Ce soir, comme d'habitude les filles et moi on s'est occupé du diner. On a préparer des tas de truc juste avec des fruits de mer, et ça avait l'air vachement bon.

Donc là on vient de finir de mettre la table, et il faut qu'on appelle tout le monde pour venir diner. On a installer la table sur la terrasse du bateau et ça tombe vachement bien parce qu'il y a le vent et le bruit des vagues.

Comme j'étais encore en maillot de bain car j'ai passé toute la journée dans l'eau, j'ai rapidement enfiler une tunique blanche transparente.

Clara : on va appeler les garçons ?

Moi : ouais.

Ils étaient tous dans le petit salon, en train de jouer à la console.
Qui d'autre que Adrian peut avoir eu l'idée de rapporter sa console pendant notre weekend ? Eh bien personne.

Clara : le diner est prêt !

Taco : t'es chiante, on est en pleine partie.

Moi : en pleine partie ou non, vous arrêtez de jouer et vous venez manger.

Michael : la vie, tes chiante Killa.

Jaden : en vrai, j'ai faim donc je viens.

Adrian : toute ta vie tu as faim.

Bella : vous venez ou non ?

Mike : depuis quand t'es la ?

Bella : fermes ta bouche et viens manger.

Jordan : j'aurais pas aimé.

Daniel : elle t'as descendu.

Moi : ouais c'est bon là, venez.

Ils ont fini après des minutes de protestations à se ramener sur la terrasse pour venir manger. Comme il n'y avait pas assez de place, certains mangeait sur les transat.

Moi j'étais installé juste à côté de Michael, comme par hasard.
Je ne sais pas, mais depuis avant-hier, je me trouve bizarre en sa présence.
Genre, il y a un truc qui me gêne.
Mais je ne sais pas ce que c'est, bref.

Michael : qui a fait la salade ? C'était super bon !

Camila : c'est momma Ken.

Cindy : mais je l'ai aider!

Michael se tournait subitement vers moi, et me regardait intensément mais vue notre position, j'étais la seule à pouvoir le voir.
Mais sa façon de me regarder, c'est étrange.

Michael : ta salade est délicieuse Killa.

J'ai souris de façon timide.
A ce moment là, lorsque mon regard s'est planté dans le sien j'ai eu un long frisson qui m'a parcouru tout le corps, et j'ai détourné le visage.
C'était quoi ça ?

Moi : merci.

Il me fit un rapide clin d'œil avant de se retourner vers tout le monde.
Alors ça, c'était vraiment bizarre.

Justin : ça vous dit après on se fait un jeu d'alcool ?

Taco : je marche.

Tyga : moi aussi, par contre si c'est un jeu de chiffres, je lâche prise.

Travis : tu sens trop le mec qui était nul en cours.

Tyga : pas du tout.

Kylie : fichez lui la paix, vous êtes chiant.

Nalah : au pire on a qu'à jouer à "je n'ai jamais".

Zayn : c'est quoi ce jeu, bébé ?

Adrian : attend, il ne connaît pas "je n'ai jamais"? Mdr tu le sors d'où encore celui la, Nalah?

Jenny : tu es toujours obligé d'être aussi agaçant ?

Entre eux il y avait comme une petite tension...
Il va falloir que je parle avec ma petite Jenny, moi.

Nalah : ne les écoute pas mon coeur, ces mecs là c'est des tarés !

Justin : pourquoi tu nous mélange tous ?

Jason : c'est eux les tarés, je m'en exclu.

Michael : c'est même toi le premier des bouffons, taré.

Selena : donc du coup on joue à je n'ai jamais ?

Moi : bah si tout le monde est d'accord avec ça.

Joseph : Perso ça me va.

Lauren : on verra qui se retrouvera soûl en premier.

Aliyah : on sait bien que ce sera toi.

Tyler : mdr ça va être toi, ta tout fait.

Aliyah : non mais je t'emmerde, Tyler.

Tyler : je t'aime aussi, petite traînée.

Aliyah : traînée toi même.

Camila : vous êtes irrécupérables.

Michael : c'est ta petite tête de blonde qui est irrécupérable, espèce de pale copie de Paris Hilton !

Camila : Hé !

Jaden : ouh, j'aurais pas aimé...

Joseph : parle pas comme ça à ma chérie toi.

Jordan : mdr, ça fait le mec et tout..

