Chapitre 44 🔞
Soline's pov
Ils ne me frappent pas. Ils me nourrissent. Ils ne viennent pas me voir. Ils m'habillent. Ils m'ont changé de pièce.
Je détaille une fois de plus cette pièce. Elle est étonnement chaleureuse. Un carrelage et des murs blancs. Une fenêtre condamnée avec d'épais rideau rouge et un lit simple à la parure beige. Je suis mitigé sur ma situation actuelle. Pour l'instant seule une femme vient me voir 3 fois pas jours pour me donner un plateau de nourriture. Je ne sais pas pourquoi j'ai le droit à tout ce luxe. Je pense que ça a un rapport avec l'homme qui est venue il y a une semaine. J'ai bien compris que "Stevens" voulait me vendre à celui ci, et je soupçonne que ce soit pour un quelconque trafic. Mais cela m'effraie. Dans le monde dans lequel ils vivent. Dans le monde dans lequel j'entre contre mon gré.
La femme arrive dans la pièce avec mon plateau et un sac opaque. Je la remercie et commence à déjeuner. Étrangement elle reste avec moi le temps de mon repas. Habituellement elle me dépose le plateau et elle le récupère en m'apportant celui d'après. Je mange rapidement en la regardant du coin de l'œil. Lorsque je termine. Elle se positionne devant moi.
La femme : Déshabilles toi.
Je lui fait les gros yeux. Non mais elle va pas bien, c'est pas possible.
Soline : Je... Quoi? Pardon !
La blonde souffle en jouant avec ses cheveux.
La femme : Bon je te rappelle que ici tu n'es pas en position de négocier. Et puis le boss veut te parler donc déshabilles toi.
J'ouvre la bouche plusieurs fois sans qu'aucun son n'en sorte. Je finis par baisser la tête et obtemperer, je retire mon tee-shirt qu'ils m'ont donné il y a quelques jours. Puis je la regarde. La blonde me fait comprendre de continuer et de me mettre complètement à nue. Je me cache avec mes mains. Elle me détaille puis se tourne vers son sac.
La femme : Remets juste ton tee-shirt. Le reste est inutile.
J'obéis perplexe. Je tire sur le tissus pour essayer de le rallonger. Mais c'est un échec. Elle me tire par le bras et m'incite à la suivre dans les couloirs lugubres de cette usine désaffectée et réaménagée. Elle finit par m'ouvrir une porte derrière laquelle je découvre une salle de bain. Un sourire m'illumine le visage d'espoir de prendre une douche.
La femme : Lave toi. Je vais te préparer des affaires pour ensuite. Et lave tes cheveux aussi.
J'hoche la tête en me retournenant. J'ai bien vu qu'elle ne partirai pas. Je fait donc fi de ma nudite et part sous la douche. Je profite pendant quelques minutes de l'eau chaude partout sur mon corps. Je me lave le corps trois fois et les cheveux quatre. Je ne sais pas quand j'aurai la prochaine opportunité de me laver. Au bout d'une dizaine de minute la blonde se mets à râler de l'autre côté de la paroi. Je sors de la douche et elle me temps une serviette. Je me sèche et découvre les "vêtements" qu'elle me tend. Un ensemble complet de dessous en dentelle blanche, avec bas resilles et porte jartelle. Je les enfile, puisque de toute façon je n'ai pas le choix et elle me tend un tee shirt à enfiler par dessus. Elle me ramène dans ma chambre dans laquelle m'attend le boss. J'ai un pas de recule. Elle me souffle d'ôter mon haut. Je secoue la tête et entend la porte s'ouvrir et se fermer. Ainsi que la serrure se clore. Je suis enfermée avec ce fou furieux. Je recule jusqu'à être collé à la porte.
Le blond avance vers moi un sourire pervers sur le visage. Je secoue la tête. Il pose ses mains sur le bas de mon tee-shirt. Il le relève. Je me débat pour qu'il ne me déshabille pas mais il me bat à se ridicule et combat de force. Je me retrouve en sous vêtement beaucoup trop sexy devant lui. Je baisse la tête et essaie de me cacher avec mes bras mais d'une main il m'immobilise. Les doigts de sa deuxième main viennent passer sur mon ventre suffisamment arrondi pour ne pas laisser place à l'imagination.
Stevens : Tu n'es donc pas si vierge que ça... Écoute tu ne me sers à rien ici mais personne ne veut de toi. Tu ne sais rien faire. En tout cas rien qui ne les intéresse. Donc, poupée tu vas me faire une pipe maintenant. Mais ne compte même pas me morde ou je te jure que la prochaine tu me la fera avec toute ta dentition encastré dans le mur.
Il prononce sa dernière phrase en glissant ses doigts sous mon menton pour me forcer à le regarder. Mes yeux doivent retranscrire correctement l'état dans lequel je suis. J'ai peur. Quand il relâche mes poignets, je suis pétrifié, trop pour tenter quoi que ce soit d'irreflechi. Il pose sa main dans mes cheveux et me force à m'agenouiller devant lui. Il retire ses vêtements et son membre surgit devant mon visage. Des larmes commencent à perler sur mes joues quand je me rend compte de ce qu'il me veut. Je secoue la tête. Je veux pas. Je ne sais pas. Je ne l'ai jamais fait. Je retiens une nausée lorsqu'il force le passage de mes lèvres de son gland. Sa menace me fait juste assez réagir pour que j'empêche mes dents de le toucher. Je sens son regard sur moi, il attend que je fasse quelque chose mais je ne peux m'y résoudre. Ma tête se recule quand il mets de lui même un coup de hanche. Je l'entend grogner ses deux mains viennent agripper mes cheveux pour m'immobiliser pendant qu'il me baise la bouche violemment. Je pleurs en attendant que ça se passe. Il finit par jouir au fond de ma gorge pour m'obliger à tout avaler. Je n'arrive plus à rien voir, je l'apperçois se r'habiller, il me pousse sur le côté et sors de la pièce.
Stevens : Salope.
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