yeux.
Michael : tu veux toujours partir ?
Pourquoi est-ce qu'il me regarde aussi intensément.
Moi : je...
Il rapprochait son visage du mien.
Je pouvais sentir son souffle.
Moi : Micky...
Il posait ses mains sur ma taille, et je frissonnais trois fois plus.
Non...
Michael : oui, bébé ?
Moi : arrête de m'appeler comme ça.
Michael : pourquoi? j'aime bien moi.
Il effleurait mes lèvres.
Il va me rendre folle, merde.
Ressaisie-toi Kendall, tu es avec Harry et en plus de ça, tu t'es fais une promesse.
Moi : ce n'est pas bien.
Michael : je sais, mais c'est plus fort que moi.
Il m'embrassait.
A ce moment précis, tout mon corps lui obéissait, et je répondais inconsciemment à son baiser. Sa façon de jouer avec sa langue dans ma bouche, ça me fait perdre le contrôle de moi même. Je ne sais pas comment il arrive à me faire ça, mais ça me fait peur.
Je dois le repousser.
Je le dois.
J'ai donc poser ma main sur son torse et je me suis éloigné de lui, mais au lieu de ça, il riait et s'approchait de moi à nouveau.
Moi : Arrête ça tout de suite.
Michael : sinon quoi ?
Son regard...
Mon dieu!
Moi : sinon je...
Qu'est-ce que je voulais dire déjà ?
J'ai oublié.
Michael : pourquoi tu me fuis?
Je ne répondis pas, et avalait difficilement ma salive.
Il était à nouveau près de moi, et caressait la peau nue de mon ventre et du bas de mon dos. Je ne faisais qu'enchaîner les frissons, c'est épouvantable.
Michael : ne me fuis pas, bébé.
Il passait sa main sur ma nuque, et répliquait ses lèvres sur les siennes tout en me serrant bien contre lui de son autre main, de façon à ce que ma poitrine soit collée à son torse, et mon bassin au sien.
Sur le coup, j'ai senti son entrejambe prendre de la taille contre moi.
Je me suis détaché de lui.
Moi : on ne doit pas...
Michael : je sais, mais tu ne peux pas nier cette attirance entre nous.
Il a raison.
On est sexuellement attiré l'un par l'autre, c'est un truc de fou.
Je ne répondis pas.
Il s'approchait de mon oreilles et en mordillais le lobe, avant de me chuchoter quelque chose.
Michael : juste une dernière fois, bébé.
Non non et non.
Tu es avec Harry.
Tu ne dois pas faire ça.
Surtout pas maintenant.
Michael : j'ai tellement envie de toi Killa.
Je me mordillais la lèvre.
Michael : tu sens l'effet que tu me fais?
Il collait un peu plus son entrejambe contre moi.
Il était bien tendu.
Et ce, à cause de moi.
Je ne savais pas que je lui faisais autant d'effet.
Moi : Micky...
J'allais lui dire il ne fallait pas, mais je ne sais pas comment expliquer ce qui s'est passer. Au lieu de le lui dire, je l'ai embrasser sauvagement, et j'ai commencé à passer mes mains dans ses cheveux. Il répondit à mon baiser, et me portais de façon à ce que mes jambes soient enroulé à sa taille.
Je l'ai senti verrouillé la porte à clé, puis il a commencé à me retirer ma veste, puis mon bandeau et enfin ma jupe, me laissant simplement en string noire et en talons face à lui.
J'étais rouge comme une tomate.
Il me regardait de tout mon long en se mordant les lèvres, puis il retirait son t-shirt, son pantalon et me jetait sur le lit, avant de se placer au dessus de moi.
Il retirait mon strong, puis je mis à passer sa longue le long de mon intimité.
Je gémissais fortement, et empoignait les draps en me cambrant.
Après ça, il a recommencer à m'embrasser.
Je lui ai retiré son boxer et j'ai passer ma main sur son sexe durcit.
Un râle de plaisir s'échappait de ses lèvres à ce moment là.
J'ai commencé à faire des vas-et-viens avec mes doigts sur son penis, et voyant que ça lui plaisait, j'ai eu l'audace de le prendre bouche.
Il posait ses mains sur ma tête pour guider mes mouvements, et je retirais son membre de ma bouche quelques minutes plus tard.
Il me fit basculer sur le lit et se plaçait au dessus de moi, embrassant ma poitrine à plusieurs reprises. Je gémissais encore, mais je restais tout de même silencieuses pour ne pas que les autres entendent.
L'épisode Jenny, ça m'a suffit.
Je l'ai senti fouiller un truc dans la poche de son jean, et il en sortait un préservatif.
Pourquoi est-ce qu'il avait ça dans sa poche ?
Il avait prévu de coucher avec quelqu'un, ce soir?
Parce que je suis sure que ce n'était pas pour moi.
C'est bizarre.
J'allais le repousser, mais j'ai senti Micky s'enfoncer doucement en moi.
Je gémissais, et il s'est mît à m'embrasser, avant de commencer des mouvements de bassins qui me rendaient complètement folle.
Alors là, j'ai touché le fond.
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