Lauren : bébé!

Jordan : pardon.

A la fin du repas on a débarrasser, puis on commençait à préparer les bouteilles d'alcool, les doses de sel et les tranches de citron pour jouer.

Pendant qu'il le faisait, je me suis éloigné un peu en repartant sur la terrasse, parce que Harry était en train de m'appeler au téléphone, et que si je voulais lui parler tranquillement, il fallait mieux que j'aille loin du bruit.

- hey...

- Kenny, tu vas bien ma puce ?

- ça va, et toi Hazza ?

- Ça va, sauf que c'est juste horrible à quel point tu me manque.

- tu es adorable, mais plus que trois semaines.

- mais c'est long, trois semaines.

- je sais, mais on a pas le choix.

- malheureusement. Alors, tu fais quoi de beau ? Tu t'amuse bien avec tes amis?

- oui, ça se passe bien merci chou.

- de rien.

- et toi ? Qu'est-ce que tu fais ?

- j'ai dîné avec Louis et Niall, puis on est sorti en boite et là je suis rentré. Il est un peu plus de cinq heures du matin ici, tu sais ?

Parfois j'oublie ce fichu décalage horaire.
On a quand même huit heures de différence, c'est pas rien.

- c'est vrai, j'ai oublié.

- J'ai tellement envi d'être avec toi, c'est fou !

- je sais. Mais bientôt.

- en parlant de ça, tu fais quoi pendant les vacances de Noel ?

- normalement je suis avec mon père, pourquoi ?

- et bah la deuxième semaine, celle du nouvel an, on avait prévu avec les gars de s'organiser une petite semaine tranquille près d'un lac, dans une petite maison de campagne. Rien de bien extravagant, une semaine tranquille. Et je me demandais si ça te plairait de venir. Les gars seront là avec leurs copines, tu ne seras pas la seule fille. T'en pense quoi ?

- la deuxième semaine, tu dis ?

- oui! Comme ça tu pourrais faire plus ample connaissance avec mes amis, en plus ils t'adorent. Et surtout...on pourra passer du temps tous les deux.

Normalement je passe les vacances de fin d'année en Floride avec mon père et sa famille, mais si Harry me le propose, je devrais trouver un arrangement puisque c'est mon copain.

D'ailleurs en parlant de ça, je ne sais pas quoi penser.
La c'est peut être parce qu'on est loin l'un de l'autre.
Mais j'ai beaucoup de mal à prendre ça au sérieux.
Pourtant parfois, c'est moi qui l'appelle et tout.
En vrai, c'est juste bizarre.

- bon je vais te laisser, je suis crevé et je vais dormir.

- d'accord, bonne nuit babe.

- bonne nuit Killa, je t'aime.

Il a raccroché et quand je me suis retournée, je suis tombée nez à nez avec Justin.
Je posais la main sur ma poitrine.

Moi : mais t'es pas fou de me faire peur comme ça ?

Justin : oh arrête de toujours avoir peur pour tout et riant.

Je soupirais.

Moi : je te signale qu'on est sur la terrasse d'un bateau, et qu'il fait nuit noire.

Justin : genre je suis un psychopathe et je vais te jeter par dessus bord ?

Moi : on ne sait jamais avec toi.

Il pouffait de rire, et plaçait son bras autour de ma nuque, commençant à marcher avec moi.

Justin : à qui tu parlais ?

Moi : un ami.

Justin : quel ami ?

Moi : Harry.

Justin : mmh.

Moi : quoi mmh ?

Justin : rien. Viens on va commencez à jouer, on rejoins les autres!

Moi : okay.

Il sortait une petite boite de sa poche dans laquelle se trouvait des joints déjà roulés. Il en prit un, et l'allume.
Je grimaçais.

Moi : je croyais que tu venais me chercher pour qu'on rejoigne les autres.

Justin : ouais, mais avant j'ai le droit de fumer.

Moi : en plus ça pue ce truc.

Justin : depuis le temps....tu devrais déjà t'habituer à l'odeur Ken.

Je lui tirais la langue.

... : vous faite quoi ?

Selena venait de nous rejoindre.

Moi : oh...moi j'allais rentrer, mais Justin fume.

Selena : okay, bah je reste avec toi Justin !

Moi : ouais, on vous attend.

Selena : ok.

Je suis repartie dans le salon, et tout le monde était installé sur le tapis central. Ils avaient aussi déplacé la petite table en verre.

Quelques minutes après, Justin et Selena nous ont rejoins.
Nous étions donc tous là.

Kylie : vous connaissez surement tous les règles, mais je préfère les rappeler. En fait, une personne doit dire une chose qu'il n'a jamais faite, et toutes les personnes qui auront déjà fais la chose une fois dans leur vie, doivent boire.

Adrian : apprêtez vous a bien boire les filles.

Jenny : ta gueule Adrian.

Adrian : bah quoi ? J'ai plus le droit de parler maintenant?

Jenny : pff..

Cindy : et qui est-ce qui commence ?

Bella : moi !

Jason : bah Isabella commence alors.

Elle se mît à réfléchir.

Isabella : je n'ai jamais volé d'argent à mes parents.

On se regardait tous, et la tu as Taco, Travis, Tyler, Michael, Zayn et Lily.
On regardait tous Lily.

Lily : bah quoi ? Ce jour là mes parents ne m'avaient pas donné d'argent pour la cantine parce que j'étais puni, et au repas il y allait avoir des lasagnes. J'étais obligée !

Michael : bah nous on est des mecs donc c'est normal.

Moi : mdr c'est pitoyable plutôt.

C'était à présent autour de Mike.

Mike : je n'ai jamais fais de fellation.

Lauren : putain t'es pas sérieux !

Adrian : buvez toutes, les filles.

Hailey : c'est vraiment bas.

Toutes les filles sauf Clara et Isabella ont bu.
Ne me jugez pas, ce n'est arrivé qu'une fois, avec mon copain de lycée.

Selena : c'est à mon tour et je compte bien me venger.

Nalah : vas y babe.

Selena : je n'ai jamais fais de cunnilingus à personne !

Michael : mdr les lesbiennes dites la vérité.

Lauren : ta gueule et bois.

Tous les garçons et je dis bien TOUS ont bu une gorgée.
C'était au tour de Clara maintenant.

Clara : je n'ai jamais eu de mauvaise note en cours.

Adrian : vendu.

Moi : allez buvez.

Jordan : Perso je ne me sens pas concerné.

Hé oui, Jordan c'est un petit geek.
Je ne suis pas la seule.

Aliyah : je n'ai jamais fumé de joints.

Tous les garçons ont bu, ainsi que Hailey, Lauren et Isabella.

Taco : je n'ai jamais couché avec une personne se trouvant dans cette pièce.

Alors là, c'était chaud quand même.
La plupart d'entre nous ont pris un verre, moi y compris.
Lorsque je l'ai porté à mes lèvres, j'ai remarqué que tout le monde me regardait.

Justin : Kenny ?

Moi : c'est bon... je bois.

Jenny : mais comment ça se fait ?

Clara : c'est vrai ça ! D'habitude tu ne bois pas à cette question.

Moi : vous posez trop de questions, buvez et puis voila.

Adrian : hé bah, on en apprend des choses.

Croyez moi sur parole qu'à ce moment précis, je faisais tout pour ne pas croiser le regard de Michael. Mais je sentais qu'il me regardait avec insistance.
Justin se rapprochait de mon oreille.

Justin : toi et moi on a des choses à se dire.

Moi : on a rien à se dire du tout.

Je me tournais vers les autres.

Moi : C'est à qui le tour ?

Lauren : ouais, c'est à qui le tour ?

Merci Lauren.
Au moins je peux compter sur elle.

Adrian : je n'ai jamais embrassé de personne du même sexe que moi.

Hailey : mais c'est pas du jeu !

Adrian : les lesbiches, buvez tranquille.

Lily : on est pas lesbiennes, c'est jusque nous les filles on aime délirer.

Jaden : vous parlez trop, buvez.

On s'est mises à boire.
Bah quoi ? Entre filles on se fait souvent des délires et ça en fait parti.
Mais c'est juste pour rigoler.

Camila : je n'ai jamais été ivre en boite.

Joseph : bébé...

Camila : tu bois, Joseph !

On a passé des heures et des heures à jouer, et autant vous dire que tout le monde avait bien bu. Enfin, moi moins qu'eux parce que moi je fais toujours moins de conneries que les autres.

Là il est plus de deux heures du matin, et tout le monde est k.o.
Certains sont allés dans leur chambre, et il y en a qui sont éparpillés un peu partout dans le salon.

Mais moi je n'avais pas sommeil.
Au contraire, j'avais envie de me baigner, donc je suis allée vers le petit jacuzzi qui se trouvait sur l'arrière du bateau histoire de prendre un bain de minuit.

À ma grande surprise, il y avait déjà quelqu'un.
Michael y était tranquillement installé, et il écoutait un peu de musique tout en fumant un joint et en buvant une coupe de champagne.

Moi : oh...euh désolé.

Je m'apprêtais à faire demi-tour.

Michael : Killa ?

J'étais donc contrainte de me retourner.

Moi : mmh?

Michael : je pensais que tu dormais.

Moi : j'avais envi de prendre un bain de minuit, mais je vois que le jacuzzi est occupé.

Michael : je ne suis pas obèse au point de prendre toute la place, tu sais ?

Il souriait.
Je riais nerveusement en guise de répondre.

Michael : allez, viens.

Moi : non c'est bon.

Michael : pourquoi ?

Il me regardait dans les yeux, et bien sure ça avait le don de me déstabiliser.

Moi : pourquoi quoi, Micky ?

Michael : pourquoi est-ce que tu ne veux pas te joindre à moi ?

Moi : je ne veux pas te déranger.

Michael : tu ne me dérange pas Killa. Viens.

Malgré moi, je me suis approché du jacuzzi.
J'ai retiré ma tunique me retrouvant donc en maillot de bain bleu devant lui.

Je l'ai vu me regarder de tout mon long en se mordant la lèvre, et ça m'a mise mal à l'aise. Je suis tout de même entrer dans le jacuzzi, mais je prenais grand soin de me tenir à l'écart de lui.

Michael : pourquoi tu ne dors pas ?

Moi : je n'ai pas sommeil...et puis je n'ai pas énormément bu.

Michael souriait en coin.

Michael : c'est vrai.

Moi : et toi ?

Michael : j'avais besoin de réfléchir.

Moi : réfléchir à quoi ?

Michael : à tout. Ma vie, la musique...

Moi : je vois.

Michael : tu es très belle ce soir, Killa.

Moi : merci.

Michael : de rien.

Je me tournais les pouces sous l'eau chaude.
En même temps, je regardais les bulles se former.

Michael : Killa ?

Moi : quoi ?

Michael : regarde moi.

Sa voix sonnait comme si c'était un ordre, et je me suis tout de suite exécuter.
J'ai donc posé mes yeux sur lui, et j'ai très vite été hypnotiser par son regard sombre.

Michael : pourquoi est-ce que tu rougis autant ? Ce n'est que moi.

Moi : je ne sais pas.

C'est vrai en plus.
Je ne comprend même pas pourquoi est-ce que je rougis comme ça.

Michael : t'es mignonne quand tu rougis.

Moi : ne te moque pas de moi.

Michael : pourquoi est-ce que tu te tiens aussi loin de moi ?

Moi : je ne sais pas, je suis bien là.

Michael : rapproche toi.

Encore une fois, je me suis exécutée.
En fait, c'est comme s'il me contrôlait complètement, et ça me faisait peur puisque personne auparavant n'avait jamais réussi à me faire ça.

Il écrasait la fin de son joint, et buvais d'une traite le reste de son verre d'alcool.
Je restais silencieuse, mais mon rythme cardiaque s'accélérait au fur et à mesure.
Nous étions tous les deux silencieux, seule la musique raisonnait dans la pièce.

J'ai alors senti la main de Micky se poser sur la mienne dans l'eau, et j'ai frissonné.
Merde.

Michael : Killa ?

Je n'osais pas le regarder, parce que j'avais peur.
J'avais peur de la façon qu'il avait de prendre le dessus sur moi.
De me contrôler.

Moi : o...oui.

Michael : je veux que tu te mette sur moi.

Moi : quoi ?

Michael : assied toi sur moi.

Moi : Micky...

Michael : s'il te plait.

Je soupirais, et me plaçait malgré tout sur ses jambes.
Il soupirait.

Michael : pas comme ça, Kenny.

J'étais hypnotisée par lui.
En fait, mes yeux étaient focalisés sur lui.

Moi : c...comment ? Comment veux tu que je m'asseye ?

Michael : comme ça !

Il plaçait ses mains au creux de mes reins et me tirait à lui de façon à ce que je ne me retrouve assise à califourchon sur lui. Nos visage étaient proches.
Vraiment très proches. Mon corps quand à lui ne cessait de frissonner un peu plus chaque secondes qui passaient.

Moi : on...on ne devrait pas.

Il déposait un baiser sur ma joue.

Michael : pourquoi ?

Moi : parce...parce que...qu'est-ce qu'on disait déjà?

Il a réussi à me perdre complètement.
C'est fou!

Michael : embrasse-moi.

Je secouais la tête, et il me serrait un peu plus contre lui.
Je pouvais sentir son entrejambe prendre de la taille contre moi, et c'était gênant.

Il y avait cette tension sexuelle entre nous.
Et ça me rendait folle.

Michael : c'est notre dernière soirée ici Kenny, on devrait en profiter tous les deux, tu ne pense pas ?

Moi : ce n'est pas une bonne idée.

Il commençait à embrasser mon cou.
Mon souffle devenait de plus en plus saccadé.

Michael : j'ai envie de toi, Killa...

Il avait murmurer ça juste avant de commencer à mordiller le lobe de mon oreille.
Un soupir s'échappait de mes lèvres.
Sa voix était juste tellement sexy à ce moment là.

Michael : j'ai tellement envi de toi...si seulement tu savais.

Il collait encore plus contre son entrejambe et il était tellement tendu que c'était légèrement douloureux de le sentir contre moi.
Je n'étais plus moi-même.
Il me contrôlait complètement, comme si lui c'était la télécommande et que moi j'étais le jeu. J'avais envi de le repousser, mais je n'en avais pas la force.

Moi : Micky...

Michael : laisse toi faire bébé.

Il embrassait plus sensuellement la peau de mon cou, me laissant de léger suçons pas trop visibles. Je soupirais.
Il y a une attirance sexuelle entre nous, c'est incroyable.

Il commençait à se frotter contre moi, plaquant ses lèvres sur les miennes.
J'ai soupiré et il en a profiter pour introduire sa langue dans ma bouche.
Je ne sais pas comment il fait, mais lorsqu'il m'embrasse comme ça, je perd complètement la tête.

Il détachait le haut de mon maillot de bain, laissant ainsi ma poitrine nue exposée à lui. Il fronçait les sourcils.

Michael : qu'est-ce que c'est que ça ?

Mon piercing.
Je ne répondis pas.

Michael : c'est nouveau ?

Moi : mmh.

Michael : c'est sexy...

Il prit mon sein en bouche, et je me suis mise à gémir.
Il baladait ses mains partout sur mon corps, puis je les sentais descendre vers mon bas de maillot à travers l'eau brûlante. 

Michael : tu me fais tellement envi Killa.

Il détachait ensuite mon bas, me laissant nue face à lui.
J'ai rougis trois fois plus.
Il me regardait en se mordant la lèvre.

Je l'ai ensuite senti baisser son short de maillot, et je pouvais sentir son membre dur contre moi. Je pouvais sentir son gland durcit aussi.

Michael : tu vois l'effet que tu me fais ?

J'avalais doucement ma salive.
A ce moment précis, j'étais comme envoûtée par lui.
Comme hypnotisé, exactement comme la dernière fois.

Moi : on a pas de...

Michael : shhh...ne t'inquiète pas. Je vais faire attention.

Il recommençait à suçoter la peau de mon coup, puis à m'embrasser dès qu'il en avait l'occasion.

Il posait ses mains sur ma taille, commençant à s'introduire en moi.
Je me mordais la lèvre à mon tour, tandis qu'il dirigeait mes mouvements de bassin en me serrant un peu plus contre lui.

Michael : oh oui....c'est tellement bon.

Je faisais de mon mieux, m'empalant sur lui, les mains dans ses cheveux tressés.
A ce moment là je me fichais de savoir si tout le monde dormait ou pas, ou même du fait que quelqu'un pouvait débarquer et nous voir.
En fait, je m'en fichais.
Tout ce qui comptait c'était le moment présent.
C'était lui et moi.

Michael : oh oui bébé...viens par là...mmh oh oui...

Il s'enfonçait profondément en moi, tout en m'embrassant pour que je reste silencieuse.

Moi : Micky...

Michael : tu es tellement serrée bébé, c'est merveilleux. Vas y...

Eh bien je crois que j'ai vraiment touché le fond en fait.
Je suis tombée bien bas quand même.